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magouille et compagnie - Page 1383

  • Bistro Libertés avec Stéphane Édouard, le sociologue viré de M6 pour son franc-parler

  • Éric Zemmour a raison : les prénoms sont les symptômes de la santé d’une civilisatio

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    Les enfants ne sont pas responsables de leur prénom, les parents, si ! Après la polémique qui a opposé Éric Zemmour à la chroniqueuse Hapsatou Sy, dans la dernière émission des « Terriens du dimanche », le site Fdechouche a publié une étude sur l’octroi des prénoms en France. Elle constate la chute des prénoms issus du calendrier grégorien au profit de prénoms, plus ou moins excentriques, rattachés à une mode par nature éphémère, ou de prénoms musulmans.

    On ne s’étonne guère que, non seulement la Seine-Saint-Denis ou les Bouches-du-Rhône, mais de plus en plus de départements subissent ce phénomène. Certains se réjouissent du triomphe de la diversité française. D’autres, sans doute plus lucides, voient, dans le choix d’un prénom étranger, notamment musulman, la volonté de marquer sa différence et le refus de s’intégrer. Quand Éric Zemmour estime que la mère d’Hapsatou Sy « a eu tort » d’appeler ainsi sa fille, il considère avec regret que ce n’est pas un signe de la volonté de s’intégrer.

    Il est évident, surtout dans les circonstances actuelles, que donner un prénom lié à l’islam ne facilite guère l’intégration, encore moins l’assimilation. Pour Éric Zemmour, la France est « une terre avec une histoire, un passé » et « les prénoms incarnent l’histoire de la France » : l’affirmer, ce n’est pas insulter ceux qui portent un prénom étranger ni leur enlever le droit d’être un enfant de la République.

    Mais appeler aujourd’hui son enfant Mohammed n’est pas neutre. C’est, en effet, le prénom du prophète de l’islam (à la réputation pour le moins controversée). Loin d’être un signe positif d’intégration, c’est une marque de défiance envers la France, sa culture et ses racines, puisque l’islam ne fait aucune distinction entre le religieux et le politique. Rien n’empêcherait les parents, s’ils voulaient garder un lien avec leur culture d’origine, de manifester, pour eux et leurs enfants, la volonté de s’intégrer en choisissant, en premier, un prénom français et, en second, un prénom usité dans le pays d’où ils viennent.

    Mais veulent-ils, précisément, s’intégrer ? L’existence de quartiers où l’on se sent étranger quand on y pénètre est la preuve qu’une partie de la population d’origine immigrée ne souhaite pas aimer la France. Ou ne l’aimerait que si elle adoptait toutes les coutumes et les préjugés issus de l’islam. Il n’est même pas besoin d’être adepte des théories du Grand Remplacement pour constater que c’est déjà ce qui se passe dans certains territoires.

    Quand, dans Un président ne devrait pas dire ça, le livre de Gérard Davet et Fabrice Lhomme, François Hollande révèle ce qu’il pense véritablement de l’immigration, de l’islam et de l’identité, il ne fait que répéter le sentiment de beaucoup de Français : « Comment peut-on éviter la partition ? Car c’est quand même ça qui est en train de se produire : la partition. » Dommage qu’il n’en ait pas tiré les conséquences quand il était au pouvoir.

    Au lieu de favoriser l’assimilation des populations d’origine immigrée, dont une grande partie est de confession musulmane, nos dirigeants, par angélisme ou par adhésion au multiculturalisme, cèdent aux revendications communautaires, dont relève le choix du prénom. C’est tout juste s’ils ne stigmatisent pas les parents qui choisissent un prénom tiré du calendrier des saints et ne se félicitent pas de voir fleurir les prénoms musulmans, comme un signe de renouveau.

    Nos dirigeants marchent sur la tête et, tels des nécrophiles, se réjouissent d’une France moribonde, oublieuse de ses racines.

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/eric-zemmour-a-raison-les-prenoms-sont-les-symptomes-de-la-sante-dune-civilisation/

  • Crises et populismes ?

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    Le Monde a titré il y a trois ou quatre jours : « la crise de 2008 a nourri le populisme » . Si c'est une découverte elle est tardive. Et l'on savait cela depuis bien longtemps. 

