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lobby - Page 806

  • Fusillades aux USA : ce n’est pas l’arme qui tue mais son utilisateur

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    « Lorsque le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt… » Cette maxime de la sagesse chinoise illustre bien des réactions médiatiques devant l’actualité. Au lieu de chercher les causes, et notamment les plus profondes, on désigne en boucle le coupable immédiat qui, direct ou par ricochet, appartient au clan du mal, défini par la pensée dominante. Préjugé idéologique et réponse pavlovienne sont les deux mamelles de la désinformation dans ce qu’on appelle, dans l’illusion de l’habitude, les démocraties occidentales.

    Les deux « fusillades de masse » qui ont eu lieu récemment aux États-Unis, l’une au Texas à El Paso, l’autre à Dayton dans l’Ohio, et qui ont fait plus de 30 morts, en sont un bon exemple. Le coupable désigné est d’abord l’arme, comme si c’était elle qui tuait et non l’assassin. Et dans un second temps, puisque les auteurs sont blancs, et les victimes au Texas, des hispaniques, le président Trump est pointé du doigt, d’abord parce qu’il est favorable à l’amendement constitutionnel garantissant aux Américains le droit de porter une arme, et ensuite parce que ses discours contre l’immigration illégale auraient incité les « suprémacistes » blancs à agir.

    Le « doigt », ici, est la liberté du port d’armes et sa conséquence, le nombre d’armes en possession des citoyens américains. Les chiffres sont, effectivement, impressionnants : il y a 300 millions d’armes pour 330 millions d’Américains, soit près de 90 armes pour 100 habitants, contre 15 en France.

    La suggestion du président Trump selon laquelle la présence d’un homme armé et capable de réagir aurait pu limiter le nombre des victimes au Bataclan avait paru grotesque, voire monstrueuse. C’est, cependant, la rapidité de la riposte armée qui réduit le nombre des morts, à Dayton… ou à Marseille, quand les militaires ont abattu un terroriste à la gare Saint-Charles. La possession et l’utilisation des armes sont, dans notre pays, à la fois très réglementées et fortement dissuadées, même pour ceux qui ont un port d’armes de service.

    Ce n’est pas l’arme qui tue mais son utilisateur. Qu’il faille donc en contrôler la délivrance apparaît nécessaire. Le profil ou les antécédents d’un individu devraient servir de critères. Cela restreindrait le port d’armes aux États-Unis mais l’étendrait en France. L’augmentation des agressions et des meurtres à l’arme blanche (deux tiers des vols avec violences) dans notre pays justifierait que davantage de Français soient armés. Mais les contextes sociologique et culturel jouent un rôle essentiel. Aux États-Unis, ceux, très nombreux, qui soutiennent la liberté du port d’armes ne sont pas seulement des républicains soumis à la propagande et aux pressions de la National Riffle Association. Ils défendent un principe constitutionnel qui montre à quel point la mentalité américaine issue de l’histoire s’oppose à la française. Les Français appartiennent à un pays créé par un État. Celui-ci revendique le rôle de protecteur des individus et veut assurer le monopole de la sécurité.
    Aux États-Unis, la société a été construite du bas vers le haut, et l’État fédéral n’est lui-même que l’union des États fédérés. C’est la raison pour laquelle les Américains considèrent que la sécurité, la préservation de la liberté des individus doivent être l’objet de la participation de tous. On est là aux antipodes de la pensée française qui se méfie de la privatisation de la sécurité publique.

    Toutefois, cette opposition se trouve relativisée par une évolution qui n’est pas forcément un progrès. D’une part, la fiction et l’information, qui connaissent une diffusion sans cesse plus large et plus rapide, habituent à la violence des deux côtés de l’Atlantique. D’autre part, la mondialisation et le nomadisme qu’elle encourage multiplient les affrontements communautaires et les confrontations culturelles. Ici, c’est un enfant allemand qui est poussé sous un train par un réfugié érythréen, là, c’est un Australien qui tire sur des musulmans dans deux mosquées de Nouvelle-Zélande. Ce ne sont pas les discours hostiles à l’immigration qui tuent, mais l’immigration elle-même, les frustrations et les antagonismes qu’elle suscite. Elle aussi doit être contrôlée !

    Christian Vanneste

    https://www.bvoltaire.fr/fusillades-aux-usa-ce-nest-pas-larme-qui-tue-mais-son-utilisateur/

  • France : 500.000 immigrés supplémentaires par an

    Chronique de Paysan Savoyard (n° 222 – août 2019)

    Quelle est l’ampleur des flux de populations originaires de pays non européens à destination de la France métropolitaine ? Il n’est pas inutile de faire le point, de nouveau, sur cette question centrale.

