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magouille et compagnie - Page 1387

  • Témoignage explosif contre Hillary Clinton

    Témoignage explosif contre Hillary Clinton

    James Baker, un ancien haut responsable du FBI, a livré un témoignage explosif sur la façon dont la police fédérale avait géré l’enquête sur la supposée collusion entre Donald Trump et la Russie. Un témoignage fait à huis clos à l’occasion d’une enquête diligentée par le Congrès, mais dont le député républicain Mark Meadows, présent au moment de la déposition, a confié à Fox News les grandes lignes, tout en restant suffisamment vague pour des questions légales.

    L’enquête ouverte reflétait un parti pris politique certain contre Donald Trump. Si ces informations ne sont pas vraiment nouvelles, elles se voient ainsi confirmées par l’ex-bras droit de l’ancien directeur FBI, James Comey, et prennent donc un poids considérable. D’autant que d’après Mark Meadows, James Baker s’est largement confié sur la genèse de l’enquête sur la supposée collusion entre Donald Trump et la Russie, ainsi que sur la mise sous surveillance par l’agence d’un des responsable de la campagne électorale du milliardaire, dès 2016. C’est là que l’histoire prend une tournure à même de sérieusement mettre à mal l’état-major du parti démocrate (DNC). D’après le site d’information The Hill, l’enquête menée par le Congrès a permis de déterminer que James Baker avait rencontré avant l’élection présidentielle au moins un responsable de Perkins Coie, le cabinet d’avocats privé avec lequel travaille le DNC.

    Or, c’est à travers Perkins Cole que le DNC, ainsi l’équipe de campagne d’Hillary Clinton, ont secrètement payé (via l’entreprise Fusion GPS) Christopher Steele, un ancien agent du renseignement britannique. Ce dernier a alors compilé un dossier de renseignements bruts non corroborés, alléguant que Donald Trump et Moscou étaient de connivence pour détourner le déroulement normal de l’élection présidentielle. Le dossier en question, bien que comprenant des informations non vérifiées, a ensuite été utilisé par le FBI comme élément principal afin de requérir un mandat en vertu de la loi FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act), pour pouvoir mettre sur écoute l’équipe de campagne de Donald Trump.

    Le FBI a donc utilisé un dossier qu’il savait partisan, douteux et destiné à vaincre Donald Trump – car financé par le DNC – pour mettre sur écoute l’un des responsable de la campagne électorale du milliardaire. Une information que l’agence a omis de transmettre à la Cour FISA, lorsqu’elle lui a demandé un mandat pour pouvoir mettre en œuvre sa surveillance.

    «C’est une révélation explosive, qui montre sans équivoque que la véritable collusion pour détourner l’élection s’est déroulée entre le FBI et l’opposition à Donald Trump – le DNC, Hillary [Clinton] et un agent du renseignement britannique haïssant Donald Trump – plutôt qu’une conspiration entre Poutine et Trump».

    A quelques semaines des élections capitales de mi-mandats, cette information vient affaiblir le camp démocrate, déjà passablement décrédibilisé.

    https://www.lesalonbeige.fr/temoignage-explosif-contre-hillary-clinton/

  • Justice et forces de l’ordre : la condamnation de trop ?

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    Voilà une nouvelle décision de justice qui ne risque pas de participer à l’amélioration des relations entre l’institution judiciaire et les forces de l’ordre.

    Ainsi que le rapporte L’Essor, le journal de la gendarmerie nationale, un gendarme de 53 ans a été condamné, ce mercredi 3 octobre, à trois mois de prison avec sursis, six mois d’interdiction d’exercer sa profession et inscription de ladite condamnation au bulletin n° 2 de son casier judiciaire. L’adjudant-chef dont il est question comparaissait, en effet, devant le tribunal correctionnel de Charleville-Mézières pour avoir giflé un mineur qui s’en était pris son épouse. À noter que les représentants de « la victime » n’ont pas estimé nécessaire de se porter partie civile à l’occasion de ce procès. C’est dire l’importance qu’eux-mêmes attachent à ce fait divers qui, pourtant, est tout a fait révélateur de la société dans laquelle nous vivons aujourd’hui.