    Toutes les crises économiques, nourrissent les populismes. Les bons et les mauvais. Elles les nourrissent à proportion de leur gravité. Le Monde a sûrement en tête ce que la crise de 1929 a produit ou du moins contribué à produire en Europe et ailleurs. La seconde guerre mondiale. C'est bien les souvenirs de cette dernière que le titre du Monde entend raviver. 

    La crise de 2008 a été surmontée par la création monétaire, rien d'autre. 1160639909.jpgEt dans une quantité si considérable que la crise de 2008 - et le « remède » en question - pourraient bien en avoir préparé une autre d'une tout autre ampleur. On a simplement renvoyé les échéances à plus tard. Et l'on a continué de les gonfler démesurément. Ce qui n'a empêché ni le chômage de masse de perdurer, ni la croissance de rester faible, ni la pauvreté de s'étaler, ni nos infrastructures de vieillir considérablement, ni nos classes moyennes de s'appauvrir, ni les inégalités de se creuser éhontément,  dans des proportions inégalées dans l'Histoire. Etc. La crise a surtout nourri la crise ... 

    Mais il y a populisme et populisme. Entre lesquels les journalistes et les experts plus ou moins compétents ne distinguent pas. Populisme est un mot fourre-tout, sans définition précise, par lequel on désigne tout ce que l'on n'aime pas, que l'on réprouve, que l'on range dans le camp du Mal. Syndrome moralisateur oblige. On ne dialogue pas avec le Mal. Ces simplismes aussi commencent à vieillir, à lasser ... 

    Rapprocher allusivement les populismes d'aujourd'hui de ceux des années trente du siècle dernier, qui, en effet, conduisirent à la guerre, n'a d'autre but et d'autre effet que de discréditer, salir les populismes actuels. Les rendre « nauséabonds » selon la terminologie en vigueur. 

    Les populismes des années trente furent offensifs, guerriers, expansionnistes ou revanchards, ils tendaient à la guerre entre voisins, ou aux conquêtes coloniales.   Les populismes d'aujourd'hui, que la doxa condamne et que les politiques « progressistes » combattent, sont essentiellement défensifs. L'Italie, l'Autriche, les pays de Visegrad, et même les partis dits populistes, français, allemands, suédois ou autres, n'invitent aujourd'hui à aucune guerre européenne. Ils défendent leur identité, leurs traditions, leurs droits sur la terre où ils sont nés et avant eux leurs ancêtres depuis des lustres. Ils savent que cette terre leur appartient. Il y ont bâti une civilisation. Ce qui les motive et en un sens les unit, bien autrement que n'ont su le faire les fonctionnaires de Bruxelles, c'est leur refus d'une invasion étrangère massive venue d'Afrique ou d'Asie et qui implique leur mort. Ce qui les fonde et les unit c'est le rejet des masses de migrants déjà établis chez eux ou en route pour y venir. 

    Sans en avoir l'air, le Monde pratique là un très contestable amalgame. Pour effrayer, rappeler les mauvais souvenirs. Comme le fait aussi Emmanuel Macron qui se répand en déclarations alarmistes et accusatrices en ce sens biaisé - ce qui est nettement plus grave. Et ce sont des déclarations martiales pour le coup ! Feront-elles beaucoup de dupes ? Ce n'est même plus très sûr.  

    Retrouvez l'ensemble des chroniques En deux mots en cliquant sur le lien suivant ... 

    En deux mots, réflexion sur l'actualité

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Société / PMA : Macron et le retour du sociétal – Journal du vendredi 21 septembre 2018

    1) Société  / PMA : Macron et le retour du sociétal

    C ‘était au programme d Emmanuel Macron, la Procréation Médicalement Assisté  est de retour dans le débat parlementaire…  une manière de satisfaire l’aile gauche du président ! L’opposition, elle, tente de s organiser.

    2) International : Trump face au défi des  élections de mi-mandat

    Deux ans après son  élection à la tête des Etats-Unis, Donald Trump doit faire face aux  élections de mi-mandat. Un test grandeur nature et une  échéance capitale lors de laquelle les démocrates entendent bien rebattre les cartes de la politique américaine.

    3) Economie / Les papy-poor : les anciens, nouvelles victimes de la précarité ! Une  étude du ministère de la Santé  nous apprend qu un senior sur dix vit en dessous du seuil de pauvreté  de quoi faire baisser la côte de popularité  du président auprès d’un segment de la population qui lui est jusqu’à présent acquis.

