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lobby - Page 790

  • Suite à la condamnation des identitaires : un entretien avec Jean-Yves Le Gallou

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    Source Polémia cliquez ici

    Au lendemain de la scandaleuse condamnation de trois jeunes identitaires à six mois de prison ferme et 75 000 euros d’amendes pour avoir conduit une action de défense de la souveraineté des frontières françaises dans les Hautes Alpes, l’émoi ne retombe pas. Entretien avec Jean-Yves Le Gallou sur cette actualité brûlante et sur le rôle de la justice dans ce verdict inique.

    Polémia : La condamnation des militants identitaires a déclenché une tempête de protestation sur les réseaux sociaux. Certains internautes sont allés jusqu’à souhaiter une épuration du corps judiciaire. Qu’en pensez-vous ?

    Jean-Yves Le Gallou : Pour aussi choquante qu’elle puisse paraître, la question n’en est pas moins légitime. D’abord au regard de la démocratie.

    Aujourd’hui, le corps judiciaire rend des décisions idéologico-politiques profondément contraires à l’idéal de liberté et à la volonté populaire :

    • En appliquant avec beaucoup de zèle des lois liberticides : poursuites, voire condamnations, pour de simples délits d’opinion de Menard, Camus, Zemmour et tant d’autres. Des lois pénales liberticides qui ne sont pas appliquées de manière restrictive mais au contraire de manière extensive.

    • En montrant une extrême indulgence pour les étrangers clandestins, leurs passeurs et leurs complices (affaire Herrou notamment).

    • En prononçant de sévères peines de prison pour des délits politiques, comme on l’a vu hier pour les Gilets Jaunes, aujourd’hui pour les Identitaires, et sans doute demain pour la Manif pour tous.

    • En étant d’une grande mansuétude avec beaucoup de délinquants immigrés et en refusant toute forme de légitime défense.

    • En faisant instruire exclusivement à charge beaucoup d’affaires politiques (Sarkozy, Guéant, Marine Le Pen, Melenchon) par des juges militants (Buresi, Tournaire et tant d’autres).

    De plus en plus de Français ont le sentiment que la « justice » n’est plus rendue en leur nom mais au nom de préjugés idéologiques et politiques et de lobbys étrangers. La «justice » est en train de perdre sa légitimité démocratique. C’est grave !

    Polémia : Mais n’est-il pas encore plus grave de parler d’épuration ?

    Jean-Yves Le Gallou : Regardons l’histoire ! La magistrature actuelle – administrative et judiciaire – est la fille de quatre épurations.

    Polémia : Vous pensez à Vichy, à 1940

    Jean-Yves Le Gallou : Pas seulement ! Il y eut, de fait, peu d’épuration judiciaire sous Vichy puisque la quasi-totalité des magistrats prêta, sans problème, serment de fidélité au maréchal Pétain… Des magistrats dont beaucoup furent d’ailleurs de zélés épurateurs des collaborateurs… en 1945.

    La nature humaine est ce qu’elle est… Et l’appât des postes et des décorations est un puissant facteur de soumission.

    Polémia : Il y eut d’autres épurations, plus « républicaines » alors ?

    Jean-Yves Le Gallou : Au XIXsiècle d’abord. Pas lors des bouleversements de 1830, 1848, 1852 et 1870 où le corps judiciaire fut respecté par les nouveaux pouvoirs. Mais en 1883, pour conforter la République. L’épuration de la Magistrature donna lieu à des discours d’une rare violence de la part des députés républicains et déboucha sur une mise au pas brutale : 614 magistrats inamovibles furent mis à la retraite d’office ! Les « valeurs républicaines » n’ont pas été imposées par des bisounours…

    Polémia : Et ensuite ?

    Jean-Yves Le Gallou : Il y eut évidemment une épuration du corps judiciaire en 1945. 20 % des magistrats durent justifier leurs décisions et la moitié, soit 266, furent suspendus et la plupart révoqués.

    Polémia : Rebelote avec la guerre d’Algérie ?

    Jean-Yves Le Gallou : On ne peut pas vraiment parler d’épuration mais il y eut de sacrés remous au Conseil d’Etat et dans la haute magistrature judiciaire.

    Polémia : Et aujourd’hui ?

    Jean-Yves Le Gallou : C’est plus subtil. Il n’y a pas de remise en cause de l’inamovibilité des magistrats. Mais des interdits professionnels relatifs.
    Je m’explique : un magistrat judiciaire ou administratif immigrationniste peut intervenir et militer dans une association immigrationniste et continuer à rendre des jugements y compris sur ces sujets-là.
    Un magistrat moins politiquement correct doit absolument se taire et être très prudent dans ses jugements. Sinon les médias et les syndicats d’avocats et de magistrats lui tomberont dessus comme on l’a vu dans l’affaire du juge Lagarde.

    C’est ce qui explique le deux poids, deux mesures des décisions judiciaires. Les magistrats politiquement corrects plastronnent, les conformistes les suivent, les autres rasent les murs…

    Polémia : La situation est-elle désespérée ?