    À une époque où, plus que jamais, notre jeunesse est en perte de repères, et où même le président de la République estime utile et pertinent de s’afficher aux yeux du monde avec des racailles, des hommes et des femmes font le choix de s’exposer jours et nuits, dimanches et jours fériés, afin de tenter de maintenir un ordre public minimum pour que notre pays ne sombre pas dans le chaos. Ces serviteurs de la République, qu’ils soient gendarmes, policiers, pompiers ou appartenant aux services de secours, paient, chaque année, un lourd tribut. Le nombre de tués et de blessés dans leurs rangs se comptant par centaines. Ce travail, ils le font avec dévouement. Ils sacrifient souvent leur propre vie de famille pour répondre aux exigences de missions de plus en plus difficiles et dangereuses. Mais, parfois aussi, sous l’emprise de la colère, de la fatigue, du stress ou de la peur, ils peuvent se fourvoyer et sortir du cadre légal qui leur est assigné. Mais pour eux, qui ne sont ni président de la République, ni ministre, ni élu, ni caïd médiatique, ni star du show-business, il n’y aura pas de pardon. Pas de tolérance. Et, pour cela, on pourra toujours compter sur quelques magistrats qui, du fond de leur fauteuil, sauront exiger une sanction exemplaire à l’encontre du fautif.

    La décision du tribunal correctionnel de Charleville-Mézières est tout à fait symptomatique du décalage qui existe, désormais, entre la Justice et les forces de l’ordre. Elle est également révélatrice de ce même décalage qui s’est installé dans notre société, et du renversement total des valeurs qui affecte maintenant les relations interindividuelles dans notre pays.

    Aurait-on pu imaginer, il n’y a pas si longtemps, un gendarme être mis au ban de la société pour avoir voulu défendre son épouse des agissements d’un gamin dont l’éducation laisse manifestement à désirer ? Aurait-on envisagé de créer, au sein des écoles, des unités d’intervention, tant les enseignants sont complètement dépassés par une violence qui devient endémique ? Aurait-on vu, au plus haut niveau, une classe politique se donner en spectacle et fouler aux pieds les valeurs de la République dont le peuple lui a donné la garde ?

    Alors, continuons comme ça. Condamnons les gendarmes et les policiers pour des vétilles. Sanctionnons les quelques enseignants et agents de l’État qui assument encore leurs responsabilités. Encourageons, en les élisant et les réélisant, les politiques dans la voie de la médiocrité et du déshonneur. Et, sous peu, notre pays sera à ramasser dans la fange. Reste à espérer que, d’ici là, ceux qui ont notre sécurité entre leurs mains n’auront pas définitivement baissé les bras.

    Olivier Damien

    http://www.bvoltaire.fr/justice-et-forces-de-lordre-la-condamnation-de-trop/

  • Le géographe Christophe Guilluy annonce la fin de la classe moyenne

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Christophe Guilluy s’est rendu célèbre avec la publication en 2010 de Fractures françaises, suivi en 2014 d’un ouvrage au titre éloquent La France périphérique : comment on a sacrifié les classes populaires.

    Quelle était la ligne directrice de son analyse ?

    Il a mis en lumière le rejet progressif des classes moyennes et populaires aux marges des grandes villes. Les catégories populaires n’ont pas disparu, mais elles ont dû s’éloigner des agglomérations. C’est pourquoi le géographe estime que « le problème crucial politique et social de la France, c’est que la majeure partie des classes populaires ne vit plus là où se crée la richesse ».

    Dans son nouvel essai, Christophe Guilluy évoque cette fois la fin « de la classe moyenne occidentale ».

    Il a choisi d’élargir son analyse à l’ensemble des milieux populaires des pays occidentaux. Il constate une même inquiétude sociale et identitaire. Cette « insécurité culturelle », pour reprendre le terme du politologue Laurent Bouvet, appelle une réponse politique qui est disqualifiée par les élites sous le nom de « populisme ». Pourtant, ce sont ces populations, souvent éloignées des centres-villes, qui subissent le plus la pression migratoire.

    La classe moyenne ne constitue-t-elle pas pourtant la majorité de la population d’un pays ?

    Guilluy souligne que le contexte des trente glorieuses a profondément changé sous l’effet de la mondialisation. Les ouvriers, les paysans ou les employés qui constituaient la classe moyenne, à la fois économiquement et culturellement, ont été profondément fragilisées, voire déclassées.

    Ce sont d’abord les ouvriers, puis les employés et les agriculteurs qui ont été touchés.

    A tel point que le géographe estime que les personnes que l’on regroupe désormais sous le terme de « classe moyenne » appartiennent en réalité aux catégories supérieures. Reste à savoir quelle sera la traduction politique définitive de ce phénomène d’érosion de la classe moyenne majoritaire.

    https://fr.novopress.info/212162/le-geographe-christophe-guilluy-annonce-la-fin-de-la-classe-moyenne/

  • Quand Michel Onfray écrit à Macron sur le sens du doigté, ça donne :

