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  • La « ouf », disent-ils…

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    Il fut un temps où les artistes exprimaient leurs désaccords à coups de mots et de rimes. Parmi les Ferré, Brel ou Brassens, certains auraient sans doute repris Zineb El Rhazoui lorsqu’elle avait évoqué l’idée de « tirer à balles réelles » sur les émeutiers démolissant tout sur leur passage et tirant à coup de mortiers sur les forces de l’ordre. Notre guitariste moustachu, pacifiste et antimilitariste convaincu, lui aurait peut-être répliqué une phrase du type « mourir pour des idées d’accord, mais de mort lente ».

    Mais ce temps-là est révolu. Désormais, nous avons les rappeurs. Ces artistes à la plume facile ont toujours trouvé un public au sein de la société. À travers leurs textes rebelles, ils ont amené toute une partie de la jeunesse vers la contre-culture des quartiers. On y vante régulièrement l’argent facile et le refus de l’autorité avec, en arrière-fond, des femmes dénudées au bord d’une piscine ou à l’intérieur d’une luxueuse berline de marque allemande. Une contre-culture teintée de communautarisme qui a réussi à séduire une bonne partie de la jeunesse française.

    Ces ménestrels contemporains, magnifiés par la petite bourgeoisie bohême, s’engagent et s’expriment aussi sur la société. Et voilà ce que nous avons le bonheur d’entendre ou de lire : « Pourrissons la vie de cette grosse m… puante. » Le poète Booba a trouvé un relais appréciable en la personne de Cyril Hanouna, sorte de Bernard Pivot des temps modernes, toujours enclin à faire rayonner la culture et la langue française : « Big up pour sa vidéo sur la ouf, bravo mon Booba ! », sous les approbations de ses chroniqueurs et du public.

    La « ouf » : magnifique verlan de « fou ». Une folle qui alerte depuis sa jeunesse au Maroc contre l’intégrisme islamique. Une folle menacée de mort, sous protection policière constante, qui se bat en France pour éviter, au pays de Molière et de Voltaire, de sombrer dans l’obscurantisme de la charia qu’elle a connue. Une folle qui a vu ses compagnons de Charlie Hebdo se faire massacrer à balles (réelles) de Kalachnikov par les frères Kouachi alors que la médiasphère dans son ensemble n’avait que des « pas d’amalgame » en bouche et des petites bougies pour images.

    Des fous comme Zineb El Rhazoui, l’Histoire de France en a déjà connu. Il y en avait dans les maquis pour saboter les convois nazis. On en trouvait également à Valmy et, bien avant, aux côtés de Jeanne d’Arc pendant la guerre de Cent Ans. Bon nombre d’entre eux ont fini dans des geôles sordides, torturés ou brûlés vifs sur des bûchers, sous les approbations ou le silence d’un peuple groggy et d’élites soumises à l’ennemi. Mais c’est aussi sans doute grâce à des fous comme Zineb El Rhazoui que la France est encore debout et qu’elle se veut éternelle.

  • Les mensonges à répétition des alarmistes du Climat

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    Les climatologues nous mènent en bateau depuis des décennies passant de la prédiction d’une ère glaciaire à la mise en garde contre les dangers d’un réchauffement planétaire.

    Puis lorsque les données ont contredit leur théorie du réchauffement, ils ont encore changé d’avis et remplacé les termes de «réchauffement climatique» par «changement climatique». C’est là qu’en est rendue Sainte Greta Thunberg qui nous supplie de suivre la «science» ! Mais justement que disent les vrais scientifiques ?

    Pour les lecteurs de Dreuz, j’ai traduit l’article de Gil Gutknecht*, paru sur le site de Townhall, le 3 novembre.

    Où sont les vrais scientifiques ?

    Il y a environ 45 ans, une poignée de climatologues a accepté de nouvelles preuves et a changé de camp. Ils sont passés de la prédiction d’une ère glaciaire imminente à la mise en garde contre les dangers d’un réchauffement planétaire imminent.

