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magouille et compagnie - Page 1231

  • Dire que les radars sont des biens publics, c’est du foutage de gueule !

    Lu le 21 décembre sur le site du Télégramme : « Le radar de Ploudaniel, au bord de la D770, entre la RN12 et le centre-bourg, a été volontairement incendié dans la nuit de jeudi à vendredi.
    Des pneus ont été disposés autour et des individus y ont mis le feu. Le radar est hors d’usage. L’équipement permettait de réduire la vitesse aux 80 km/h réglementaires sur cet axe particulièrement accidentogène. Cinq personnes (dont trois enfants) y ont perdu la vie en 2018. »

    D’après l’illustration de l’articulet, c’est un radar de campagne comme tant d’autres. Autrement dit, un gangster qui dévalise les ploucs, les culs-terreux, les Gilets jaunes du coin.
    Depuis le passage aux 80 km/h, plus personne ne supporte le racket d’État. Alors le radar, comme nombre de ses semblables, ramasse quelques coups.

    Évidemment, le régime et ses complices essaient d’enfumer les bouseux si peu subtils et si peu intelligents en prétendant que, grâce à ce radar, les accidents seraient moins nombreux. Pensez, une route où il y aurait eu cinq morts (dont trois enfants) et des blessés à foison. Sauf que lorsqu’on étudie les causes des accidents (qui n’ont pas tous eu lieu dans le secteur du radar), on s’aperçoit qu’il s’agit d’un suicide, d’alcoolisme massif, d’un important dépassement de vitesse, d’une crise cardiaque au volant. Radar ou pas, le résultat aurait été le même.

    Les mensonges radaristes de l’État et de ses collabos ne nous offusquent plus.
    Mais lorsque Pierre Chasseray, délégué général de l’association 40 millions d’automobilistes, fait à son tour la morale à la France périphérique des beaufs, des abrutis, des sans-dents qui en ont marre de se faire assommer dès qu’ils prennent le volant, en lançant sur une chaîne d’État : « Qui dit vandaliser dit les Français vont devoir payer », « vandaliser ne sert à rien, c’est une évidence », en faisant des voleurs au flash un bien public, là on se dit que le bonhomme est en train de se castrer à coups de cric.

    Un air de Brassens nous envahit :
    Les péquenots qui détruisent le bien public,
    Bien public, bien public,
    En s’foutant pas mal du r’gard oblique
    Des flashballeurs malhonnêtes,
    Ont des p’tites gueul’s bien sympathiques

    Pierre Chasseray, ne copinez pas avec Choupinet le maquillé, ne jouez pas au poker avec Castaner qui ne tardera pas à nous dire que les radars sont des êtres humains comme les autres, n’absolvez pas les flics qui, pour une obole, retourneront au turbin sans états d’âme (d’âne) pour protéger les détrousseurs de nos routes vicinales.

    Dire que les radars sont des biens publics comme les bancs du même adjectif, c’est du foutage de gueule. Protéger les bandits manchots postés sur les accotements de nos routes, les vicelards qui tirent le portrait de nos plaques d’immatriculation sans notre consentement, revient à vouloir sauvegarder les voyous, les voleurs à la tire, les maîtres-chanteurs sous prétexte qu’ils font partie de notre patrimoine national. Demain – à moins que ce ne soit déjà le cas – les égorgeurs, les “Allahu akbar” qui nous fichent la trouille, qui embrouillent notre vie, seront aussi des espèces protégées.

    Les radars ne sont pas un bien public mais des monstres métalliques, des bactéries géantes qui prolifèrent parce qu’un État, en manque perpétuel de fric, nous les impose, les payant avec notre argent pour nous en soutirer encore plus.