    4) Media / Le football sport populaire et luxe t l vis

    Serveur TVL

    Lien dailymotion

  • Quand le quotidien Le Monde préconise le grand remplacement à Chemnitz

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    L’Observatoire a déjà consacré une analyse à la réaction des médias français au mort de Chemnitz assassiné par un réfugié (ou deux réfugiés, l’enquête est en cours) et les manifestations qui s’en sont ensuivies. Le Monde revient un peu plus tard (numéro daté du 19 septembre 2018) à Chemnitz. Pour connaître l’opinion des habitants sur l’insécurité ? Non point, pour valoriser à tout prix le remplacement des générations par l’immigration.

    Qui organise ?

    Le thème de l’article : la chambre de commerce de Chemnitz (Saxe) constate le manque de main d’œuvre et accueille un forum sur « Trouver de nouveaux collaborateurs et les garder ». Rien que de très classique. Mais la journaliste vend la (grosse) mèche très vite en indiquant les noms des deux puissances organisatrices. Le premier, le réseau « Les entreprises intègrent les réfugiés » manifestement enthousiaste de la politique d’Angela Merkel qui a plongé l’Allemagne dans la confusion. Le second, « L’Association pour une Saxe ouverte », sent bon le réseau Soros via sa fondation Open Society ou un de ses innombrables pseudopodes (le lien en allemand, nous remercions d’avance si un de nos lecteurs germanophones peut nous donner plus de précisions). Remarquons l’emploi exclusif du terme réfugiés et non de migrants, un terme qui fait appel à l’émotion et qui permet de camoufler la réalité d’un phénomène.
    Libéralisme, individualisme, économie

    Qu’un patron souhaite trouver des collaborateurs de valeur, c’est enfoncer une porte ouverte. Que ce soit difficile, c’est maltraiter de nouveau sévèrement cette malheureuse porte. Qu’une société entière œuvre à sa propre disparition au nom de la bonne économie, c’est plus étonnant. C’est pourtant ce que sous-tend le reportage via des exemples individuels et collectifs. Prenons le cas, donné comme exemple d’Abdellatif A, un Libyen venu d’un pays considéré comme sûr (nous citons). Si le pays est sûr C’est donc un faux réfugié. Sa demande d’asile est rejetée, il doit donc rentrer en Libye. Mais « En réalité… il ne peut pas être expulsé ». Kikeriki (les allemands ne disent pas Cocorico comme les français), Abdellatif « a finalement récupéré son autorisation de travail ».

    Hélas provisoirement déplore le quotidien.

    Passons au collectif à présent. L’article souligne à juste titre qu’après la réunification de nombreux jeunes adultes sont partis vivre à l’Ouest (la Saxe est en ex RDA) ou ont fait moins d’enfants. Conséquence « La génération des14-17 ans est encore moins nombreuse qu’à l’ouest ». Fort bien. La solution serait elle de favoriser la natalité ? Certes pas, puisque les viviers afghan et syrien (vous pouvez compléter, ivoirien, nigérian, maghrébin, tamoul, pakistanais, poldève etc) sont là. « Pour ces deux nationalités le nombre de contrats d’apprentissage a triplé par rapport à l’année précédente ». Hourrah ! La solution est là, importons des centaines de milliers, non pardon des millions d’afghans ou de syriens et l’Allemagne sera sauvée. Nous avions consacré en 2017 un long dossier sur la légende propagée par certains médias des « réfugiés, une chance pour l’Allemagne », nous en donnons trois extraits :

    Sachant que les « réfugiés » présentent surtout des profils qui permettront de combler le tragique déficit de l’économie allemande en aides de cuisine, serveurs, conducteurs de véhicules, laveurs de carreaux, blanchisseurs et peut-être aussi vigiles, on comprendra :

    – que les PME-PMI, qui représentent le cœur de la puissance économique allemande, ne sont que peu soulagées par cette population présentée comme des « sauveurs de l’Allemagne » par un monde politico-médiatique complètement à côté de la plaque.
    – on se souviendra aussi de la forte implication médiatique des grands groupes allemands, notamment dans le cadre de la fameuse Integrations-Initiativen der deutschen Wirtschaft (Initiatives d’intégration de l’économie allemande) qui a payé au prix fort des doubles pages en quadrichromie affichant fièrement des équipes d’apprentis et de futurs employés aux couleurs arc-en-ciel. Il va sans dire que les grands groupes allemands n’ont guère fait que recruter quelques vigiles de nuit et gardiens de parking.