    Jean-Yves Le Gallou : Non ! Les magistrats tiennent compte d’un triple rapport de forces : le pouvoir médiatique, le pouvoir politique et le pouvoir corporatif.

    Ces pouvoirs-là peuvent changer comme on le voit en Pologne et en Hongrie. Et en Italie, si Matteo Salvini a besoin de pouvoirs élargis, c’est bien pour pouvoir briser la dictature des juges sur l’immigration.

    Polémia : Une conclusion ?

    Jean-Yves Le Gallou : Aujourd’hui, en France, il ne faut utiliser le mot « justice » qu’avec des guillemets.
    Et ne pas se laisser enfariner par le mot « État de droit » qui n’est que le masque de la dictature idéologique de juges politiquement corrects à la remorque des médias de grand chemin.

    Entretien avec Jean-Yves Le Gallou 30/08/2019

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Génération Identitaire réclame l’expulsion du djihadiste algérien Kamel Daoudi

    Génération Identitaire réclame l’expulsion du djihadiste algérien Kamel Daoudi

    Kamel Daoudi est un Algérien déchu de la nationalité française condamné pour des faits liés au terrorisme. Kamel Daoudi fut condamné en première instance le 15 mars 2005 à neuf années d’emprisonnement, puis, en appel le 14 novembre 2005 à six années. Compte tenu de la durée de sa détention préventive, il est libéré le 24 avril 2008. En 2009, la Cour européenne des droits de l’homme interdit son expulsion vers l’Algérie en raison du risque de torture dans ce pays qu’il a quitté à l’âge de cinq ans. Depuis 2008, il est assigné à résidence. En 2017, il est contraint par l’État d’habiter dans un hôtel en Charente-Maritime à 450 km de sa famille. À l’occasion d’une question prioritaire de constitutionnalité posée par son avocat Bruno Vinay, le Conseil constitutionnel décide en décembre 2017 d’une censure partielle des dispositions encadrant les assignations à résidence : si celles-ci peuvent être illimitées, elles ne peuvent dépasser douze heures par jour et le lieu d’assignation doit tenir compte « du temps passé sous ce régime et des liens familiaux personnels noués par ce dernier », ce qui ouvrirait la porte à un rapprochement géographique de Kamel Daoudi de sa famille. Le 15 février 2019, il est assigné à résidence à Aurillac.

  • Attaque de Villeurbanne : des réactions médiatiques et politiques fort instructives

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    Une attaque a été perpétrée, samedi après-midi, à Villeurbanne, à la sortie d’un métro. L’agresseur était armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue. Bilan : un mort et huit blessés, dont trois grièvement. Après son arrestation, le parquet de Lyon l’a placé en garde à vue pour « assassinat et tentative d’assassinat ». On a appris assez vite qu’il s’agissait d’un réfugié afghan, demandeur d’asile.

    On devrait en apprendre plus sur les motivations exactes de cet homme, mais le plus instructif, ce sont les premiers commentaires des médias, qui ont répété à l’unisson que la piste terroriste n’était pas privilégiée. Certes, tant que l’enquête ne l’a pas éclairci, on ne peut affirmer s’il s’agit d’un acte dicté par le fanatisme islamique ou de l’acte d’un « déséquilibré ». Mais n’est-ce pas tendancieux de privilégier une version plutôt que l’autre, dans la présentation de ce fait divers tragique ? Il suffisait de dire qu’on ne pouvait, à ce stade de l’enquête, déterminer avec certitude les motivations de cette agression mortelle.

    Les réactions politiques ne sont pas moins intéressantes. Gérard Collomb s’est dit « extrêmement choqué », tandis que Christophe Castaner a déclaré que « la police nationale est mobilisée, sous l’autorité du procureur de la République, pour faire toute la lumière sur l’agression » et que « [ses] premières pensées vont aux proches et à la famille du jeune homme qui a perdu la vie ». Bruno Bonnell, député LREM de Villeurbanne, a appelé sur LCI à la prudence dans l’interprétation de cette attaque, précisant qu’« on a malheureusement un climat qui tout de suite fait sortir la carte terroriste de tout acte d’agression ». Une prudence extrême, donc, pour ne pas admettre qu’il pourrait y avoir un lien entre le terrorisme et une immigration incontrôlée.

    D’autres personnalités politiques, notamment au Rassemblement national et à droite, ont mis les pieds dans le plat, se faisant accuser d’instrumentaliser cette affaire. Marine Le Pen a déclaré que « de nationalité afghane, l’un des suspects de l’attaque au couteau de Villeurbanne est par ailleurs […] un demandeur d’asile », mettant en cause « la naïveté et le laxisme de notre politique migratoire ». Même type de réaction du côté de Nicolas Dupont-Aignan, qui se demande « combien de temps les Français devront-ils encore supporter le laxisme migratoire du gouvernement », ou de Julien Aubert, candidat à la présidence LR, pour qui « il faut revoir de fond en comble ce droit [d’asile] qui est dévoyé, pour le réserver aux vraies victimes et ne pas en faire une passoire d’immigration illégale ».