    « Où va le pognon ? »

    Une partie va dans les voyages de Choupinet à Saint-Martin, une autre sert à engraisser Benalla, une autre à accueillir des “zartistes” sur le perron de l’Elysée pour une Fête de la musique qui restera dans les annales (voire les anus) de la décadence, une autre est utilisée pour acheter des VBRG servant à mater, comme dans toute bonne dictature, une révolte populaire, une autre encore à acheter les R2-D2 qui nous matraquent pécuniairement parce qu’on a dépassé de 2 km/h les sacro-saintes limitations de vitesse. Visiblement, à constater sa dégradation, le pognon n’est pas utilisé pour entretenir notre réseau routier.
    Être citoyen, c’est aussi avoir la force de dire NON aux casse-bonbons photographes dont les clichés servent à ponctionner régulièrement nos maigres comptes en banque, c’est admirer le courage de ceux qui peinturlurent en putes de cinéma ces robots à 100 000 €, la bravoure de ceux qui jouent au nacklacing(supplice du pneu ou collier de feu en Afrique du Sud) avec les collabos en ferraille du régime.

    Les radars sont les nouveaux outils du servage aux mains des seigneurs de la cour du p’tit Cron et de ses mignons, ils sont les nouveaux instruments de la domination de populations taillables et corvéables à merci.

    Exterminate”, crient les extraterrestres daleks dans le feuilleton anglais Doctor Whoquand ils affrontent leurs ennemis.
    Chaque fois que je vois une de ces boîtes de conserve grises plantée sur le bas-côté, je pense un peu comme eux.

    Marcus Graven

    https://ripostelaique.com/dire-que-les-radars-sont-des-biens-publics-cest-du-foutage-de-gueule.html

  • Fatigues nos policiers, vraiment ?

    Avec ironie, Pierre Cassen s’interroge sur la présumée fatigue des policiers, et cité plusieurs exemples montrant que jusqu’au bout de l’année, certains d’entre eux seront demeurés de zélés serviteurs de Macron.

    Voir la vidéo  https://tvs24.ru/ripostelaique/cc-content/uploads/h264/pz4ah7Y18wdpFgXVLkE7.mp4

     

  • Etienne Chouard : «Neuf milliardaires ont acheté pratiquement tous les journaux du pays. C’est extrêmement dangereux…»

    L’interview complète sur sudradio

    Vidéo intégrée
    Marc Herstalle@herstalle


    «Il n'y a presque plus de . Il y a quelques journalistes qui font encore le boulot, mais la plupart sont achetés par 9 milliardaires. Neuf milliardaires ont acheté pratiquement tous les journaux du pays. C'est extrêmement dangereux... » @Etienne_Chouard 

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  • Pour un vrai référendum d’initiative populaire, réformons le Conseil constitutionnel !

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    Par Eric Delcroix, juriste, essayiste et écrivain ♦ Le référendum d’initiative populaire ou citoyenne est devenu la première des revendications des Gilets Jaunes. Reste que la mise en place de ce référendum – si elle a lieu un jour – obligera ses défenseurs à considérer la problématique du pouvoir démesuré des juges du Conseil constitutionnel. Pour Eric Delcroix, une réforme radicale de cette institution est une obligation.

    Les grands médias audio-visuels ont, à l’occasion du mouvement des Gilets jaunes, facilité la tâche des Insoumis et autres scories communistes pour passer, sous le couvert de cette colère de la France périphérique, leurs propres mots d’ordre. Le meilleur et le pire donc, mais nous retiendrons au titre du meilleur la proposition d’inclure dans la Constitution le référendum d’initiative populaire (dite « citoyenne », la mutation du substantif citoyen en adjectif étant une marque du gauchisme contemporain).

    Cette bonne idée avait été dévoyée, il est vrai, en référendum d’initiative partagée, machinerie improbable concoctée par Nicolas Sarkozy de manière à n’être en aucun cas opérationnelle (nécessité de réunir un cinquième des membres du Parlement et un dixième des électeurs inscrits – cf. art. 11 modifié de la Constitution).

    De la difficulté de faire valoir ses prérogative avec une justice orientée

    A très juste titre, Éric Zemmour, favorable à ce que les Suisses appellent « votations » imposées par le peuple, s’est inquiété du contrôle que pourrait exercer en amont le Conseil constitutionnel qui, depuis 1971, par un véritable coup d’État juridictionnel dit du « bloc de constitutionnalité », s’arroge le droit de juger en fonction des proclamations déclamatoires et moralisatrices empilées dans le préambule de la Constitution. « Cela fait des années que le Conseil ’’ré-écrit la constitution’’ » constate le professeur Jacques Krynen. Aussi le publiciste met-il en garde contre un filtrage captieux par le Conseil constitutionnel, juridiction très politiquement orientée car émanant directement de la classe dirigeante, et souhaite donc que le Conseil soit mis, dans ce cas, hors du jeu.