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    Votre Altesse,
    Votre Excellence,
    Votre Sérénité,
    Mon cher Manu,
    Mon Roy,
    Mais aussi:
    Mon Chéri,
    Je me permets en effet cette familiarité, mon cher Manu, car des photos t’ont récemment montré partout sur la toile aux Antilles enlaçant un beau black, bodybuildé en prison, luisant de sueur tropicale, ce qui semblait te ravir jusqu'au plus profond – si tu me permets l’expression… Ton sourire béat montre en effet que ta dilection va plus facilement à qui accompagne son selfie avec toi d’un doigt d’honneur qu’aux intellectuels qui n’ont pas l’heur de te plaire parce qu’ils ne te font pas la cour. Décidément, tu sembles n’aimer que ceux qui te font savoir leur amour d’une façon qui ne prête pas à confusion: il faut t’enlacer torse nu pour te plaire, essuyer sa transpiration sur ta chemise blanche, et passer plus de temps en salle de sport qu’en bibliothèque. Je comprends dès lors que le philosophe Etienne Balibar, avec lequel tu dis avoir rédigé un mémoire universitaire sur Machiavel, n’ait plus le souvenir de toi. Il n’est probablement pas assez couvert de sueur, trop âgé et trop intellectuel à ton goût.
    A ceux qui voudraient augmenter un peu leur culture, ce qui n’est pas de trop ces temps-ci, consultons l’encyclopédie en ligne Wikipédia, soyons fous! Elle nous donne cette signification du doigt d’honneur: "Le majeur dressé autour des autres doigts baissés évoque un phallus et le reste de la main, un scrotum". Traduction pour qui ne maîtriserait pas toutes ces subtilités lexicales, il s’agit tout bonnement d’un "doigt dans le cul". Le doigt, on voit bien à qui il appartient, le cul, on se tâte – si je puis dire! Est-ce le tien personnellement? Auquel cas c’est ton affaire, mais n’en fais pas un étalage public: un président, ça ne devrait pas faire ça comme dirait l’autre… Ce cul, est-ce le nôtre en tant que tu incarnes la souveraineté populaire? Est-ce celui de la France dont tu es le corps mystique? On ne sait. Mais cette fois-ci, ça nous concerne. Et permets qu’on puisse ne pas jouir d’une pareille intromission dans notre intimité sans notre consentement. Demande à madame Schiappa: c’est la définition légale du viol.
    Quoi qu’il en soit de ce fondement et de son propriétaire, c’est proprement manquer de doigté envers la République que de se laisser mettre de la sorte en arborant ce sourire radieux qui témoigne de ton contentement. Pareil goût relève de ta vie privée qui est celle du second corps du roi, elle ne devrait pas affecter ton premier corps qui est politique et républicain. Ce sourire, c’est le même que tu arborais sur les marches de l’Elysée le jour de la fête de la musique en compagnie d’une brochette d’individus, eux-aussi férus de ce très subtil langage des signes. On ne dira pas que tu caches ton jeu. Il n’y a que les crétins pour feindre que tu dissimules. Tu es du genre à nous le mettre bien profond, pour dire clairement ce qui ne devrait pas te choquer sous forme de mots, puisque la chose te ravit quand elle se trouve exprimée sous forme de geste. Mais mettre ou ne pas mettre, là est la question…
    Or, cette question, tu l’as franchement résolue. Car, depuis quelque temps, tu montres en effet que, toi ou tes services, vous n’avez pas grand souci de la légalité (je ne parle plus de moralité, on sait désormais dans quelle estime tu tiens toute morale…), je parle de légalité.  En adoptant cet angle de vue, on voit bien comment tu nous la mets, tu nous le mets, tu nous les mets…    
    D’abord, premier doigt, il y eut cette étonnante évaporation de tes bénéfices en tant que banquier chez Rothschild: tu sembles en effet avoir habilement fait disparaître cette somme considérable de ta déclaration de patrimoine avant les présidentielles. Quid en effet des cinq millions d’euros que tu as engrangés comme banquier pendant huit ans et dont personne ne retrouve la trace ? (source : "Cinq millions d’euros en huit ans, où est l’argent, Emmanuel Macron?" dans Economie Matin du 16 février 2017). Cinq millions, ça en fait des billets de cinq euros que tu voles dans la poche des étudiants qui reçoivent l’APL!
    Ensuite, deuxième doigt, il y eut cette soirée de levée de fonds à Las Vegas qui a permis, via des facturations de Havas-Business, le prestataire de service de cette soirée apparemment effectuée sans appel d’offre, donc illégalement, de dégager de considérables marges, en dizaines de milliers d’euros, pour le candidat que tu étais alors. Qui organisait ce genre de soirée fort peu légale ? Muriel Pénicaud, ton actuelle ministre du travail (source : "Déplacement de Macron à Las Vegas: la très chère soirée organisée par Havas" dans Le Parisien du 8 juillet 2017). Fillon est tombé pour trois costumes: cette seule soirée t’aurait permis d’acheter des pardessus et des pantalons pour tout ton gouvernement et leurs cabinets pendant de longues années. Or, ce ne fut pas la seule soirée ayant permis des largesses à ton endroit.
    Troisième doigt, devenu président, il y eut l’affaire Benalla. Chacun a eu le loisir, durant ce feuilleton de l’été débordant sur la rentrée, de voir combien et comment tu couvrais qui te couvre. Entre mensonges, stratégies de communication, enfumage, intoxication, désinformation, instrumentalisation, bien malin qui peut désormais savoir où se trouve la vérité. Dans cette affaire, je veux n’en retenir qu’une. C’est une affaire dans l’affaire. Quand ton petit protégé s’est retrouvé en garde à vue, la police n’a pu effectuer une perquisition à son domicile pour cause de légalité: elle n’intervient pas la nuit. Comment se fait-il qu’une équipe ait pu être diligentée pendant ce temps-là au domicile de Benalla pour ouvrir son coffre et faire disparaître son contenu, dont des armes à feu? Qui a dit quoi, et à qui, pour que ce forfait qui entrave la bonne marche de la justice ait été commis? Et par qui? Il faudrait demander à feu Gérard Collomb et lui demander si ça n’a pas un peu à voir avec sa récente démission… On ne fera croire à personne que ce faux cambriolage ait pu avoir lieu à cette heure, dans ce lieu, dans cet endroit de l’appartement d’un homme que tu protèges contre vents et marées, sans que tu sois un peu au courant! Qu’y-a-t-il entre lui et toi pour que se trouvent détruites les preuves des coups tordus de cette affaire? De quels doigts et de quels fondements symboliques, ou non, est-il ici question? (source: "Affaire Benalla. Compagne introuvable, coffre-fort disparu… les zones d’ombre subsistent" dans Ouest-France du 23 août 2018)
