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magouille et compagnie - Page 1415

  • «Ce qu’on vous cache» : le nombre de demandeurs d’asile continue d’augmenter en France

    En baisse dans l’ensemble de l’Europe, le nombre de demandeurs d’asile continue d’augmenter en France. C’est l’une des réalités, parmi d’autres, que l’opinion ignore. Et pour cause : le discours dominant affirme que la crise migratoire est derrière nous. Le Figaro Magazine fait l’inventaire des vérités passées sous silence parce qu’elles dérangent.

    Il a fallu que Gérard Collomb soit poussé dans ses retranchements pour qu’il consente à lâcher que notre pays compte actuellement «autour de 300.000 personnes en situation irrégulière». Le ministre de l’Intérieur a reconnu en présentant sa loi asile et immigration que le faible taux d’exécution des obligations de quitter le territoire français créait une situation qui n’était «bonne pour personne», mais il a refusé de donner des chiffres précis. […]

    L’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra), qui traite les demandes d’asile, constate dans un document interne que sur les cinq premiers mois de 2018, elles sont en hausse de plus de 15 % par rapport à la même période l’année dernière. Les deux premiers pays de provenance des primo-demandeurs d’asile sont l’Afghanistan et l’Albanie. Ce simple fait met en évidence une des failles les plus importantes de notre système de lutte contre l’immigration clandestine: l’absence de distinction entre les pays classés «sûrs» par l’Ofpra, dont l’Albanie fait partie, et les pays non sûrs. […]

    http://www.fdesouche.com/1038183-ce-quon-vous-cache-le-nombre-de-demandeurs-dasile-continue-daugmenter-en-france

  • Le Conseil constitutionnel encourage le grand remplacement de population

    6a00d83451619c69e2022ad37f1975200d-250wi.jpgLe Conseil constitutionnel a été saisi le 11 mai 2018 par la Cour de cassation d'une question prioritaire de constitutionnalité relative à la conformité aux droits et libertés que la Constitution garantit des articles L. 622-1 et L. 622-4 du CESEDA, dans leur rédaction issue de la loi n° 2012-1560 du 31 décembre 2012 relative à la retenue pour vérification du droit au séjour et modifiant le délit d'aide au séjour irrégulier pour en exclure les actions humanitaires et désintéressées.

    En application du premier alinéa de l'article L. 622-1 de ce code, le fait d'aider directement ou indirectement un étranger à entrer, circuler ou séjourner irrégulièrement en France est un délit puni de cinq ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende. Toutefois, son article L. 622-4 prévoit plusieurs cas d'exemption pénale en faveur des personnes mises en cause sur le fondement de ce délit. Le 3° de ce même article accorde quant à lui une immunité pénale à toute personne physique ou morale ayant apporté une telle aide à un étranger lorsque cet acte « n'a donné lieu à aucune contrepartie directe ou indirecte et consistait à fournir des conseils juridiques ou des prestations de restauration, d'hébergement ou de soins médicaux destinées à assurer des conditions de vie dignes et décentes à l'étranger, ou bien toute autre aide visant à préserver la dignité ou l'intégrité physique de celui-ci ».

    Il était reproché à ces dispositions de méconnaître le principe de fraternité, faute que les exemptions pénales qu'elles prévoient s'appliquent à l'entrée et à la circulation d'un étranger en situation irrégulière sur le territoire français et faute de prévoir une immunité en cas d'aide au séjour irrégulier pour tout acte purement humanitaire n'ayant donné lieu à aucune contrepartie directe ou indirecte. Le Conseil constitutionnel a jugé que la fraternité est un principe à valeur constitutionnelle. Il découle de ce principe la liberté d'aider autrui, dans un but humanitaire, sans considération de la régularité de son séjour sur le territoire national.

    Le Conseil constitutionnel prononce, d'une part, la censure des mots « au séjour irrégulier » figurant au premier alinéa de l'article L. 622-4 du CESEDA, en jugeant que, en réprimant toute aide apportée à la circulation de l'étranger en situation irrégulière, y compris si elle constitue l'accessoire de l'aide au séjour de l'étranger et si elle est motivée par un but humanitaire, le législateur n'a pas assuré une conciliation équilibrée entre le principe de fraternité et l'objectif de valeur constitutionnelle de sauvegarde de l'ordre public.

