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lobby - Page 809

  • Qui est idéologue ? L’ISSEP ou l’Université de Lyon ?

    Qui est idéologue ? L’ISSEP ou l’Université de Lyon ?

    Marion Maréchal, directrice générale de l’ISSEP, écrit :

    En septembre, un étudiant en licence à l’université de Lyon II a eu le courage de dénoncer publiquement l’idéologie et le militantisme décomplexés qui gangrènent ses cours de sciences politiques et sociales. Rien ne manque à l’appel du politiquement correct : obsession de la race et du genre, indigénisme, théories décoloniales, néo-féminisme, immigrationnisme, LGBTQIAA+, prosélytisme islamique. Toutes ses matières, de la sociologie à l’histoire des idées en passant par la politique européenne, sont concernées.

    On apprend à cette occasion que la direction de l’université elle-même n’hésite pas à prendre des positions politiques, au point d’encourager les étudiants à manifester devant la Préfecture pour exiger “l’accompagnement des migrants”, le tout au travers de documents administratifs rédigés en écriture inclusive !

    Faut-il être surpris, alors, que le groupuscule “antifa” ayant revendiqué l’attaque contre les locaux de l’ISSEP tient un stand dans cette même université, deux jours seulement après l’agression, sans être aucunement inquiété.

    Tout droit venues des campus américains, ces théories se parent d’un vernis scientifique pour assurer leur autorité et leur incontestabilité. Elles sont alimentées par le noyautage des jurys de recrutement et des comités en charge de l’orientation des crédits de recherche. Ceux-ci favorisent mécaniquement les “chercheurs” s’engouffrant dans ce moule idéologique, duquel sont exclus tous les esprits libres qui questionnent les biais idéologiques de ces théories.

    La Sorbonne nous a apporté une preuve exemplaire de ce phénomène en nommant l’année dernière le Député Danièle Obono, issue de LFI et proche des indigénistes, au conseil d’administration d’une de ses unités de formation et de recherche au titre de “personnalité qualifiée” extérieure.

    Mais l’histoire ne s’arrête pas là. L’étudiant de Lyon II auteur des révélations citées plus haut fut harcelé et physiquement menacé pour avoir dénoncé ce manque de pluralisme, sans que la direction de l’université ne lui manifeste le moindre appui ou ne cherche à sanctionner les auteurs de l’intimidation. Il affirme néanmoins avoir reçu de nombreux et discrets soutiens d’étudiants et de professeurs.

    Face à une telle dérive scolaire, comment expliquer toutes ces grandes et petites lâchetés ? Comment expliquer que les étudiants et les professeurs, qui refusent de communier à la grande religion “intersectionnelle”, se taisent et se cachent?

    Car malheureusement ce témoignage ne révèle pas seulement la dérive d’un établissement, il est le symptôme d’un mal profond qui pourrit l’ensemble de notre système d’enseignement supérieur, public ou privé, qui n’épargne pas les écoles de commerce mais frappe tout particulièrement les filières en sciences sociales et humaines.

    Autrefois lieu du débat et de la recherche, l’enseignement supérieur est devenu le bras armé d’un progressisme militant et sectaire où les dissidents sont dénoncés, insultés et évincés.

    Les exemples ne manquent pas. Pour n’en citer que quelques-uns : Stéphane Dorin, professeur à Limoges, licencié pour avoir dénoncé les théorie décoloniales ; Alain Finkielkraut, copieusement insulté à l’occasion de son invitation à science po Paris ; Philippe Soual, docteur en philosophie, qui s’est vu retirer définitivement son cours à la fac de Toulouse Jean-Jaurès suite à sa participation à l’université d’été de la Manif pour tous sur le thème: “Qu’est-ce que l’homme?” ; l’appel à la haine contre Laurent Bouvet, professeur de science politique à l’université de Versailles-Saint-Quentin-en-Yvelines qui avait dénoncé le port du voile islamique par une dirigeante syndicale de l’UNEF.

    Fleurant bon ce nouveau “business”, certaines écoles sont allées jusqu’à la création de programmes dédiés à ces théories, comme à Science po Paris avec l’ “Effective Gender Equality in Research and the Academia” (égalité de genre effective dans la recherche et l’Académie).

    C’est ainsi que nous assistons à la fin du débat, à la disparition de l’esprit critique face au conformisme ambiant, à la destruction de la langue, à la mort de l’intelligence tout simplement. Le summum de la bêtise ayant été atteint dans la tentative d’empêchement de la représentation de la pièce d’Eschyle Les Suppliantes à la Sorbonne pour cause de “black face”.

