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magouille et compagnie - Page 1418

  • La réduction des dépenses est mal partie

    6a00d8341c715453ef022ad356792a200c-320wi.jpgNous nous rapprochons du premier anniversaire de l'audit des finances publiques réalisé par la Cour des comptes, au début du mandat présidentiel. Officiellement demandé par le nouveau Premier ministre Édouard Philippe, ce rapport lui avait été remis le 29 juin 2017. Les conclusions semblent aujourd'hui bien oubliées.

    Elles se présentaient pourtant de manière accablante.

    Laissons la parole aux magistrats financiers : "Les constats effectués par la Cour font apparaître l’importance des éléments d’insincérité contenus tant dans le projet de loi de finances soumis à la représentation nationale à l’automne 2016 que dans le Programme de stabilité transmis à la Commission européenne en avril 2017".

    Éléments d’insincérité ? Bigre…

    La présidence Hollande, le gouvernement Cazeneuve et l'administration de Michel Sapin avaient en fait creusé, et tenté de camoufler, un trou d’une dizaine de milliards d’euros. L'ensemble du déficit des comptes publics largement supérieur aux fameux 3 % du PIB convenus solennellement, 25 ans plus tôt, au moment du traité de Maastricht.

    Les conclusions de cet audit administraient, à vrai dire, un camouflet politique majeur pour l’ancien gouvernement. Il était tout simplement accusé d'avoir produit un faux bilan. Dans le secteur privé cela tombe sous le coup de l'article L-242-6 du Code de commerce : "Est puni d'un emprisonnement de cinq ans et d'une amende de 375 000 euros le fait pour (…) le président, les administrateurs ou les directeurs généraux d'une société anonyme de publier ou présenter aux actionnaires, même en l'absence de toute distribution de dividendes, des comptes annuels ne donnant pas, pour chaque exercice, une image fidèle du résultat des opérations de l'exercice, de la situation financière et du patrimoine, à l'expiration de cette période, en vue de dissimuler la véritable situation de la société."

    Une telle rigueur ne se conçoit pas s'agissant de la classe politique. Les Français ne sauraient être considérés comme de véritables actionnaires de leur pays, gestionnaires de leur prétendue démocratie, propriétaires des deniers publics.

    Au lendemain de ces révélations, toutefois, on renforçait le discours qui, entre 2006 et 2012 s'était revendiqué de la Révision générale des politiques publiques. Le sigle de cette RGPP visait en fait à rogner tant soit peu les dépenses dans un contexte technocratique et administratif. Ceci donna lieu à partir de juin 2011 à un exercice de pugnacité particulièrement observable dans les interventions de la secrétaire d'État au budget du gouvernement Fillon. Mme Valérie Pécresse, faisait également office de porte-parole d'un gouvernement tétanisé par la perspective d'une baisse de sa précieuse notation par Moody's et Standard & Rich. La crainte du seigneur, nous enseigne la Bible, est le commencement de la Sagesse[1].

    Ce 21 juin 2018, 360 jours après l'audit précité, François Villeroy de Galhau, gouverneur de la Banque de France, appelait à son tour l’exécutif à "saisir la chance" dont jouirait, dit-on, la France. Il s'agirait à l'entendre "d'améliorer l’efficacité de la sphère publique". Et nos technocrates pressent dès lors le gouvernement d’agir sur la baisse des dépenses publiques.

    La question que l'on évite soigneusement de laisser poser reste cependant pourquoi le parti dépensier l'emporte toujours, dans le cadre de nos institutions si parfaites, sur celui de la modération budgétaire.

    Cette primauté engendre des conséquences dramatiques au plan national. Les gaspillages étatistes s'effectuent en dernière analyse au détriment des fonctions régaliennes de sécurité des citoyens, de défense des frontières et d'administration de la justice.

    Ainsi, dans sa Lettre d'information du 17 mars[2], l'Association de soutien à l'armée française pouvait-elle donner cette triste illustration : "Imaginons, écrivait l'Asaf, que tout l’argent gaspillé en pure perte par l’État ait été affecté au budget de la Défense plutôt que dilapidé dans des projets mal pensés, mal conduits, sans cesse reportés et, en définitive, ruineux. L’écotaxe abandonnée en 2016 après sept reports et deux suspensions, aura coûté aux contribuables français 1,2 milliard d’euros, en particulier pour dédommager l’entreprise Ecomouv contrainte de licencier 190 employés embauchés pour percevoir cette taxe. Oui, vous avez bien lu : 1,2 milliard d’euros soit, au choix, 1/3 de porte-avions, 1, une frégate FREMM et demi, 11 avions Rafale, entre 31 et 41 hélicoptères Tigre selon la version, 60 hélicoptères NH 90 ou… un million de fusils d’assaut HK 416."[3]

    Voilà ce que les fantaisies de la gestion politicienne démagogique retirent à nos soldats en moyens de défense.

    Le même raisonnement s'applique, hélas, à notre magistrature ou à nos services de police et de gendarmerie.

    De mon petit livre paru en 2012[4],je ne retire absolument rien. Mais je voudrais ajouter un développement. Il me paraissait alors, une évidence. Et je laissai au lecteur le loisir d'en tirer lui-même les leçons, du point de vue civique et, osons le dire, patriotique.

    Dans une telle perspective, il ne saurait être question de diminutions des dépenses sans recentrage du périmètre de la gestion dite publique, c'est-à-dire politicienne et administrative. Un exemple éclatant de l'erreur étatique nous en a été offert, – ou plus exactement vendu car il a coûté très cher, – avec la réforme constitutionnelle de 1996 destinée à étayer juridiquement le plan Juppé de 1995 et jusqu'aux ordonnances Barrot de 1997.