    Car le problème est bien là. Qu’il s’agisse d’un individu aux intentions terroristes ou d’un « déséquilibré » (les deux ne sont pas incompatibles), on ne peut éluder la question de la politique migratoire. Est-il normal que des assassins en puissance puissent se retrouver sur le territoire français le plus légalement du monde ? Le fait que l’agresseur soit inconnu des services de police – sauf, selon BFM TV, pour son addiction aux stupéfiants – n’est guère rassurant : combien de personnes dangereuses circulent ainsi en France sans que la police ne soit au courant ? Quant à la thèse de la folie, elle reste bien fragile : quand on se poste à la sortie d’un métro, armé d’un couteau et d’une fourche de barbecue, cela ressemble beaucoup à de la préméditation.

    Le procureur devrait prochainement prendre la parole. On en saura peut-être un peu plus. Quoi qu’il en soit, le gouvernement commettrait une faute grave s’il ne s’interrogeait pas, à l’occasion de ce fait divers tragique, sur sa politique migratoire.

    Philippe Kerlouan

    https://www.bvoltaire.fr/attaque-de-villeurbanne-des-reactions-mediatiques-et-politiques-fort-instructives/

  • Yannick Jadot : « l’écologie au service de l’immigration »

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    « Oui, on a le melon ». Les mots sont du secrétaire général d’Europe-Écologie les Verts, David Cormand, mais reflètent parfaitement l’état d’esprit du candidat aux Européennes, Yannick Jadot. Depuis ses 13,5% et sa troisième place en mai 2019, ce dernier ne touche plus terre.

    Dans un entretien au Monde début juin, il s’imagine même « conquérir et exercer le pouvoir » en 2022 en remportant l’élection présidentielle. Une boursouflure de l’égo qu’il est nécessaire de dégonfler en rappelant le parcours et les idées de Yannick Jadot.

    1) De la défense d’une Europe « multiculturelle » à l’islam

    Soutien de Daniel Cohn-Bendit aux Européennes en 1999, Jadot défend le « oui » au Référendum sur la Constitution européenne en 2005, à rebours du choix des Français. Parfaitement à l’aise dans le système en place, il fait passer sa vision de l’Europe avant l’identité nationale.

    Dans une tribune pour les élections européennes en 2014, le Vert dénonce le « pouvoir strictement national »et défend une Europe « subversive et multiculturelle ».

    Après avoir évoqué les étudiants qui doivent avoir la liberté d’aller à « Varsovie, Rome, Lille ou Coimbra », il enchaîne sur la liberté de « tomber amoureux d’un enfant de Tunisien né à Lampedusa ». La grande arnaque se dévoile au fil des mots : l’apologie de « l’Europe » n’est qu’un prétexte afin d’éliminer toute défense contre l’immigration massive.

    Aucune identité historique propre n’est défendue, malgré la richesse de notre héritage civilisationnel. L’Europe n’est vue que comme un immense terrain vague, baignant dans le relativisme culturel.

    « Le discours de la jeunesse, c’est le métissage » affirme Yannick Jadot le 12 avril 2017. C’est oublier la réalité des votes. Aux régionales en 2014, le Front National fait 35% dans les 18-24 ans, là où les écologistes ne font que 9%.

    En mars 2017, une étude du Cevipof révèle que ceux qui vont voter pour la première fois choisissent en priorité Marine Le Pen : 29,3% d’entre eux disent vouloir voter pour elle. Et cela se confirme à la présidentielle : les 18/34 ans sont 25,7% à avoir voté FN au premier tour, selon Opinionway.

    La « jeunesse » que se figure Yannick Jadot, c’est celle des grandes villes, où se concentrent les avantages économiques et dont les dirigeants ne cessent de faire du clientélisme avec les populations immigrées qui les entourent. Le système est international.

    En novembre 2012, des organisations islamiques signent un accord avec la ville de Hambourg afin d’offrir des jours fériés aux musulmans, une première en Allemagne. L’initiative est qualifiée d’ « intéressante » par Yannick Jadot qui « avait fait inscrire une proposition similaire dans le programme d’Eva Joly pour l’élection présidentielle » de 2012 rappelle Le Parisien.

    2) Un aveuglement total sur l’immigration

    « Il n’y a pas de submersion migratoire ». Les mots sont de Yannick Jadot au lancement de sa campagne pour les élections européennes, le 24 août 2018.

    Une position qu’il maintient jusqu’à la fin de la campagne, prétendant qu’il n’y a pas d’immigration massive en France, dans l’Émission politique sur France 2 le 4 avril 2019. Alors que huit Français sur dix considèrent que notre pays ne doit plus accueillir d’étrangers supplémentaires (sondage Ifop pour le JDD, 2018), Jadot n’en a cure.