    Toutefois, il est peu vraisemblable que puisse être mise en place une pareille institution référendaire sans un contrôle formel, au moins préalable, de la recevabilité des demandes de scrutin. Et c’est  bien là que le bât blesse…

    Pour un Conseil constitutionnel axiologiquement neutre

    Une nouvelle réforme de ce qui subsiste de la constitution de 1958 pour instaurer le référendum d’initiative populaire devrait être accompagnée d’une réforme corrélative du Conseil constitutionnel. En effet, il convient de le rendre, autant que faire se peut, axiologiquement neutre, en gage d’impartialité. Un tel principe de neutralité passé de mode révulse, il est vrai, les tenants des droits de l’homme et de l’État de droit, ce système de gouvernement des juges dont les historiens du droit savent qu’il est en France l’antonyme d’État républicain…

    Cette réforme salutaire devrait :

    1°- Interdire au Conseil constitutionnel de s’appuyer sur le préambule de la Constitution et se cantonner à juger en fonction de la lettre des seuls 89 articles de la Constitution elle-même et des lois organiques subséquentes. Bref, refaire de cette juridiction un collège aussi impartial et technique que possible ;

    2°- Assurer cette impartialité en révoquant tous les membres actuels du Conseil constitutionnel et en les remplaçant par neuf citoyens tirés au sort, dont trois au moins gradués en droit, et renouvelés très fréquemment, peut être même tous les ans.

    Faudra-t-il la révolution pour en arriver là et voir aussi des Gilets jaune au Conseil constitutionnel à la place de nos vieux politiciens placé par la faveur abusive de nos présidents ?

    Éric Delcroix 28/12/2018

    https://www.polemia.com/referendum-initiative-populaire-ric-conseil-constitutionnel/

  • Pétition climat : l’affaire du siècle ou l’arnaque du siècle ?

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    Ces derniers jours, sans doute avez-vous entendu répéter régulièrement, dans les médias, un message du type : « Il y a, en ce moment, une pétition qui cartonne. Jamais, en si peu de temps, on n’était arrivé à regrouper autant de signatures. » Il s’agissait, bien sûr, de la pétition en faveur du climat lancée par quatre ONG écologistes : Greenpeace, Oxfam, la fondation Hulot et Notre affaire à tous.

    Cette évolution stupéfiante du nombre de pétitionnaires (400.000 en douze heures, selon un tweet de Greenpeace) a éveillé la curiosité de certains internautes et du club des professionnels en informatique, qui se sont amusés à signer plusieurs fois, voire plusieurs milliers de fois, à l’aide d’algorithmes afin de vérifier la robustesse des contrôles de signature.

    Évidemment, ils n’ont pas été déçus. Cette pétition, hébergée par l’un de ses organisateurs, la plate-forme Greenpeace France, pouvait faire l’objet de signatures automatiques car aucun contrôle par retour d’e-mail ou CAPTCHA® n’a été mis en place. Pire : comment ne pas imaginer que cette organisation, tellement active pour le sauvetage de la planète, n’a pas été tentée de manipuler des bases de données d’e-mails pour faire des imports de pétitionnaires, comme le suggère, avec de bons arguments, le consultant Cédric Moro, dans un article pour le journal Contrepoints ? Les records de signatures, largement battus, d’autres pétitions nationales ou internationales le laisseraient à penser.

    Ce manque de rigueur et d’impartialité n’a jamais été soulevé par la presse et les médias, dans leur ensemble, se sont révélés, une fois de plus, d’une légèreté accablante et d’un parti pris relevant de la manipulation.

    Le ministre de l’Écologie lui-même s’est exprimé en tant que soutien du message véhiculé par ces organisations, en rappelant que « nous vivons un état d’urgence climatique », et cela, pour essayer de redorer son blason d’écologiste après le camouflet infligé à la politique de taxation des carburants.