    Puisque nous sommes dans la cambriole, ajoutons un autre forfait, ce sera le quatrième doigt, nous ne sommes pas bien loin de toute la main. Chacun sait désormais que la communication de monsieur Benalla, qui mettait tant dans l’embarras monsieur Collomb (un nom qui, je le jure sur ta tête, n’entre en rien dans ma métaphore filée du doigt et du fondement…), est pilotée par la Reine Mimi.
    Qui est Mimi? Laissons parler les éditions Grasset qui publient bientôt une biographie non autorisée du personnage. Voici la quatrième de couverture du livre en question : "On l’appelle 'Mimi'. Michèle Marchand, la papesse des paparazzis, la gardienne des rumeurs, des secrets de la politique et des affaires. Elle collectionne les scoops sur les puissants mais elle a compris que le plus utile n’était pas de les vendre. Les posséder suffit. Et en parler, ici ou là. Elle ne dispose d’aucun titre officiel mais 'Mimi' se rend tous les jeudis à l’Elysée. Son agence de presse, Bestimage, a l’exclusivité de l’image de la Première Dame et de celles, privées, du couple Macron. (sic !) Une manne. Et une première. Jamais un couple présidentiel n’avait concédé un tel passe-droit à une 'petite marchande de photos'. Comment 'Mimi' a-t-elle pris le contrôle des secrets de Paris? Pourquoi lui est-il accordé tant de privilèges? Que sait-elle? Que tait-elle? Difficile d’enquêter sur cette femme, puissante et redoutée. Ses amis se taisent et ses obligés ont peur." Et puis ceci, qui ne manque pas de piment : "Garagiste, tenancière de boîte de nuit, mariée à des braqueurs puis à un policier, championne de ski, reine de la presse people… avant d’arriver au cœur du pouvoir. La vie de 'Mimi' est une énigme et un vertige."
    On comprend que ce vertige en donne à d’autres. Voilà pourquoi, fort étrangement, l’appartement de l’un des journalistes a été cambriolé. Par qui? Toi seul le sait me semble-t-il. Ou Monsieur Collomb, qui a récemment fait ses valises… comme un voleur! Je ne sais pas pourquoi, mais j’ai l’impression que l’équipe de monte-en-l’air qui a œuvré sur le coffre fort de Benalla était aussi de service chez l’un des biographes de la désormais fameuse Mimi. (source: "Un des biographes de 'Mimi' Marchand mystérieusement cambriolé" dans L’Obs du 26 septembre 2018).
    Pour les besoins de ma démonstration, je sais que tu me comprendras, j’ai besoin d’un cinquième doigt. De sorte qu’ainsi, nous pourrons franchement parler d’un "Fist Fucking" – autrement dit, pour ceux qui se trouveraient autant déroutés par cette expression formulée dans la langue de Shakespeare que par  les subtilités lexicales du corps humain, voici une libre traduction de mon cru : "La main, puis tout le bras dans le cul". Tu m’excuseras toutes ces variations proctologiques, mais c’est toi qui m’y contrains, après avoir commencé aux Antilles…
    A plusieurs reprises, celui qui te sert de Benalla pour tes discours, Sylvain Fort, a fait savoir que tu n’appréciais pas un certain nombre d’intellectuels - dont ma pomme! Il fut dit un temps qu’un genre de "cellule riposte" allait être mise en place pour répondre aux idées "nauséabondes", bien sûr, de ces personnes dont j’étais et dont je suis. Notre Sylvain avait alors sorti du chapeau les noms de Michel Serres et de Pierre Nora: tu voulais du sang neuf et rajeunir la société française, ces académiciens totalisent 174 ans à eux deux, c’est réussi. (source : "Le devoir de mémoire de Macron" dans Le Parisien du 11 juin 2017).
    Tout le monde a pu voir que tu étais capable de changer la loi pour récompenser Philippe Besson qui est à ta personne ce que Heidegger fut à Hitler, Sartre à Staline, Sollers à Mao (puis à Balladur)… Tu as en effet décidé de faire voter un texte permettant  d’ouvrir une vingtaine de postes de consuls généraux supplémentaires à des fonctionnaires comme à des non-fonctionnaires afin de rendre possible ce hochet à offrir à ton ami avec l’argent de la République. (source: "Ce décret qui permet de nommer Philippe Besson consul à Los Angeles" dans Le Parisien du 30 août 2018).
    Un homme qui est capable de passer par-dessus la loi pour récompenser un intellectuel qui le…, qui le…,  disons, qui chante ses mérites, n’aurait pas à se forcer beaucoup pour faire savoir combien il lui plairait que ce philosophe, qui lui déplaît, cesse de voir ses cours diffusés sur le service public! Je dis ça comme ça! Après la fraude fiscale, trois doigts, les cambriolages, deux doigts, la promotion d’un ami comme avers d’une médaille dont le revers est l’éviction d’un ennemi, cinq doigt, voilà, le compte est bon: la main est passée tout entier, le bras peut suivre…
    Voilà un an que Votre Altesse, Votre Excellence, Votre Sérénité, Mon cher Manu, Mon Roy, mais aussi: Mon Chéri, tu es au pouvoir. Et tu nous régales chaque semaine avec de nouvelles aventures. Il te reste quatre ans de règne.  
    Je t’annonce une bonne nouvelle: comme je dispose de plus de temps pour moi depuis que mes cours à l’Université populaire sont passés dans la moulinette de ton rectum citoyen, je me réjouis de pouvoir t’annoncer que je t’écrirai plus souvent que je ne l’avais prévu lors de ma première lettre. Cette perspective nouvelle me donne le même sourire que toi, mais pour d’autres raisons: je suis ravi !
    On sait que le sage montre la lune et que l’imbécile regarde le doigt: pour ma part, j’en prend le ferme engagement, je ferai part égale entre la lune et le doigt…
    Salut Manu

