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lobby - Page 791

  • 72% des Français estiment que la qualité de l’enseignement s’est dégradée au cours de la dernière décennie

    A la veille de la rentrée des classes qui aura lieu le lundi 2 septembre, un sondage réalisé par l’institut BVA révèle que pour 72% des Français, la qualité de l’enseignement s’est dégradée au cours des 10 dernières années. 51% des sondés estiment même que la qualité de l’enseignement aujourd’hui n’est pas satisfaisante dans l’Hexagone.

    En dépit de l’opinion des Français au sujet de la qualité de l’enseignement, 65% d’entre eux ont une image positive des professeurs. Un résultat stable par rapport à 2017 et légèrement plus élevé chez les parents d’élèves (70%).

    Le Maine Libre

    https://www.tvlibertes.com/actus/72-des-francais-estiment-que-la-qualite-de-lenseignement-sest-degradee-au-cours-de-la-derniere-decennie

  • Sciences Po en marche vers le néant.

    Alors, si j’ai bien compris, l’Institut de Sciences Politiques de Paris, supposé fabriquer nos élites administratives, c’est l’endroit qui s’est un temps rebaptisé Institut Clément Méric, qui a organisé un Hijab Day en hommage à la burqa parce que c’est so coooool d’avoir le droit de vivre soumise comme en l’an 600, c’est l’endroit où les puissants esprits de l’Unef exigent d’installer des distributeurs de Tampax dans les toilettes pour hommes car sinon c’est discriminant tu comprends car on ne pense pas aux transgenres, et, donc, très logiquement avec ce qui précède, c’est désormais le lieu où sera organisée cette année une classe spéciale ayant pour but l’étude de... Macron.
    Macron, sa vie, son œuvre, un cours à la gloire de Macron le Père-Enfant de la Nation disparue, avec lecture obligatoire des œuvres apologétiques de Brice Couturier (véridique), celles vantant le fameux «Président-philosophe».
    Ces éléments permettent me semble-t-il de mieux cerner l’ensemble du problème auquel le pays est confronté et aussi cela permet de bien comprendre que ce ne sont pas dans ces lieux lobotomisés qu’on trouvera les solutions, pour ceux qui nourrissaient encore quelques espoirs...

  • Entre Cédric Herrou et les Identitaires, la justice française a tranché

    Damien Rieu, Romain Espino et Clément Galant, trois courageux militants identitaires, viennent d’être lourdement condamnés par la justice en première instance. Il est instructif de comparer cette sévérité extrême avec l’indulgence dont a bénéficié l’immigrationniste Cédric Hérou. L’injustice est telle que seules les personnes les plus endoctrinées ou les plus haineuses peuvent ne pas s’en rendre compte. En quelques lignes, voici un bref rappel des faits.

    Pour mémoire, Cédric Herrou annonce tranquillement en 2017 au Monde qu’il a aidé près de 200 clandestins à traverser la frontière franco italienne, sans doute pour fuir d’atroces persécutions en Italie.

    Il est inculpé puis condamné en première instance à… 3 000 € avec sursis !

    En appel, il est condamné à… 4 mois de prison avec sursis.

    La Cour de cassation annule ce jugement, qu’il reviendra à la cour d’appel de Lyon de rejuger.

    La date de l’audience n’est pas encore fixée.

    Il est vrai que la dépénalisation du « délit de solidarité » sans gain financier semble exonérer les passeurs bénévoles et compulsifs…

    Paul Tormenen

    Tribune reprise du site de Polémia

    https://fr.novopress.info/

  • Face à Mgr d’Ornellas, Jean-Louis Touraine fait la promotion de l’esclavage

    Face à Mgr d’Ornellas, Jean-Louis Touraine fait la promotion de l’esclavage

    Auditionnés le 29 août sur le projet de loi bioéthique, plusieurs représentants religieux ont apporté une réflexion de fond au débat aux députés, bien loin d’être à la hauteur. Ainsi le franc-maçon Jean-Louis Touraine a voulu piégé de piéger Mgr d’Ornellas en évoquant des histoires de GPA dans la Bible ou des bricolages de filiation entre Joseph et le Christ.