    Ce totalitarisme rampant est d’autant plus terrible qu’il se cache derrière la morale et la tolérance pour justifier des positions haineuses et racialistes contre les européens et leur culture et “les soi-disant dominants” au détriment de la qualité de l’enseignement.

    C’est ainsi qu’un profond lavage de cerveau s’opère dans l’indifférence générale sur toute une génération.

    Avec l’ISSEP, nous œuvrons à la défense d’un véritable pluralisme intellectuel au sein de nos programmes. Nous apprenons à nos étudiants à débattre des idées, à étudier un auteur et son détracteur, à construire une argumentation. Nous ne disons pas à nos étudiants ce qu’ils doivent penser, ils assimilent des connaissances et les restituent comme ils l’entendent, forts de l’esprit critique que nous nous employons à développer chez ces futurs dirigeants. Notre mission pédagogique apparaît plus nécessaire que jamais.

    RémiBrague a été interrogé par l’ISSEP. Extrait :

    Comme universitaire, ayant occupé des chaires tant à la Sorbonne qu’à l’université de Munich, quel regard portez-vous sur les échanges et débats entre les différentes universités ? Sont-ils nombreux et enrichissants ou déplorez-vous en philosophie, comme l’écrivain Michel Houellebecq en littérature, un effacement de cette vie intellectuelle une fermeture des esprits et un tarissement de ces échanges ?

    J’ai eu effectivement l’honneur d’enseigner dix ans à Munich, à la fin de ma carrière, en parallèle avec Paris I. J’ai aussi été quatre fois professeur invité aux États-Unis et, pour des séjours plus brefs, en Espagne et en Italie. Cela ne suffit pas pour porter des jugements un peu sérieux sur les qualités et défauts des systèmes universitaires. En tout cas, les échanges sont moins intenses et par conséquent moins fructueux qu’ils ne pourraient l’être. D’abord parce que la question des langues se pose. La plupart du temps, les échanges se passent en anglais, et en un anglais pas toujours très riche. Les communautés philosophiques restent quand même quelque peu centrées sur elles-mêmes. Je ne connais pas cette déclaration de Houellebecq. Elle me semble malheureusement assez juste. Nos sociétés se décomposent en groupes dont chacun a ses idées, ses lectures, ses héros et hérauts, etc. On n’a jamais autant parlé de “dialogue”, mais on entend tellement souvent : “on ne parle pas avec ces gens-là !”.

    https://www.lesalonbeige.fr/qui-est-ideologue-lissep-ou-luniversite-de-lyon/

  • L’insécurité à Paris en augmentation

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
    La préfecture de police de Paris a livré à l’Agence France Presse les chiffres de la criminalité sur les neuf premiers mois de l’année. Sans surprise, on constate une forte hausse de la délinquance, dans la continuité des chiffres du début de l’année qui s’annonçait déjà encore plus alarmants que les années précédentes. Ainsi, jusqu’au mois de septembre, plus de 230 000 délits ont été recensés à Paris, soit une hausse de plus de 10% par rapport à 2018. Cette hausse concerne indifféremment tous les arrondissements parisiens, du XVIIIe au XVIe. Pour l’adjointe (PS) à la Sécurité de la maire de Paris, Colombe Brossel « L’ensemble des faits de délinquance quotidienne explosent que ce soit les indicateurs de cambriolage, vols à la roulotte, vols avec violence… Ils sont tous au-dessus de 15%, voire bien au-delà »

    Quelles causes seraient avancées ?

    Pour la maire de Paris, cette hausse de la délinquance peut s’expliquer par le mouvement des Gilets jaunes, qui a mobilisé les forces de l’ordre pour la surveillances des manifestions plus que pour la sécurité des Parisiens… Pas un mot sur la proportion d’étrangers dans ces délits qui se multiplient – rappelons que les statistiques ethniques sont interdites. Mais LCI citait en juillet dernier un haut fonctionnaire du ministère de l’Intérieur en ces termes : « La proportion d’étrangers mis en cause augmente clairement, notamment dans la délinquance du quotidien, comme les vols à la tire. Beaucoup sont en situation irrégulière dans l’Hexagone. »

    Peu de médias ont traité l’information

    Alors que les municipales se rapprochent, certains chiffres ne sont pas bons à être clamés sur les toits ! Effectivement, ce sujet qui touche près de deux millions de Français, n’a fait aucun grand titre. Parallèlement, l’affaire du voile qui présente les musulmans en victimes de l’intolérance latente des Français est sur représentée. Les médias auraient-ils plus d’hésitations à traiter des sujets qui pourraient remettre en cause une certaine forme d’immigration ?

    https://fr.novopress.info/215857/linsecurite-a-paris-en-augmentation/

  • Quel est le bilan de l’immigration en France ?