    Grâce à la promesse d’un déluge de subventions fédérales, ils ont été rejoints par un nombre croissant d’universitaires. Ils ont commencé à déclencher les alarmes de réchauffement comme ça se passerait dans une maison remplie de détecteurs de fumée défectueux.

    Aujourd’hui, cette théorie est devenue si courante dans le milieu universitaire que quiconque la remet en question sera banni du campus.

    Sans beaucoup de preuves empiriques, ils ont attribué la responsabilité de leurs prédictions de la calamité atmosphérique à venir. C’était le CO2. Plus précisément, il s’agissait de l’activité humaine en général et de la demande insatiable des Américains en énergie fossile en particulier. Peu importe que le dioxyde de carbone ne représente qu’une infime partie de notre atmosphère.

    https://www.alterinfo.ch/2019/11/06/les-mensonges-a-repetition-des-alarmistes-du-climat/

  • Islamophobie : le nouveau chantage victimaire ? – Le Samedi Politique

     
    Alors que la question de l’Islam est au cœur de l’actualité de ces dernières semaines, Philippe d’Iribarne, directeur de recherches au CNRS et auteur de « Islamophobie, intoxication idéologique (Ed Albin Michel), revient sur cette notion où les musulmans seraient victimes de discrimination en raison de leur religion.
    Entre quête de victimisation, communautarisme et revendications, des associations se sont désormais spécialisées dans la lutte contre l’islamophobie.
    Que cache ce nouveau combat ?
    Est-il légitime en France ?
    Les réponses dans ce numéro du Samedi Politique.

  • Des nouvelles de Greta Thunberg : c’est la panne sèche !

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    C’est un véritable appel au secours que Greta Thunberg lance au monde entier via Twitter : « J’ai besoin de trouver un moyen pour traverser l’Atlantique en novembre… Si quelqu’un pouvait me trouver un moyen de transport, je serais extrêmement reconnaissante. »

    Car il y urgence pour elle : depuis que l’Espagne a décidé d’organiser la COP25 en lieu et place du Chili, la pauvre Greta est prise de court. Elle le dit elle-même : « Il s’avère que j’ai traversé la moitié du globe dans le mauvais sens. »

    Comique de situation : celle qui, il y a quelques semaines, s’élançait pour une transatlantique de luxe à bord de son voilier décarboné à plusieurs millions d’euros se retrouve coincée sur une grande île, l’Amérique. D’où son appel à l’aide pour un moyen de transport, des financements, ou les deux. Elle qui a tant reproché aux adultes de ne penser qu’au pognon et pas à l’urgence climatique, voilà qu’elle ne cracherait pas dessus si ça pouvait lui permettre d’arriver à bon port…

    Mais attention, pour elle, le voyage par les airs est exclu. Car la demoiselle souffre d’un deuxième syndrome, en plus de celui d’Asperger, le « flysgkam ». Jamais entendu parler ? C’est normal, car Greta Thunberg en est à la fois la créatrice et la victime. C’est une maladie de la honte. Celle de prendre un avion. Elle touche d’autres concitoyens, paraît-il, qui ont une conscience très aiguë des désordres climatiques. Ce n’est pas donné à tout le monde, certes, mais c’est pris très au sérieux. Par la Commission européenne, notamment, qui réfléchit à créer une taxe sur le trafic aérien.

    De quoi faire plaisir à la petite Greta mais qui, pour l’instant, ne règle en rien son urgence du moment : se rendre en Espagne.

    Effectuer la traversée sur son beau voilier dans l’autre sens est inenvisageable : dame Nature l’interdit et ne cédera pas aux coups de gueule et supplications, même d’une adolescente. L’été n’est pas l’hiver et les dépressions et coups de vent en océan Atlantique ne sont pas propices à une telle croisière, aussi médiatique soit-elle.
    L’option traversée sur un cargo ? Pas très sexy pour Greta : un des moyens de transport les plus polluants, paraît-il.