    Les grands groupes ne font que communiquer dans le sens d’un monde politico-médiatique afin de soigner leurs relations politiques et de conforter les rentes de situations que celles-ci leur accordent sans bénéfice pour la société globale, puisque la totalité des créations nettes d’emplois provient des PME-PMI qui n’ont rien non plus à proposer à des réfugiés ne répondant pas à leurs besoins, ce qui bien sûr n’a aucun impact sur leurs propres échelles de rémunérations, puisque celles-ci continuent à être durablement marquées par la pénurie de main d’œuvre qualifiée.

    Sachant que 75 à 90% des réfugiés veulent rester, on voit que la crise des réfugiés pèsera non seulement lourdement mais encore durablement sur les comptes sociaux en charge nette, et par conséquent sur les impôts et les charges de la classe moyenne et des entreprises, surtout des PME-PMI. Et ce durablement, d’autant que les précédentes études ont aussi montré que les populations d’origine musulmane restaient en panne de qualification sur plusieurs générations, pour des raisons clairement culturelles.

    Cette analyse reste d’actualité, sauf pour Le Monde bien entendu, avocat des remplacements, petits ou grands.

    Article paru sur le site de L’OJIM

  • Le Sénat face aux attaques du pouvoir exécutif.

    L'affaire Benalla devrait être terminée et désormais laissée aux juges pour les faits qui sont reprochés à l'ancien garde du corps présidentiel et qui, somme toute, apparaissent assez anodins au regard des violences et incivilités quotidiennes vécues trop souvent par nos concitoyens. Je ne devrais plus en parler ni même avoir à en parler ! Et pourtant, elle est à nouveau sur toutes les lèvres et en agace plus d'un, partisan ou adversaire du pouvoir actuel, comme si les braises d'une grillade d'été s'étaient mises à rougeoyer à nouveau sous l'effet d'un vent taquin. Mais ce sont les partisans du président qui raniment la flamme, et même pas les opposants à M. Macron, plutôt discrets sur ce sujet depuis la rentrée et l'accumulation des dossiers sociaux, environnementaux ou européens qui suffisent aux oppositions pour exister et s'exprimer.

    Ainsi, M. Castaner, secrétaire d’État aux relations avec le Parlement, et accessoirement délégué général du part présidentiel, et Mme Belloubet, garde des sceaux, s'en prennent-ils avec virulence au Sénat, accusé désormais de menacer les institutions républicaines par sa simple volonté d'entendre M. Benalla devant sa propre commission d'enquête parlementaire. Les arguments valorisés, les mots employés sonnent comme autant de menaces, sinon sur l'existence du Sénat, du moins sur ses pouvoirs et ses capacités à pouvoir les exercer librement sans risquer de représailles de l'exécutif.

    En fait, les relations entre les sénateurs et le pouvoir politique en place n'ont pas toujours été sereines si l'on considère l'histoire même de la Cinquième République, et le général de Gaulle, président-fondateur de la nouvelle République de 1958, s'est souvent heurté à son président, qu'il s'appelle Gaston Monnerville ou Alain Poher, et à ses membres, tout comme Grévy, premier président vraiment républicain de la Troisième qui, malgré un Sénat majoritairement acquis dès 1879, y eut encore à affronter durant son mandat de fortes résistances monarchistes. Il est vrai que, par nature même et par la durée du mandat sénatorial (aujourd'hui de six ans après avoir été très longtemps de neuf ans), la Chambre haute apparaît plus ancrée dans un pays réel plus varié que le seul monde urbain majoritaire et versatile, voire opportuniste. Cela ne l'empêche pas d'appartenir à un pays légal parfois peu populaire et il lui est souvent fait reproche, non d'en être, mais d'apparaître comme un « doublon » de l'Assemblée nationale (ce qui n'est pas forcément exact) ou comme une assemblée inutile et trop coûteuse d'entretien comme d'existence : ces derniers qualificatifs peuvent s'entendre si l'on reste dans une logique strictement antiparlementaire, mais elle ne me semble ni sérieuse ni juste, même s'il me semble qu'est nécessaire une véritable réforme de son recrutement (sans remettre en cause la nature « diverse » de celui des sénateurs, mais en l'accentuant plutôt, par l'entrée d'élus issus du monde « professionnel » - corporatif, diraient certains -, entre autres) comme de son fonctionnement et de ses capacités dans le cadre d'une « démocratie des peuples, des territoires et des communes, des métiers et des idées » qu'il s'agit encore d'inventer et de fonder.