    Michel Onfray

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/10/04/quand-michel-onfray-ecrit-a-macron-sur-le-sens-du-doigte-ca-6094512.html

  • Italie : arrestation de Domenico Lucano, un maire soupçonné d’aide à l’immigration clandestine

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    Le parquet de Locri (sud) a annoncé mardi l’arrestation de Domenico Lucano, maire de Riace, un village pionnier dans l’accueil des réfugiés dans le sud de l’Italie, soupçonné d’aide à l’immigration clandestine.

    Le parquet a également ordonné un placement aux “arrêts domiciliaires” contre M. Lucano, soupçonné également d’irrégularités dans l’octroi des financements pour le ramassage des ordures de son village, selon un communiqué des autorités judiciaires.

    M. Lucano est accusé d’avoir organisé des mariages de convenance entre des habitants de son village et des femmes étrangères afin de leur obtenir un titre de séjour.

    Le communiqué cite des extraits d’écoutes téléphoniques dans desquelles M. Lucano semble effectivement agir, en connaissance de cause, contre la loi en vigueur, qualifiée de “stupide“.

    Je vais vous faire la carte d’identité, je suis hors-la-loi, je suis hors-la-loi car pour faire la carte d’identité je devrais avoir un permis de séjour encore valable. En plus vous devriez démontrer que vous résidez à Riace, que vous avez une habitation à Riace, (…) j’assume la responsabilité et je vous dis que ça va“, dit-il ainsi à une femme étrangère dans une conversation enregistrée par les enquêteurs, selon le parquet.

    Distingué en 2010 comme troisième “meilleur maire du monde“, cité parmi les 100 personnalités les plus influentes par le magazine Fortune en 2016, son arrestations risque de provoquer des cris d’orfraie parmi les officines immigrationnistes.

    https://fr.novopress.info/212157/italie-arrestation-de-domenico-lucano-un-maire-soupconne-daide-a-limmigration-clandestine/

  • Plus de 700 immigrés clandestins secourus en deux jours

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    Dimanche, l’AFP a annoncé que les sauveteurs en mer espagnole avaient secouru 675 migrants entre le Maroc et l’Espagne.

