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"La loi Avia, du nom de la députée emmarcheuse Laetitia Avia qui veut nous faire croire qu’elle lutte contre les propos haineux sur Internet était discutée la semaine dernière à l'Assemblée.
Un amendement est passé donnant tout pouvoir au Ministère de l’intérieur pour faire retirer en une heure, montre en main, tout "propos haineux"… Avant, dans le projet de loi, c’était 24 heures, ça laissait le temps de contre-argumenter. Pourquoi sont-ils soudain si pressés, si castrateurs ? Si la plate forme ne s’exécute pas, elle risque la fermeture. Et l’amendement est passé. Au Palais Bourbon, tout passe et tout trépasse. A commencer par nos faibles espoirs de débat démocratique."
Olivier Pichon et Pierre Bergerault reçoivent Jean-François Auzolle, ingénieur de l’Ecole Centrale.
1) De la forêt australienne à l’effet de serre
– Incendie en Australie : à qui la faute ? – Les pratiques des aborigènes – Biodiversité, que de crimes commis en ton nom ! – Le cas de la forêt landaise – L’écologisme, une idéologie – Retour sur la physique thermique et l’effet de serre
2) Des groupes de pression climato-financiers
– L’opinion face au réchauffement, en situation de dissonance cognitive – Des intérêts bien compris derrière le réchauffisme – Le rôle de l’organisation mondiale pour la construction de bâtiments « green » – La HQE en question (Haute qualité environnementale) – Paris est-elle vraiment polluée ? – L’écologisme comme support d’un solide business
3) Généalogie du business écolo-punitif
– Les familles du business réchauffiste – Des enjeux financiers considérables au bénéfice des plus riches – Où se retrouvent Forbes, Kerry et Brice Lalonde, ancien ministre de l’écologie – Le commun des mortels de la planète sous la domination de l’écologie punitive et confiscatoire – Greta instrumentalisée – L’écologisme, un néo puritanisme qui finira par interdire les plaisirs de la vie
03/02/2020 – FRANCE (NOVOpress) Une nouvelle Inquisition venue des États-Unis veut assécher le financement de toute pensée dissidente et finalement mettre fin à toute liberté d’opinion.
Découvrez cette vidéo réalisée par l’Observatoire du journalisme. A diffuser largement !
Alors que le gouvernement essaye de faire croire que l’avortement est un acte banal et que les médias dominants relaient ce message, les faits sont malheureusement têtus. Les témoignages aussi :
De l’interdiction de l’aumônerie à la propagande libertaire de la direction en passant par les railleries voire les intimidations envers les élèves catholiques, Léa explique :
[…] L’aumônerie a été interdite au seul motif qu’elle représentait une « organisation politique ou religieuse ». On est en mesure de se poser des questions sur la bonne foi de ceux qui ont pris cette décision quand on voit des associations telles que « ArcENSiel » (militants LGBT) ou encore « les Salopettes » (militantes féministes) qui œuvrent en toute tranquillité alors qu’elles ne se cachent même pas de faire de la politique… Maintenant que l’aumônerie est interdite, elle est clandestine et formellement interdite de publication au sein de l’école. On se croirait revenus à l’époque du comité de salut public.
Sous-entendez-vous que la direction pourrait être partie prenante d’une forme de terrorisme intellectuel ?
« Dans notre siècle, il faut être médiocre c'est la seule chance qu'on ait de ne point gêner autrui » Léo Ferré (préface Poètes vos papiers). La solitude grégaire et frénétique que nous imposent les villes d'aujourd'hui et leurs périphéries n'est pas la seule servitude à laquelle nous soyons liés. Pour s'en persuader il suffit d'accomplir les gestes les plus ordinaires de la vie moderne, comme pour en souffrir il suffit de vouloir agir ou entreprendre. On a alors tôt fait de se heurter aux longues files ou aux longs mois d'attente, à l'extraordinaire puissance d'inertie, d'irresponsabilité, d'anonymat que représente trop souvent l'Administration..
Au commencement était l’idéal cosmopolite. La laïcité a été imaginée par des gens qui ont cru que des hommes de toutes les origines pourraient paisiblement cohabiter si l’on expulsait de la société civile le religieux, et par extension tout ce qui distingue les hommes entre eux. Cette croyance était absurde, les frères Kouachi en témoignent.
« Croyance » ? Vincent Peillon, ancien ministre de l’Education ne le cache pas : « La laïcité est une religion républicaine », dit-il. « Le Serpent », pour reprendre un surnom que lui donnait François Hollande, raconte (voyez cette courte vidéo) que la République avait besoin de « former sa propre religion » afin de saper l’Eglise catholique. Il s’est donc constitué une « alliance religieuse universelle » explique Peillon, alliance dans laquelle on trouvera des « catholiques libéraux, des protestants libéraux, des juifs libéraux, des athées et des matérialistes », qui portera, toujours selon Peillon, « un projet de religion universelle », une religion que les « croyants » ont appelé « la laïcité » (sic !).
En Espagne, le parti « populiste » Vox lance une proposition visant à protéger les enfants de l’enseignement « gender » à l’école : le « pin parental ». Chaque école, spécifie l’initiative de Vox, devra obtenir obligatoirement le consentement des parents pour les activités complémentaires durant lesquelles sont majoritairement enseignés l’éducation sexuelle, la théorie du genre, l’homosexualité comme orientation naturelle et autres thèmes lgbtqi+. Les parents pourront retirer leurs enfants si le contenu des ces activités complémentaires va « contre leur principes moraux ».
Imane Asry a de quoi être fière car Imane, littéralement « foi », vient d’être sélectionnée par le magazine Elle Suède en collaboration avec L’Oréal Paris, pour les prix Look of the Year et Look of the Future, remis le 22 janvier dernier. La lauréate, étudiante en économie et surtout influenceuse sur les réseaux sociaux, concilie mode et foi sur sa page « Fashion with Faith ». Imane arbore fièrement son hijab à la fac comme à la ville et se décrit comme « une fille musulmane folle de mode ». « Ce prix, c’est pour nous toutes qui ne nous reconnaissons pas dans les magazines de mode, parce que nous n’y sommes pas adaptées », déclare celle qui décrit son style comme une « mode modeste » et compatible avec ses exigences spirituelles et stylistiques.
Le parquet de Vienne a renoncé à la procédure contre Mila pour incitation à la haine envers un groupe tandis que Mme Belloubet subissait à juste titre une avalanche de critiques à l’encontre de l’étonnante égalité qu’elle avait instaurée entre les menaces de mort portant évidemment atteinte à la liberté d’expression et les propos injurieux, qui auraient, selon elle, mis en péril la liberté de conscience
On peut donc se féliciter que Voltaire se soit réveillé pour réintroduire un peu de raison dans notre pays. Si l’on veut pointer, toutefois, la cause première de cette polémique, on se rend compte à quel point elle révèle la dérive suicidaire de notre société. Le problème se situe dans un signe « égal » dont on abuse jusqu’à l’absurde. Toute société est fondée sur des distinctions, des discriminations, des échelles de valeurs, des hiérarchies : l’égalitarisme forcené qui règne dans les discours politiques et dans l’évolution du droit est une idéologie mensongère qui mène à des impasses comme celle de l’affaire Mila. L’égalité de tout, l’interchangeabilité de tous, c’est la confusion des esprits assurée !