    Dans cette affaire Benalla, il est tout de même étonnant que l'entourage politique du président apparaisse aussi agressif contre un Sénat qui, au moins en début de quinquennat, ne lui était pas fondamentalement hostile, malgré ses profondes réserves sur les projets territoriaux du candidat élu. Mais le climat s'est vite détérioré, il est vrai, sans doute parce que l'idéologie macronienne, autant que l'électorat qui l'a validée, est d'abord urbaine et « mondialiste », à rebours des tendances profondes de la plupart des sénateurs, dont le pas, souvent moqué pour sa lenteur, symbolise un temps moins pressé et des espaces plus proches, moins lointains donc.

    Le Sénat, dans cette affaire, a le beau rôle et retrouve des couleurs, paradoxalement renforcé par l'adversité des macronistes et leur acharnement à défendre un M. Benalla dont les pouvoirs (et celui de nuisance en est sans doute fort redoutable pour l'actuel Chef de l'Etat...) semblent plus importants que ceux que sa fonction officielle lui conférait : en définitive, s'il y a scandale, c'est plutôt là qu'il réside ainsi que dans le système qu'il révèle. Dans cette configuration particulière, le Bien commun apparaît comme victime d'une République « personnalisée » ou, du moins, son otage... Là aussi, une libération s'impose, et elle passe par celle, initiale, de la magistrature suprême de l’État dont le fonctionnement institutionnel ne doit plus reposer sur la seule légalité électorale, impuissante à donner légitimité et force suffisantes pour s'imposer aux féodalités partisanes et économiques.

    http://nouvelle-chouannerie.com/

  • Hans-George Maassen, chef du renseignement allemand, viré pour avoir contesté la « chasse » aux migrants après le meurtre d’un Allemand à Chemnitz

    Hans Georg Maassen chasse migrants meurtre Chemnitz
     Pour avoir osé affirmer que les manifestations organisées contre les migrants à Chemnitz, à la suite du meurtre d’un Allemand – un suspect irakien vient d’être remis en liberté –, n’avaient rien d’une chasse aux migrants, le patron du renseignement allemand (BfV) Hans-Georg Maassen a été prié de dégager. Angela Merkel l’a recyclé à un poste de secrétaire d’Etat du ministre fédéral de l’Intérieur afin de ne pas creuser un peu plus le hiatus avec l’aile droite de sa coalition, la CSU, qui détient ce portefeuille en la personne de Horst Seehofer. Le SPD, partenaire socialiste de Merkel, s’agitait pour exiger la destitution de Maassen.

    Le limogeage de Hans-Georg Maassen, dernier avatar de la vague d’un million de migrants

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  • Et maintenant, la psychiatrisation des adversaires politiques ! Mélenchon pas d'accord ...

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    On sait que la présidente du Rassemblement National a été convoquée à une expertise psychiatrique à la suite de la diffusion d’images d’exactions de Daech sur son compte Twitter.

    Cette convocation de Marine Le Pen intervient dans le cadre de sa mise en examen pour la diffusion des dites photos de propagande terroriste. 

    « C’est proprement HALLUCINANT. Ce régime commence VRAIMENT à faire peur », a-t-elle déploré Marine Le Pen, dans un tweet où elle publie l’ordonnance du Tribunal de grande instance de Nanterre. « Je n’irai pas, bien entendu, me soumettre à cette expertise psychiatrique », a-t-elle lancé devant des journalistes, à l’Assemblée nationale. « J’attends de voir comment les magistrats comptent m’y contraindre. »  A quoi David Rachline, le maire RN de Fréjus, a ajouté : « La psychiatrisation des adversaires était une spécialité soviétique des régimes totalitaires. Désormais, nous y avons droit en France sous Macron... »

    Plus intéressante, dans cette affaire, est la position de Jean-Luc Mélenchon qui a déclaré hier sur Twitter être en « désaccord total avec la psychiatrisation de la décision politique. Madame Le Pen est politiquement responsable de ses actes politiques ». 