    Si les pouvoirs publics taisent ou dissimulent de nombreuses données essentielles, les chiffres officiels qui sont publiés permettent tout de même de procéder à des évaluations assez fiables et précises. Les données se rapportant à 2018 sont désormais disponibles.

    • L’immigration légale 

    Le ministère de l’intérieur comptabilise les nouveaux titres de séjour en France métropolitaine délivrés aux immigrés non européens qui se sont installés légalement au cours de l’année (voir cette chronique).

    Le nombre de ces titres augmente chaque année depuis plus de 40 ans. En 1998, ce nombre était de 143.000. En 2008 il était de 183.000. L’augmentation s’est poursuivie ces dernières années : 217.000 en 2015 ; 230.000 en 2016 ; 247.000 en 2017. En 2018 les immigrés non européens supplémentaires qui se sont installés en France métropolitaine de façon légale, pour motif familial, pour y travailler ou pour y suivre des études, ont été 255.000, ce qui constitue un nouveau record.

    • L’asile

    Le nombre des demandes d’asile présentées par des étrangers non européens augmente fortement depuis plusieurs années : 66.000 en 2013 ; 128.790 en 2018 (NB : ce nombre est celui des nouvelles demandes ; il comprend les « mineurs accompagnants » et les « dublinés » ; voir cette chronique).

    Après une instruction de plusieurs mois, moins d’un quart des demandes d’asile débouchent sur l’attribution du statut de réfugié, les autres demandes étant considérées comme injustifiées : 11.000 statuts accordés en 2013 ; 33.000 en 2018. Les étrangers obtenant l’asile se voient délivrer un titre de séjour, comptabilisé dans les nouveaux titres évoqués au paragraphe précédent.

    Lorsqu’ils n’obtiennent pas l’asile, les demandeurs doivent en principe quitter le territoire. Il se trouve que dans la pratique presque tous ces déboutés se maintiennent en France de façon irrégulière, avec l’assentiment des pouvoirs publics : un rapport parlementaire de 2013 estimait que le nombre annuel des reconduites de déboutés de l’asile n’excédait pas 2000. Précisons que ces déboutés, devenus immigrés irréguliers, ont de bonnes chances d’être ensuite régularisés après une certaine durée de séjour en France. Dans ces conditions, comme l’indiquait le rapport parlementaire de 2013, l’asile est devenu l’une des voies de l’immigration.

    Pour comptabiliser les immigrés supplémentaires qui s’installent en France au cours d’une année, il faut donc prendre en compte les déboutés du droit d’asile, qui dans la pratique se maintiennent presque tous sur le territoire. Pour 2018 le nombre des déboutés est d’environ 95.000 (128.790 demandes présentées ; 33.330 asiles accordés).

    • Les mineurs non accompagnés

    Depuis quelques années une nouvelle voie d’immigration est apparue : celle des mineurs isolés, non accompagnés par un adulte. Un rapport parlementaire de 2017 indique que le nombre de ces mineurs non accompagnés, en forte augmentation chaque année, s’est élevé en 2016 à 8054. Le rapport ajoute que l’arrivée de ces mineurs est le plus souvent organisée. La loi a rendu en effet ces mineurs inexpulsables et ils bénéficient automatiquement d’une prise en charge par l’Etat dans le cadre de la protection de l’enfance.

    • L’immigration clandestine

    L’immigration irrégulière est constituée d’une part des déboutés de l’asile qui se sont maintenus sur le territoire, évoqués plus avant. Les autres immigrés irréguliers sont ceux qui se sont installés sur le territoire sans présenter une demande d’asile.

    Une partie de ces immigrés irréguliers sont arrivés sur le territoire de façon légale munis d’un visa les autorisant à un séjour court (moins de 3 mois) et se sont maintenus sur le territoire à l’échéance de leur visa. Figurent notamment parmi ces immigrés les ressortissants de pays considérés comme sûrs, pour lesquels l’asile n’est pratiquement jamais accordé (les marocains et les tunisiens notamment).

    Le nombre annuel de ces immigrés supplémentaires qui s’installent irrégulièrement en France sans demander l’asile n’est pas connu et peut difficilement être estimé.

