![Pour se faire entendre du sourd qui nous gouverne, il faut se mobiliser](https://www.lesalonbeige.fr/wp-content/uploads/2019/09/20190905_193546_resized-1050x600.jpg?x12479)
Quelque part en banlieue parisienne :
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Quelque part en banlieue parisienne :
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Saviez-vous, par exemple,
– qu’il y a un mélange alarmant entre le milieu des migrants criminels et les terroristes islamiques ?
– que le Bureau pour la protection de la Constitution ne peut pas contrôler de manière cohérente les organisations islamistes parce que la politique exige que l’AfD fasse l’objet d’une plus grande attention ?
– que la chancelière Angela Merkel courtise les loups gris nationalistes et islamistes (Frères musulmans turcs) ?
– que le gouvernement allemand coopère avec les antisémites musulmans ?
– que des milliers de criminels de guerre musulmans ont immigré en Allemagne en tant que réfugiés ?
– que tout débat sur l’islam est empêché par des campagnes de désinformation ciblées menées par les politiciens et les médias ?
– que les clans arabes criminels apparaissent comme une mafia musulmane en Allemagne ?
– que des hommes syriens et irakiens ayant l’expérience de la guerre ont depuis longtemps formé des clans criminels en Allemagne et sont actifs dans le crime organisé ?
– qu’il y a une infiltration ciblée des autorités de sécurité par les islamistes et les clans arabes ?
– que le ministère de l’Intérieur met en garde contre de graves troubles dans des publications secrètes ?
– que les observateurs parlent d’une « guerre civile moléculaire » contre la population indigène par les immigrants musulmans ?
Source : Kopp Verlag.
Traduction : Julien Martel.
http://by-jipp.blogspot.com/2019/09/crimes-violences-et-terreur-comment.html
La chronique de Philippe Randa
Fatou Diome (ci-dessus) est une franco-sénégalaise, auteur d’une dizaine de livres que Le Monde décrit comme « piégée dans le désir d’Europe et ses mirages tragiques » et dont il présente son pamphlet Marianne porte plainte ! (paru en en 2017 chez Flammarion), comme un « véritable pamphlet contre les discours identitaires, racistes, sexistes et islamophobes » !
Toutefois, dans un entretien publié en ce mois d’août, celle-ci précise sa pensée. Une pensée pour le moins inhabituelle dans les colonnes de ce quotidien.
Ainsi, sur sa couleur de peau qui n’est « n’est ni une tare ni une compétence » ou sur la France, « cette France brillante, je l’ai bien trouvée, mais on n’arrête pas de la trahir ! Il faut toujours s’y référer, la rappeler aux mémoires courtes »…
Quand le journaliste l’interroge sur les discriminations frappant les Africains dans notre pays, Fatou Diome lui rétorque : « Vous savez, au Sénégal, un jeune né en province aura moins de chance de réussir que celui issu d’une famille aisée de la capitale. La différence, c’est qu’en France, cette inégalité se trouve aggravée par la couleur. Ici, être noir est une épreuve et cela vous condamne à l’excellence. »
Quant à l’urgence de « la décolonisation de la pensée et des savoirs, porté par un certain nombre d’intellectuels africains et de la diaspora » qui semble fortement interpeller le journaliste, sa réponse est cinglante : « C’est une urgence pour ceux qui ne savent pas encore qu’ils sont libres. Je ne me considère pas colonisée, donc ce baratin ne m’intéresse pas. La rengaine sur la colonisation et l’esclavage est devenue un fonds de commerce (…) En sommes-nous encore à nous demander comment nous libérer de l’esclavage et de la colonisation ? Pendant ce temps où nous stagnons, les Européens envoient Philae dans l’espace… (…) Pourquoi se positionner toujours en fonction de l’Occident ? Il nous faut valoriser, consommer et, surtout, transformer nos produits sur place. C’est cela l’anticolonisation qui changera la vie des Africains. »
Et bien qu’elle soit sensée dénoncer les discours identitaires, elle n’en affirme pas moins que « la peur de vaciller au contact des autres ne peut vous atteindre quand vous êtes sûr de votre identité. »
S’il y en a un qui a vacillé, c’est peut-être ce malheureux journaliste du Monde…
EuroLibertés cliquez là
Le député LREM Pierre Cabaré, Vice-Président de la Délégation de l’Assemblée nationale aux droits des femmes et à l’égalité des chances entre les hommes et les femmes, est donc poursuivi pour agression sexuelle.