    Et une croisière sur le Queen Mary 2 ? Avec cabine privée, repas à bord et prestiges ? Un peu bling-bling pour l’égérie de la croisade pour la planète. Encore que, des incongruités, on en a vu d’autres dans l’épopée de Greta. Comme, par exemple, le fait que les skippers de la croisière de cet été ont dû faire le voyage en avion pour récupérer le voilier décarboné.

    Il n’empêche, ce SOS tombe à point nommé pour rappeler l’existence de la miss à la conscience du monde. Ses invectives, accusations et crises de larmes avaient fini par lasser. Même Emmanuel Macron s’est agacé. Avec l’affaire du voile, les banlieues à feu et à sang, les Français regardaient ailleurs.
    Le sortilège est peut-être rompu…

    Bonne chance, petite Greta, et surtout, bon vent !

    Sabine de Villeroché

    https://www.bvoltaire.fr/des-nouvelles-de-greta-thunberg-cest-la-panne-seche/

  • Militants écologistes radicaux vs Gilets jaunes : une « convergence » difficile

    Depuis plusieurs mois, les militants écologistes, dont peu sont issus de milieux populaires, multiplient les coups d’éclat. Le durcissement concerne autant leurs modalités d’action que leur projet politique. Ils ne croient plus la préservation de l’écosystème compatible avec le modèle capitaliste de croissance. Cette nébuleuse saura-t-elle pour autant se rapprocher d’autres luttes, comme des Gilets jaunes, et s’entendre sur des stratégies susceptibles de renverser l’ordre établi ?

    Décrochages du portrait du président de la République, grèves pour le climat, blocages de sites d’Amazon, de Monsanto ou de BNP Paribas, actions locales tous azimuts : pas une semaine ne se passe sans un coup d’éclat mené au nom de la défense de la planète. De nombreuses personnes qui n’avaient jamais milité auparavant s’investissent et bousculent les organisations traditionnelles comme Greenpeace, les Amis de la Terre, Attac ou France Nature Environnement. Toutes se disent radicales, c’est-à-dire en premier lieu attachées à prendre les problèmes à la racine, au cœur du système économique et social qui les engendre. […]

    Si des convergences avec les marches pour le climat ont eu lieu dans de nombreuses petites villes, le soulèvement des « gilets jaunes » a mis en lumière une fracture sociale, éclatante à Paris. « Gilet jaune » de Villefranche-sur-Saône sensible depuis longtemps à l’écologie, M. Jérôme Cassiot raconte sa journée du 16 mars 2019 : «[…]On revenait des Champs-Élysées, où c’était quasiment la guerre, et on arrive place de la République, où la ‘Marche du siècle’ pour le climat arrivait. Le contraste était tellement choquant, au niveau visuel, olfactif. Je me suis dit : ‘Là, c’est le monde des bisounours et des bobos. Ils ne veulent pas voir ce qui se passe à côté.’ On était peut-être une trentaine de ‘gilets jaunes’ à ce moment-là et on était transparents. Personne ne nous regardait. » M. Mathieu Bourbonneux, « gilet jaune » à Nantes, nuance : « Certains groupes d’écolos plus radicaux ont préféré manifester directement avec les ‘gilets jaunes’, qui ne sont pas dans la négociation mais pour un changement de régime.» Président des Amis de la Terre, M. Khaled Gaiji l’avoue humblement : «On a raté ce rendez-vous. On a mis du temps à réagir. Il y avait un peu le syndrome ‘bonnets rouges’, avec la peur de l’extrême droite. Ce n’était pas facile, aussi, car les ‘gilets jaunes’ étaient dans des lieux où nos militants n’étaient pas. On a essayé de corriger le tir. Depuis avril, il y a des rapprochements. Mais il y a une question de codes culturels, ce n’est pas naturel, on fait connaissance. » […]

    Le Monde diplomatique

    http://www.fdesouche.com/1292915-militants-ecologistes-radicaux-vs-gilets-jaunes-une-convergence-difficile

  • Facebook, deux milliards et demi de fidèles et une censure en forme

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    Altius, citius, fortius. Alors que le réseau social lance comme test aux États-Unis Facebook News tab, nouvelle arme pour inféoder les médias séduits, sidérés ou résignés, la croissance de Facebook est constante en nombre d’utilisateurs comme en profits.