    On peut seulement signaler sur ce point que les pouvoirs publics annoncent éloigner du territoire environ 30.000 immigrés en situation irrégulière par an (30.276 en 2018, y compris les retours aidés et les retours volontaires). Signalons que, selon différents témoignages, la plupart de ces éloignements concernent en réalité les Dom-Tom, en particulier Mayotte, et sont souvent suivis d’un retour rapide des « éloignés » sur le territoire national.

    • Les naissances

    Le nombre des naissances issues de l’immigration ne fait pas l’objet, cela va sans dire, d’une comptabilisation officielle. Il est pourtant possible de le connaître de façon précise. Il se trouve en effet que tous les nouveaux-nés dont les parents sont originaire d’Afrique ou du Moyen-Orient subissent un test destiné à détecter la drépanocytose, maladie génétique grave touchant exclusivement les populations originaires de ces régions du monde. Le rapport annuel de l’organisme officiel, l’AFDPHE, chargé de l’organisation de ces tests permet donc de connaître très précisément le nombre des naissances issues de l’immigration, à l’exception de l’immigration asiatique et américaine. Afin de tarir cette source précieuse d’information utilisée par la « fachosphère », le gouvernement a décidé l’an dernier de… supprimer le rapport annuel national produit jusque-là. On ne peut donc plus désormais que se référer aux données antérieures à 2016. Celles-ci cependant restent très éclairantes (voir cet article et cette chronique)

    Les derniers rapports de l’AFDPHE montraient que le nombre des naissances issues de l’immigration africaine ou moyen-orientale est chaque année en augmentation forte et constante. En 2006 ce nombre était en métropole d’un peu plus de 200.000, soit 27 % du total des naissances. En 2016 il atteignait presque 300.000 (292.871 précisément), soit près de 40 % du total des naissances. On peut penser que le nombre absolu aussi bien que le ratio ont depuis encore augmenté.

    • Les départs et les décès

    Pour déterminer le nombre des immigrés non européens supplémentaires qui s’installent chaque année en métropole, il convient de déduire des chiffres énumérés ci-dessus le nombre des immigrés qui quittent le territoire ainsi que le nombre des décès dans la population originaire de l’immigration.

    Les départs du territoire ne sont pas comptabilisés par l’administration française. Cette carence permet aux pouvoirs publics de prétendre par exemple, sans pouvoir être démentis, que la plupart des étudiants étrangers regagnent leur pays à l’issue de leurs études.

    Nous considérons pour notre part qu’au contraire de ce qu’affirment les pouvoirs publics, les départs d’immigrés sont probablement très peu nombreux. Les immigrés s’installent en effet en France pour bénéficier des avantages de toutes sortes qui leur sont accordés : la France étant l’un des pays occidentaux les plus « généreux », il n’y aucune raison pour les immigrés de changer d’avis et de la quitter. Ils sont d’autant moins incités à retourner chez eux que les droits des immigrés augmentent avec la durée de leur séjour, à commencer par le droit à la régularisation et le droit à l’octroi de la nationalité.

    S’agissant des décès dans la population issue de l’immigration, on peut effectuer l’estimation suivante. La population résidant en France métropolitaine étant de 65 millions et le nombre total des décès de 600.000, le taux de mortalité est de 9 pour mille environ. La population issue de l’immigration non européenne peut être estimée à un niveau compris entre 15 et 18 millions. Si l’on rapporte le taux national de mortalité à une population immigrée de 15 millions, soit l’estimation minimale, on obtient un nombre de décès de 135.000. Encore faut-il prendre en compte le fait que, la population originaire de l’immigration étant en moyenne beaucoup plus jeune que la population autochtone, son taux de mortalité est dès lors bien moindre. On peut donc considérer que le nombre annuel des décès dans la population issue de l’immigration non européenne n’excède pas 100.000.

    Le total est donc le suivant. Installations légales : 255.000 ; Maintien des demandeurs d’asile déboutés : 95.000 ; Mineurs non accompagnés : 8000 ; Autres immigrés irréguliers : nombre inconnu ; Naissances : 300.000.  Du total de ces chiffres il convient de déduire 100.000 décès.  Le nombre des départs peut lui être considéré comme négligeable. Solde : 558.000.

    Nous estimions en 2009 le nombre annuel des immigrés non européens supplémentaires qui naissent ou s’installent en France métropolitaine a au moins 400.000 (voir cette chronique). Dix ans plus tard, cette estimation peut être relevée à au moins 500.000.