    D'autre part, formulant une réserve d'interprétation, il juge que les dispositions précédemment citées, qui instaurent une immunité pénale en cas d'aide au séjour irrégulier, ne sauraient, sans méconnaître le principe de fraternité, être interprétées autrement que comme s'appliquant également à tout autre acte d'aide apportée dans un but humanitaire que ceux déjà énumérés par ces dispositions.

    Le Conseil constitutionnel a affirmé vendredi qu'une aide désintéressée au "séjour irrégulier" ne saurait être passible de poursuites, au nom du "principe de fraternité", et a censuré des dispositions du Code de l'entrée et du séjour des étrangers. L'instance répond à une demande de Cédric Herrou, devenu le symbole de l'aide aux immigrés à la frontière franco-italienne et qui réclamait l'abolition du "délit de solidarité".

    Avec cela, le nombre de demandeurs d'asile continue d'augmenter en France. Il a fallu que Gérard Collomb soit poussé dans ses retranchements pour qu'il consente à lâcher que notre pays compte actuellement «autour de 300.000 personnes en situation irrégulière».

    Et évidemment, ce principe de fraternité ne s'applique pas aux pro-vie qui auraient l'outrecuidance d'aller sauver des enfants à naître...

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • I-Média n°2018 – Délinquant tué à Nantes, les médias en mode bavure

    Délinquant tué à Nantes, novlangue dans les quartiers.
    Aboubakar Fofana, le délinquant tué par la police à Nantes met le feu aux banlieues Nantaises. C’est le retour de la novlangue sur les « quartiers » où la police tue.

    Le zapping d’I-Média
    Evasion de Redoine Faïd, l’homme est présenté comme braqueur. On pourrait presque y trouver une référence aux films d’Audiard, un voleur au grand cœur qui a réussi une « évasion spectaculaire ». Mais les médias ont omis de préciser que Redoine Faïd est présumé coupable du meurtre d’Aurélie Fouquet policière de 26 ans.

    Gay pride : le rose vous va si bien
    Gay Pride, le Lobby LGBT défile dans les rues de Paris. Difficile d’émettre une critique quand tous les médias célèbrent la fête et le combat homosexualiste.

    Les tweets de la semaine.
    Le média « Les décodeurs du Monde » pris la main dans le sac. Le média qui se veut parangon de vérité médiatique a qualifié l’attentat du 1er octobre de la gare Saint-Charles de « Faits divers ».

    RT dans le viseur du CSA et de la Loi sur les fake-news
    L’assemblée nationale a finalement adopté la loi contre les fake news. Le média russe RT est directement visé alors que le CSA vient de le mettre en demeure.

    https://www.tvlibertes.com/2018/07/06/24076/delinquant-tue-a-nantes-medias-mode-bavure

  • Mayotte : l’immobilité du gouvernement devant la submersion migratoire, par Anne Isabeth

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    9148-20180707.jpgLes débats et prises de bec pour déterminer qui devait accueillir, ou pas, les migrants embarqués sur l’Aquarius ou le Lifeline ont fait oublier la situation dramatique qui est celle de notre 101e département français depuis 2009, Mayotte. Mansour Kamardine, député Les Républicains tire une nouvelle fois la sonnette d’alarme.

    « A Mayotte, c’est un “Aquarius” qui arrive par semaine. En 4 mois et en toute impunité, 12 000 clandestins sont arrivés sur l’île, ce qui représente une croissance démographique record de + 4,7 %. Rapporté à la population, c’est comme si la métropole avait accueilli plus de 3 millions de clandestins en 4 mois ! Voilà ce que nous vivons à Mayotte ! Quel territoire de la République supporterait une telle pression migratoire ? », s’est alarmé le 4 juillet le député, dans un communiqué.

