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magouille et compagnie - Page 1219

  • Les patrons du CAC 40 gagnent en moyenne 277 fois le Smic, un record depuis 15 ans

    Les patrons du CAC 40 (ici le trio de tête Charlès, Ghosn, et Pinault) gagnent en moyenne 277 fois le Smic, un record depuis 15 ans - @AFP

    La rémunération moyenne des présidents des groupes cotés au CAC 40 a grimpé de 12,4% sur un an. Celle des salariés de leurs groupes de 4,8 %. Soit trois fois moins.

    Du jamais vu depuis la crise économique des années 2000. Les patrons des plus grandes entreprises françaises ont en moyenne gagné 5,8 millions d’euros en 2018. Un salaire en augmentation de 12,4% pour s’établir à un nouveau record depuis l’année 2003 selon Proxinvest, une société de conseil aux investisseurs.

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  • Fusion des régions : où sont passées les économies promises ?

    Breizh Info – Pour justifier le regroupement des régions, le Gouvernement avait besoin de trouver un argument imbattable ; ce fut les économies. Quatre ans plus tard, la Cour des comptes n’a pas trouvé trace de ces économies annoncées.

    Des économies annoncées

    L’objectif était clairement défini : « La réforme territoriale va permettre des économies… », indiquait André Vallini, secrétaire d’État à la réforme territoriale (Le Parisien, 17 décembre 2014). Pour vanter le grand dessein de François Hollande qui voulait diviser par deux le nombre des Régions, ce dernier avait utilisé un argument massue : cela permettra de faire « entre 12 et 25 milliards d’économies » ; il disait tenir l’estimation des « meilleurs spécialistes » (Le Figaro, 9 mai 2014).

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  • Geneviève de Fontenay : « Moi, je ne suis pas sûre que Macron finisse son quinquennat »

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    Entretien exclusif

    Geneviève de Fontenay a bien voulu accorder une interview à Boulevard Voltaire. Concours des Miss France, mœurs, féminisme, ses relations avec Emmanuel Macron, situation politique et sociale, tout y passe… sans langue de bois !

     
  • Macron : les mots qui l'ont tué

    Jamais un président de la République n’avait osé tenir autant de propos qui clivent. Les piques seront retournées contre leur trop léger inventeur, qui a simplement oublié que la politique est aussi une histoire d’amour aide haine.

    Les phrases-chocs de Macron, on les a entendues dès la campagne présidentielle du jeune technocrate aux dents longues. Parfois passées médiatiquement sous silence, elles ont quand même révélé les faiblesses d'un candidat adoubé par un système déliquescent. C'était en février 2017 alors que le « navire » Fillon coulait, Macron affirme « Il n'y a pas de culture française. Il y a une culture en France. Elle est diverse ». Deux semaines plus tard, il renouvellera ces propos à Londres, ajoutant qu'il n'a jamais vu l'« art français »… Pas besoin d'être sur les terres de la Perfide Albion pour se lancer dans l'autodénigrement du pays. En Algérie, le jeune candidat se permet d'aborder le passé colonial français. Sans précaution. Avec sa haine du passé français « La colonisation fait partie de l'histoire française. C'est un crime, c'est un crime contre l'humanité, c'est une vraie barbarie. » Comment affirmer que la colonisation fait partie de l'Histoire de France tout en insinuant qu'elle sent fortement le génocide ? Macron se lançait là dans un de ses procédés favorits : établir un clivage entre les Français, les bons qui sont les gentils et les méchants, qui sont des moins que rien.

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  • Demain la guerre… civile

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    Pierre Brochand, ex-ambassadeur de France et surtout ex-patron de la DGSE est bien placé pour faire le point sur le phénomène migratoire et ses graves conséquences pour notre pays. C’est devant la fondation Res Publica de Jean-Pierre Chevènement que notre ambassadeur s’est exprimé. Le mensuel Causeur nous en offre une synthèse qui a le mérite d’être claire. Axe central du discours, l’idée que le terrorisme ne sera rien face à l’explosion des banlieues. Ce que nous cessons, à Synthèse nationale, de dénoncer.

    À consulter ICI.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Déclaration d'intérêts : la ministre Elisabeth Borne a omis de mentionner son poste d'administratrice d'un lobby de constructeurs

    La ministre Elisabeth Borne a été membre d'un lobby de constructeurs pendant plusieurs années. - AFP.
    Info Marianne
    Elisabeth Borne a été membre du conseil d'administration d'un lobby de constructeurs quand elle était patronne de la RATP... et ne l'a pas mentionné dans sa déclaration d'intérêts.
    Le cabinet de la ministre assure qu'elle n'était pas obligée de signaler ce mandat, une position que la HATVP a validée.
    Cette analyse interroge...

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  • Blocages macroniens

    6a00d8341c715453ef0240a4fdccb1200b-320wi.jpgEn ce 2 janvier, premier jour ouvrable de la nouvelle année, et 29e jour de grève, se dissipent à peine les flonflons de la fête. Celle-ci s'est traduite par 400 interpellations, des centaines d'incendies volontaires et les embarras digestifs habituels. Les Français ordinaires vont reprendre leurs galères respectives. Et beaucoup de nos concitoyens et cocontribuables se posent sûrement la question : comment donc en est-on arrivé là ?

    D'un côté, l'immense majorité de ce pauvre peuple se rendra au travail dans des conditions de transports épouvantables.

    Les autres, moins de 1 % de la population active, demeurent dans le conflit, sans aucune issue prévisible.

    Pendant ce temps une perte irrémédiable affecte quelque 30 % du commerce d'Île de France, les recettes touristiques et une bonne part de l'activité économique du pays.

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  • Gilets jaunes : la révolte des Français de souche

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    Les Gilets jaunes, ce n’est pas tant ce qu’ils disent ou ce qu’ils font qui compte, mais plutôt ce qu’ils sont : une majorité silencieuse qui ne se faisait jamais entendre, et qui aujourd’hui existe en jaune.

    Dans l'analyse de la France d'en bas, il y a d'abord à reconnaître un crime. Au-delà du fait d'avoir été tués fiscalement, les gilets jaunes ont d'abord été niés scientifiquement et statistiquement. Le géographe Christophe Guilluy avait remarqué que la notion de « pôles urbains » intégrait tout le monde en gommant la spécificité de la France périphérique. Or vivre dans le centre de Paris ou à Chateaudun, ce n'est pas la même chose. Sauf pour l'Insee. Résultat, 83% des Français sont assimilés à des urbains, ce qui ne veut plus rien dire. La France des GJ c'est cette France périphérique, pas nécessairement péri-urbaine, mais aussi bien rurale que pavillonnaire. Des Français qui ne sont pas dans les centre villes. Mais qui vivent dans les marges du pays, là où rien ne se décide, mais où tout se subit.

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  • Nocivité des impôts : successions, revenus, taxes (avec André Gandillon)