    En septembre 2016, Yannick Jadot défend l’arrivée de « réfugiés » sur BFMTV. Il s’en prend notamment à Laurent Wauquiez, président LR de la région Rhône-Alpes, qui « nous explique qu’il ne peut pas accueillir 1000 réfugiés » dans sa région. Et de dérouler l’argument d’une simple arrivée de « 50 000 réfugiés dans notre pays », qu’il serait largement possible de « se répartir ». Mais comme tous les immigrationnistes, Jadot vit dans l’enfumage et l’amnésie permanente concernant la réalité de l’immigration.

    En 2014, près de 96% des déboutés du droit d’asile restent en France et ne sont pas reconduits à la frontière, selon les chiffres de la Cour des comptes rapportés sur LCI. Un pourcentage énorme et stable depuis lors, comme si nos lois n’avaient aucune importance, aucune effectivité.

    Loin des quelques centaines ou milliers de « migrants » que Jadot voudrait répartir, rien qu’en 2017, la France c’est 262 000 personnes admises au titre de séjour, 100 000 demandeurs d’asile, près de 300 000 clandestins et 54 000 « mineurs isolés ».

    Concernant ces derniers, « un rapport sénatorial publié en juin 2017 évalue à 40% au mieux la proportion d’individus vraiment mineurs et vraiment isolés » selon Le Figaro Magazine, précisant que « le système de protection des mineurs est massivement détourné par des adultes ».

    Pendant ce temps, le coût pour le contribuable français est estimé à 1,9 milliard d’euros par an selon Jean-Louis Thiériot, député et président du conseil départemental de Seine-et-Marne. Et le gouffre économique ne cesse de se creuser. « Les services d’aide sociale à l’enfance ont pris en charge plus de 25 000 “enfants migrants” en 2017, soit 92 % de plus qu’en 2016 » poursuit Le Figaro.

    3) L’écologisme contre les frontières nationales

    Confronté à la journaliste Charlotte d’Ornellas en mai 2018 sur LCI, Yannick Jadot réfute le terme de « clandestins » pour qualifier ceux qui traversent la frontière française illégalement. Le combat sur les mots est essentiel. En 2015, le terme de « migrants » a été imposé dans le discours médiatique afin de laisser croire à un mouvement indolore, inéluctable et naturel comme pour la « migration » des oiseaux selon les saisons.

    Lire aussi:  Le porno responsable du «désastre écologique»? Un think tank sonne le branle-bas de combat

    Néanmoins, devant la multiplication des exactions commises par les « migrants » en Europe, le mot est rapidement devenu péjoratif. Afin de pouvoir continuer à manipuler l’opinion, de nombreux intervenants médiatiques se mettent donc à désigner automatiquement ces « migrants » de « réfugiés ».

    En avril 2019, Yannick Jadot réclame la mise en place d’un statut européen pour les « réfugiés climatiques ». Sachant que 26 millions de personnes ont été déplacées chaque année de chez elles par des phénomènes climatiques entre 2008 et 2014, tous les prétextes sont bons pour faire de l’Europe un centre d’accueil sans limites.

    Accolé à « réfugié », l’adjectif « climatique » succède à « de guerre », beaucoup moins à la mode. Et pour cause : dans le rapport 2016 de Médecins du Monde, seuls 13,7% des « migrants » déclarent avoir fui la guerre. Au contraire, 53,1% d’entre eux citent avant tout des raisons économiques.

    L’idéologie immigrationniste est aux fondements d’Europe-Écologie les Verts. Et l’on en vient à se demander si l’écologie n’y est pas qu’un simple prétexte afin de défendre l’immigration. Pour l’essayiste Laurent Alexandre,

    « Les écologistes proposent en réalité la disparition de la civilisation occidentale pour laisser la place aux migrants ». Au cours d’une conférence de Valeurs actuelles en avril 2019, l’écrivain Michel Houellebecq renchérit : « on parle de biodiversité , mais on ne parle jamais de sauver les civilisations, les cultures, les modes de vie humains ».

    L’obsession médiatique d’une apocalypse climatique autour de Greta Thunberg masque les arguments les plus rationnels sur la situation. « La France émet 0.9% de CO² dans le monde » rappelle André Bercoff sur CNEWS, avant d’ajouter sur Macron :

    « Quand ce crétin a fait de l’écologie punitive en disant “Vous allez payer un peu plus de taxes pour la transition écologique”, il prenait les gens pour qui ? Pour des brêles ! ».

    En mai 2019, Éric Zemmour résume sur Paris Première :

    « Les écolos sont des mondialistes et le mondialisme est le pire ennemi de l’écologie ».

    Mais pendant ce temps, Yannick Jadot gardait ses soutiens là où il faut. Chroniqueuse sur RTL, Isabelle Saporta cache sa relation avec la tête de liste des Verts durant la campagne des européennes tout en préparant ses interventions et en écrivant une partie de ses discours.