    Il faut dire que rien n’est fait pour aider, sur place, les autorités à refouler ce flot de clandestins qui submergent littéralement l’île. L’horizon est pour le moins obscur puisque les autorités comoriennes ont décrété, en mars dernier, qu’elles ne voulaient pas admettre leurs ressortissants sur le territoire, car les Comoriens seraient chez eux à Mayotte ! Cette prise de position, pour le moins ahurissante, ne risque pas d’être infléchie par la position de notre gouvernement qui réagit plus que mollement. Après avoir décidé, le 4 mai dernier – soit deux mois plus tard ! – que plus aucun visa pour l’espace Schengen ne serait délivré aux ressortissants comoriens, le gouvernement est revenu en partie sur sa décision en indiquant que cette mesure n’affecterait pas les étudiants en demande de visa.

    C’est donc un flot ininterrompu qui, depuis quatre mois, vient grossir le nombre des clandestins. Une situation qui ne semble pas émouvoir en métropole – Mayotte est loin des yeux et donc loin du cœur ? Le député LR ne mâche pas ses mots : « Dans les faits, derrière une façade de fermeté et de détermination, se cachent la mollesse, la faiblesse, la lâcheté et l’impuissance de nos dirigeants actuels à protéger le territoire national, à garantir le contrôle des frontières et à protéger nos compatriotes, en particulier les plus pauvres d’entre eux. » Et il conclut en prévenant : « J’en appelle au sursaut de conscience du gouvernement, avant qu’il ne soit trop tard, avant que les citoyens ne décident d’assurer leur sécurité par eux-mêmes à la frontière du territoire. »

    Anne Isabeth

    Article paru dans Présent daté du 5 juillet 2018

    https://fr.novopress.info/

  • Revue de presse : ET EMMANUEL MACRON DANSA AU NIGERIA

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    Jean-Charles Mignard Boulevard Voltaire cliquez ici

    En promenade au Nigeria, Macron a célébré la « créativité africaine » en s’exhibant sur la piste d’une boîte de nuit de Lagos au son des tambours, comme aurait dit Rose Laurens. Sans grâce ni rythme, il bouge vaguement et tape des mains. Bof ! C’est moins branché que la désormais célébrissime fête de la Musique à l’Elysée, mais tout aussi déplacé et ridicule. Et surtout plus immature encore.

    Imagine-t-on un autre président de la République française – même Hollande, même Sarkozy – dans de tels dévoiements de la fonction présidentielle ? Le scooter de Hollande était involontaire. La teuf africaine de Macron, elle, se veut, avec la suffisance habituelle de son auteur, un acte de communication doté d’une signification profonde.

    En fait, ce comportement révèle un manque de maturité étonnant et un goût prononcé de l’exhibition personnelle. L’impression de malaise devant un comportement si marqué par l’adolescence incite à la réflexion. À quel Président les Français ont-ils confié leur destin ? À quelle personnalité ? Et dire que certains croyaient que Macron incarnerait avec sérieux et dignité le renouveau de la fonction présidentielle !

    Mais si, voyons, l’autorité est bien au rendez-vous. L’autorité ? Non, l’autoritarisme !

    Autoritarisme. Le « Je suis votre chef » rappelé maladroitement aux militaires, comme si ces hommes et femmes capables du sacrifice suprême avaient besoin de cette inutile et obscène piqûre de rappel. Un vrai chef n’a nul besoin de préciser qu’il est le chef. Hélas, sa scolarité à l’ENA n’a pas appris au jeune Macron cette évidence humaine.

    Autoritarisme quand on met à pied, au mépris de toutes les règles, un ambassadeur respecté et efficace, coupable de dire ce qu’il pense d’un gouvernement brillamment réélu. Ah, mais le gouvernement hongrois de Viktor Orbán fait partie de ce que l’on qualifie hypocritement de « vent mauvais ». Éric Fournier, ambassadeur de France, a juste commis un délit d’opinion, si curieusement révélé par Mediapart.

    Toutefois, mettons au défi Macron d’être aussi brillamment réélu qu’Orbán dans quatre ans. Et mettons-le au défi de se remettre en cause à mi-mandat, comme l’a annoncé le nouveau président mexicain Andrés Manuel López Obrador.