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    Catastrophique. La population a augmenté en France ces 40 dernières années de 8 millions d’habitants (immigration + naissances + augmentation de la durée de vie) alors que le nombre d’emplois offerts reste le même.
    Nous entretenons donc une classe oisive qui, contrairement à celle de Veblen, n’apporte pas grand chose au développement des arts.
    L’immigration d’avant 1960 apportait, elle, beaucoup aux arts.
    Revoir « Midnight in Paris », de Woody Allen.
    Penser à Picasso, Dali, Foujita, Hemingway, Miller, Josephine Baker, Sydney Bechet.
    Ces gens se plaisaient en France et Josephine Baker ne l’a pas envoyé dire .
    Nous avons aujourd’hui en plus une immigration qui ne se plaît pas en France, à qui on a appris à détester son style de vie, son drapeau et même son histoire.
    MAIS EN CE CAS, QUE VIENNENT-ILS DONC Y FAIRE ?
     Juste des gosses et toucher pour cela des allocations?
    Pourquoi diable verser encore des allocations au-delà du deuxième enfant?
    Nous cherchons à renouveler les générations, pas à vivre de plus en plus serrés!
    L’immigration n’arrange en fait NI les autochtones, NI les immigrants du Sud qui y ont perdu dignité et climat.
    Elle n’arrange que MM. les exploiteurs d’icelle, de l’échelle massive d’un Bouygues à celle bien plus modeste d’un Dupond-Moretti.
    Malheureusement, les exploiteurs massifs possèdent justement les médias et de ce fait jusqu’à la macronie elle-même.

    François-Dominique Armingaud, ancien Responsable de sécurité informatique chez IBM pour Qora.com

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/10/quel-est-le-bilan-de-limmigration-en.html

  • Grand Remplacement : le « complot » est une réalité

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    Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ Invité sur BFM le 7 octobre dernier, Robert Ménard a rejeté l’idée d’un « match retour » entre Macron et Marine en 2022, estimant que la présidente du Front national « n’était pas une bonne candidate » pour la prochaine présidentielle au motif que sa présence donnerait à l’actuel locataire de l’Elysée « l’assurance d’être réélu ». Pour autant, le maire de Béziers rejette lui aussi « l’emploi de l’expression Grand Remplacement », selon laquelle « la population européenne serait remplacée de manière organisée par une population immigrée », théorie qu’il juge « complotiste ».

    C’était déjà ce que proclamait le 4 juin 2016 Florian Philippot, qui rejetait avec condescendance ce concept, ajoutant : « Ce que je n’aime pas dans cette notion, c’est que c’est extrêmement flou et qu’on peut y mettre ce qu’on veut derrière, y compris des théories qui seraient racialistes et complotistes. » Lui préférait évoquer le « phénomène qui s’appelle l’immigration massive, dont sont responsables la droite et la gauche depuis des années et des décennies ». Tout à fait d’accord. Mais s’est-il jamais demandé si, « depuis des décennies », « la droite et la gauche » mais malheureusement aussi les Eglises, dont celle de Rome où le Souverain Pontife a inauguré le 29 septembre place Saint-Pierre un monument aux Migrants (selon lui : « la chair de l’Eglise »), ne sont pas en service commandé ?

    Grand remplacement réalité ou intox ? Il est temps de trancher !

    La panacée onusienne des « migrations de remplacement »

    Comme Robert Ménard aujourd’hui, Philippot semblait en effet avoir oublié un document irrécusable prouvant l’existence, la détermination et la nocivité des « remplacistes » : le rapport diffusé début janvier 2000 par la « Division de la Population, Département des Affaires Economiques et Sociales des Nations Unies ».

    Ce texte capital envisageait froidement les « migrations de remplacement » (eh oui !) comme seule « solution au déclin et au vieillissement des populations » de notre continent, faute de quoi les gouvernements seront contraints de « réviser beaucoup de leurs options et programmes économiques, sociaux et politiques ». Un « accroissement de la population d’âge actif par le biais d’une migration internationale demeurera, pour le court et le moyen terme, le seul choix permettant de réduire l’importance de la baisse », martelait ce rapport qui soulignait encore que le maintien d’un niveau de vue décent « exige dans tous les cas de figure une immigration beaucoup plus importante que dans le passé [avec] l’intégration d’un nombre important de migrants récents et de leurs descendants » (dont, soit dit en passant, 40% sont au chômage en France).