    Comment pouvait-il en être autrement, quand on sait que Greenpeace, Oxfam et la fondation Hulot appartiennent au Réseau action climat, largement subventionné par ce même ministère ? Ces subventions ont peut-être servi à la fabrication du clip de lancement de la pétition, où apparaissent quelques vedettes du show-biz, ou à l’achat d’espace publicitaires sur Facebook pour son lancement. Elles pourront peut-être servir également à soutenir l’action en Justice qu’elles comptent entreprendre contre l’État… pour inaction climatique !

    Marc Le Menn

    http://www.bvoltaire.fr/petition-climat-laffaire-du-siecle-ou-larnaque-du-siecle/

  • CNews se fait virer de la manifestation des Gilets Jaunes sur les Champs Élysées.

  • Le vrai visage de la Macronie.

    Pendant que Benalla se promène de-ci dela de par le vaste monde pour faire des affaires louches avec des passeports diplomatiques élyséens sans être nullement inquiété par le pouvoir tant que la presse ne révèle rien, les libertés publiques sont de plus en plus violemment mises à mal en France.

    On a déjà parlé des arrestations arbitraires qui contreviennent à la liberté de manifester pour les motifs les plus farfelus tel que le port de lunettes de piscine. 
    On commence à se mobiliser contre les inadmissibles violences répressives ordonnées par le gouvernement et qui ont visé le peuple de France. 
    Des manifestants commencent quant à eux à être très lourdement condamnés, comme cette militante communiste qui vient d’écoper de 3 mois fermes et qui n’est rien d’autre qu’une prisonnière politique.
    A présent, il faut aussi savoir que la macronie fait convoquer des journalistes, ceux de La Charente Libre en l’occurrence, afin qu’ils soient MIS EN CAUSE (pas témoins hein, mis en cause !!!) pour avoir RELAYÉ (c’est-à-dire fait leur boulot de journalistes) la mise en scène de décapitation d’un pantin à l’effigie de Macron. 

    La Macronie essaie donc d’incriminer le travail journalistique, tranquillou Bilou.
    Sans que cela ne semble déranger grand monde.
    Je ne suis personnellement pas fan de ces mises en scène macabres, j’avais d’ailleurs déjà eu l’occasion de le dire lors d’une pendaison factice de pantin pendant les manifestations contre la réforme de la SNCF, mais cela reste un symbole, juste un symbole, comme celui du rappeur noir qui appelle à pendre et tuer des blancs et qui n’a pas été inquiété par la justice. 
    Attenter à ce point aux libertés fondamentales telle que la liberté d’expression et surtout la liberté de la presse est décidément gravissime.

     On savait déjà que cette majorité est profondément liberticide, loi fake news, propagande incessante, etc.
    À présent la répression est rehaussée encore d’un cran.
     Bienvenue en Corée de l’Ouest, avec le dingo Joachim Son-Forget en parfait porte-drapeau.
  • Le GIEC innocente le CO2 ! (l’urgence climatique est un leurre) (Claude Brasseur)

    Ce n’est pas l’échec de TOUTES les prédictions du GIEC qui mettra fin à la plus grande escroquerie de l’histoire, c’est le fait que des scientifiques qui laissaient falsifier leurs travaux pour obtenir titres, droit de publication, fonds de recherche etc. atteignent l’âge de la retraite et osent enfin dire la vérité…
    Le professeur François Gervais, physicien, examinateur du 5e rapport du GIEC (2011-2012) n’avait pas attendu l’éméritat pour dénoncer les pratiques du GIEC (1) et je vous présente brièvement comment il explique, dans une conférence, que les informations des rapports 5 et 5,5 (actuel) démontrent l’absence de rôle du CO2 dans les variations éternelles du climat.