    Voir également ces chroniques :

    Le projet de loi immigration : des mesures de durcissement « bidon » cachant plusieurs dispositions qui accentueront l’invasion

    Comment l’INSEE manipule les chiffres de l’immigration

    https://leblogdepaysansavoyard.wordpress.com/

  • Priver des enfants de père, c’est VRAIMENT ce que vous voulez ?

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    Lettre ouverte à mon député

    Monsieur le député,

    Le gouvernement soumet au Parlement un projet de loi de bioéthique ouvrant l’accès à la procréation médicalement assistée aux couples de femmes et aux femmes seules, effaçant ainsi la condition préalable d’infertilité médicale qui la réservait aux couples hétérosexuels. Il prévoit, en outre, son remboursement par la Sécurité sociale.

    Les arguments dont usent les promoteurs de cette PMA peuvent être regroupés en quatre propositions :

    C’est une mesure égalitaire qui vise à mettre fin à une discrimination.

    La PMA est légale à l’étranger (Espagne et Belgique).

    Elle n’enlèverait rien à personne.

    Elle serait consensuelle et conforme à l’éthique.

    Sur l’égalité, le Conseil d’État a tranché en septembre 2018 : il n’est pas discriminant de traiter différemment des situations objectivement différentes. User de cet argument, aujourd’hui, conduirait à ne pas pouvoir le réfuter demain à propos de la gestation pour autrui. Enfin, la Déclaration des droits de l’homme consacre l’égalité entre les individus, mais pas celle des couples.

    Concernant la concurrence étrangère, devrions-nous légaliser l’excision, la lapidation des femmes adultères ou l’emprisonnement des victimes de viol sous prétexte que cela se pratique dans d’autres États dont certains siègent au Comité des droits de l’homme de l’ONU ?

    Le troisième argument relève du mensonge. Une PMA réalisée pour un couple lesbien ou une femme seule enlève à l’enfant à naître une personne essentielle, le père, et une chose essentielle, la filiation.

    Le seul consensus constaté lors des États généraux de la bioéthique est défavorable à cette PMA sans père. Les conclusions du Comité consultatif national d’éthique (CCNE), en contradiction avec les arguments développés et les avis recueillis, sont dès lors biaisées. Son président a, d’ailleurs, perdu tout crédit quand il a avoué ne pas savoir faire la différence entre le bien et le mal. Quant aux sondages, ils sont contradictoires suivant la formulation des questions posées. Enfin, ce projet de loi crée un « droit à l’enfant » qui le réifie – pour être plus clair, le chosifie -, ce qui n’est pas éthique.

    Ainsi, les arguments favorables à l’ouverture de la PMA ne sont pas probants. Mais d’autres contre-arguments peuvent être évoqués.

    L’absence de père favorise les problèmes d’intégration sociale des enfants et adolescents : échec scolaire, délinquance et troubles psychologiques. Une inégalité serait créée entre enfants avec filiation biologique vs. filiation bricolée. En cas de divorce, l’égalité de traitement entre belle-mère et mère biologique risque d’être problématique. La filiation elle-même sera dénaturée, elle passe du biologique et charnel au contractuel.

    La levée de l’anonymat du don de gamètes fera chuter la collecte. Face une demande en hausse, rémunérer les donneurs ou les acheter à l’étranger signifierait la fin de l’indisponibilité du corps humain et sa marchandisation. En outre, toute PMA avec tiers donneur, et donc ce qui se pratique aujourd’hui, est eugéniste. Le dossier remis à la majorité prévu par le projet de loi souffre de deux tares : un père ne se réduit pas à une somme d’informations, aussi complète fût-elle, et c’est pendant l’enfance et l’adolescence, quand se construit sa personnalité, qu’un enfant a besoin de son père.

    Aujourd’hui sont occultés les risques médicaux induits par la PMA, tant pour la mère biologique que pour l’enfant.

    Autre conséquence néfaste, la dénaturation de la médecine ravalée au rang de simple prestation de service. Le remboursement de cette PMA non thérapeutique par des assurances maladie ressemble à s’y méprendre à une escroquerie à l’assurance. Il serait, en outre, paradoxal de voter ce remboursement quand on voit la santé publique mise à mal avec les déserts médicaux, la crise des urgences, la pénurie de médicaments ou leur déremboursement.

    Notre pays, malmené par une grave crise sociale non résolue, a-t-il les moyens de se lancer dans l’aventure socialement très clivante d’une loi qui priverait des enfants de père avec la complicité de l’État ?

    Je souhaiterais savoir comment vous vous positionnerez sur cette loi. Je me tiens à votre disposition pour d’éventuelles précisions. Je vous prie de croire, Monsieur le Député, à mes plus sincères salutations.

