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magouille et compagnie - Page 1387

  • Gap affiche une fillette voilée dans sa dernière campagne de pub : ça y est, nous y sommes…

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    Au milieu d’un groupe d’enfants ou en duo avec un garçon qui arbore fièrement sa coupe afro pose une fillette d’une dizaine d’années, coiffée d’un hijab. La campagne publicitaire que Gap vient de lancer pour la rentrée aux États-Unis et au Royaume-Uni a déclenché l’ire de nombreux internautes français. Des Républicains à La République en marche, plusieurs personnalités politiques, comme Mmes Guirous et Boyer, Bergé et Lang, ont également condamné, voire appelé à boycotter la marque américaine de vêtements.

    Anne-Christine Lang dénonce une « volonté de polémique pour faire un buzz ». La provocation est probable : si la Bible prédit le « malheur à celui par qui le scandale arrive », dans le domaine du marketing, c’est souvent tout le contraire. Mais, pour que le scandale soit financièrement rentable, il faut aussi des gens que ce scandale lui-même scandalise. Autrement dit, dans cette affaire, des gens qui ne comprennent pas qu’on cherche des noises à Gap, et même qui trouvent très bien cette publicité. Il ne doit certes pas en manquer, et pas seulement des musulmans adeptes du voile.

    Sur son site, rapporte Le Figaro, Gap France « expliquait […] : “Cette saison, Gap Kids encourage les enfants à renouer avec l’école en célébrant les différences” » (la phrase a fort opportunément disparu depuis). Rien de nouveau sous le soleil, voilé ou non : en 2017, pour justifier une affiche publicitaire montrant « une jeune femme coiffée d’un voile très couvrant », l’enseigne affirmait déjà que « Gap est une marque qui célèbre la diversité ». La diversité, forcément, c’est bien. Du moins, une certaine diversité. Car le hijab n’est pas un couvre-chef comme le bob ou le chapeau cloche. C’est un signe religieux. Et, dans le monde selon Gap, s’il y a de la place pour le foulard musulman, on ne trouve nul accessoire rappelant d’autres religions.

    Lydia Guirous n’a donc pas tort de voir dans cette publicité une « soumission à l’islamisme » et de souligner que le port du voile islamique imposé aux fillettes « est une maltraitance et un piétinement de nos valeurs d’égalité, de liberté et de laïcité ! »

    Mais, à une époque où tout le monde trouve normal que les femmes mûres s’habillent comme des adolescentes et les fillettes comme des femmes, il n’est pas étonnant que certains trouvent naturel qu’une enfant de neuf ou dix ans soit voilée comme l’est sa maman. D’autre part, si les filles sont ainsi à l’image de leurs mères, elles en sont aussi l’image. C’est là que la publicité est perverse. Si elle est odieuse par l’instrumentalisation qu’elle fait de l’enfant, elle est dangereuse par l’image qu’elle donne à travers cette fillette voilée, par métonymies successives, de la femme voilée, du voile islamique et de l’islamisme.

    Sur la photo, l’enfant rit : le voile n’est donc pas un instrument d’oppression mais sinon le gage, du moins une des sources du bonheur. Elle est vêtue d’une veste en jean et d’un pantalon skinny : le voile, et par conséquent l’islamisme, ne sont donc pas incompatibles avec la modernité et la culture occidentale. Quant à ceux qui s’indignent que cette publicité considère qu’une fillette est un objet sexuel potentiel, les islamistes auront tôt fait de retourner leur argument par ce syllogisme : on voile des fillettes ; or, une fillette ne saurait être un objet sexuel, donc le port du voile islamique ne fait pas de la femme un objet sexuel.

    Ce n’était sans doute pas le but, mais cette campagne donne une formidable publicité à l’islamisme. Sans compter que les fillettes voudront toutes un hijab à la rentrée. Gap serait bien inspiré d’ajouter ce produit à son catalogue.

