Un tweet du magazine Closer suscite à juste titre de vives réactions. Le magazine people (et il n’est pas le seul) écrit que l’animateur de télévision homosexuel Christophe Beaugrand et son “mari” “attendent un enfant”. L’expression est ridicule. Que l’on sache, aucun de ces deux homosexuels ne va accoucher. La vérité est plus crue. Et les mots justes dérangent. Christophe Beaugrand et son acolyte ont loué le ventre d’une femme et vont acheter un enfant. C’est cela la GPA. Et, à l’heure actuelle, c’est interdit en France.
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Non, deux homosexuels n’attendent pas un enfant, ils achètent un enfant de la GPA !
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A Toulouse, un clandestin soupçonné de vouloir commettre un viol dans la rue remis en liberté et relaxé
L'homme de 29 ans arrêté par la police municipale de Toulouse après avoir agressé une jeune femme le week-end dernier a été jugé en comparution immédiate ce mardi. Il a été relaxé et remis en liberté.
L'intervention de la police municipale de Toulouse avait sans doute évité qu'un viol soit commis.Elle avait repéré un homme qui avait agrippé et bloqué une jeune femme contre le hall de l'ancien cinéma UGC sur les allées Franklin-Roosevelt, dans la nuit de samedi à dimanche. Le sexe à l'air, il arrachait les vêtements de la jeune femme.Au cours du procès, l'avocat du prévenu Me Younès Derkaoui a démonté un à un les éléments du dossier qu'il estimait déjà "léger". Les infractions étaient à ses yeux insuffisamment caractérisées. "D'autant que la jeune femme n'a pas porté plainte, ne s'est pas constituée partie civile et était absente à l'audience", rapelle le conseil.[...]
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➜ Nantes. Poursuivi pour vol, détention de drogue et port d’arme prohibée, un clandestin algérien ressort libre du tribunalhttps://www.peupledefrance.com/2019/08/toulouse-clandestin-viol-remis-liberte-relaxe.html
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Alexandre Langlois : « Christophe Castaner est le plus mauvais ministre de l’Intérieur qu’on ait eu, on ne sait pas où il va »
Lors d’un entretien accordé à Boulevard Voltaire, Alexandre Langlois est revenu sur des sujets d’actualité, et en particulier la mort de Steve Caniço et le rapport de l’IGPN sur cette affaire.
Il dresse le bilan, désastreux selon lui, de Christophe Castaner au ministère de l’Intérieur. Il y voit une « erreur de casting » avec ce « capitaine de La Croisière s’amuse ».
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40 nouveaux migrants bloqués par Salvini qui dénonce une “provocation”
Secourus en mer par l’ONG allemande Sea-Eye, les clandestins sont retenus au large de l’île de Lampedusa.
Matteo Salvini ne rompt pas. Quelques jours seulement après avoir refusé l’accès des eaux italiennes à 130 migrants, le ministre transalpin de l’Intérieur a décidé d’en bloquer 40 autres, cette fois à bord
du navire Alan Kurdi, de l’ONG allemande Sea-Eye, rapporte notamment Le Point. Après avoir navigué toute la nuit vers le nord, le bateau mouille désormais au large de l’île de Lampedusa.L’homme fort italien a dénoncé « une énième provocation en Méditerranée de la part d’une ONG allemande », et accusé les secouristes de se comporter « de manière mesquine ». La veille, il avait d’ailleurs signé un décret qui interdisait les eaux italiennes au navire humanitaire. Un décret signé par les ministres de la Défense et des Transports, tous deux issus du mouvement 5 étoiles (M5S), de son allié Luigi Di Maio. Pour Salvini, il n’y a pas de raison pour que le navire débarque en Italie, puisque l’opération de secours a eu lieu bien plus près de la Tunisie que de Lampedusa.[...]En savoir plus sur valeursactuelles.comSur le même thème lire aussi: -
Grigny (91) : grand remplacement affiché, eau déversée dans les rues, kebab pour les enfants…
De nombreux politiciens et journalistes osent nier le phénomène de remplacement de la population (de souche) à l’œuvre en France.