    « Il y plusieurs exemples de GPA dans la Bible, avec Sarah et Abraham avec l’aide de Agar, avec Jacob et Rachel. Nous, nous ne proposons que, modestement, non pas la GPA mais bien l’extension de la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules »

    Réponse de l’archevêque de Rennes :

    « Dans ce cas, comme dans les autres, les mères porteuses bibliques sont des esclaves »

    « Je suis frappé que nous ayons des cours théologie à l’Assemblée nationale, a rétorqué . Que sous les ors de la République, nous soyons sensibles à la théologie, j’en suis heureux. Mais prendre exemple de ce qui est écrit sur Joseph, Marie et Jésus pour résoudre les problèmes de modèles familiaux, c’est faire fausse route et tirer la couverture à soi. On ne peut pas utiliser de façon fondamentaliste un texte pour résoudre nos petits problèmes humains, il n’est pas là pour ça ».

    « L’objectif de ces récits est de montrer la frustration, l’amertume, la souffrance », appuie François Clavairoly, le président de la Fédération protestante de France (FPF), rappelant la rivalité ultérieure entre Ismaël et Isaac, fils d’Abraham et Sarah.

    « La Bible souligne bien qu’Ismaël est l’enfant d’Agar », ajoute Haïm Korsia. « Vous avez parmi vos rapporteurs, Madame la présidente, d’éminents biblistes ! », s’exclame le Grand rabbin de France.

    https://www.lesalonbeige.fr/face-a-mgr-dornellas-jean-louis-touraine-fait-la-promotion-de-lesclavage/

  • Retraites monopolistes : la quadrature du cercle

    6a00d8341c715453ef0240a4ca453f200b-320wi.jpgAyant travaillé pendant plusieurs années sur la question des retraites, votre serviteur avoue ne pas croire possible d'envisager leur réforme d'ensemble sur les différents schémas, tous monopolistes sur lesquels s'exprime notre classe politico-médiatique.

    Sans trop s'attarder à la genèse historique de la situation actuelle, rappelons quand même qu'en France, la retraite des vieux travailleurs figurait au nombre des promesses du Front populaire de 1936. Le gouvernement [sublime] présidé par Léon Blum après la victoire de cette coalition, se révéla incapable de la mettre en œuvre. Mais les technocrates qui l'entouraient alors étaient demeurés dans les allées de la haute administration et s'employèrent à la réaliser dans les circonstances dramatiques de 1941. Pour cela, compte tenu d'un environnement économique bien particulier, ils siphonnèrent les réserves des compagnies d'assurances de droit privé qui pratiquaient la capitalisation et instituèrent la répartition.

    Dans l'après-guerre cette situation fut prolongée, de non-réforme en non-réforme, et l'État, c'est-à-dire aujourd'hui ce que l'on appelle "Bercy", a renforcé son monopole sur le pilotage de ce qu'on appelle les "régimes" de pensions.

    À cet égard, après une timide tentative du gouvernement Balladur en 1993-1994, ce fut bien le plan Juppé de 1995-1997 qui alla le plus loin dans l'étatisation et la tutelle du ministère des Finances. Or, depuis cette date, la plupart des soi-disant experts et gestionnaires des caisses, des régimes, des conseils d'orientation, et jusqu'au chef de l'État lui-même, parlent et administrent des institutions d'assurance vieillesse dont ils ne supportent pas les cotisations, pas plus qu'ils ne s'apprêtent à en recevoir un jour les prestations.

    Demandez donc à vos interlocuteurs à quel "régime" ils appartiennent. Ce n'est pas un outrage puisqu'ils pratiquent selon une expression qu'ils affectionnent, une "pédagogie". D'où parles-tu citoyen ?

    Or, il existe en France, non pas 42 "régimes", ce mot ne veut rien dire, mais quatre (4) classes bien distinctes, "d'assujettis", c'est le mot que la république emploie très officiellement. Ces citoyens sont affilés de force à des caisses monopolistes, des taux de cotisations et des espérances de pensions de type très différents, mais entre lesquels personne en France n'a le droit de choisir.