    Ces défis-là ne seront jamais relevés. Car les autoritaristes sont des faibles ; seule leur inconscience les protège de leur propre ridicule.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • La croisade anti-gender des vrais écologistes

    decroissance-antigender-juin2014.jpgLes écologistes « officiels », ceux d’Europe-Ecologie Les Verts, les Barbara Pompili et autres Cécile Duflot, sont à la pointe de tous les combats pour la destruction de l’humanité. PMA et GPA, enseignement du gender, libéralisation totale de l’immigration, etc. Et c’est sans compter l’histoire des Verts allemands avec la pédophilie… 
    Mais les vrais écologistes, aussi différents des écologistes d’Etat que le pays réel l’est du pays légal, sont de furieux opposants aux offensives libertaires des Cohn-Bendistes. Au nom de l’écologie justement, la vraie ! 
    En janvier, à propos de l’adoption plénière et de la suppression légale de la filiation biologique, le rédacteur en chef de L’Ecologiste Thierry Jacaud condamne « un mensonge anthropologique officiel incroyable dont on imagine aisément les ravages sur les enfants ». Il voit dans les projets du gouvernement « une négation sidérante de la nature, l’aboutissement consternant de notre société industrielle qui détruit la nature non seulement dans la réalité mais aussi dans les esprits »
    En mars, mêmes critiques radicales dans La Décroissance contre la « puissance de la technoscience » et « la folie du “droit à” ». En juin, La Décroissance publie une bande-dessinée qui ridiculise les libertaires (« Appelez moi Mondame ! Il n’y a plus de “il” et de “elle” mais un “ille”. Tout doit être neutre ! Le sexe c’est nul ! C’est mal ! Beuurk ! ») et leur terrorisme de la pensée. C’est d’anthologie. Et la conclusion est magistrale… 
    Selon le rédacteur en chef Vincent Cheynet, « la déconstruction culturelle, notamment des représentations sexuelles, est l’identité et la locomotive de la gauche ». Or, « la casse des identités, à commencer par la première d’entre elles, l’identité sexuelle, livre la personne en position de proie idéale au marché » (page 5). 
    Dans L’Ecologiste (avril-mai-juin 2014), Cheynet montre que « l’idéologie des genders est l’ultime produit du libéralisme »« il est très logique que le système médiatique à la botte des intérêts de la mégamachine ait pris fait et cause pour elle ». Il renverse les accusations habituelles des pro-gender : « Si la “réaction” consiste à refuser l’apport de la science pour céder à une approche émotive, affective et archaïque, on peut alors considérer les tenants des “gender studies” comme de véritables réactionnaires ». Son interrogation finale se passe de réponse : « Le Meilleur des mondes avance-t-il aussi masqué sous les trais de l’écologie libérale-libertaire ? » 
    En 1980, dans Le Feu vert, Bernard Charbonneau (1910-1996), grand penseur écologiste, dénonce les tares de son courant de pensée avec un rare courage pour l’un de ses fondateurs. « En niant la différence [homme-femme] (…), obéit-on à une passion de liberté et d’égalité ou au contraire est-on dupe du développement d’une société qui devient une vaste fabrique d’ersatz standardisés ? » À propos de la « condamnation de la famille »« chez les écologistes, elle a lieu en général sans débat, ceux qui ne sont pas d’accord se contentent de se taire »
    Les anti-gender de droite et les catholiques trouveront dans les arguments écologistes une critique radicale de l’indifférentisme sexuel de la gauche. « Radicale », c’est-à-dire qui attaque le problème à la racine : le libéralisme, dont les deux discours, l’un économique (revendiqué à droite par ignorance du sens du mot « libéral »), l’autre culturel (celui de la gauche), ne sont que les deux faces d’une même pièce. Si les anti-gender de droite et les catholiques n’intègrent pas cette critique écologiste à leurs réflexions, leur combat est d’ores et déjà perdu, condamné à apparaître comme une réaction épidermique, un « Non ! » stérile et isolé de tout projet politique plus vaste de ré-enracinement de l’homme. Car l’indifférentisme sexuel de la gauche n’est que l’une des flammes du brasier mondialiste qui veut réduire en cendres toutes les différences : sexuelle, ethno-culturelle et politique. 
     