La ville de Grigny n’a pas peur d’en montrer la réalité, accomplie en quelques décennies.Précisons que Grigny (dont la principale source de financement est la dotation de l’Etat) est particulièrement endettée (plus de 30 millions d’euros).
Capture d’écran Facebook Alors que les Français sont incités régulièrement à économiser l’eau, Grigny déverse dans les rues l’équivalent de piscines olympiques :
Capture d’écran Facebook Repas à thème « Kebab ».
Il est vrai qu’une choucroute ou cassoulet auraient posée problème.Capture d’écran Facebook -
Les agriculteurs déversent 20 tonnes de fumier devant la permanence du député Monique Iborra
Les agriculteurs de la FDSEA 31 déversent 20 tonnes de fumier devant la permanence du député LREM Monique Iborra à Tournefeuille près de Toulouse. Une action qu’ils comptent mener devant toutes les permanences des députés qui ont voté le CETA.
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Quand Philippe de Villiers parle de Soros et du Bilderberg
Voici l’enregistrement d’un entretien avec Philippe de Villers à l’antenne de Sud Radio. Philippe de Villiers y dénonce George Soros, le Bilderberg et d’autres sociétés secrètes. Regrettons tout de même qu’il ait été nécessaire d’attendre que cet ancien député européen et ancien président de parti (le MPF) ne détienne plus aucune responsabilité politique pour qu’il s’exprime sur de tels sujets.
https://www.medias-presse.info/quand-philippe-de-villiers-parle-de-soros-et-du-bilderberg/111071/
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Nouvel épisode du réchauffement : « Greta Thunberg fait du bateau »
Les conseillers de Greta Thunberg ont tiré les leçons de la photo qui la montrait se restaurant de nourritures industrielles dans un train. Plus jamais ça ! La marionnette Greta se doit d’être exemplaire. Zéro carbone, zéro fumée, pas d’émanation, pas de boogie-woogie avant la prière du soir : un modèle. Conformément à ce nouveau régime, celle qui d’un regard parvient à refroidir 25 députés de centre droit se rendra au sommet de New York sur le climat en bateau. Un voilier d’une valeur de 3 millions d’euros bardé de panneaux solaires et de turbines sous-marines qui fourniront l’électricité à bord. En complément de cette source d’énergie, le vent dans les tresses de Greta devrait permettre de les faire tourner et, ainsi, d’obtenir un effet « éolienne » capable d’alimenter quelques appareils électroménagers.
L’embarcation partira mi-août et devrait, en principe, atteindre les côtes américaines à temps pour que sa passagère assiste à la réunion du 23 septembre. Aucune précision n’a été fournie concernant le moyen de transport utilisé pour se rendre du quai vers le lieu de la « réchauffe-party ». Vélo à voile, à dos d’homme, en Chronopost ? Déplacer la gamine renfrognée est un casse-tête.
Le trajet retour vers les terres européennes n’a fait l’objet, lui non plus, d’aucune communication. Un billet pour une croisière Costa « Age tendre » avec Michèle Torr et Frédéric François pourrait être proposé à Greta, que l’on sait très friande de chansons garanties sans émanation de dioxyde de carbone.
L’avion lui étant désormais interdit, l’ado grincheuse s’était déjà illustrée avec un périple de 32 heures en train pour aller de Stockholm à Davos, où elle était attendue pour un Forum économique mondial auquel elle n’allait rien comprendre. Non contents d’avoir réduit la jeune fille à l’état de poupée terrifiante annonciatrice des pires fins du monde, parents et entourage la condamnent dorénavant à des voyages épuisants. « J’ai décidé d’essayer de prendre une année sabbatique et de voyager dans différents endroits, par exemple du nord au sud de l’Amérique où j’ai reçu plusieurs invitations pour assister à des sommets. » L’absentéisme scolaire de longue durée rebaptisé « année sabbatique » prend des allures technocratiques qui pourraient voir les cancres se déclarer adeptes d’un « sabbatisme » forcené. L’élève au fond de la classe près du radiateur a, plus que tout autre, des raisons de lutter contre le réchauffement.