    Cette semaine, le groupe a annoncé une hausse de son nombre d’utilisateurs ainsi que la troisième hausse consécutive de la croissance trimestrielle de ses ventes. L’ensemble de ses filiales compte désormais 2,5 milliards d’utilisateurs mensuels actifs sur au moins une de ses plateformes (Facebook, Instagram, Whatsapp, Messenger), en hausse de 8% sur un an. Facebook lui-même revendique 1,65 milliard d’utilisateurs.

    Les utilisateurs mensuels réguliers

    Population de la Chine ? Environ 1,5 milliards d’habitants. Public régulier Facebook ? 1,65 milliards. Facebook 1 Chine 0. Population totale de la Chine + les Etats-Unis + la Russie + le Brésil ? 2,3 milliards ? Utilisateurs Facebook + Messenger + Instagram + WhatsApp ? 2,5 milliards. Chine/Etats-Unis/Russie/ Brésil 0, groupe Facebook 1. Bien entendu ces chiffres ne sont pas comparables, mais ils servent d’utile instrument de comparaison.

    Les sous vont bien, merci

    Avec un chiffre d’affaires d’un peu moins de 18 milliards de dollars, en progression de 29%, le troisième trimestre 2019 a apporté quelques satisfactions à Mark Zuckerberg. Avec une marge supérieure à 40%, le bénéfice trimestriel est supérieur à 6 milliards de dollars (vous lisez bien, six milliards). Le cours de bourse a suivi, en progression de 40% sur un an. Une action de la société achetée en novembre 2018 vous aurait coûté 140 dollars, revendue le 5 novembre 2019, elle valait 196 dollars.

    La censure se porte pas mal non plus

    Alors que Twitter annonce refuser les publicités politiques, Facebook veut les accepter au nom de la « liberté d’expression ». Une liberté d’expression régulièrement mise à mal par le réseau social, voir notre article de septembre 2019 où nous analysons l’alliance des grands réseaux sociaux américains pour créer un nouveau Big Brother de la toile.

    L’Observatoire du journalisme avait été victime pendant l’été 2019 d’une censure du réseau social, une tribune sur Alain Duhamel avait brusquement disparu du réseau social avant de reparaître 8 jours plus tard. Le quotidien catholique Présent, la page du dessinateur Miège, le mensuel Causeur ont eu aussi les mêmes mésaventures. L’Observatoire a de nouveau été l’objet d’une censure le 10 octobre, nous y reviendrons de manière détaillée dans un prochain article.

    Texte repris du site de l’OJIM

    https://fr.novopress.info/215958/facebook-deux-milliards-et-demi-de-fideles-et-une-censure-en-forme/

  • Ceux qui évoquent un « islam politique » sont le plus souvent des ignorants stupides

    Ceux qui évoquent un « islam politique » sont le plus souvent des ignorants stupides

    Selon Bernard Antony :

    La plupart, parmi eux, ne font que répéter mimétiquement la formule de la rhétorique macronienne sans aucune réflexion. Ils ne savent rien du modèle politique totalitaire de Mahomet à Médine, ni du contenu du Coran et des Hadîths, ni de l’histoire des califes et des sultans ; ni de l’Organisation de la Coopération Islamique (OCI) et de ses 57 États adhérents ; ni la signification des mots « oumma », « charia », dhimmi ».

    Sur les réalités de l’islam en Europe, sur les politiques des pays phares des deux composantes de l’islam, Iran chiite, Turquie et Arabie saoudite sunnites, et sur les Émirats, et sur le Qatar, et sur le sultan de Bruneï et sur l’université d’Al-Azar, ils ne se demandent pas où peut bien exister un islam réellement non politique ? Un islam qui ne serait qu’une religion ?