    Un mélange des genres habituel au royaume du politiquement correct, mais qui rappelle au public à quel point les médias prétendument « neutres » dans le traitement de l’actualité sont en réalité biaisés et formatés, notamment sur les questions d’immigration et d’écologie.

    Reste aux Français à faire dégonfler le « melon » des Verts et de Yannick Jadot aux prochaines élections.

    Source : Damocles

    https://www.alterinfo.ch/2019/08/31/yannick-jadot-lecologie-au-service-de-limmigration/

  • Face aux juges, mieux vaut être une racaille islamisée qu’un Identitaire français

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    Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez ici
    En France, comme en Allemagne, en Grande-Bretagne ou en Suède, il ne fait pas bon être un patriote amoureux de son pays, soucieux de protéger sa culture et son identité.
    La sévérité du jugement condamnant trois membres de Génération identitaire, pour avoir voulu barrer la route aux migrants venus d’Italie, en bloquant le col de l’Échelle dans les Hautes-Alpes, est une ignominie aux relents de justice politique.
    Six mois de prison ferme, cinq ans de privation des droits civiques et 75 000 euros d’amende pour l’association, pour avoir voulu protéger leur pays de l’invasion de clandestins, c’est du jamais vu. Un total renversement des valeurs.
    Y a-t-il eu des menaces, des violences ou des insultes racistes ? Non, puisque le procureur avait dans un premier temps classé l’affaire.
    Mais Génération identitaire étant dans le collimateur du pouvoir et des ayatollahs de la bien-pensance, il eût été surprenant que l’enquête soit définitivement enterrée.
    C’est ainsi que le parquet de Gap a épluché le Code pénal et sorti de la naphtaline l’article 433-13, qui punit d’un an de prison l’« exercice d’une activité dans des conditions de nature à créer dans l’esprit du public une confusion avec l’exercice d’une fonction publique ».
    Les trois prévenus ont donc été jugés coupables d’avoir entretenu une « confusion avec l’exercice d’une fonction publique ». Ce que conteste leur avocat, Me Lambert, puisque le sigle « Defend Europe » apparaissait partout et qu’aucune confusion avec la police ou la gendarmerie n’était possible. Il n’y a jamais eu usurpation de fonction. D’ailleurs, les prévenus font appel.
    Mais si ce jugement très sévère scandalise la sphère patriote et identitaire, il irrite fortement les associations pro-migrants, qui estiment que les juges n’ont pas suffisamment sanctionné la mise en danger d’autrui et l’incitation à la haine raciale ! LIRE
    Éternel refrain. Le patriotisme, c’est devenu une incitation à la haine raciale !  Et c’est précisément ce qui est gravissime pour l’avenir des générations futures.
    Car au pays de la liberté et des droits de l’homme, il n’est plus possible de s’opposer à la pensée unique, plus possible de défendre ses racines et son identité, plus possible de protéger son patrimoine culturel hérité de ses ancêtres, sans être cloué au pilori par les Fouquier-Tinville du politiquement correct, qui bêlent au racisme, à la xénophobie et à l’islamophobie.
    Tous les peuples du monde ont le droit de protéger leur identité, sauf les Occidentaux,  éternels  détenteurs du monopole du Mal.
    Trois jeunes patriotes ont été condamnés à de la prison ferme, alors que des racailles multirécidivistes, arrêtées maintes fois, subissent un simple rappel à la loi avant d’être remises en liberté.
    Et que dire des cinq années de perte des droits civiques, alors que les centaines de jihadistes français, qui ont combattu nos soldats et trahi la France, n’ont même pas été déchus de leur nationalité !
    Rappelons que les citoyens sont victimes de 1 000 agressions gratuites par jour, qui se traduisent régulièrement par des morts et des blessés graves.
    Les jeunes patriotes ont-ils blessé ou tué quelqu’un ? Non.
    Est-il interdit d’avoir peur de cet islam conquérant qui veut s’imposer dans notre quotidien ? Devons-nous oublier que nos racines sont judéo-chrétiennes et que la France a 15 siècles de chrétienté derrière elle, depuis le baptême de Clovis ?
    Les Français, bouleversés et profondément émus devant l’incendie de Notre-Dame, ont montré combien ils étaient attachés à leur histoire et à  leur patrimoine culturel.
    Faut-il oublier les paroles de Gérard Collomb, seul homme politique en exercice ayant eu le courage de dire la vérité aux Français, en évoquant une sérieuse menace de guerre civile dans un proche avenir ?
    Tous les sondages montrent que les Français ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un obstacle à l’intégration. Ce qui en fait obligatoirement des racistes et des islamophobes, comme chacun sait.
    Mais peut-on encore être patriote en France sans être traité de xénophobe ? Peut-on être souverainiste sans être taxé de racisme ? Peut-on défendre l’État-nation sans être accusé de prêcher la haine des autres ?
    Non, à en juger par la sévérité de la justice envers ceux qui s’opposent à l’immigration de masse et à l’islamisation du pays.
    Ce jugement, loin de défendre les valeurs républicaines, ne fait qu’aggraver la fracture identitaire de plus en plus béante. On ne répondra pas au cri d’alarme de Collomb en niant le choc des cultures et la menace de désintégration de la nation.

