En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Du Nord au Sud de l’Europe, les médias mainstream et les politiciens du système occupent l’espace avec un leitmotiv, la canicule, et ses dangers, due au dérèglement climatique anthropique, qui s’abattrait de manière exceptionnelle sur les pays. Derrière cette peur instrumentalisée, cette imposture climatique, un but : exproprier les maisons ‘non écologiques’.
La motion de censure des socialistes rejetée, sans surprise, François Bayrou va donc pouvoir passer l’été à Matignon. En espérant que son bureau est climatisé, n’en déplaise à Agnès Pannier-Runacher, en charge de la brumisation gouvernementale, car, a priori, c’est un sale été qui se profile à l’horizon caniculaire. En effet, la Cour des comptes vient de rendre son rapport annuel sur la situation et les perspectives des finances publiques. Un rapport « destiné à éclairer le débat public en amont de la préparation des textes financiers qui seront présentés au Parlement à l’automne ». Samedi, BV vous posait cette question : « Dette : craignez-vous que la France ne subisse le sort de la Grèce ? » (vous pouvez encore répondre à cette question). À 93 %, résolument « budgéto-sceptiques », vous avez répondu « oui » ! Et, effectivement, il y a de quoi l’être, en lisant ce rapport qui nous dit, en gros, que la situation est grave, pour ne pas dire désespérée, tant au plan de la situation qu’à celui des perspectives.
l faut lire Mediapart avec la même attention que l’on accorde à un journal de tranchée en 1916 : non pour s’informer, mais pour comprendre l’état moral de ceux qui continuent, contre toute évidence, à croire qu’ils tiennent la ligne de front. Le dernier papier consacré à l’expression populaire « C’est Nicolas qui paie » est un chef-d’œuvre involontaire de panique idéologique : on y voit deux scribes en apnée face à l’irruption du réel dans leur aquarium conceptuel.
Une célèbre citation, attribuée à Jacques Godfrain, disait que « les socialistes aiment tellement les pauvres qu’ils en fabriquent ». La gauche ose se dire du côté du peuple, parce qu’elle affirme défendre la retraite à 60 ans, les services publics, la redistribution et le modèle social français.
Mais elle défend surtout le surendettement de la France, puisque c’est sa politique sociale, suivie par Macron et une partie de la droite, qui a créé le déficit record sous les deux mandats du « Mozart de la Finance ».
En Allemagne, une campagne de prévention contre le harcèlement sexuel dans les piscines montre une dame rousse d'allure belliqueuse porter sa main sur le postérieur d'un nageur « racisé ».
Une fois n’est pas coutume, le mercredi deux courant, j’ai décidé, comme ça, par curiosité, et surtout attiré par deux noms prestigieux de la scène et de l’écran –, Claire Keim et Pierre Arditi - ce dernier étant autant à gôôôche qu’il est talentueux -, de regarder à 21 h un téléfilm sur la chaine publique « France 2 », anonymement intitulé « Le premiervenu ».
Avis que personne ne lit, train de vie dispendieux, effectifs pléthoriques… Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) est à nouveau pointé du doigt. Cette fois-ci, c’est Daniel Labaronne, député macroniste, qui lance la charge. Dans un rapport d’information parlementaire, rendu public ce 2 juillet, l’élu d’Indre-et-Loir étrille le fonctionnement de la « troisième chambre de la République », une institution jugée « peu visible », isolée et dont l’utilité interroge.
Les Jeux Olympiques de Paris ont coûté six milliards, soit trois fois plus que prévu, mais réalisent un bénéfice de 76 millions d’Euros, qui est bien sûr mis en avant. On peut toujours se dire que les promoteurs de l’événement, emmenés par le champion Tony Estanguet, sont très mauvais en calcul, mais ce n’est évidemment pas le cas. Ces JO font partie des événements de portée internationale, de nature à représenter la France et en ce sens, ils n’ont pas de prix en réalité et doivent être menés, comme dirait l’autre « quoi qu’il en coûte » et c’est justement sur ce type d’événements que la « pompe à fric » tourne à plein régime. Les annonces, les prévisions, servent juste à jauger de l’acceptabilité populaire, matraquée par les télévisions à la botte et le jeu consiste à présenter aux contribuables une facture à la fois acceptable et crédible, de manière à faire taire ceux qui expliquent que nous n’avons pas besoin de ces jeux, que le jeu n’en vaut pas la chandelle et ceux qui trouvent qu’il ne faut pas prendre le budget en considération, que l’important est le rayonnement de la France qui n’a pas de prix. La fenêtre de tir est donc étroite. Si le budget présenté est trop bas, le contribuable se doute qu’il est sous évalué à dessein. S’il est trop élevé, il n’y a pas d’engouement populaire pour un événement jugé « hors de prix ».
Que peut-il bien se passer dans la tête des électeurs de gauche ? Les esprits taquins répondront : rien. Le 12 juin dernier, "Le Nouvel Obs" tentait néanmoins de répondre à cette épineuse question avec l’aide de la Fondation Jean-Jaurès et des sondeurs d’Ipsos. Au final, il semble y avoir de la tempête sous les crânes progressistes.
Depuis la fin des années 1990, un peu partout en France (et ailleurs) surgissaient ces machines un peu curieuses et franchement laides que sont les éoliennes. Dans un premier temps, beaucoup pensèrent qu'il s'agissait d'une nouvelle lubie écologiste et que tout cela n'était pas destiné à proliférer... Hélas, la réalité fut toute autre et, plus le temps passait, plus la France se retrouvait recouverte par ces engins monstrueux et inutiles qui saccagent les paysages jadis magnifiques de notre cher pays.