    Comme si, par-delà toute la diversité de ses « écoles » juridiques, de ses 57 États de l’OCI, l’islam n’était pas aujourd’hui, comme tout au long de son histoire, traversé par des conflits d’ordre presque toujours politiques, si rarement religieux ? Certes, par un scrupuleux souci d’exactitude, rappelons l’exception du soufisme, ce courant mystique de l’islam, si souvent évoqué par les islamophiles chrétiens et qui n’aurait pas de dimension politique. Mais le soufisme, ce n’est qu’une minorité numériquement dérisoire dans l’islam, de l’autre, n’est-il pas un « attrape-gogos-chrétiens », une sorte de cheval de Troie musulman pour attirer et convertir à l’islam des déboussolés du christianisme ?

    Mais il n’y a pas que les incultes à invoquer un islam « politique » sous-entendant l’idée d’un islam non politique.

    Dans la classe politico-médiatique, il y a surtout les « prudents », ceux qui craignent de désigner la réalité par les mots adéquats. La vérité, c’est qu’ils évoquent un islam « politique » pour ne pas parler « d’islam jihâdiste », ou plus clairement encore « d’islam terroriste ».

    Moyennant quoi, M. Macron en tête, qui prétendait à propos du voile ne pas se hâter de se prononcer pour ne pas ajouter à la confusion, ils ne font qu’obscurcir le débat sur l’islam. Car s’ils ne pratiquaient pas le lâche déni de la réalité fondamentalement totalitaire, donc politique, de l’islam, ils pourraient tout simplement distinguer l’islam de l’islam jihâdiste ou  terroriste.

    Ni M. Erdogan, ni le roi du Maroc, et les cinquante autres chefs d’État musulmans avec eux ne leur en tiendraient rigueur, sachant bien, eux, que toujours et partout l’islam est politique, qu’aucune part il n’a été prescrit qu’il fallait rendre à Mahomet ce qui est à Mahomet, et à Allah ce qui est à Allah.

    Car le Coran proclame : « Obéissez à Allah, obéissez à Mahomet ! ».

    https://www.lesalonbeige.fr/ceux-qui-evoquent-un-islam-politique-sont-le-plus-souvent-des-ignorants-stupides/

  • MEDITERRANEE : L’UNION EUROPEENNE, PREMIERE COMPLICE DES PASSEURS !

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    Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

    La Méditerranée, mer presque fermée, est bordée par un nombre impressionnants d’États, du plus petit, la principauté de Monaco, jusqu’au plus peuplé, l’Égypte du maréchal Sissi.

    Dans son périmètre, après un léger ralentissement dû, en partie, à la présence à Rome d’un pouvoir « fort », c’est reparti pour les navettes maritimes entre l’Italie et la Libye, depuis que Mattéo Salvini a quitté son poste de ministre de l’Intérieur. En attendant son inéluctable retour aux affaires, question de temps, et avec l’objective complicité de Macron, de Conte, le président du Conseil italien, et de la chancelière Merkel sur le déclin, la noria des bateaux aux missions humanitaires, « humanitaires » entre guillemets, va continuer, pour le plus grand bien du portefeuille des passeurs.

    Toutes ces ONG, dont certaines ont le sieur Soros derrière elles, vont chercher des migrants, principalement arabo-africains mais pas que, en quête d’un hypothétique Eldorado. Ils sont  lancés en mer sur des barcasses bien fragiles, et sont récupérés, la plupart du temps, sur simple coup de fil donné par les passeurs, par toutes ces pleureuses humanitaires qui déverseront leurs cargaisons humaines à Malte, en Sicile et à Lampedusa.