    La principale catégorie est composée des salariés du secteur privé. C'est au nom de ceux-ci que sont supposés parler les syndicats. Certes, ils représentent moins de 10 % des salariés. Mais, divisés en 7 ou 8 organisations rivales, ils ne semblent très majoritairement, pas disposés à remettre en cause la Répartition, désirant surtout le maintien du "droit" à un âge de départ le plus bas possible, en contradiction avec les données démographiques.

    À noter qu'aujourd'hui parmi eux les organisations, jugées représentatives des cadres, après avoir si longtemps cru aux retraites dites complémentaires du système, se sont alignées sur les autres.

    Seconde catégorie : celle des fonctionnaires, certes répartis eux-mêmes selon différents statuts, mais que l’on a agglomérées depuis le passage du communiste Anicet Le Pors dans le gouvernement Mauroy. On entend beaucoup de critiques sur leurs avantages mais, outre le fait qu'ils servent l'État dans des conditions qu'ils considèrent comme contractuelles, ils se sentent encore en mesure de le paralyser. Or, on doit bien mesurer que cet employeur s'est engagé sur les pensions que le Trésor public leur versera[1], après leur cessation d'activité, mais que cela n'est pas comptabilisé dans les dettes de la France au sens des accords de Maastricht. Toute transformation projetée mérite d'être évaluée à cette aune.

    Troisième catégorie : celle dite des régimes spéciaux, avantages corporatifs principalement des éléctriciens-gaziers et des cheminots encore sous statut. Solder leurs privilèges coûterait sans doute moins cher que l'on croit mais a fait reculer très longtemps les pouvoirs publics, car ils ont affaire à la CGT.

    Quatrième catégorie enfin, celle des indépendants, de tous statuts. Tout le monde s'en moque sauf quand les politiciens et les journalistes découvrent qu'il existe encore en France des exploitants agricoles, dont ils dressent un éloge purement métaphorique, etc.

    Or la réforme des systèmes de cotisations/et pensions de ces quatre catégories, elles-mêmes subdivisées en sous-ensembles distincts, n'obéit à aucune logique commune.

    La seule "réforme" d'ensemble possible consisterait à ouvrir un maximum de libre choix, à encourager l'épargne et à respecter les droits de propriété.

    Sauf erreur, dont l'auteur de ces lignes se féliciterait volontiers, personne n'intervient dans ce sens au sein des structures du prétendu débat actuel. Nos technocrates prétendent résoudre de façon contraignante le problème de la quadrature du cercle. Ils n'y parviendront pas.

    JG Malliarakis

    https://www.insolent.fr/

  • Pour avoir voulu défendre nos frontières, ils sont condamnés à des peines de prison

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    Un communiqué de Génération identitaire :

    Jeudi 29 août 2019, le tribunal correctionnel de Gap a condamné Génération Identitaire et ses dirigeants pour avoir « créé une confusion avec une fonction publique » lors du blocage du Col de l’Echelle en avril 2018.

    Clément Galant et Romain Espino écopent de 6 mois de prison ferme et sont privés de leurs droits civiques et familiaux pour une durée de 5 ans.

    Le tribunal a également infligé une amende de 75 000 € à notre association.

    Ce faisant, les juges du siège valident la position du procureur de Gap qui avait pourtant reconnu l’absence de toute infraction au lendemain de l’opération.

    Par cette décision dénuée de tout fondement juridique, la justice cherche à entraver notre combat contre l’invasion migratoire.

    Nous avons d’ores et déjà demandé à nos avocats d’interjeter appel de ce jugement qui bafoue toutes les règles de droit.

    Les intimidations judiciaires ne nous feront pas taire !

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Bruno Gollnisch (RN) : « Les agresseurs de pompiers ne s’appellent pas Martin ou Dupont » (Vidéo)

    Bruno Gollnish (RN) a crée le Malaise sur le plateau de LCI en déclarant que les agresseurs de pompiers « Ne s’appellent pas Martin ou Dupont ». « On sait très bien que l’insécurité (…) est en particulier le fait de groupe de jeunes gens parfaitement déracinés et issus de l’immigration. »

    Pour rappel, selon Le Figaro, près de 200 outrages et agressions contre les policiers, gendarmes et pompiers ont eu lieu chaque jour en France durant le mois de juillet 2019. Les violences physiques ont même pris le dessus sur les outrages et violences verbales, avec 110 cas par jour pour l’année 2019. D’après le syndicat Synergie-Officiers, deux raisons expliquent l’augmentation alarmante des chiffres : « Il n’y a plus de respect pour l’autorité, et le sentiment d’impunité n’a cessé de progresser ».