    Il y a tout d’abord eu une première vague de 405 clandestins récupérée samedi, puis 270 dimanche. La moitié d’eux est originaire d’Afrique subsaharienne et l’autre moitié du Maghreb.

    Contrairement à ce que racontent les médias dominants, il n’y avait que très peu de familles : seulement 7 enfants ou bébés.

    Rappelons que l’Espagne est devenue cette année la première porte d’entrée de l’immigration clandestine en Europe, après que l’Italie a largement fermé ses frontières.

    https://fr.novopress.info/

  • La grande braderie: au nom de la concurrence libre et non faussée…

    barrage-300x225.jpgAprès la grande braderie que fut la  privatisation des autoroutes sur le dos des Français, en avant pour celle  des barrages hydroélectriques!  Arnaud Raffard de Brienne le déplorait  dans Présent début septembre,  Emmanuel Macron va céder « aux  pressions répétées de la Commission européenne  »  exigeant  « l’ouverture à la concurrence de la gestion des (400)  barrages hydrauliques (dont l’Etat est propriétaire). »  Il s’agit, et  de  loin,   « de  la première des énergies renouvelables en France » (20 % de la production nationale), de la seconde source de production électrique du pays, soit  20 % de la puissance installée du mix électrique, 12 % de l’électricité utilisée par les Français, 66 % de la capacité de production de  pointe.  Un secteur dans lequel EDF se taille la part du lion,  à la tête de 85% des concessions de barrages, accordées en moyenne   pour une durée de 75 ans. Le journaliste le rappelle,  les  pressions de Bruxelles  s’exercent   « depuis une dizaine d’années et elles auront donc eu raison  des velléités de résistance passive de la France », passive étant le mot juste…   

    Le journal de l’environnement l’évoquait alors,  c’est en effet  le 3 novembre 2015 que la Commission européenne avait  dans ce dossier  «  adressé une mise en demeure au gouvernement français »,   au  nom du dogme selon lequel « les Etats membres sont tenus de veiller, en ce qui concerne les entreprises publiques ou celles disposant de droits spéciaux ou exclusifs, à ne maintenir aucune mesure contraire aux traités, notamment en matière de concurrence. »

    Faute de pouvoir donner l’assaut dans le cadre du marché  de l’électricité  contre le monopole de l’Etat sur nos centrales nucléaires,  (encore) protégées des velléités prédatrices des bruxellois   car  incluses par la France  au nombre des « activités d’importance vitale », nos ressources hydroélectriques sont dans le collimateur.  En l’espèce celui  de la Danoise  Margrethe Vestager, commissaire européenne à la concurrence  et accessoirement membre du  très immigrationniste parti social libéral danois rattaché au parlement à l’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) et à  l’Internationale libérale.

    Mme Vesdtager s’est émue de la « position dominante » en France d’EDF,  d’« une inégalité de chances »  sur notre sol  entre   opérateurs pour l’accès à la production hydroélectrique.  Le duo Hollande-Valls avait  commencé à céder aux  exigences de mise en concurrence de Bruxelles en avril 2016,  avec la publication d’un décret ouvrant notamment à des sociétés d’économie mixte (SEM) la concession des barrages. Et pour mieux  complaire à l’idéologie européiste,  l’Etat  interdit désormais à EDF de postuler  à la reprise d’une de ses concessions… quand bien même l’offre proposée par celle-ci serait la meilleure!

    Bref, une ouverture imposée au  nom du principe de  la concurrence libre et non faussée,   auquel nous devrions nous plier au mépris de notre intérêt national, et qui attise sans surprise l’intérêt  des groupes étrangers. Le contraire serait en effet  étonnant au vu de la  rentabilité  des barrages hydroélectriques  - ouvrages  d’art  construits  et entretenus,  faut-il le préciser, avec l’argent des contribuables Français -, les chiffres publiés évoquant environ 2,5 milliards d’excédent brut annuel pour les concessions. 