    Et comme d’habitude, Allemagne, France, Pays-Bas, Luxembourg, Irlande, Portugal, se répartiront les effectifs de ces « demandeurs d’asile » (la plupart, d’ailleurs, en seront déboutés et deviendront des clandestins, venant gonfler les hordes déjà en nos murs !) C’est là que l’on mesure l’hypocrisie de la politique du fameux « en même temps » du jeune résident de l’Élysée, j’écris « résident » à dessein. Alors qu’il tente, vainement à mon sens, de récupérer une partie de l’électorat de droite en le caressant, un peu, dans le sens du poil par une interview donnée à Valeurs Actuelles, il continue, parallèlement, d’ouvrir les vannes aux clandestins.

    Un flot ininterrompu

    Qu’on en en juge avec ces dernières semaines : l’Asso 30, battant pavillon italien, au service des compagnies pétrolières qui travaillent off shore, a débarqué en Sicile le 3 novembre, 150 « naufragés » dont 4 enfants. Le même jour, 88 immigrants étaient débarqués  des flancs de l’Alan Kurdi, à Tarente, un port de la région des Pouilles, l’Allemagne et la France en prenant chacune 30, les autres étant réparti entre l’Irlande, 2, le Portugal, 4, etc… en application d’un préaccord « européen » conclu à Malte. Ce navire était affrété par une ONG allemande.

    Le 29 octobre, après avoir fait des ronds dans l’eau pendant onze jours, l’Océan Viking, au service de « SOS Méditerranée » et de « Médecins sans frontières », était autorisé à se délester de son humaine cargaison à Pozzallo, soit 151 clandestins dont 40 mineurs. La délicate situation politique de la Libye, écartelée entre le gouvernement de Tripoli, reconnu sur le plan international, et le régime du maréchal Haftar, installé à Benghazi, soutenu par l’Égypte et, plus mollement, par la France, ne facilite pas les missions de la garde côtière libyenne. Elle n’avait pas pu intercepter l’Open Arms, de l’ONG espagnole PROACTIVA, débarquant une première fois à Malte, le 27 octobre, 44 illégaux et, une seconde fois, le 1 er novembre, toujours à La Valette, 15 clandestins récupérés sur un canot dérivant.

    On sait que la solution n’est pas de ramasser les dizaines de milliers de migrants illégaux exploités par les passeurs, et qui risquent leur vie en mer, mais de détruire, avant que ne partent tous ces demandeurs d’asile, ces nids de vipères que sont ces négriers modernes qui prospèrent au détriment de la misère humaine, sur les côtes libyennes. Une opération militaire combinée des principales puissances européennes riveraines, Espagne, Italie, France, n’aurait rien d’impossible. Les éléments commandos sont là, l’arme aux pieds, disponibles dans ces trois pays. Mais il manque une volonté politique pour donner des ordres, une mission avec un objectif précis et, dans cette affaire, l’Union européenne, une fois de plus, une fois de trop, démontre son incapacité, pour ne pas dire son inutilité, voire même, sa capacité de nuisance en voulant imposer des quotas de migrants à ses membres (sous peine de sanctions financières, un comble, à l’encontre des pays récalcitrants !).

    Les zones de tension, productrices de réfugiés, ne manquent pas, et certaines portes sont encore grandes ouvertes : les îles grecques submergées par des proche-orientaux complaisamment abandonnés par le sieur Erdogan, les présidios espagnols de Ceuta et de Melilla enclavés au Maroc, où, parfois, des Africains qui n’ont plus rien à perdre, se ruent à l’assaut de barrières grillagées, nos départements d’outre-mer, Guyane, Mayotte et la Réunion, où, respectivement, Surinamiens, Comoriens et Sri-Lankais espèrent, de là, pouvoir gagner la métropole, sans oublier la frontière américano-mexicaine où les Latinos, grâce à un mur interrompu, gagnent les USA, la nouvelle Babel, etc…

    Les « mesurettes » du gouvernement Macron

    Alors même qu’en France, le gouvernement annonce des mesures restrictives, très modestes, envers les étrangers, disons « indésirables », notamment ceux qui profitent de notre système de santé  pour faire du « tourisme médical », il va augmenter les effectifs des immigrés en voulant initier une politique des quotas économiques, pour complaire au patronat. Plus précisément, au lieu de faciliter la remise au travail de chômeurs par des mesures, à la fois incitatives et coercitives, d’augmenter notre capacité en matière de formation professionnelle, on va céder à la facilité.