    Si l’Europe se faisait hara kiri et ne consommait plus de carburants fossiles, cela éviterait théoriquement 0,01°C (un centième de degré!).
    La production de CO2 anthropique liée aux carburants fossiles explose depuis 1945… elle a été accompagnée d’un refroidissement durant 30 ans, ensuite d’un réchauffement qui se termine.
    Il s’agit d’un cycle naturel de 60 ans que le GIEC refuse d’évoquer.
    Si l’arctique témoigne de ce cycle de 60 ans, l’antarctique, lui, s’étend…
    Selon le GIEC lui-même, sa théorie bénéficierait d’un consensus.
    Etrange consensus où les variations de températures pour le futur oscillent entre 0,3°C et 4,8°C !
    Les rapports du GIEC à ce sujet sont basés sur les 100 modélisations informatiques qu’il finance…modélisations toutes totalement en désaccord entre elles et – pire encore – aucune n’est confirmée par les mesures réelles…
    Le GIEC exploite les mesures prédites par ses modèles pour vous effrayer et ignore les mesures réelles !!
    Vraiment étonnant : il n’existe pas un seul travail au sein du GIEC qui mesure les effets réels, précis, du CO2.
    Ainsi, le modèle d’atmosphère du GIEC imposait une diminution progressive de la température de la stratosphère.
    RIEN ne se passe !
    Et il existe d’autres preuves pour disculper le CO2 – preuves dont dispose le GIEC – comme les travaux sur son effet.
    Et le consensus parmi les scientifiques du GIEC est parfait : progressivement, toutes les études tendent à montrer une absence complète de rôle du CO2 dans la température.
    Elles démontrent même que si on mettait 10 fois plus de CO2 dans l’atmosphère, cela ne changerait rien, ce que relève JM Bonnamy (2)
    Pour bien convaincre(?) ses victimes, le GIEC publie un graphique présentant un extrait des variations du taux de CO2 et de la température terrestre durant les derniers milliards d’années : il n’y a pas de lien du tout entre les deux courbes !!
    Et, petite cerise sur le gâteau surréaliste : le GIEC nous menace de phénomènes naturels de plus en plus extrêmes.
    Nul ne sait pourquoi mais l’énergie cyclonique baisse, les ouragans et tempêtes faiblissent… on insiste sur les cas malheureux.
    François Gervais nous engage à penser utilement : il est vrai que le taux de CO2 est passé de 280ppm (parties par million,) à 400ppm et que ce phénomène a permis le verdissement de 18 millions de km². De plus, si le CO2 augmente, les plantes ont besoin de moins d’eau, le rendement agricole augmente… et j’irais jusqu’à proposer que les pays émergents versent une prime aux pays industrialisés pour les inciter à produire – proprement, sans pollution – un maximum de CO2.
    Finalement, le gros problème, c’est que 200.000 emplois vont disparaître avec le GIEC et, pire, on perd l’occasion d’installer une dictature onusienne mondiale « pour sauver le climat ».
    François Gervais sera-t-il le Luther du climat ?
    Celui qui met fin aux indulgences – climat ?
    Claude Brasseur 26 décembre 2018
    (1) Déjà en 2013, F.Gervais osait L’innocence du carbone , Albin Michel
    L’urgence climatique est un leurre, Ed. Du Toucan, est publié en 2018
    (2) JM Bonnamy, Réchauffement climatique : le pavé dans la mare, Ed. L’Harmattan, 2018


  • L’origine du réchauffement climatique

    Le réchauffement climatique allégué pour justifier toutes sortes de contraintes, notamment fiscales, est-il le fruit d’une recherche scientifique originelle ? C’est ce que les pouvoirs politiques et médiatiques veulent nous faire croire. La réalité est différente comme le montre le texte ci-après tiré du livre d’Alexander King, (1909-2007) chimiste anglais co-fondateur du Club de Rome et de Bertrand Schneider (1929- ) diplomate français qui fut secrétaire général du Club de Rome. Il existe une version française de ce livre : Questions de survie. La révolution mondiale a commencé. (Calman-Lévy, 1991).

    Ce texte, dû à des plumes irrécusables, montre que c’est la recherche politique d’un motif de mobilisation (en vertu du principe discutable de la nécessité d’un ennemi) qui a fixé ce choix arbitraire. Et c’est en fonction de ce choix qu’il a été demandé à la Science de le justifier a posteriori. Ceci est un exemple flagrant de la mise de la science au service d’une idéologie politique. L’Histoire connait sa version officielle, maintenant la Science subit le même sort. Lyssenko a fait école. Hommes politiques et médias s’entendent pour maintenir cette science officielle et interdire toute forme de dissidence. Les contestataires qualifiés sont pourtant fort nombreux mais le prix qu’ils auraient à payer s’ils se manifestaient est manifestement trop élevé. La dictature de la pensée règne ainsi en paix.

