Fin octobre, le nombre d’immigrants illégaux en Espagne depuis le début de l’année (27 551) était légèrement supérieur au nombre enregistré en Italie (26 179) où ce nombre est bien parti pour tripler en 2020 par rapport à l’année 2019 (11 471 arrivées de janvier à décembre, avec une très nette hausse à partir de la mise en place du gouvernement Conte en septembre 2019). En octobre en Espagne, le nombre cumulé d’immigrants illégaux arrivés depuis le début de l’année dépassait pour la première fois les chiffres de la même période de 2019. Seule la Grèce, qui a désormais un gouvernement de droite, fait mieux que l’année dernière en matière de contrôle de l’immigration, avec 12 453 arrivées du 1er janvier au 2 novembre contre 71 386 pour toute l’année 2019.
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Afflux d’immigrants clandestins aux îles Canaries
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Michel Onfray Contre, tout contre la Nouvelle Droite ? (texte de 2015) 2/2
Oui, où est-elle donc passée, cette gauche divine ? Dans les limbes, ont rétorqué quelques-uns des plus éminents représentants intellectuels de ladite « gauche ». Dans Le Monde, Jacques Julliard n'a pas caché son agacement devant de telles méthodes : « Comment le peuple se retrouverait-il dans cette frénésie qui tourne à vide et qui a gagné récemment jusqu'au Premier ministre ? Répétons-le, longtemps après Marcel Gauchet les droits de l'homme ne sont pas une politique. On dirait pourtant que la seule ambition de la gauche bobo est de surimposer un ordre moral antiraciste à l'ordre économique de la mondialisation capitaliste. » L'auteur des Gauches françaises a pointé avec désolation le « néant intellectuel et spirituel de la gauche tout entière gauche de gouvernement, gauche frondeuse, gauche de la gauche... Rien, rien, trois fois rien ! ». De son côté, Éric Aeschimann de L'Obs a tenté de demander son chemin au philosophe Jacques Rancière. Las, l'élève de Louis Althusser n'a pas été plus avenant : « "Où est la gauche?" demandent les socialistes. La réponse est simple elle est là où ils l'ont conduite, c'est-à-dire au néant. Le rôle historique du Parti socialiste a été de tuer la gauche. Mission accomplie. »
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Michel Onfray Contre, tout contre la Nouvelle Droite ? (texte de 2015) 1/2
L'article de Fabrice Valclérieux « Cher Michel Onfray, encore un effort », paru dans le numéro 154 d’Éléments, a suscité un flot de commentaires positifs, dont celui élogieux du principal intéressé. Il a aussi déclenché une pathétique campagne de dénigrement contre Michel Onfray, lancée par le Premier ministre Manuel Valls. Retour sur une tentative de diabolisation qui s'est soldée sur un retentissant échec.
« Les Papous vont hurler ! », avait prévenu Michel Onfray en conclusion de l'entretien qu'il a donné à Sébastien Le Fol, directeur adjoint du Point, venu l'interroger chez lui, à Chambois, dans l'Orne, où il vit « loin de la gauche mondaine, parisienne, celle de Saint-Germain ».
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Face aux prétentions algériennes, les associations de rapatriés se mobilisent...
Le Collectif des Français rapatriés d'Algérie et leurs amis contre la repentance vient de publier une lettre à l'attention du Président de la République au sujet des exigences algériennes de réparations. Cette heureuse initiative est soutenue, entre autres, par le CDHA, entendez Centre de documentation historique sur l'Algérie. Voici le texte de la lettre que vous pouvez reproduire et diffuser autour de vous.
S.N.
Monsieur le Président de la République,
À l’approche du 60e anniversaire de l’indépendance de l’Algérie, le président de ce pays, M. TEBBOUNE, demande à la France de faire acte de contrition concernant sa présence de 1830 à 1962. Cette repentance pour des fautes présumées est inacceptable.
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Taguieff: «Le décolonialisme est la maladie sénile de la gauche intellectuelle contemporaine», par Pierre Valentin.
Manifestation d’un collectif de soutien à Adama Traoré. BERTRAND GUAY/AFP
Le philosophe dénonce l’influence croissante du décolonialisme au sein de la gauche dans un essai tout juste paru, intitulé «L’imposture décoloniale».
FIGAROVOX. - Dans votre dernier ouvrage L’imposture décoloniale vous dites: «Le postcolonialisme (…) risque d’entraîner toutes les familles de la gauche dans l’adhésion à une vision identitaire». Quelle est cette vision identitaire qui vous inquiète?
Pierre-André TAGUIEFF. - Le postcolonialisme est, pour aller vite, la version soft du décolonialisme, lequel séduit non pas en raison de sa consistance théorique mais par sa «radicalité» idéologico-politique. Les idéologues décoloniaux appellent en effet à rompre totalement avec le passé maudit de la France et plus largement de l’Europe et de l’Occident, dont il réduisent l’histoire à celle du racisme, de la traite négrière, du colonialisme et de l’impérialisme.