    Christine Célérier

    http://www.bvoltaire.fr/gap-affiche-une-fillette-voilee-dans-sa-derniere-campagne-de-pub-ca-y-est-nous-y-sommes/

  • Querelle sur les transferts iraniens de liquidités: Washington fait pression sur l'Allemagne

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    Washington : Le gouvernement américain accentue ses pressions sur l’Allemagne pour empêcher une somme de 300 millions d’euros en avoirs iraniens de quitter l’Allemagne. Il s’agit d’avoirs appartenant à la banque publique commerciale euro-iranienne qui sont entreposés actuellement dans les coffres de la banque fédérale allemande. Téhéran veut se préparer à faire face aux sanctions élargies que lui impose Washington ; or, comme le versement d’une telle somme n’est plus possible, à cause des conditions qui ont été modifiées, le gouvernement iranien s’efforce de faire rapatrier cet argent en liquidités. Washington veut empêcher cette opération.

    Le gouvernement américain compte sur un refus allemand de procéder à ce transfert de liquidités et se réfère aux nouvelles conditions régissant les transactions commerciales internationales qu’a acceptées la banque fédérale allemande. « Nous serions reconnaissants à nos partenaires du gouvernement allemand, s’ils admettent la nécessité de contrer les activités destructrices de l’Iran », a déclaré l’ambassade des Etats-Unis.  La décision de la banque fédérale allemande de rendre ses règles plus sévères, « contrecarrera les efforts problématiques de l’Iran, de faire transférer par avion, au départ de l’Allemagne, des cargaisons entières de liquidités ».

    Ces nouvelles conditions pour les transactions, qui entreront en vigueur le 25 août prochain, veulent que, pour des paiements en liquidités aussi importants, il faut donner des explications, notamment pour empêcher le financement du terrorisme. Si les explications ne s’avèrent pas suffisantes, la transaction pourra être refusée. Les Etats-Unis reprochent à l’Iran d’utiliser l’argent demandé pour financer des activités terroristes au Proche Orient.

    L’Allemagne, une fois de plus, s’est placée entre plusieurs chaises, parce que Berlin, comme toutes les autres capitales des pays de l’UE, ne veulent pas davantage heurter l’Iran, au moment où les Etats-Unis lui infligent de nouvelles sanctions. Le refus du transfert demandé pourrait avoir des conséquences fâcheuses pour l’Allemagne et pour l’Europe dans son ensemble.

    Ex : http://www.zuerst.de  

    http://euro-synergies.hautetfort.com/archive/2018/08/09/querelle-sur-les-transferts-iraniens-de-liquidites-washingto-6071422.html

  • Bravo l'Italie ! Bravo Salvini !

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    « L’Aquarius avec 141 autres immigrants à son bord : une propriété allemande, affrété par des ONG françaises, avec un équipage étranger, dans les eaux maltaises, battant pavillon de Gibraltar. Il peut aller où il veut, pas en Italie ! »

    Matteo Salvini (Twitter).

    Le navire humanitaire Aquarius avec 141 personnes, sauvées au large de la Libye, a de nouveau été interdit d’entrer dans un port italien, a indiqué le ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini dans un tweet.

    Avec 141 migrants secourus près de la Libye, le bateau humanitaire Aquarius, affrété par l’association SOS Méditerranée, a de nouveau voulu entrer dans un port italien, mais a reçu un refus de la part du ministre italien de l’Intérieur Matteo Salvini.

    A lire aussi dans Lafautearousseau ...

    Le mouvement perpétuel

    Quel Aquarius pour sauver l'Europe ? 

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Le vrai Nelson Mandela, décrit par Bernard Lugan

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    Excellente vidéo pour comprendre qui était véritablement Nelson Mandela, dont la bien-pensance mondialiste entretient le culte.

  • Ces deux mois de canicule qui ont causé des milliers de morts

    C'était en 1911 et c'était pire que notre épisode de 15 jours. Mais à l'époque, personne ne vendait du réchauffement climatique. Un très bon article appuyépar les reportages de la presse de l'époque.Can

    "On estime que 40 000 personnes périrent à cause de la chaleur au cours de l'été 1911, principalement des enfants en bas âge. Une catastrophe sanitaire largement documentée par les bulletins statistiques de l'époque mais qui fut passée sous silence par la presse, sans doute sous la pression des pouvoirs publics alors engagés depuis plusieurs années dans une lutte contre la mortalité infantile, dont cette crise menaçait de révéler les faiblesses. 

    Au total, ce sont deux mois et demi d’extrême sécheresse et de températures élevées que connurent les Français cet été-là. La canicule finira par cesser définitivement au milieu du mois de septembre, après quelque 70 jours de chaleur écrasante".