    Eh bien non, disons-le très fort, nous préférons, par exemple, des informaticiens Français, plutôt que des ingénieurs importés de feu l’Empire des Indes, des médecins « Gaulois », à la place de Roumains ou d’Algériens. Comme en matière démographique, tout se planifie, même si les bonnes intentions ne sont pas toujours « récompensées ». Une grande politique familiale aurait évité à l’Allemagne de voir sa « Germanité » se réduire, à terme, comme une peau de chagrin : on annonce, au rythme où vont les choses, seulement 36 millions d’Allemands « de souche » à la fin du siècle ! Moins dramatique pour la France, mais pas bien loin. Ce n’est pas en vidant l’Afrique pour repeupler l’Europe, que l’on résoudra les difficultés des uns et des autres.

    Une grande politique du développement, avec birth control, - par l’électrification totale du continent et l’arrivée d’eau potable dans tous les villages de brousse comme dans les mégalopoles -, couplée avec une totale étanchéité de nos côtes et de nos frontières, serait l’un des remèdes aux maux de la planète. « Mais ceci, comme aurait dit Kipling, est une autre histoire ».

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  • Changement climatique sur la RTS : Le grand mensonge

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    Pendant que la RTS nous annonce que l’Autriche, eldorado du ski, se prépare à une nouvelle ère sans neige… le Nouvelliste nous dit que des mètres de neige paralysent le pays, à tel point que 66 élèves doivent être évacués en hélicoptère. Cherchez l’erreur…

    La Vérité

    Des mètres de neige sont tombés dans l’ouest et le centre de l’Autriche depuis jeudi dernier. Cette partie du pays est paralysée. Vendredi, 66 élèves d’un camp de sports d’hiver ont été évacués à l’aide d’un hélicoptère militaire.

    Le séjour de sports d’hiver d’un groupe de collégiens allemands en Autriche s’est terminé vendredi, à défaut de ski, par une évacuation en hélicoptère militaire. Ils étaient confinés depuis une semaine dans leur auberge en raison des chutes de neige record.

    L’armée autrichienne a indiqué avoir envoyé deux hélicoptères pour permettre aux 66 élèves et enseignants des environs de Dortmund (ouest de l’Allemagne) de quitter la station de Kasberg in Grünau (centre de l’Autriche) où ils étaient arrivés samedi pour un séjour de ski rapidement avorté en raison des mètres de neige tombés sur une grande partie du pays.

    Le grand mensonge de la RTS

    En revanche, selon la RTS, il paraîtrait que les effets du changement climatique forcent toutefois les stations à adapter leur stratégie pour survivre, arguant que les conséquences du changement climatique se font toutefois déjà sentir dans de nombreuses stations de ski.

    De savoir qui de la poule ou de l’œuf à créé l’autre, on dirait bien que les éminents journalistes de la RTS, payés grassement par nos contributions, ont trouvé la réponse !

    Source RTS

    https://www.alterinfo.ch/2019/03/09/changement-climatique-sur-la-rts-le-grand-mensonge/

  • Migrants : assez d’évacuations, à quand la remigration ?

    De façon régulière, c’est la même opération de communication pour donner aux Français qui en ont assez l’impression que les autorités politiques “agissent”. 1.600 immigrés illégaux qui avaient installés de véritables bidonvilles en plein Paris ont donc été “évacués”. Traduction : ces immigrés illégaux ont été priés d’abandonner leurs campements pour monter dans des bus qui les ont conduit vers des gymnases réquisitionnés pour momentanément les loger.

    On est loin de la remigration…

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