    Rémy Mahoudeaux

    https://www.bvoltaire.fr/priver-des-enfants-de-pere-cest-vraiment-ce-que-vous-voulez/

  • Victoire pour Génération Identitaire !

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    Génération Identitaire fait condamner l’État !

    En novembre 2017, 2 ans après la tuerie du Bataclan, Génération Identitaire avait organisé une grande manifestation à Paris contre l’islamisme.

    Cette manifestation avait été interdite à la dernière minute par le préfet de police pour des prétendus risques de « troubles à l’ordre public ».

    Nous avions bien sûr immédiatement réagi en organisant un rassemblement symbolique devant la salle de concert du Bataclan.

    Mais nous ne pouvions pas laisser l’Etat bafouer impunément notre liberté d’expression pour des raisons idéologiques.
    Nous avions donc décidé d’attaquer l’arrêté d’interdiction devant le tribunal administratif de Paris.

    Ce jeudi 18 juillet, la justice vient de nous donner raison en annulant la décision du préfet et en condamnant l’Etat à nous verser 1500 € de frais de justice.

    Le tribunal a souligné que notre manifestation ne présentait en elle-même aucun danger et que la Préfecture avait parfaitement les moyens de sécuriser l’évènement.

    Le gouvernent et tous ses représentants, qu’ils soient préfets ou procureurs, doivent bien comprendre que nous continuerons de nous battre sur tous les terrains, dans la rue comme devant le tribunaux.

    Soyez-en sûrs, cette victoire ne sera pas la dernière.

    Nous réclamons en particulier la relaxe pure et simple pour l’action Defend Europe dans les Alpes.

    Nos militants ne peuvent pas être condamnés pour avoir simplement mis en évidence les défaillances de l’Etat dans le contrôle des frontières !

    Merci à tous pour votre soutien. On ne lâche rien, le combat continue.

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  • George Soros commence déjà à financer le Parti Démocrate pour les élections présidentielles américaines de 2020

    Etats-Unis – George Soros a fait un premier don 4,6 millions d’euros à un nouveau Comité d’Action politique (PAC) à l’approche de l’élection présidentielle américaine de 2020. C’est plus de deux fois ce qu’il avait injecté à ce stade de la campagne des élections de 2016.

    “Le PAC Democracy du milliardaire juif né en Hongrie est sa première contribution aux élections de 2020”, écrit Times of Israël.

    Le milliardaire cosmopolite Soros est un donateur de longue date du Parti Démocrate américain. Pour la campagne présidentielle américaine de 2016, Soros avait officiellement injecté un total de 18 millions d’euros dans le financement du Parti Démocrate, apparaissant parmi les plus importants donateurs de l’ensemble de la campagne américaine.

    https://www.medias-presse.info/george-soros-commence-deja-a-financer-le-parti-democrate-pour-les-elections-presidentielles-americaines-de-2020/111183/

     
  • Le migrant qui a poussé un enfant et sa mère sous un train avait illustré des brochures sur l’intégration réussie des étrangers…

    Pic Shows: Habte Araya was used in a brochure promoting successful integration; The African man facing murder charges for pushing an eight-year-old German boy under a train in Frankfurt had previously been used as a poster boy promoting successful integration.
    Photo du criminel dans une brochure sur l’intégration des immigrés en Suisse

    Lu dans Metro.uk (traduction C-I) :

    « L’homme accusé d’avoir tué un garçon de 8 ans en le poussant sous un train à Frankfort a figuré dans une campagne de promotion de l’intégration réussie.
    Habte Arya, 40 ans, originaire d’Érythrée mais vivant en Suisse, a été arrêté pour avoir poussé l’enfant et sa mère sur les rails d’une station à Francfort.

    Le père de trois enfants est également accusé d’avoir poussé une autre femme, âgée de 78 ans, qui a réussi à s’empêcher de tomber devant le train qui arrivait. 
    Il a ensuite pris la fuite, mais a été arrêté par d’autres passagers qui l’ont retenu jusqu’à son arrestation. En 2017, Araya a été photographié dans une brochure publicitaire de l’Agence suisse d’assistance aux travailleurs et aurait déclaré aimer « presque tout ce qui concerne la Suisse ».
    […] La police n’a pas été capable de trouver le motif d’Araya pour avoir poussé l’enfant ».