    Lahire

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  • L"imposture de Macron en un tweet

    La reprise selon #Macron


    Inflation+2%
    carburant+12%
    PV auto=>+130%
    contrôle technique+23%
    cartes grises+15%
    mutuelles+6%
    forfait hospit+15%
    Frais bancaires+13%
    timbres postaux+10%
    tabac+10%
    gaz+7%
    Électricité+17%
    Fioul domestique+35%
    alimentation+
    Impôts/prélèvements+
    Dette+
    Étc

    Lahire

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  • « Plutôt que de poursuivre Lafarge, il faudrait s’interroger sur la politique de la France en Syrie »

    Entretien avec le spécialiste de la Syrie Fabrice Balanche (1/2)

    Nouveaux équilibres confessionnels, avenir des provinces libérées de l’Etat islamique, affaire Lafarge : le géographe spécialiste de la Syrie Fabrice Balanche a répondu sans détours à nos questions. Entretien (1/2) 

    Daoud Boughezala. Après le départ de millions d’exilés, quelle est la nouvelle carte ethno-confessionnelle de la Syrie ?

    Fabrice Balanche. Les grands équilibres n’ont pas fondamentalement changé. Il y a deux ans, j’avais calculé que la part des Arabes sunnites, qui formaient 65% de la population en 2011, était passée à 60% parce qu’ils représentent l’essentiel des sept millions de réfugiés à l’étranger. Le poids relatif des alaouites a augmenté, passant de 10% à 14%, comme celui des druzes, de 3% à 5%. Par contre, plus de la moitié des chrétiens sont partis : ils représentaient 5% de la population avant la guerre, mais ils ne sont plus que 3-4% aujourd’hui.

    Indépendamment des appartenances confessionnelles, l’adhésion au pouvoir baathiste de Bachar-Al-Assad est-elle renforcée ?

    Aujourd’hui, le parti Baath n’exprime plus l’unité nationale et son idéologie est vraiment rejetée. Mais Bachar Al-Assad, en tant que président, a montré sa solidité en restant capitaine du bateau en pleine tempête, ce qui renforce ses soutiens. La population qui était hésitante, voyant les exactions des rebelles et l’absence d’alternative, s’est rapprochée du gouvernement syrien. Dans les zones tenues par le gouvernement, il y a un Etat, de la stabilité, des services sociaux et des services publics qui fonctionnent. J’étais au mois de janvier à Raqqa et Manbij. Tous les Syriens arabes m’ont dit : « On veut le retour de l’Etat, parce qu’on ne veut pas vivre dans une région séparatiste dominée par les Kurdes et les Américains, on veut la Syrie, quel que soit le président à la tête du pays ». Mais le fait de vivre dans un Etat dirigé par Assad ne les dérangeait pas.

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  • Manuel Valls, les intellectuels et l'inculture triomphante