    Voici ce que disait Gérard Collomb en quittant ses fonctions. Certains feraient bien de s’en imprégner, au lieu de bêler au racisme à tout propos.

    « Aujourd’hui, les quartiers sont soumis à la loi du plus fort, qui n’est plus la nôtre. »

    « Nous vivons côte à côte, je crains que demain nous ne vivions face à face. »

    Et dans un article paru dans Valeurs Actuelles, il ajoutait :

    « Les rapports entre les gens sont très durs, les gens ne veulent pas vivre ensemble… je crains la sécession. »

    VA : Quelle est la part de responsabilité de l’immigration ?

    GC : Énorme…

    VA : Vous pensez qu’on n’a plus besoin d’immigration en France ?

    GC : Oui, absolument. Des communautés s’affrontent de plus en plus et ça devient très violent.

    « Je dirais que, d’ici à cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. Oui, on a cinq, six ans, pour éviter le pire. Après… »

    Voilà ce que disait il y a un an l’homme le mieux renseigné de France. Un discours de bon sens et un cri d’alarme avant la désintégration de la nation.

    C’est ce discours de vérité que les juges enterrent en condamnant ceux qui s’opposent pacifiquement à l’invasion migratoire qui va détruire le pays.

    Peut-on être fier d’une justice qui condamne de jeunes  patriotes qui refusent de subir l’effacement culturel de leur pays ? À chacun d’en juger…

  • Un mythe LGBT s’effondre

    Un mythe LGBT s’effondre

    Une étude souligne que les marqueurs génétiques ne peuvent pas être utilisés pour prédire une orientation sexuelle : elle conclut qu’il n’y a pas de « gène gay ». « Il est de facto impossible de prédire l’orientation sexuelle d’une personne d’après son génome », déclare Ben Neale, chef de l’équipe qui a conduit une gigantesque étude sur un demi-million de profils ADN, par la prestigieuse revue Science. Cette étude enterre l’idée née dans les années 1990 qu’il existe un “gène gay” aussi prévisible que ce qui existe pour la couleur des yeux. Au début de la génétique, en 1993, une étude sur 40 familles avait cru identifier un lieu unique, le gène Xq28, définissant l’orientation sexuelle. La nouvelle analyse réfute ce modèle simpliste.

    Les auteurs, ayant peur du lobby LGBT, ont pris soin de rappeler, lors d’une conférence téléphonique avec des journalistes, qu’ils étaient eux-même homosexuels… Désireux d’éviter toute mauvaise interprétation, ils sont allés jusqu’à consulter des associations LGBT sur la façon de communiquer leurs résultats.

    https://www.lesalonbeige.fr/un-mythe-lgbt-seffondre/

  • Entre émoi et critique de l'immigration : les politiques réagissent à l’attaque de Villeurbanne

    Entre émoi et critique de l'immigration : les politiques réagissent à l’attaque de Villeurbanne
    © PHILIPPE DESMAZES Source: AFP
    Des policiers se déploient devant une pharmacie à Villeurbanne, où s'est produite une attaque au couteau qui a coûté la vie à une personne et blessé neuf autres, le 31 août 2019.
    Plusieurs personnalités politiques ont rapidement réagi à l’attaque au couteau commise par un ressortissant afghan ce 31 août à Villeurbanne.
    Certains ont pointé du doigt les effets néfastes d’une immigration qu’ils jugent non contrôlée.                                 
    L’attaque au couteau qui s’est produite ce 31 août à Villeurbanne a suscité un vif émoi au sein de la classe politique. 
    Commise par un individu se réclamant de nationalité afghane, elle a fait, à l'heure où nous écrivons ces lignes, au moins un mort (un jeune homme de 19 ans) et neuf blessés dont trois graves.
    Les autorités ont dans un premier temps fait état d'un second suspect en fuite, mais le parquet et une source policière ont ensuite démenti la participation d'un second auteur.
    A gauche de l’échiquier politique, la sénatrice écologiste du Val de Marne, Esther Benbassa, a exprimé ses condoléances «à la famille et aux proches» de la victime de cette attaque et un «prompt et complet rétablissement aux blessés».