    Au hasard, la haine anti-blanche ?!
    Une haine si forte qu’elle n’est pas entamée par tout ce que les pays d’accueil lui ont offert.

    suisse francfort
    Habte Arya sur une brochure

    http://www.contre-info.com/

  • Tribune : Face à l’invasion de l’Europe, un Limes* maritime

    @DR 
    De Romain Sens 

    L’Europe continentale, soumise depuis des décennies à un processus d’immigration massive, est en réalité aujourd’hui, l’objet d’une invasion.
    Cette invasion migratoire, largement clandestine, se fait sans violence, sans armes, sans hostilité apparente. 
    Et pour cause, les gouvernements européens organisent d’eux-mêmes ces flux migratoires. 
    Face à cette vague que les Munichois disent inarrêtable, seule la construction d’un nouveau Limes permettra à la civilisation européenne de survivre à ce XXIe siècle.
    En déployant ses navires de guerre, l’Europe, bien loin de repousser les embarcations de migrants clandestins ou de les ramener sur les côtes des zones de départ, institue une véritable route maritime sur laquelle les ferry-boats européens font franchir la Méditerranée à des individus se trouvant dans la plus totale illégalité.
    Or, les peuples européens se sentent trahis par leurs dirigeants et souhaiteraient, bien au contraire, qu’ils déploient une politique de protection et d’inviolabilité de leurs frontières.

    Les flux migratoires en provenance d’Afrique se poursuivront de façon exponentielle, au fur et à mesure que la démographie africaine explosera.
    Il serait très difficile et extrêmement coûteux de déployer sur la longue durée des flottes de guerre dont ce n’est de toute façon pas la mission. 
    L’Europe ne peut pas non plus, à l’inverse d’Israël ou des États-Unis, protéger son territoire en fortifiant ses terres. 

    Pour résister aux nouvelles invasions barbares dont elle est la proie, l’Europe doit, à l’instar d’un Empire romain qui avait encore la volonté de se battre pour survivre, reconstruire un nouveau Limes maritime.
    En effet, hormis la question de la frontière turque, des territoires d’outre-mer et des enclaves de Ceuta et Melilla, la frontière européenne est essentiellement représentée par la mer Méditerranée. 
    Pour résister aux nouvelles invasions barbares dont elle est la proie, l’Europe doit, à l’instar d’un Empire romain qui avait encore la volonté de se battre pour survivre, reconstruire un nouveau Limes maritime. 
    Ce Limes maritime, pourrait prendre la forme d’une ceinture de plateformes maritimes militarisées, sur le modèle des plateformes pétrolières, qui protégerait, à intervalles réguliers les eaux territoriales européennes. 
    Ses missions seraient multiples. 
    Ces plateformes pourraient tout d’abord interdire systématiquement l’accès aux embarcations de migrants en les faisant reconduire immédiatement vers les zones de départ. 
    Dotés de systèmes radars, des gardes-côtes, héliportés et équipés d’embarcations rapides, auraient la mission de ne laisser franchir aucune embarcation non autorisée dans les eaux territoriales européennes. 
    Les clandestins interceptés seraient identifiés (et bien entendu soignés) sur ces plateformes, avant un retour aux zones de départs qui serait effectué avec la plus grande célérité possible par des navires dédiés qui emprunteront la route prise par les passeurs dans l’exact sens inverse. 
    Ils seraient les premiers gardiens du principe affirmant que nul ne rentre en Europe s’il n’y est pas invité.

    De même que la lutte contre les flux migratoires, ces plateformes maritimes pourraient également jouer un rôle très efficace contre les trafics de drogue notamment autour du détroit de Gibraltar. 
    Mais au-delà, elles pourraient aussi servir de bases de défense en étant équipées de radars, de missiles antinavires ou anti-aériens, voire même de missiles antimissiles dans le cadre d’un potentiel bouclier européen. 
    Un équipement en mitrailleuses à cadence rapide permettrait également de parer aux menaces asymétriques terroristes qui ne manqueront pas d’exister en Méditerranée, lorsque les Européens auront décidé de se défendre. 
    Afin d’être toujours une civilisation européenne à la fin du XXIe siècle, l’Europe doit, si elle ne veut pas être emportée par les vents de l’Histoire, faire de la forteresse Europe tant décriée une réalité concrète.
    Cela coûtera cher.
     « Combien ? » nous demanderont ceux qui ne voient le monde que par le seul prisme économique. Autant qu’il le faudra pour assurer la survie de l’Europe, devra être la seule réponse à donner. 
    Afin d’amortir les coûts de construction et de rentabiliser ces installations, ces plateformes pourraient servir à d’autres tâches comme le secours des navires en difficulté ou celles relevant des recherches scientifiques océaniques. 
    Mais l’ouvrage devra avant tout être un système défensif voué à la protection des terres et des peuples européens de façon pérenne. 
    Afin d’être toujours une civilisation européenne à la fin du XXIe siècle, l’Europe doit, si elle ne veut pas être emportée par les vents de l’Histoire, faire de la forteresse Europe tant décriée une réalité concrète. 
    Un Limes maritime pour protéger le jardin européen. 
    Romain Sens
    lincorrect
    * Limes
  • Meurtres de masse « racistes » à El Paso et Dayton : l’hystérie anti-Trump bat son plein

