La nausée. Le dégoût. La colère aussi en lisant l’article du journal local et militant (à gauche) Le Poher. J’étais au courant, que le mardi 2 avril, à Callac, lors d’un conseil municipal ouvert au public, quelques élus municipaux, Laure-Line Inderbitzin en tête (ancienne adjointe démise de ses fonctions) s’étaient livrés à un festival de diffamations, et de haine totale, me concernant. En appelant avec d’autres élus, à commettre une discrimination motivée pour des raisons politiques (ce qui est illégal, il faut le rappeler et qui est déjà en train d’être étudié par mes avocats, tout comme la diffamation publique).
Deux ans après, alors que la tension était retombée à Callac, que la fracture ouverte était en train de se résorber, voici que des gens ont voulu remettre de l’huile sur le feu. Hallucinant.
J’étais moins au courant qu’un canard local allait vouloir en profiter pour faire ses choux gras sur du flan, en plus de salir l’intégralité de la caserne des pompiers de Callac, qui pourtant sacrifient nuits, week-ends, jours fériés, pour venir en aider à la population, depuis toutes ces années. Et qui en prennent plein la tête ce matin, alors qu’ils n’ont absolument rien demandé à personne.