De sommet en sommet, celle qui d’un regard parvient à refroidir 15 députés de centre gauche passera donc le plus clair de son temps dans les trains et les bateaux… Ballottée sur les flots, endormie sur des sièges de TGV, puis à califourchon sur divers équidés et, pour finir, à pied. Nous ne la verrons plus souvent. À ceux qui demanderont de ses nouvelles, ses conseillers diront qu’elle se trouve quelque part entre Nice et San Francisco… Perdue… Dans cette comédie grotesque, elle-même aura beaucoup de mal à se retrouver…
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Civitas part en campagne : aujourd’hui la PMA, demain la GPA, après-demain l’utérus artificiel et le transhumanisme ? 3 x NON !
Un communiqué de Civitas :
Le projet de loi bioéthique du gouvernement veut notamment légaliser la PMA (procréation médicalement assistée). Certains députés de La République En Marche veulent même l’étendre aux transgenres...
Et, comme d’habitude, la tactique subversive est celle du saucissonnage. De la même façon que le PACS a été suivi du “mariage” homosexuel, la PMA sera suivie de la GPA (gestation pour autrui, c’est-à-dire location du ventre de la femme et marchandisation de l’enfant), elle-même suivie par l’utérus artificiel et le transhumanisme.
Ces thèmes sont complexes mais il est indispensable de s’y intéresser. Car il s’agit d’un véritable plan démiurge à travers un nouvel ordre sexuel mondial dont les conséquences seraient à la fois morales, anthropologiques et civilisationnelles.
Ecoutez bien à ce sujet l’exposé vidéo en bas de page.
Il nous faut donc nous mobiliser. D’autres vous proposeront une fois de plus des campagnes bisounours compatibles avec les codes du Système. Nous croyons au contraire qu’il faut mener une campagne au message clair et sans concession.
CIVITAS vous propose donc, dans un premier temps, quatre illustrations à faire circuler sur les réseaux sociaux mais aussi disponibles en affiches et autocollants que vous pouvez commander dès à présent (livraisons dans les quinze jours).
En savoir plus cliquez là
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De Greta au CETA : l'incohérence des parlementaires pro-gouvernementaux.
La venue de la jeune Suédoise Greta Thunberg a été l’occasion de débats parfois virulents sur l’opportunité de son invitation à l’Assemblée nationale, mais surtout le révélateur de la contradiction, dans le meilleur des cas, ou de l’hypocrisie, si l’on est moins optimiste, de ce que l’on peut nommer le « pays légal », parlementaire et gouvernemental, qui, aujourd’hui, tient fermement les rênes de la République malgré les contestations, nombreuses et variées, parfois antagonistes, du « pays réel ». En effet, il peut paraître surprenant de voir que nombre de députés qui s’esbaudissaient devant le message écologiste de l’adolescente et ses avertissements mâtinés de propos apocalyptiques, ont néanmoins voté sans coup férir pour le CETA, traité de libre-échange entre le Canada et l’Union européenne qui apparaît comme une bien mauvaise nouvelle pour la préservation de l’environnement et la qualité de vie des animaux. Le quotidien Libération, en son édition du samedi 27-dimanche 28 juillet, donne quelques indications intéressantes sur cet épisode : « La militante a été invitée par 162 députés d’un collectif transpartisan sur le climat baptisé « Accélérons ». Parmi eux : une majorité de députés LREM, 20 Modem, 7 LR, 12 socialistes (…). L’objectif de ce collectif ? « Accélérer la transition écologique et solidaire. » » L’intention paraît louable et elle l’est, même si la définition de la « transition écologique » mériterait d’être précisée, tout comme ce que les membres de ce collectif entendent par écologie et politique écologique, ce qui n’est pas si évident ni consensuel que cela.