    Voir la video sur TVL

  • Racisme anti-blanc : 24 heures sur Twitter où la haine contre les “babtous” s’exprime en toute impunité

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    Les réseaux sociaux seraient un déversoir de la cyber-haine. Le gouvernement veut même la combattre en mettant fin à l’anonymat. Mais au moment d’évoquer cette haine insupportable qui s’exprime sur internet, les politiques ou les journalistes prennent très rarement l’exemple du racisme anti-blancs, dont certains nient même l’existence. Nous avons donc voulu constater par nous-même cette haine du blanc sur le réseau social, désigné par les sobriquets de gwers ou babtous.

    Du mardi 15 heures, au mercredi à la même heure, nous avons filtré les messages à caractère raciste envers les Blancs, sans pour autant les sélectionner tous. Certains comptes étant des trolls ou d’autres utilisant ces termes sans véritable hostilité ou mépris. Nous passons outre le racisme bienveillant, contre les ien-cli par exemple. Verlan de client, ce terme désigne les blancs se fournissant en drogue auprès de dealers non-blancs.

    Nous lançons le compte à rebours ; quelques messages de la matinée et des jours précédents sont retweetés :

    Lire la suite

  • Un point sur la situation au Royaume-Désuni, avec Frédéric de Natal...

    1. Avant-hier matin, à 10h55, Frédéric de Natal postait le premier message suivant (que lafauteraousseau relayait, à 15h24, à la fois sur sa page facebook et sur son quotidien sur la toile) :

    Info de dernière minute : Le premier ministre Boris Johnson n'a pas exclu de suspendre le Parlement pour l'empêcher de bloquer ses projets de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne pour le 31 octobre. «Nous avons appris que la reine pourrait être invitée à accepter de suspendre le Parlement dès aujourd'hui», a déclaré Nick Robinson, ancien rédacteur en chef politique de la BBC, en précisant que l'information restait à confirmer.

    Le chef de l'opposition travailliste Jeremy Corbyn a quant à lui affirmé qu'il ferait tout son possible pour empêcher un Brexit sans accord. Une telle éventualité, a-t-il dit, mettrait le Royaume-Uni à la merci du président Donald Trump et des entreprises américaines. Les partis d'opposition ont d'ailleurs annoncé mardi un accord de coopération en vue de prévenir un «no deal», après des discussions entre Jeremy Corbyn, le Parti national écossais (SNP), les libéraux-démocrates, le Parti Vert et le Groupe indépendant pour le changement. (Le Figaro)

    Voici maintenant, en quelque sorte, "le film" des événements, au fur et à mesure que les rapporte Frédéric de Natal, à partir de ce "coup" surprise de Boris Johnson...

    2. La position de la Reine :

    Le premier ministre britannique demande à la reine Elizabeth II son accord de dissolution du parlement. La BBC couvre l'événement en direct. La souveraine devrait s'adresser à la nation sous peu (la BBC évoque un discours en octobre, la sortie du Royaume de l'Europe devant intervenir au plus tard le jeudi 31 octobre).

    Elizabeth II accepte la suspension du Parlement britannique demandée par Boris Johnson.

    "Alors que Sa Majesté a signé un ordre de suspension du parlement, elle s’inquiète de plus en plus pour l’unité, explique Rhiannon Mills sur SkyNews. L'ancien Premier ministre John Major a affirmé que cette décision plaçait la reine au centre d'une "controverse constitutionnelle".

    Bien qu'elle ne se soit jamais prononcée sur le sujet, la reine Elizabeth II est au centre de la crise du Brexit. "Elle est toujours techniquement apolitique, mais elle a également conféré un avantage certain au groupe pro-Brexit" écrit Vanity Fair.

    Cette annonce surprise, faite peu de temps après une réunion officielle avec la reine - en vacances à Balmoral - resserre considérablement le temps disponible pour les rebelles conservateurs et les partis d'opposition pour contrecarrer les plans de Boris Johnson sur le Brexit...