    Le texte ci-dessous est notre traduction très partielle de l’édition anglaise et les surlignements en gras sont de nous.

    THE FIRST GLOBAL REVOLUTION

    Alexander King & Bertrand Schneider

    Chapitre 5 LE VIDE

    L’ordre de la société est déterminé par la cohésion de ses membres. Jusqu’au milieu du 20èmesiècle ceci était normalement assuré par le patriotisme naturel, le sens d’appartenir à la communauté, renforcé par une discipline morale provenant de la religion et du respect pour l’État et ses dirigeants, aussi éloignés fussent-ils du peuple. La foi religieuse s’est évaporée dans beaucoup de pays; le respect pour la politique s’est aussi affaibli, aboutissant à l’indifférence sinon l’hostilité due partiellement aux médias et partiellement à l’inaptitude des partis à faire face aux problèmes réels; les minorités sont de moins en moins disposées à respecter les décisions de la majorité. Ainsi s’est créé un vide et tant l’ordre que les objectifs dans la société se sont désagrégés.

    ….

    Nous cherchons en vain la sagesse. L’opposition des deux idéologies qui ont dominé le siècle a disparu, créant son propre vide en ne laissant qu’un grossier matérialisme. Rien dans le système gouvernemental et son processus de décision ne semble capable de s’opposer ou de modifier ces tendances, ce qui soulève des questions sur notre avenir, voire la survivance de la race.

    ….

    Il semblerait que les hommes et les femmes ont besoin d’une motivation commune, c’est-à-direun adversaire commun, pour s’organiser et agir ensemble; dans le vide ces motivations semblent avoir cessé d’exister – ou doivent encore être trouvées.

    La nécessité d’avoir des ennemis parait être un facteur historique. Les États ont essayé de surmonter les échecs intérieurs et les contradictions internes en désignant des ennemis extérieurs. Le recours au bouc émissaire est aussi vieux que l’humanité… Unissez la nation divisée pour faire face à un ennemi, qu’il soit réel ou inventé pour la cause. Avec la disparition de l’ennemi traditionnel, la tentation est de désigner comme bouc émissaire des minorités religieuses ou ethniques dont les différences sont perturbantes.

    Pouvons-nous vivre sans ennemis ? Tout État est tellement habitué à classer ses voisins en amis ou ennemis que l’absence soudaine d’adversaires traditionnels a laissé les gouvernements et l’opinion publique avec un grand vide. Il faut donc identifier de nouveaux ennemis, imaginer de nouvelles stratégies, inventer de nouvelles armes. Les nouveaux ennemis peuvent avoir changé de nature et de lieu, ils n’en sont pas moins réels. Ils menacent toute la race humaine et leurs noms sont pollution, pénurie d’eau, famine, malnutrition, illettrisme, chômage. Cependant, il semble que la conscience de ces nouveaux ennemis soit insuffisante pour susciter la cohésion mondiale et la solidarité pour la lutte.

    Les limites de la démocratie. La démocratie n’est pas la panacée. Elle ne peut pas tout organiser et elle ignore ses propres limites. Il faut admettre franchement ces réalités, même si cela peut paraitre sacrilège. Telle qu’elle est actuellement pratiquée, la démocratie n’est plus bien adaptée pour ses tâches futures. La complexité et la nature technique de beaucoup des problèmes actuels ne permettent pas toujours aux représentants élus de prendre les bonnes décisions au bon moment…Les activités des partis politiques sont tellement concentrées sur les échéances électorales et les rivalités de partis, que finalement ils fragilisent la démocratie qu’ils sont censés servir.

    En cherchant le nouvel ennemi pouvant nous unir, nous avons suggéré que la pollution, la menace du réchauffement global, les pénuries d’eau, les famines et autres accompliraient la mission. Dans leur ensemble et leurs interactions, ces phénomènes constituent une menace commune qui demande la solidarité de tous les peuples. Mais en les désignant comme l’ennemi nous tombons dans l’erreur de prendre le symptôme pour la cause. Tous ces dangers sont causés par l’intervention humaine et c’est uniquement par un changement des attitudes et des comportements qu’ils pourront être surmontés. Le véritable ennemi c’est l’humanité elle-même.

  • Marine Le Pen n'a pas lâché les gilets jaunes !