Ce qui est certain, c’est qu’il y a loin de la coupe aux lèvres, et l’empressement écologiste du matin est souvent démenti par le vote de l’après-midi, comme le souligne Libération : « Les députés ayant invité la militante ont-ils voté pour le Ceta ? Oui, pour beaucoup. Sur les 162, 79 ont voté pour le Ceta, soit 48 %. Parmi eux, une très large majorité (64) de LREM. Toujours parmi les membres de ce groupe, à l’origine de l’invitation de Thunberg : 37 ont voté contre, 35 se sont abstenus, et 11 n’étaient tout simplement pas présents lors du vote. » Ainsi, ce collectif peut être considéré comme l’exemple type de leurre utilisé par le pays légal pour se donner bonne conscience sans risque, si ce n’est celui de se voir rappelé son indigence intellectuelle et politique, ce que peu de journaux ou médias ont fait, malheureusement. Mais il est très représentatif de la politique gouvernementale et de celle de la République depuis nombre de décennies à l’égard de l’écologie comme du pays réel : « Faîtes ce que je dis, et non ce que je fais »… Cela a aussi une autre conséquence, c’est de décrédibiliser la parole de la jeune Suédoise qui, prudente et même « sans opinion » sur la question du CETA (ce qui peut paraître surprenant, au regard des qualités de prévoyance qu’on lui prête sans beaucoup d’esprit critique), n’apparaît plus alors que comme une marionnette justificatrice des politiques gouvernementales macroniennes ou mondiales, au risque d’en oublier ce qui reste bien une réalité, celle de l’urgence écologique.
Ainsi, que l’on ne s’étonne pas de la colère (qui tourne parfois à la révolte et à la dégradation) des agriculteurs comme de militants se revendiquant de l’écologisme, contre le pouvoir en place et ses fidèles parlementaires, et dont les permanences locales font les frais, à coups de peinture et de paille, dans le meilleur des cas ! Les députés LREM partisans du CETA payent là le prix de leur absence de cohérence visible entre leur « volonté » écologiste revendiquée et la réalité de leur engagement parlementaire sur les traités de libre-échange. Mais cela met aussi en valeur quelques questions plus profondes, sur lesquelles il ne sera pas inutile de revenir prochainement :
1. La préservation de l’environnement est-elle vraiment compatible avec la mondialisation libérale, voire avec la mondialisation tout court ?A cet égard, d’ailleurs, nombre de personnes pensent désormais que mondialisation et libéralisme ne sont qu’une même médaille, ce qui, là aussi, mérite précision et discussion.
2. La République française, engagée ou piégée par les traités internationaux et son appartenance à l’Union européenne, peut-elle développer et valoriser, à l’international comme en son sein, une véritable écologie politique, efficace et pérenne ? Peut-elle, dans le même sens, parler et agir assez fortement pour peser sur les institutions et décisions de l’ensemble européen (Conseil et Parlement européens, Communauté européenne, Cour de Justice européenne) alors que nombre de ses partenaires n’ont pas les mêmes préoccupations écologistes et que, trop souvent, les postulats économiques l’emportent sur les nécessités écologiques ? Sans oublier, aussi, le danger des tribunaux d’arbitrage qui n’ont que faire du souci écologique !
3. Par ses institutions et ses structures, mais aussi son mode de fonctionnement, la République est-elle le régime le plus efficace face aux défis et enjeux climatiques et environnementaux d’aujourd’hui comme de demain, de plus en plus pesants et prégnants ? N’est-elle pas, par essence, incapable d’enraciner une « logique écologique » de long terme, le pays légal se « renouvelant » par des alternances qui ne sont guère des alternatives systémiques, mais juste une actualisation du logiciel politicien et parlementaire, dans le seul cadre préétabli de la « République démocratique » (conçue comme une idéologie dominante et légitimatrice) qui s’empêche de penser « au-delà d’elle-même » ?
Si l’on veut mieux répondre au « souci environnemental » contemporain, il ne sera pas possible de faire l’économie de ces questions. Préparons-nous à y répondre…