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    Il y a tellement de bonnes raisons de critiquer Donald Trump qu’il n’est pas nécessaire d’en inventer de mauvaises ; surtout à propos des deux récentes fusillades d’El Paso et de Dayton, survenues ce week-end dernier.
    Ces deux meurtres de masse seraient donc le fait de « suprémacistes blancs ».
    Fort bien. Donald Trump a beau tweeter, en tant que « personne la moins raciste du monde » – ce qui ne veut pas dire grand-chose mais ne mange jamais de pain –, nombre de ses adversaires persistent à écrire le contraire sur les réseaux sociaux, jusqu’à insinuer que le magnat de l’immobilier serait l’instigateur caché de ces tueries.
    Pour Pete Buttigieg, candidat postulant à l’investiture du Parti démocrate, « le nationalisme blanc, c’est le mal. Ça encourage des gens à commettre des meurtres, et c’est toléré aux plus hauts niveaux du gouvernement américain, et ça doit cesser. »
    Certes. Il nous est ici rappelé que les mots pourraient être suivis d’actes, quand mal compris par des esprits faibles. Mais l’actuel président américain n’est pas précisément connu pour sa foisonnante production philosophique. Et à ce compte, faut-il interdire la lecture du Capital de Karl Marx au simple motif qu’il aurait pu être responsable du goulag soviétique ? Brûler ceux de Diderot et de Rousseau, puisque susceptibles d’avoir donné une sorte de sauf-conduit intellectuel à ceux qui ont mis en œuvre le génocide vendéen ? Interdire les rediffusions du film Woodstock, Jimi Hendrix ayant pu influer de loin sur la tuerie de la famille de Charles Manson, hippie jadis très proche des Beach Boys ? Dans la foulée, envoyons l’ignoble fratrie des surfeurs à Guantánamo !
    Oui, les idées peuvent éventuellement tuer. Quand, en 1969, Serge July, qui n’est pas encore le directeur de Libération, publie Vers la guerre civile, il n’encourage pas forcément les futurs tueurs des Brigades rouges, de la Fraction armée rouge ou d’Action directe. Mais, au moins, leur désigne-t-il quelques cibles… Après, en faire le responsable de l’assassinat d’un Georges Besse, alors patron de Renault, en 1985, il y a un pas qu’il serait délicat de franchir. Et puis, à ce titre, il faudrait aussi interdire la Sorbonne, sachant qu’avant et après guerre, elle a formaté tant de tyranneaux plus ou moins communistes. La Sorbonne, combien de morts putatifs ?
    Pour en revenir aux USA, si cette nation détient le funèbre record de ces meurtres de masse – 250 depuis le début de l’année, ce qui n’est pas rien -, il n’en faudrait pas pour autant oublier que ces 589 victimes ne représentent que 3,77 % des meurtres commis outre-Atlantique ; 15.590 au dernier comptage.
    Après, ces meurtres sont-ils de nature raciste ? En admettant toutefois qu’il s’agisse d’un « racisme » à sens unique, Blancs contre Noirs, l’inverse n’entrant pas dans le traditionnel logiciel humaniste, rien n’est moins évident.
    Surtout à en croire cette passionnante étude du Wall Street Journal, remontant il y a déjà plus de dix ans et citée par Les Inrockuptibles, périodique pas véritablement en pointe dans la lutte identitaire, il ressort qu’au-delà des clichés « racistes », la criminalité au quotidien serait plutôt d’ordre intracommunautaire : « Les Blancs tuent des Blancs, les Noirs tuent des Noirs. » Principaux motifs de ces crimes ? « Les triangles amoureux, les règlements de comptes entre bandes rivales et les rixes sous influence de l’alcool. »
    Nous voilà assez loin, et des Black Panthers et du Ku-Klux-Klan, mais seulement témoins des soubresauts d’une société fatiguée, qui se voulait naguère à l’avant-garde du monde, alors qu’elle n’en est aujourd’hui plus qu’un poids mort n’en finissant plus de crouler sous le poids de ses propres contradictions. Société sans frontières qui aboutit à en construire de nouvelles, melting-pot post-racial donné pour horizon indépassable, mais qui accouche d’un monde où des communautés préfèrent cohabiter les unes loin des autres plutôt que de communier dans le « vivre ensemble ».
    En ce sens, l’Amérique de Donald Trump est aussi l’enfant bâtard de celle de Barack Obama.
    Nicolas Gauthier pour bvoltaire.fr
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    Le navire, d'une capacité de 200-300 personnes, a quitté le port de Marseille pour rejoindre les côtes libyennes.