    Quel nombre ? Interrogé dans Libération le 6 janvier 2000, le démographe français Joseph-Alfred Grinblat, l’un des auteurs du rapport onusien, assénait froidement : « A évolution constante, l’Union comptera 5 millions d’habitants de moins en 2025, 40 millions de moins en 2050. […] Par simple projection mécanique […], l’Europe, pour simplement maintenir sa population active à son niveau absolu de 1995, aurait besoin de 24 millions d’immigrés d’ici à 2025. S’il s’agit de préserver l’équilibre actuel entre actifs et inactifs, les besoins de main-d’œuvre étrangère montent carrément à 159 millions de personnes, dont 23 millions pour la France, 26 millions pour l’Italie et même 44 millions pour l’Allemagne. »

    Pour rétablir l’équilibre, l’expert conseillait-il le lancement d’une politique résolument nataliste comme s’y essayent maintenant la Hongrie et la Pologne ? Evidemment pas : ce que suggérait ce parfait VRP du mondialisme, c’est « le relèvement de l’âge de la retraite à 75 ans », en tablant perversement sur l’égoïsme et l’hédonisme des Occidentaux prêts à tout, y compris à subir un grand remplacement, pour préserver leurs « acquis ».

    Les résultats concrets du « fantasme »

    Près de vingt ans plus tard, la révolution ourdie par les idéologues manipulateurs du « Machin » (dont l’omniprésent milliardaire Soros qui, via sa fondation Open Society, finance les No Borders) agitant des chiffres extravagants pour mieux faire accepter une déferlante moins spectaculaire, est en marche. Par intérêt immédiat — après nous le déluge ! — ou par un dévoiement (parfaitement organisé) du devoir d’accueil à un prochain de plus en plus lointain, les envahis se résignent.

    Après l’arrivée de plus d’un million de réfugiés, Mme Merkel et le patronat allemand, dirigeants de Volkswagen et de Mercedes en tête, ne se sont-ils pas publiquement réjouis du « formidable coup d’accélérateur » que cette masse allogène, jeune et masculine en grande majorité, allait donner à l’économie germanique ? Jusqu’à présent, c’est plutôt la cadence des viols qui augmente puisqu’on ne compte plus les malheureuses gamines agressées et parfois assassinées par des Irakiens et autres Afghans (l’un d’eux est actuellement recherché pour le viol de deux gamines de 13 et 16 ans) qui s’est accélérée. Et la direction de Volkswagen a dû constater tristement qu’il faudra « au moins cinq ans » pour former ces gaillards — supposé d’ailleurs qu’ils le souhaitent — aux métiers de l’industrie les plus basiques et les convaincre que la discipline, des horaires et des équipes, est aussi la force principale des usines.

    Selon Caritas International, l’Italie s’est classée en 2018 – avec 5 255 503 résidents étrangers réguliers sur son territoire (8.7% de la population) – en troisième position de l’Union européenne derrière l’Allemagne et le Royaume-Uni, et juste devant la France en ce qui concerne l’accueil — forcé — de migrants.

    Grand Remplacement en Europe. La folie suédoise

    En Suède, le tsunami migratoire à très forte connotation musulmane a provoqué selon Sheri Berman, professeur à l’Université de Columbia, une « révolution anthropologique d’ampleur historique » aux conséquences incalculables et la France, dont toute l’actualité judiciaire, de la meurtrière « guerre entre tribus » à Marseille aux insupportables violences dans les transports ou les écoles, est dominée, est liée à la présence toujours plus massive d’allogènes, est sur la même voie.

    Mais qu’importe aux « remplacistes » institutionnels et à leurs courroies de transmission « caritatives » qui soutiennent mordicus que nos pays sont bien assez riches pour recevoir toute la misère du monde, les réfugiés économiques — et, demain, climatiques — ayant autant de droits que les politiques ! L’essentiel est que les migrants soient désormais chez eux chez nous, d’où ils ne partiront pas. Toute incitation à leur retour au pays est d’ailleurs considérée comme raciste. Et donc condamnée, en vertu des totalitaires « lois-baillons » imposées par l’Union européenne à tous les Etats membres et dont, persécutés par la justice française, les jeunes militants de Génération Identitaire et le courageux Eric Zemmour viennent encore tout récemment de faire les frais.

    https://www.polemia.com/grand-remplacement-complot-realite/

  • LOI ALIMENTATION : UN PREMIER BILAN DÉSASTREUX

  • Irène Dimopoulou : “Combien de combats perdus en raison des lâchetés et compromissions de la droite libérale ?”