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Pauvreté et destruction de la famille
Le Secours Catholique-Caritas France publie jeudi 12 novembre son rapport statistique annuel État de la pauvreté en France 2020. Constats et analyses sur la précarité issus de l’observation sur l’ensemble du territoire national de plus de 55 400 situations (sur les 1 393 000 personnes accueillies en 2019).
Pour son rapport 2020 qui alerte sur la dégradation du niveau de vie des plus pauvres, l’association a complété son étude d’une enquête approfondie sur leur budget, pointant les privations quotidiennes et les arbitrages impossibles auxquels ils sont confrontés : chauffer le logement ou se nourrir, acheter un habit pour la rentrée ou payer la facture d’électricité.
La part des mères isolées reste trois fois plus importante dans les accueils du Secours Catholique que dans la population générale. Elles sont souvent jeunes, avec des enfants en bas âge, et ont des ressources insuffisantes pour faire face aux dépenses de la vie courante : 42 % sont au chômage, non indemnisé dans six cas sur dix et de longue durée dans les trois quarts des situations.
https://www.lesalonbeige.fr/pauvrete-et-destruction-de-la-famille/
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Lutte contre le terrorisme : la nouvelle trouvaille de l’UE, une école pour imams
Pour contrer le terrorisme islamique en Europe, né dans les mosquées implantées sur le Vieux Continent, les nations feraient mieux de ne pas s’en remettre à l’Union Européenne. Cette dernière ne sait opposer à cette barbarie que des pleurnichements sentimentaux, des bougies à la flamme tremblotante, l’incantation répétitive « plus jamais ça » et des projets doucereux.
Pour preuve, le président du Conseil de l’UE, Charles Michel, a eu une idée bien dans la ligne de la bien-pensance dégoulinante d’altruisme tueur :
« Pour lutter contre l’idéologie de la haine, nous devons créer un Institut européen pour former les imams en Europe. »
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Etat-providence et despotisme sanitaire
Dans l’Incorrect, Thibaud Collin dénonce le caractère disproportionné et injuste de l’interdiction des cultes publics :
L’État moderne trouve grâce à Thomas Hobbes (1588-1679) sa justification dans l’impérieux désir des individus de se soustraire à la peur de la mort violente, inhérente à l’état de nature pré-social (« la guerre de tous contre tous »). Ils sacrifient leur liberté naturelle à l’État souverain afin qu’en retour celui-ci garantisse leur sécurité. Hobbes fonde ainsi la science politique moderne sur une condition nécessaire et égale pour tous : la fuite du mal absolu qu’est la mort. Tel est, considère-t-il, le seul moyen de sortir des divisions sociales engendrées par la poursuite du bien ultime. L’unité de la société politique ne tient plus à une quête illusoire du bien commun mais à la peur, bien réelle, d’un mal commun mettant ainsi « tout le monde d’accord ». La mort devient la nouvelle figure de l’absolu disqualifiant la question surnaturelle du salut et de la damnation. L’État est cet artifice par lequel les hommes s’assurent une société paisible, jouissant dans leur vie privée des libertés individuelles que celui-ci, ce « dieu mortel », leur garantit.
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Alain de Benoist : « Sur les tombes de soldats, il est écrit qu’ils sont morts pour la France, pas pour la République ! »
Nos hommes politiques n’ont plus à la bouche que le mot de « République », allégorie politique et morale invoquée à tout bout de champ : « la République est menacée », « la République ne cédera pas », etc. C’est du psittacisme ou quoi ? Les « valeurs républicaines », ça vous parle ?
Ce n’est pas nouveau, mais en effet, ça s’accélère. Si l’on récite ce mantra, c’est qu’on ne veut pas utiliser un autre mot : la France, tout simplement. Et l’on ne veut pas l’utiliser parce que l’on veut suggérer que la France a commencé avec la République, de telle façon qu’il suffirait de parler de la seconde pour s’abstenir de faire allusion à la première. C’est évidemment ridicule : si la France a commencé avec la proclamation des Droits de l’homme, quelle était donc la nationalité de Corneille et de Pascal ? Sur les tombes de soldats, il est écrit qu’ils sont morts pour la France, pas pour la République. Pour m’exprimer, comme l’a dit Charlotte d’Ornellas, je n’utilise pas la langue républicaine mais la langue française !
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Sur Sud Radio, Covid19 : Faut-il rendre la vaccination obligatoire ?
Philippe Rossi avec Philippe Bilger, Caroline Pilastre, Michel Pourzol et Dr. Philippe Vermesch, président du Syndicat des Médecins Libéraux.