
Le compromis élaboré par la présidence allemande de l’UE pour obtenir le retrait du veto polonais et hongrois stipule que le mécanisme d’Etat de droit ne pourra pas être utilisé en matière de politique familiale ou d’immigration et qu’il ne sera utilisé que de manière objective, apolitique, et uniquement en cas de lien direct entre une violation de l’Etat de droit et une utilisation incorrecte avérée des fonds européens. Commentaire d’Olivier Bault dans Présent :