  • Le prétendu "complot de l'ultra droite" : les suspects remis en liberté

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    Le chef de file présumé d'un groupe d'"ultradroite", dont les autorités redoutaient "un passage à l'acte violent" contre des musulmans, a finalement été remis en liberté (sous contrôle judiciaire) tout comme un autre suspect. Une fois de plus, nous avons donc là une affaire qui accouche d'un pêt de lapin.

    Le "terrible groupe" intitulé "Action des forces opérationnelles" (AFO), dont personne dans notre milieu n'avait jamais entendu parler jusqu'aux arrestations ultra-médiatisées, il y a quelques jours, de ses membres présumés est donc hors d'état de nuire aux Système.  Ouf ! Les bobos peuvent partir en vacances tranquillisés...  

    En fait de "dangereux groupe terroriste", il s'agissait de neuf hommes et d'une femme, âgés de 32 à 69 ans, dispersés dans toute la France, auxquels on prêtait l'ambition de lutter les armes à la main contre l'islamisation de notre pays. Pour confirmer sa thèse, le Pouvoir s'appuyait sur quelques armes (anciennes pour la plupart) retrouvées, fort opportunément, chez quelques-uns des suspects. Rien que du classique... 

    Evidemment, après ces arrestations, des responsables religieux et associatifs musulmans en France avaient exprimé leur "profonde préoccupation".

    Il serait peut-être temps d'arrêter de délirer sur ces prétendus complots terroristes d'extrême droite. Chacun sait que la réalité est toute autre. Depuis trois ans les vrais terroristes, ceux qui tuent vraiment, ne sont pas bretons, ni poitevins, ni berrichons. Il n'y pas besoin d'être un fin limier pour s'en rendre compte. Et même si parfois certains illuminés de chez nous se répandent de manière débile sur les réseaux sociaux, cela ne justifie en rien l'arrestation arbitraire de patriotes sincères...  

    La vérité, c'est que pendant que l'on s'égosille sur un prétendu "terrorisme" nationaliste, on laisse s'installer en France des hordes de vrais terroristes islamistes qui un jour ou l'autre, eux, n'hésiteront pas à passer à l'acte comme ils l'ont d'ailleurs déjà fait à plusieurs reprises. Et cela, ce n'est pas du bidon... Hélas.

    Synthèse nationale

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Attentats du 13-Novembre 2015 : “les victimes veulent savoir la vérité”

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    Le tribunal administratif s”est penché mercredi 4 juillet sur un recours déposé par une trentaine de victimes des attentats du 13-Novembre 2015 concernant les “défaillances” de l’État.

    L’avocate Samia Maktouf, qui défend plusieurs familles de victimes, explique leur démarche sur l’antenne de France 24.

    https://fr.novopress.info/211468/attentats-du-13-novembre-2015-les-victimes-veulent-savoir-la-verite/

  • La transition électrique va coûter cher aux Français !

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    Le débat public sur la Programmation Pluriannuelle de l’Energie (PPE) vient de se terminer le 30 juin 2018. Il s’appuiera sur les cinq scénarios publiés par RTE (Réseau de Transport d’Électricité). Ces derniers prévoient de diminuer la part du nucléaire de 75% à 50% dans le mix électrique français sans évoquer le coût pour les citoyens.
    Une étude indépendante de l’association Sauvons le Climat estime que le coût supplémentaire sera annuellement de 350 euros à 850 euros pour chaque foyer français.

    Chaque foyer français paie déjà en moyenne un surcoût de 154 € par an sur sa facture d’électricité (par la contribution « CSPE ») pour financer principalement les producteurs d’électricité éolienne et photovoltaïque.

    Ces dépenses considérables des Français n’auront même pas d’influence sur leurs émissions de CO2.

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