Mediapart révèle :
les anciens collaborateurs du député de Toulouse Pierre Cabaré, visé par une plainte pour harcèlement et agression sexuels, avaient écrit à Richard Ferrand, Gilles Legendre et Stanislas Guérini pour dénoncer les agissements de leur employeur. Un courrier resté sans réponse.
Marlène Schiappa est restée sans voix.
Dans la série, faites ce que je dis mais pas ce que je fais, LREM est passée maître. Depuis l’affaire Benalla, nous savons que LREM est capable de tout, surtout du pire.
https://www.lesalonbeige.fr/lrem-a-beau-jeu-de-denoncer-les-violences-contre-les-femmes/
Vendredi matin, un individu a fait irruption dans une cantine scolaire de Marseille et blessé deux cantinières à l’arme blanche. L’homme, dont les propos étaient confus, aurait proféré “Allahou Akbar”.
Stéphane Ravier
Président du groupe RN au conseil municipal de Marseille
Sénateur des Bouches-du-Rhône (13)
Source: bvoltaire.fr
https://www.peupledefrance.com/2019/09/agression-couteau-ecole-marseille-stephane-ravier.html#more
En ce jour de rentrée scolaire, ce lien semble s'imposer : il a été partagé sur notre page facebook par l'une de nos "amies" :
Après avoir permis l’émergence d’une information alternative de qualité, Google est-il en train de la tuer ? Les mésaventures rencontrées par nos confrères de Breizh-Info semblent faire pencher la balance en faveur du “oui”.
NOVOpress 05/09/2019 – Créé en 2013, Breizh-Info est un site web d’actualités traitant “de l’information bretonne et internationale”. Fort de plusieurs centaines de milliers de visites mensuelles, réalisant un travail quotidien d’information de qualité, factuelle, sourcée, le site était jusqu’à il y a peu indexé dans Google Actualités, au même titre que Le Figaro, Le Télégramme ou Ouest-France. Cela n’est plus le cas depuis cet été.
Dans un appel à ses lecteurs paru ce jour, le média breton s’interroge sur les raisons qui ont poussé Google à le bâillonner : “Plusieurs techniciens de la société nous ont d’abord assuré qu’il s’agissait d’un souci technique. Un détail non corrigé en trois semaines ? Techniquement, Google nous a habitués à plus d’efficacité ! Selon toute probabilité, le déréférencement résulte en fait d’une campagne de pressions menée auprès de la société américaine afin de nous exclure de Google Actualités.”
Victime de son succès ?
Fort de son influence, Breizh-Info s’est créé de très forte inimitiés, certainement justifiées : une ligne éditoriale de droite assumée, très critique de l’immigration, dans un paysage médiatique breton ouvertement marqué à gauche ; et un lectorat conséquent, émiettant le monopole d’une PQR en difficulté, quand elle n’est pas sous perfusion…
Cela n’a pas échappé au “grand quotidien de référence” Le Monde qui, fort de ses millions de subventions, s’en est même pris à plusieurs reprises au média local breton, qualifié de “vrai faux site d’info” par “Les Décodeurs” (Breizh-Info n’a pourtant jamais publié de “fake news” contrairement à Ouest-France ou au Monde).
De là à penser que Google aurait cédé à une forme de pression idéologique, il n’y a qu’un pas, que n’hésitent pas à franchir les rédacteurs de Breizh-Info : “Jamais condamné, jamais poursuivi, bien informé, notre site est clairement victime d’une discrimination idéologique.”
Pot de terre (breton, donc solide) contre pot de fer “Google”
Quelles parades mettre en œuvre ? Comment un “petit” média breton pourrait-il forcer la main du géant américain ?
Les rédacteurs de Breizh-Info ont bien l’intention d’aller jusqu’au bout avec Google : en poursuivant leur travail irréprochable tout d’abord, qui leur permettra de justifier de leur présence dans Google News.
Ensuite, par la mise en lumière de cette situation, qui n’est pas vraiment au bénéfice de Google (ces grandes plateformes n’apprécient pas que soient publiquement exposés les cas censures qu’elles pratiquent, comme ce fut récemment le cas avec Facebook pour l’Observatoire du journalisme).
Enfin, par la recherche d’alternatives techniques à Google et aux réseaux sociaux : à ce titre, la newsletter, qui semblait passée de mode, semble l’ultime rempart à la censure arbitraire des GAFAM.
Pour aller plus loin, ne pas hésiter à consulter les dossiers et actualités de l’Observatoire du journalisme : ojim.fr
Courageusement, clairement, brillamment... Ecoutez, et participez à la manif du 6 octobre à Paris :