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    Irène Dimopoulou, longtemps directrice de l’hebdomadaire nationaliste grec Empros (En avant), et aujourd’hui assistante parlementaire d’un eurodéputé grec, a profité de la tribune qui lui a été offerte lors des Journées de Synthèse Nationale pour pointer les lâchetés et compromissions des droites libérale et libertaire.

    https://www.medias-presse.info/irene-dimopoulou-combien-de-combats-perdus-en-raison-des-lachetes-et-compromissions-de-la-droite-liberale/113376/

  • COMMENT NOS ENNEMIS SE REGALENT DE NOTRE FAIBLESSE (Olivier Piacentini)

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    olivier-piacentini.jpgEcrivain, essayiste, Olivier Piacentini (49 ans) est notamment l’auteur des ouvrages suivants (aux Editions de Paris) : Vers la Chute de l’Empire Occidental, Le Dossier Noir du Socialisme Français, Le Crépuscule de l’Occident (2017), La Mondialisation Totalitaire (2018), OPA sur l’Elysée (2018)… Il intervient régulièrement sur les réseaux sociaux et a accepté notre proposition de reprendre son article, récemment posté sur Facebook, concernant l’agression de la Turquie contre les Kurdes et le récent chantage d’Erdogan d’ouvrir les vannes du déferlement migratoire à 2 millions de migrants potentiels. En quelques phrases bien senties, tout est dit sur la faute originelle de Madame Merkel et la duplicité d’Erdogan…

    Il y a trois ans, Mme Merkel négocia, sans associer ni même prévenir aucun de ses partenaires européens, un accord avec Erdogan : pour 6 milliards d’euros de « rançon », la Turquie s’engageait à retenir les migrants sur son sol. Ce sont désormais deux millions de réfugiés qui sont retenus sur le territoire turc, à la merci d’Erdogan et de l’AKP. Et voilà comment transformer un islamiste patenté, ennemi  déclaré de l’Europe et de l’Occident, qui proclama un jour qu’il œuvrait à l’islamisation du vieux continent, en maître de la politique migratoire de tous les pays européens, l’arbitre de notre identité multiséculaire.

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  • Eric Zemmour a décidé de saisir la Cour européenne des droits de l’homme

    En septembre 2016, lors d’un numéro de « C à vous », Eric Zemmour avait déclaré que les musulmans devaient choisir « Entre l’islam et la France » et « que la France vivait depuis 30 ans une invasion ».

    A la suite de cette émission, le polémiste a été condamné à 3000 € d’amende par la justice française pour provocation à la haine religieuse.

    Selon Le Point, il a décidé de saisir la CEDH. « La décision de condamner Zemmour porte atteinte à la liberté d’expression et constitue une atteinte au procès équitable », a déclaré son avocat Me Antoine Beauquier à l’hebdomadaire le Point.

    Notre recours pose la question suivante : la France laisse-t-elle encore à quelqu’un le droit d’être un polémiste ? 

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  • Voile islamiste : Emmanuel Macron botte en touche pour concilier la chèvre (islamo-gauchiste) et le chou (laïque)

    Voile islamiste : Emmanuel Macron botte en touche pour concilier la chèvre (islamo-gauchiste) et le chou (laïque)

    La lettre de Valeurs Actuelles relève la vacuité avec laquelle le chef de l’Etat a évacué l’affaire du voile :