    En juin 2018, une dépêche de l’Afp  reprise sur le site euractiv notait que le gouvernement d’Edouard Philippe   « aurait proposé à Bruxelles la mise en concurrence de certaines concessions dès cette année, en plafonnant les lots que peut remporter une entreprise, selon la CGT et des députés qui suivent ce dossier. » « La crainte d’EDF comme des salariés est que les concessions les plus rentables partent à la concurrence et qu’EDF se retrouve avec les petits barrages, faisant dérailler l’équilibre économique de l’ensemble. » Une péeoccupation  parfaitement justifiée, d’autant qu’ en dépouillant ici  EDF , dont le capital social est détenu à 83,7% par l’Etat, il est loisible de  craindre une  augmentation pour les Français du prix de l’électricité.  A titre indicatif, soulignons le faible coût de celle-ci quand elle est   produite par les barrages, entre 20 et 30 euros le mégawattheure, prix sensiblement plus bas que celui de  l’électricité nucléaire notamment

    En mars  dernier,  l’élue national   Christelle Lechevalier (groupe ENL) rappelait à Strasbourg  que «la privatisation des barrages hydroélectriques dépouillerait la France d’une ressource d’énergie, régulatrice de l’écosystème, décarbonnée et rentable. » La collègue de Bruno Gollnisch soulignait également  que les syndicats (qui) protestent aujourd’hui  contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques s’étaient  tous ralliés derrière l’européiste Emmanuel Macron au second tour de l’élection présidentielle.  « Syndicats (qui) ne remettent jamais en cause les traités européens et la mondialisation-destruction (…) complices, par leur silence, de la disparition de nos services publics et de la perte de l’autonomie de notre nation en matière énergétique.»

    A la soumission des gouvernements successifs aux oukases de la technocratie européiste répond l’inféodation globale des syndicats à ce système par essence antinational. Mais peut-on demander à des syndicats dirigés, formatés, contrôlés par  des socialo-trotskystes, des communistes de sortir de l’ambiguïté ? Comment pourraient-ils avouer que le Grand Satan national contre lequel ils appellent systématiquement à voter,  défend avec une grande  cohérence politique une  préférence nationale  plébiscitée par les travailleurs Français  mais combattue par l’oligarchie bruxelloise?

    https://gollnisch.com/2018/10/05/la-grande-braderie-au-nom-de-la-concurrence-libre-et-non-faussee/

  • Grand Remplacement : Quinze millions pour les migrants, par Francis Bergeron

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    Muriel Pénicaud, ministre du travail, annonce un plan de quinze millions d’euros pour aider à l’insertion des immigrés, réfugiés et autres demandeurs d’asile, et d’abord pour les aider à trouver du travail. C’est donc bien qu’il est prévu qu’ils restent. Définitivement.

    Détaillant ce plan, Madame le ministre a expliqué qu’il fallait assurer une formation professionnelle à cette masse de réfugiés, afin qu’ils puissent plus facilement trouver du travail en France. Tout ceci part d’une gentille intention. Mais révèle aussi que ce qui est en train de se dérouler sous nos yeux ne correspond absolument pas au discours qui nous a été tenu pendant des mois, à savoir que ces populations seraient confrontées à des situations mettant leur vie en danger, et qu’il fallait les accueillir jusqu’à ce qu’elles puissent rentrer chez elles.

    Cette nécessité de leur assurer une formation professionnelle prouve d’abord que, contrairement à la légende, ces réfugiés n’ont pas de qualification.

    Mais cette recherche d’emplois correspond à un second mensonge d’Etat et un second mensonge des grands (gros) médias : ils resteront. Il est prévu qu’ils restent. S’il s’agissait de vrais réfugiés politiques, comme on nous le soutient, ils resteraient dans le pays d’accueil jusqu’aux changements politiques attendus – des changements dont on peut imaginer qu’ils en seraient un peu les acteurs – avant de rentrer chez eux. Mais à partir du moment où ils sont formés à des métiers à exercer sur le territoire français, à partir du moment où le gouvernement finance des recherches d’emploi à leur profit, la théorie « scandaleuse », « mensongère » du « Grand Remplacement » ne paraît, hélas ! plus du tout une théorie, et certainement pas une théorie mensongère. Ces groupes d’étrangers dispersés dans des villes et villages, sur tout le territoire, nous allons donc leur payer, outre le gîte, le couvert, l’autocar et les cigarettes, des formations pour leur apprendre un métier, un métier qu’ils pourront exercer en France, et des coachs pour les former à la recherche d’emploi en France.

    Six millions de demandeurs d’emploi ne suffisent donc pas. Il faut importer des réfugiés chômeurs, que l’on va essayer de recaser dans des emplois.

    Un maître-mot qui leur ouvrira la porte des entreprises : « discrimination »

    Mais la probabilité pour qu’ils trouvent du travail est faible, allez-vous penser, compte tenu de l’analphabétisme, du manque de bases techniques, de l’obstacle de la langue pour beaucoup d’entre eux.

    Non, pas du tout ! Car il existe un maître mot qui devrait leur ouvrir toutes grandes les portes des entreprises, le mot « discrimination ».

    Ne parlons même pas de préférence nationale, la loi l’interdit depuis longtemps. Mais si, à compétence égale ou supérieure, un autochtone est retenu pour un poste, contre la candidature d’un réfugié, gageons que les structures qui encadrent les réfugiés et qui les encadreront demain (sans doute les mêmes) crieront à la discrimination.