    « Désaccord total avec la psychiatrisation de la décision politique. 3294322082.jpgMadame Le Pen est politiquement responsable de ses actes politiques. Tous les moyens ne sont ni bons ni acceptables pour la combattre. Ce n'est pas avec des méthodes pareilles qu'on fera reculer l'extrême droite. » — Jean-Luc Mélenchon (@JLMelenchon) 20 septembre 2018   

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  • Réunion au sommet des dirigeants des pays l’Union Européenne à Salzbourg

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    EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Hier soir a commencé une réunion informelle rassemblant les principaux chefs d’État européens à Salzbourg. Au menu de cette rencontre se trouvent les sujet de l’immigration et du Brexit.

    Au sujet de l’immigration, la situation risque de ne pas beaucoup évoluer.

    Les principaux projets évoqués par l’Union Européenne pour contourner la réticence nouvelle des pays à accepter cette immigration massive n’ont pas pour l’instant été concrétisés. Ils consistaient en des centres contrôlés en Europe ou des plateformes d’accueil en dehors de l’Europe. Dans les deux cas ces systèmes auraient ainsi permis de redistribuer subtilement les immigrés en Europe via des quotas similaires à ceux mis en place dans les règlements de Dublin. Ces solutions sont préconisées notamment par les gouvernements français et allemands qui veulent mener une “politique de solidarité” à l’égard des immigrés. La question reste pour l’instant en suspens, du fait notamment de l’opposition franche des dirigeants italiens et hongrois à l’accueil de clandestins. Ceux-ci en bloquant via leurs pays respectifs deux routes principales d’accès à l’Europe pour les immigrés montrent néanmoins qu’il existe une autre solution, qui consisterait à reprendre le contrôle des frontières et ne plus tendre les bras à cet afflux d’immigration.

    Au sujet du Brexit si sur une bonne partie des points l’Union Européenne et les représentants du Royaume-Uni semblent s’entendre, c’est justement sur une question de frontière qu’ils pourraient s’opposer.

    Les deux parties n’ont pas encore trouvé d’agrément au sujet de la séparation entre l’Irlande du Nord et la République d’Irlande. Si une frontière physique a été écartées d’emblée par les deux camps, les autres solutions ne sont pas légion. Les conditions et la durée de ces négociations font revenir de plus en plus souvent Outre-Manche l’éventualité d’une sortie de l’Union Européenne sans période de transition et accords commerciaux préalables. Cette possibilité est néanmoins pour l’instant rejetée par les dirigeants du Royaume-Uni en place, ainsi que l’Union Européenne.
    Pour l’heure rien ne semble donc être amené à bouger brutalement, les changements seraient plutôt à attendre à l’issue des élections européennes qui pourraient voir la majorité basculer.

  • Budapest conteste le résultat du vote de mercredi dernier au Parlement européen

    Budapest conteste le résultat du vote de mercredi dernier au Parlement européen

    D’Olivier Bault dans Présent :

    C’est désormais officiel : Budapest conteste le résultat du vote de mercredi dernier au Parlement européen, en vertu duquel une procédure de sanction aurait été engagée devant le Conseil européen sous le régime de l’article 7. Pour rappel, la présidence du Parlement avait décidé pour ce vote de ne pas tenir compte des abstentions dans le calcul des votes exprimés, afin d’avoir la majorité des deux tiers exigée par le Traité sur le fonctionnement de l’Union européenne. L’affaire va donc se retrouver devant la cour de Justice de l’UE puisqu’il y a là une violation évidente des traités par le Parlement.

    Parallèlement, la Commission des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures (LIBE) du Parlement européen prépare pour la Pologne un rapport similaire à celui sur la base duquel une procédure de sanction a été lancée contre la Hongrie. Inutile de se faire des illusions sur le contenu du rapport qui sera préparé contre la Pologne. […] En effet, pour s’enquérir de la liberté des médias, la Commission LIBE n’a souhaité rencontrer que les représentants de quatre médias choisis parmi les plus radicalement hostiles au gouvernement actuel. Pour entendre la voix de la société civile, on a invité une ONG conservatrice pour la forme et une dizaine d’ONG gaucho-libérales-libertaires pour le fond. […]

    Et déjà le Parlement européen s’apprête à voter une résolution contre la Roumanie vers la fin du mois d’octobre. Pour punir les Roumains qui voteront le 7 octobre pour inscrire la nature du mariage dans leur constitution ?

    https://www.lesalonbeige.fr/budapest-conteste-le-resultat-du-vote-de-mercredi-dernier-au-parlement-europeen/