  • Le Populisme contre le Cosmopolitisme

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    Le populisme menacerait la démocratie.C’est au nom de cette affirmation injustifiée que le Système, par la voix des contestataires de la politique menée par Salvini, vient de déclarer persona non grata, le représentant le plus en vue des souverainistes italiens, opposés à l’Europe de Bruxelles.
    Certes, ce divorce prévisible entre la droite populiste de Salvini, dite « extrême » et la gauche populaire, est une excellente affaire pour Macron, Merkel et Junker.
    Le Système financier et mondialiste aurait-il gagné pour autant ?
    Pas encore et probablement jamais, mais avec le Brexit en Angleterre qui est violemment attaqué il passe sérieusement à l’offensive. Mais c’est un revers providentiel pour nos ennemis.
    Comme en France avec le « plafond de verre », chaque fois opposé au RN, la Léga de Salvini risque d’être bloqué par le « cordon sanitaire » de ses adversaires qui feront tout pour le discréditer et éviter de nouvelles élections. Ainsi les immigrationistes se sentent le vent en poupe et la justice italienne complice, a laissé débarquer un bateau d’une ONG avec sa cargaison d’indésirables.
    Comme chez nous, le peuple italien a oublié que l’autodétermination, dans le cadre de la démocratie, lui donnait la priorité des droits et se tait devant ce qu’on lui fait passer pour une fatalité irrémédiable. Le Procureur d’Agrigente (Sicile) a laissé débarquer sur l’ile des illégaux, sans s’occuper de l’avis des habitants.
    Ces illicites hautement toxiques (pardon ces réfugiés), peuvent remercier Allah, qui leur permettra, au nom de notre généreux regroupement familial, puisque, ils arriveront très vite en France, de faire venir toute leur famille avec l’obligation de faire beaucoup d’enfants, selon les bonnes habitudes africaines. Et comme il ne manque pas d’associations de bénévoles au grand coeur dans notre pays, il ne fait aucun doute, que les aides ne manqueront pas. Tels ces habitants, d’une localité du nom de Vézelay, qui lancent un appel pour que chaque village de France et de l’UE accueille des « migrants »; par la voix d’une certaine Monique Bel. Une rombière, ancienne fonctionnaire, accompagnée d’un comité de retraités, qui au lieu de cultiver leur jardin, de jouer aux boules ou aux cartes n’ont rien trouvé de mieux que de se faire les alliés de ces ONG esclavagistes et des maffias de passeurs.
    L’essentiel c’est de se donner bonne conscience, en dorlotant ces « chances pour la France », tout en favorisant la démographie française qui est parait-il insuffisante. 
    Mais en réalité des paumés, plus repliés sur le contenu de leur compte en banque et leur petit confort douillés que sur le devenir de leur pays.
    Pensez donc… Refuser l’accueil des « migrants », serait faire le jeu du RN. 
    Fiers d’avoir voté Macron, le sauveur et d’éviter le fascisme et la ruine morale de la France, et surtout la guerre, comme en Yougoslavie.
    Ne vous faites pas d’illusions, pépés et mémés, déjà gâteux en perception politique, qui ne voulez rien voir ni entendre, si la guerre avec votre chère diversité arrive bientôt, se sera en partie de votre faute et vos petits enfants chéris en prendront plein la figure et vous maudiront pour votre conduite. Comme pour votre total manque de réalisme; sinistres crétins que vous êtes !
    En attendant ces traitres, par fausse ou vraie compassion, ne voient aucun inconvénient à vider les poches de leurs compatriotes. Pour les allocations des demandeurs d’asiles, ADA, c’est un coût de 42 millions d’euros, pour un total annuel (concernant cette immigration de malheur), c’est le chiffre de plus de 100 milliards annuel.
    Qui paye le voyage de ces clandestins, dont des centaines de mineurs isolés ? Des passages à 2000 à 5000 euros.
    Des arrivées incessantes qui s’ajoutent au fur et à mesure et qui ne repartent plus, même déboutés du droit d’asile. 
    On en arrive à de chiffres qui donnent raison à Renaud Camus, l’auteur du Grand Remplacement. Des sommes dingues pour cette fumisterie organisée qu’on appelle « immigration » et qui manquent dramatiquement à la Sécurité Sociale, qui rembourse de moins en moins les frais médicaux, alors que les « migrants » reçoivent des soins entièrement gratuits.
    Cette situation pourra-t-elle durer encore longtemps?
    Onyx

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  • La Belle Époque des accusations délirantes est revenue

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    Bernard Plouvier

    Tout le monde s’en souvient – ou le devrait : au temps du bon Joseph du Kremlin, le 2Tsar Rouge, lorsque le Big Boss avait un mouvement d’humeur, lorsqu’il voulait se débarrasser de rivaux ou simplement épurer les hauts cadres du PC de l’URSS, le Procureur-général de l’URSS accusait les dignitaires devenus indésirables de trahison au profit de « l’impérialisme étranger » ou des « gouvernements fascistes ».

    C’est ainsi que des Juifs furent exécutés comme espions au service du IIIeReich tandis que d’autres l’étaient au titre de « vipères lubriques du capitalisme ». En ces temps-là, sous la botte de Soso Dougashvili-« Staline », on savait rigoler !

    C’était de l’humour noir, voire carbonisé, en plus d’être souvent d’une rare grossièreté. Mais une quantité invraisemblable de pitres, dans les PC étrangers, chez les compagnons de route (les « idiots utiles ») ou dans les associations Antifa (telle la Ligue des Droits de l’Homme, où l’on jugea corrects les Procès de Moscou « puisque les accusés avouaient leurs crimes » !), poursuivirent jusqu’en 1956 (année de la publication du Rapport Khrouchtchev) l’adoration du demi-dieu et la calomnie des victimes de ces assassinats judiciaires.