    A bord, on prétend qu'on va sauver des naufragés : c'est très bien, mais... en les conduisant en Europe, au lieu de les ramener à leur point de départ (comme vient de le faire Salvini - voir la note suivante - ) "on " agit, de fait, comme un maillon de la chaîne du trafic d'êtres humains; "on" devient, de fait, complice des Mafias de passeurs-négriers..

    Hier, c'était le Sea Watch et sa commandante de couverture de magazine; avant-hier, c'était l'Aquarius; et tant d'autres encore... Maintenant, voici L'Océan viking, auto-proclamé redresseur des torts d'une Europe qui laisse périr des malheureux, chevalier blanc du Bien, défieur des grands méchants que nous sommes tous, indifférents que nous serions (disent-ils...) à la misère humaine.

    Les reportages destinés à faire pleurer dans les chaumières se sont multipliés ces derniers mois sur les chaînes de télé, à propos de ces envahisseurs rebaptisés "migrants" - malheureux, certes, mais qui cherchent à s'imposer chez nous, il ne faudrait pas l'oublier... - au prétexte qu'ils risquent leur vie pour traverser la Méditerranée et venir en Europe.

    Le parti immigrationniste, toute presse confondue (écrite, parlée, télévisée), de France info à TF1, de France 2 à BFM/TV ou autres, impossible d'y échapper ces derniers jours... 

    Nul ne se soucie - ou si épisodiquement... - du fait qu'un paysan français se suicide tous les deux jours ; nul ne se soucie plus que cela, non plus, des dix millions de pauvres recensés par le Secours catholique, ou des huit millions et demi de mal-logés recensés par la Fondation Abbé Pierre. Il y a bien, certes, les Restos du cœur, qui peuvent occuper le devant de la scène, intouchables qu'ils sont, car « confisqués » par les bobos-gauchos. Mais, à part eux, s'occuper activement de la détresse, de la précarité, de la pauvreté qui monte, inexorablement, au milieu du peuple français, non, ce n'est pas intéressant. Cela ne vaut pas ces masses de "migrants" qui, eux, méritent toute l'attention de nos mal-généreux. 

    Oui, nous disons bien "mal-généreux", car sauver des malheureux qui vont se noyer, évidemment, c'est le devoir de toute personne civilisée. Encore plus lorsque l'on est en Europe, dont les racines chrétiennes sont une évidence, à part pour les adeptes de la Nouvelle Religion Républicaine, dont le sectarisme n'a d'égal que l'épaisseur de leurs œillères !

    Mais être civilisé, généreux et... sauveteur, n'empêche pas d'avoir de la jugeote.

    Ces pauvres malheureux, victimes des passeurs, certes, mais malgré tout victimes consentantes, ne doivent pas être conduits en Europe, lorsqu'on leur sauve la vie. Elles doivent être ramenées sur les côtes d'Afrique, d'où elles sont parties. Sinon, de toute évidence, les sauveteurs  du Sea Watch et de l'Aquarius, hier, et de l'Océan Viking, demain, se font et feront, volens nolens, les maillons de la chaîne maffieuse de ces esclavagistes, négriers des temps modernes, qu'on appelle aujourd'hui "passeurs". Les Mafias savent que les bateaux européens "achèveront le travail", et les "migrants" savent qu'on viendra les chercher : tout cela consolide le trafic et lui assure une pérennité dans la malfaisance et la traite des êtres humains. 

    Et, là, il n'y a plus du tout de quoi être fier ni de quoi être comparé à un preux chevalier d'antan, volant au secours de la veuve et de l'orphelin.

    Nos mal-généreux de l'Aquarius, du Sea Watch, de l'Océan Viking et autres devraient y réfléchir, avant de se présenter en parangons de vertu et d'humanité... 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/08/05/x-6168572.html