    Mais, au fond, peut-être assistons-nous simplement à une expérience ? « Même si certains identitaires veulent ramener la France au vin, au saucisson ou je ne sais quoi, pour moi, la France, c’est avant tout une expérience », expliquait l’animateur d’une de ces associations.

    Une expérience ? A quinze millions d’euros ? C’est alors une expérience à la docteur Folamour ! De celles qui se terminent souvent mal.

    Francis Bergeron

    Article repris du quotidien Présent

    https://fr.novopress.info/

  • Emmanuelle Ménard : « Gérard Collomb se fiche complètement d’Emmanuel Macron ! »

    Départ officiel de Manuel valls pour sa candidature à la mairie de Barcelone, démission de Gérard Collomb refusée mais maintenue, photo scandaleuse aux Antilles pour Emmanuel Macron. Emmanuelle Ménard, députée de l’Hérault, réagit au micro de Boulevard Voltaire à tous ces événements qui signent, selon elle, une rentrée catastrophique pour le gouvernement.

    Aujourd’hui à l’Assemblée nationale, deux nouvelles sont tombées. Le départ officiel de Manuel Valls et la démission de Gérard Collomb.
    Que pensez-vous de la décision de l’actuel ministre de l’Intérieur ?

    C’est un désaveu assez profond de la politique menée par monsieur Macron. Monsieur Collomb était l’incarnation du fidèle parmi les fidèles du Président de la République. Il présente sa démission, elle est refusée et il l’a maintient. Aujourd’hui, il annonce très clairement et officiellement qu’il se fiche complètement de monsieur Macron et que ce n’est plus son problème.
    Ce qui est d’autant plus frappant, c’est de voir ce repli vers des territoires locaux, alors que monsieur Macron est l’incarnation du mondialisme. Il est donc exactement l’inverse.


    Manuel Valls a décidé de revenir à ses terres d’origine en se présentant à la mairie de Barcelone.
    Selon vous, les désertions se multiplient-elles autour du Président de la République ?

    Je ne les mettrais pas forcément dans le même registre. Je pense que dans le cas de monsieur Valls, c’est vraiment de l’opportunisme politique.
    Ce n’était un secret pour personne qu’il ne se sentait pas très bien et n’était pas très intégré au sein de cette majorité. Il était apparenté au groupe la République En Marche. Les députés de la République En Marche lui battaient souvent froid. Il n’a jamais vraiment trouvé sa place. Il a dû se dire qu’il n’avait plus d’avenir au sein de cette majorité et comme c’est quelqu’un qui a une forte et haute opinion de lui même, il a préféré vivre sa vie. C’est vraiment de l’opportunisme, car si on lui avait proposé une place de ministre, il serait resté en France. C’est de l’opportunisme politique, c’est l’incarnation de la girouette politique.

    Au vu des différents événements de ces derniers temps, pensez-vous qu’Emmanuel Macron vie un début d’année catastrophique ?

    C’est une rentrée catastrophique avec des signaux qui partent dans tous les sens. Encore une fois, c’est l’incarnation de la politique du « en même temps ». C’est « je suis le Président des riches, mais en même temps, je veux faire croire que je m’occupe des pauvres », « je suis le Président des grandes sociétés multinationales, mais en même temps, j’essaie de rassurer un peu les retraités, car il ne faut pas oublier que beaucoup d’entre eux m’ont élu ». Avec monsieur Macron, c’est cela en permanence. C’est tellement visible et criant.
    En regardant à nouveau ces photos prises aux Antilles, je trouve profondément choquant de voir un Président de la République en chemise à côté d’hommes torse nu où ils se serrent dans les bras les uns les autres. Il n’y a plus de fonction présidentielle.

    Emmanuelle Ménard

    http://www.bvoltaire.fr/emmanuelle-menard-gerard-collomb-se-fiche-completement-demmanuel-macron/

  • UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    UE-URSS : est-il permis de sortir de l’Union européenne ?

    Face aux difficultés du Royaume-Uni à négocier sa sortie de l’UE, le ministre des Affaires étrangères britannique, Jeremy Hunt, a comparé l’Union européenne à l’Union soviétique :

    «La leçon de l’histoire est claire : si vous transformez le club européen en une prison, le désir d’en sortir ne diminuera pas, il grossira et nous ne serons pas le seul prisonnier à vouloir s’échapper». «L’Union européenne a été conçue pour préserver les libertés, c’est l’Union soviétique qui empêchait les gens de partir».

    La prochaine échéance pour les négociations sur le Brexit est fixée au sommet européen du 18 octobre.

    https://www.lesalonbeige.fr/ue-urss-est-il-permis-de-sortir-de-lunion-europeenne/