    En nos jours de « conscience éclairée », dans le monde merveilleux du XXIesiècle de l’ère chrétienne – ou du Iersiècle de la nouvelle ère globalo-mondialiste, au gré du lecteur -, voulez-vous stigmatiser un malfaisant qui ne pense pas comme vous, il suffit de trouver la bonne formule et ça marche tout aussi bien que sous le délicieux Joseph… à ceci près qu’on tue moins (sauf du côté des égorgeurs djihadistes) : après tout, même un ennemi est un consommateur et l’essence même de notre Nouvelle Société Qui Gagne est résumée par l’équation Vente = Profit.

    N’êtes-vous point d’accord avec tels ou tels chiffres fantastiques (jamais assez élevés pour certains génocides et toujours trop pour d’autres), êtes-vous effrayé par l’afflux énorme d’immigrés-envahisseurs de l’Europe occidentale & scandinave, refusez-vous de croire que ces arrivants exotiques soient tous des Mozart ou des Mère Theresa, de futurs Prix Nobel ou de dévoués sauveteurs… attendez-vous à une dénonciation pour « incitation à la haine raciale », « à la xénophobie », « au racisme » ou – péril suprême – au crime inexpiable d’antijudaïsme, stupidement dénommé « antisémitisme ».

    Émettre des doutes sur une historiographie faite de contes bleus et d’accusations tenant davantage du folklore et de la propagande que des faits tels qu’on peut les appréhender grâce à des archives non caviardées est une activité aussi pleine de risques que de s’opposer autrefois aux ukases d’un « Lénine » ou d’un « Staline », ou aux lubies du pédophile le plus meurtrier de l’histoire humaine : « Mao tu sais tout ».

    Il est évident que nier des crimes de masse, au prétexte que les lamentations et les réclamations des survivants et des ayants-droit des victimes sont épicées de très curieux « témoignages », est du pur délire. Mais tout ceci n’est qu’affaire d’esthète : nul n’est obligé de s’intéresser à l’histoire ni d’être chatouillé par le désir éthique d’approcher l’insaisissable « Vérité historique ». Dame Vérité ne peut être connue que par une essence surnaturelle, ce qui est de l’ordre de la métaphysique, donc des nuées impénétrables à la raison humaine.

    En revanche, l’honneur d’un homme lui commande de penser au-delà du simple horizon de sa vie, gaie ou misérable – cela importe peu. Nous autres, Européens de souche, avons un devoir impératif : celui de laisser à nos descendants le continent que nos pères nous ont transmis, avec ses tares et ses noblesses, son histoire événementielle, scientifique et technique, son fabuleux héritage culturel.

    Si, pour remplir ce devoir d’honneur, il faut affronter le lynchage médiatique ou une « justice » aussi sectaire que le furent l’Inquisition ou les procédures des barbares dictatures communistes, c’est toujours moins chèrement payé que d’éprouver la honte de n’avoir rien fait, de n’avoir rien dit, quand se préparait la Grande Substitution de populations dominantes en Europe.

    La lucidité n’est pas, ne sera jamais une « incitation à la haine raciale ». C’est une manifestation de pur bon sens et un devoir envers nos descendants. « L’Europe aux Européens » est un slogan aussi légitime que d’autres, bien mieux admis : « L’Amérique aux Américains » ou « L’Afrique aux Africains ».

    En 1785, Sébastien-Roch Nicolas, un bâtard de chanoine qui s’était fait connaître sous le pseudonyme littéraire de « Chamfort », avait écrit : « En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu et on persécute ceux qui sonnent le tocsin ». Quatre ans plus tard, débutait la grande chienlit qui dégénéra en tueries innommables et en guerres quasi-ininterrompues de 1792 à 1815.

    Les Européens ont le choix : exiger et obtenir dans chaque pays un referendum sur l’immigration extra-européenne ou bien courir le risque d’une guerre des races et des religions. C’est lors d’une guerre, civile ou internationale, que l’on perçoit le véritable déchaînement de la haine et ce n’est guère à l’honneur de la bête humaine. En médecine, l’on dit avec raison que, lorsque cela est possible, « prévenir vaut mieux que guérir ».   

  • “Homophobie” dans le football : les réseaux sociaux s’enflamment

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    Après les “incidents” qui ont émaillé la rencontre Nice-Marseille, les débats font rage dans les stades et sur les réseaux sociaux.

    Comme l’expliquent un certain nombre de supporteurs, l’action de la Ligue de Football Professionnel et du Gouvernement est totalement contre-productive. Il faut ainsi s’attendre chaque semaine à une escalade dans la provocation.

    https://fr.novopress.info/215286/homophobie-dans-le-football-les-reseaux-sociaux-senflamment/