    Ne pas « stigmatiser » les musulmans, mais être intraitable avec le « communautarisme », c’est en substance ce qu’aurait déclaré le président de la République en marge du sommet franco-allemand de Toulouse auquel il assistait hier. Magnifique démonstration non seulement de langue de bois, mais aussi — et surtout ! — de “double langage”, à la manière de ces apparatchiks orwelliens capables de soutenir, mordicus, deux propositions parfaitement opposées tout en vous regardant dans le blanc de l’œil. Car, n’en déplaise à Emmanuel Macron, se servir du terme de “communautarisme” pour esquiver plus ou moins habilement la question de l’islam et de son “double maléfique”, l’islam politique, ne fera que repousser un débat inéluctable. Au mieux. Et pour cause : les deux termes recoupent des sujets différents, qui peuvent se télescoper mais ne sont en aucun cas interchangeables. On peut comprendre que le prince des centristes retrouve ses vieux démons (qui ne l’avaient jamais réellement quitté), ceux de la conciliation et des compromis à tout prix, alors même que la majorité se déchire autour de la question du voile ; Blanquer à droite, Taché à gauche, républicanisme contre collaborationnisme. Cette volonté de vouloir concilier coûte que coûte la chèvre (islamo-gauchiste) et le chou (laïque) est-elle une stratégie viable ? Il y a toutes les raisons du monde d’en douter. En attendant, l’« hydre islamiste » se porte plutôt bien.

    Bernard Antony souligne l’indigence du chef de l’Etat :

    Croyant peut-être placer une pensée originale dans les débats indigents sur le voile islamique, Emmanuel Macron a lancé la formule lapidaire « La laïcité c’est la liberté de croire ou de ne pas croire ».

    Formule hélas indigente ! Car la croyance islamique ce n’est pas seulement la foi en Dieu ; c’est la soumission à l’injonction cent fois répétée dans le Coran ; « Obéissez à Dieu, obéissez à son prophète » !

    C’est obéir à la « Shahada » lancée indéfiniment comme un cri de guerre : « Il n’y a d’autre Dieu qu’Allah et Mahomet est son prophète ».

    Appel condamnant, comme cela est sans cesse répété encore dans le Coran, « Ceux qui associent d’autres Dieux à Dieu » et qui commettent ainsi « le seul crime impardonnable par Allah ».

    Et obéir au prophète, c’est obéir à la loi qu’il a établie pour les hommes, voulue par Allah ; la charia.

    Alors, liberté de croire ? Certes ! Mais il faut savoir que la croyance islamique c’est la croyance au commandement d’établir partout l’obéissance à la charia, quintessence du totalitarisme.

    Cela, c’est bien différent de la phrase fondatrice de l’authentique laïcité : « Rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu ».

    Mais cela, ce n’est pas la doctrine de Macron !

    https://www.lesalonbeige.fr/voile-islamiste-emmanuel-macron-botte-en-touche-pour-concilier-la-chevre-islamo-gauchiste-et-le-chou-laique/

  • 66% des Français favorables à l’interdiction du port du voile aux accompagnatrices de sorties scolaires

    Suite à la polémique suscitée autour d’un affiche de la FCPE montrant une femme voilée lors d’une sortie scolaire, l’Ifop a réalisé pour Sud radio les 25 au 26 septembre une enquête qui montre un soutien massif des Français à une interdiction du port de signes religieux  aux accompagnatrices de sorties scolaires et un avis plutôt mitigé sur la campagne d’affichage de la fédération de parents d’élèves.
    Réalisée avant la polémique déclenchée ce week-end par un élu RN au Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté, cette étude montre en effet qu’une large majorité de Français (66%) soutient l’idée – défendue notamment par Jean-Michel Blanquer  – d’interdire le port de signes religieux ostensibles aux accompagnateurs de sorties scolaires.
    Dans le détail des résultats, cette idée qui vise essentiellement les musulmanes portant un voile au nom du respect de préceptes religieux imposés aux femmes est soutenue dans toutes catégories de l’électorat, y compris par une majorité de sympathisants de gauche comme ceux de la France Insoumise (63%) ou du Parti socialiste (60%).
    C’est néanmoins dans les rangs des sympathisants de la REM (76%) et de LR (83%) que l’on trouve le plus de personnes favorables à l’évolution de la législation sur le sujet.
    L’opinion des Français sur l’affiche de la FCPE ayant fait polémique il y a quelques semaines est également plutôt partagée.
    En effet, si une majorité de Français (55%) considère qu’elle renvoie une image de tolérance et d’inclusion à l’égard des parents d’élèves musulmans, les deux tiers d’entre eux y voient aussi un façon pour l’association de « flatter le communautarisme ».
    POUR LIRE LES RESULTATS DE L’ETUDE, CLIQUEZ SUR LE LIEN CI-DESSOUS :
    https://www.ifop.com/publication/les-francais-et-la-polemique-sur-laffiche-de-la-fcpe/
    Etude Ifop-Fiducial pour Sud Radio réalisée par questionnaire auto-administré en ligne du 25 au 26 septembre 2019.auprès d’un échantillon de 1 013 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
    Crédit photos : DR
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