    Plus de trente ans après Max Gallo, Manuel Valls se plaint du silence des intellectuels. Pour Vincent Trémolet de Villers les politiques ne les lisent pas et les utilisent comme des outils de communication. 
    On ne devrait jamais imiter Mitterrand. François Hollande n'est pas Tonton et Manuel Valls n'est pas Max Gallo. En 1983, l'historien, alors porte-parole du gouvernement, publiait à la fin du mois de juillet une tribune de très bonne facture dans Le Monde : «Les intellectuels, la politique et la modernité.» Il y déplorait l'abandon par la gauche de la bataille des idées et le silence des penseurs et des philosophes retirés «sur l'Aventin». Le 5 mars dernier, Manuel Valls lançait à son tour «Où sont les intellectuels ? Où sont les grandes consciences de ce pays, les hommes, les femmes de culture qui doivent monter eux aussi au créneau ? Où est la gauche ?» C'est le même qui, pourtant, rejetait dans les rayons de l'enfer un essayiste, un romancier et un philosophe dont les œuvres cristallisent une large partie des angoisses contemporaines et qui à eux trois vendent des centaines de milliers de livres. Le Suicide français, d'Éric Zemmour, selon Manuel Valls, ne méritait pas d'être lu. La France ça n'est pas «celle de Houellebecq» a-t-il affirmé. Enfin, il s'est embrouillé dans ses fiches, sur Europe 1, en estampillant, malgré lui, Bernard-Henri Lévy comme penseur officiel du régime et en tatouant sur le bras de Michel Onfray le signe infâmant de l'extrême droite.
    Si l'on comprend bien le Premier ministre, le silence des intellectuels est révoltant quand ils sont issus de la gauche morale mais impératif quand ils ont emprunté d'autres chemins. Pour savoir qui doit parler et qui doit se taire, s'adresser à l'hôtel Matignon. Cette approche enfantine illustre la place qu'ont véritablement les intellectuels dans l'esprit du gouvernement (et disons-le de la plus grande part de la droite) : des pions noirs ou blancs que des communicants, plus ou moins incultes, placent sur le damier. L'ouvrage de François Bazin, Les Ombres d'un président (Plon), détaille avec cruauté cette paresse et cette indifférence chez François Hollande. 
    La littérature et la vie de l'esprit établissent pourtant des liens indestructibles entre l'homme public et la population. Plus encore que la séance du marché le samedi matin, la lecture de Balzac expose toutes les nuances de l'âme humaine et de l'ambition, celle de Proust des vanités sociales et des intermittences du cœur. Les Particules élémentaires ou Soumission offrent un tableau de la classe moyenne que les sociologues mettront dix ans à établir dans leurs rapports. Mais ceux qui nous gouvernent ou souhaiteraient le faire considèrent le livre comme un meuble. L'ornement secondaire d'une ambition accomplie. Le chef de l'État assume son ignorance et se fait prendre en photo, sourire ravi, avec L'Histoire de France pour les Nuls. Manuel Valls ne sait pas qui est Hélie de Saint Marc, Fleur Pellerin se fout de Modiano, Frédéric Lefebvre confond Zadig et Voltaire, Nicolas Sarkozy s'est longtemps demandé à quoi pouvait bien servir La Princesse de Clèves
    Les journalistes, reconnaissons-le, ne sont pas en reste. Ils classent eux aussi les auteurs chez les blancs ou chez les noirs sans même prendre la peine d'ouvrir leur livre. Christophe Guilluy, géographe de gauche qui ne cesse d'essai en essai d'établir les causes de la dérive identitaire, est qualifié de «pousse» de la droite la plus réactionnaire. L'auteur de L'Insécurité culturelle, Laurent Bouvet, alerte la gauche sur ses impensés : il est renvoyé sur l'autre rive parce qu'il a osé évoquer la crise de l'intégration. L'œuvre d'Alain Finkielkraut, maître de l'inquiétude et de la nuance, est réduite au rang de tract pour le Front national. Leurs noms remplissent les listes noires. Contre eux, le lexique olfactif, «rance», «moisi», est exploité jusqu'à la nausée. Tous sont coupables du même crime : plutôt que de peindre une surréalité heureuse, ils livrent par fragments les peurs et les espérances de l'inconscient collectif. En un mot, ils appellent un chat, un chat. Ce que les sondeurs voient venir, à la veille des élections départementales, ils l'annoncent et le déplorent depuis des années. Ils ne se sont pas contentés de publier des essais et d'attendre «sur l'Aventin». Ils supportent les ricanements, les couleurs criardes des studios de télévision, les comiques pas drôles, les critiques jaloux. En vain. Certes, les politiques les reçoivent, les écoutent, les raccompagnent, leur tapotent l'épaule, mais l'idée ne leur est pas encore venue de jeter un œil sur leurs livres. Pas le temps : le rappeur Joey Starr, fondateur de l'inoubliable Nique ta mère, vient dîner à l'Élysée. 

  • L'Europe dispendieuse assassine - Nous n'avons pas besoin de tous ces parasites illégitimes !

  • Construction des mosquées de Trélazé et Angers

    Avec la généreuse complicité de la mairie :

    "La mosquée de Trélazé s’agrandit, et ce de manière spectaculaire avec la construction d’un dôme impérial. Six arcs en bois de 2,5 tonnes chacun portent la structure. L’un de ces arcs mesure 26 mètres de long. [...] La Ville de Trélazé a versé une subvention de 300 000 € pour l’agrandissement de ce centre culturel. Le chantier devrait être livré en mai 2019 pour un coût estimé de 1,8 million d’euros.

    Où en est la construction de la future mosquée d’Angers dans les Hauts-de-Saint-Aubin ? « Le gros œuvre sera bientôt terminé et nous passerons ensuite à l’aménagement intérieur », confie un membre de l’association des musulmans d’Angers."

    Michel Janva

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