    3. L'attitude hostile de Jérémy Corbyn :

    Le leader du parti Travailliste, Jeremy Corbyn, à la fois membre du conseil de la Couronne et critique public de la monarchie, demande un entretien urgent avec la reine Elizabeth II et réclame une motion de censure contre le premier ministre Boris Johnson. Le député a curieusement averti par écrit la souveraine du "danger" qui pèserait sur le système monarchique si elle maintenait son intervention au parlement...

    Il exige même qu'elle le rencontre avant d'accepter la demande de Boris Johnson de suspendre le Parlement.

    Alors que les députés de toutes les parties ont réagi avec indignation, le chef du Parti Travailliste a écrit à la reine, l'avertissant du "danger" de sa décision, allant "directement contre les souhaits d'une majorité de la chambre des communes". Il a tenu ces propos en tant que leader de l'opposition officielle, au nom de tous les membres du Parti Travailliste mais même, aussi, de beaucoup de membres du Parti Conservateur : 
    "Il y a un danger que la prérogative royale soit exercée directement contre la volonté de la majorité des parlementaires", déclare Jérémy Corbyn, qui a curieusement averti par écrit la souveraine du "risque" qui pèserait sur le système monarchique si elle maintenait son intervention au parlement. Ces derniers jours, la presse avait accusé ce socialiste de "comploter " et vouloir renverser le premier ministre afin de revenir sur le Brexit...

    4. Question(s) sur l'attitude et la sécurité de la Reine... :

    La reine interviendra le 14 octobre et devrait s'adresser à la nation par le biais du discours habituel au parlement. Si 47% des députés désavouent la décision prise par le premier ministre (sondage You Gov), ce dernier bénéficie toutefois encore du soutien des britanniques pour un No deal. Un récent sondage du 13/08 avait montré que 54% d'entre eux approuvaient la proposition suivante: "Boris Johnson doit réaliser le Brexit par tous les moyens, dont la suspension du parlement si elle est nécessaire pour empêcher les députés de le stopper " : Depuis plusieurs jours , divers députés avaient fait pression sur le palais royal pour que la souveraine (qui a déclaré en privé récemment être "vraiment consternée et mécontente de la qualité de la classe politique britannique actuelle") intervienne dans le débat et qui lui soit permis même de faire un discours au parlement européen...

    Dans ce climat, certains députés du Labour n'ont pas apprécié la décision de la reine Elizabeth II d'approuver la suspension du parlement britannique, et lui ont rappelé que c'est à cause de ce " type de coup d'état" que son cousin Constantin de Grèce a été renversé. Ils appellent à s'enfermer dans le parlement et à refuser de l'évacuer...

    Des fuites (Irish Times) indiquent, dans la foulée, qu'un plan secret pour évacuer la reine et la famille royale après un "no-Deal" a été élaboré en cas d'émeutes...

    Et maintenant ? Comme on dit en anglais : Wait and see !...

    Parfaitement légal, ce "coup", certes "de force" n'est en aucun cas un "coup d'Etat", tout juste un "coup de poker", dont le très proche avenir dira s'il a été gagnant, ou non... Une pétition "stop the coup" a déjà réuni un million et demi de signatures, et une très importante manifestation a eu lieu à Londres, aux abords du Parlement... 

    Wait and see !...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/30/un-point-sur-la-situation-au-royaume-desuni-avec-frederic-de-6172605.html#more

  • BFMTV chute de 20% après son éviction des Freebox

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    La chaîne d’information a subi une baisse de 20 % de son audience au lendemain de la coupure du signal.

    Simple trou d’air ou véritable signal d’alarme? Mardi BFMTV a enregistré une chute de son audience de 20 %, passée de 2,4 à 1,9 million, selon Médiamétrie. Les performances de cette journée étaient attendues par tous les acteurs de l’audiovisuel et des télécoms. Et pour cause. Elle était marquée par l’arrêt de la diffusion des chaînes du groupe Altice (BFMTV, RMC Story et RMC Découverte) sur les box du groupe Free.

    https://www.fdesouche.com/1253085-bfmtv-chute-apres-son-eviction-des-freebox