    Au système vague et mou de la sécurité sociale cogérée, tant bien que mal, entre syndicats et corps médical depuis 1945, on a substitué un pilotage rigoureux par le ministère des finances. Celui-ci se situe désormais dans le cadre d'une loi de financement étatique plus volumineuse que le budget de l'État lui-même. C'est désormais l'État qui fixe ainsi les dépenses de santé. On a voulu et on a créé la médecine sans médecins. Ce beau succès conduisait au tout-hôpital. On en mesure aujourd'hui les ravages, au bout de 20 ans, sans en comprendre les causes.

    Voilà pourquoi la dépense publique française absorbe aujourd'hui encore 56,5 % du PIB, c'est-à-dire largement plus de la moitié de la richesse créée par le travail des Français.

    Et voilà pourquoi cette part ne semble pas destinée à baisser dans un avenir prévisible.

    JG Malliarakis 

    Apostilles

    6a00d8341c715453ef022ad37c6d39200d-120wi.jpg[1] Proverbes 1,7.
    [2] cf. Lettre n°18-03 du 17 mars 2018 Un budget de rêve
    [3] Ces chiffres représentent des ordres de grandeur, en valeur 2017, parfaitement fiables. Porte-avions à propulsion classique : 3 milliards d’euros ; frégate multimissions FREMM : entre 800 millions et un milliard d’euros ; avion Rafale : 110 millions d’euros ; hélicoptère Tigre version appui destruction (HAD) : 38 millions d’euros - version appui protection (HAP) : 29 millions d’euros ; hélicoptère de transport NH90 : 20 millions d’euros ; équipement Félin du fantassin : 42 000 euros ; fusil d’assaut HK 416 : 1 200 euros. 
    [4] Cf. "Pour une Libération fiscale" par JG Malliarakis. Ce petit livre bleu, en réponse au petit livre rouge intitulé par Piketty "Pour une révolution fiscale", peut encore être commandé sur le site de l'éditeur.

    http://www.insolent.fr/

  • D’après le docteur Micron, je serais un lépreux…

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    Pieter Kerstens

    Tel est le diagnostic établit par le Président de la République Française, au constat que de plus en plus d’électeurs en Europe donnent leur voix aux partis « populistes » et qu’ils tournent le dos aux forces « progressistes » et aux bienfaits du mondialisme.

    Et la vindicte présidentielle s’est abattue sur le ministre italien de l’Intérieur quand Matteo Salvini avait déclaré que l’Aquarius, transportant 630 immigrés clandestins, ne pourrait en aucun cas accoster dans un port italien. Quelques jours plus tard on entendait un discours élyséen nauséabond reprenant l’image de « la lèpre nationaliste », réel danger pour nos enfants.

    Sous la VRépublique, les ministres de l’Intérieur successifs, de Raymond Marcellin à Brice Hortefeux, de Gaston Defferre à Gérard Collomb, en passant par Pierre Joxe ou Nicolas Sarközy (2 fois), TOUS ont combattu les mouvements nationalistes coupables à leurs yeux de défendre les racines de notre civilisation, notre identité européenne, nos coutumes, nos lois et nos traditions.

    Depuis fort longtemps, les procès multiples et les interdictions ont accablé notre famille politique alors que les fauteurs de troubles gauchistes ont été curieusement épargnés, à quelques organisations près…

    Mes camarades d’Ordre Nouveau et moi-même avions organisé le meeting du 21 juin 1973 à la Mutualité sur le thème « Halte à l’immigration sauvage ». Et les médias, les pourriticards de tous bords nous ont traités de « racistes », de « fascistes » et de « nazis ». Pourtant, les inspecteurs des R.G présents dans la salle ont tous confirmé au ministre de l’Intérieur, Raymond Marcellin, qu’ils n’avaient jamais entendu un propos raciste dans les différents discours. 

    C’est après une campagne de presse haineuse et mensongère contre Ordre Nouveau, par les laquais du mondialisme comme Thierry Pfister du « Monde » ou comme Maurice Clavel dans « le Nouvel Obs », soutenus par les ministres Pierre Messmer, Jean Taittinger et Bernard Stasi, que la dissolution d’O.N est prononcée le 28 juin 1973.

    Le Régime n’a pas changé de stratégie quatre décennies plus tard : « Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage ».

    Alors OUI, nationalistes de tous les pays, unissez -vous, afin de combattre les collaborateurs du Nouvel Ordre Mondial et réels complices de l’immigration sauvage.

    A la longue, il est quand même délicieux de constater que la réalité dépasse aujourd’hui les utopies et les rêves de tous ceux qui nous ont imposé les mythes de la société « multiculturelle » et « pluriethnique », que ce soit à Stockholm avec Olof Palme, où à Madrid avec Felipe Gonzales, ou encore à Bruxelles avec Wilfried Martens et à Paris sous la présidence de François Mitterrand.

    Comme l’ont reconnu Merkel, Cameron et Sarközy depuis septembre 2010, cette idéologie du melting-pot à tous les étages a été un véritable échec (« le multikulti a échoué, totalement échoué ») et le commun des mortels peut aujourd’hui contempler le désastre et la réelle catastrophe engendrée par cette immigration/colonisation, imaginée, planifiée et imposée par les laquais du mondialisme au prétexte fallacieux d’être l’unique recours et la seule solution au déclin démographique européen. Comme s’il n’existait aucun stimulant à la relance de la natalité…

    La médiocratie a pris le pas sur le mérite et la corruption gangrène tous les esprits.

    En mars 2000, des technocrates imbéciles avaient rédigé un rapport de l’ONU intitulé « migrations de remplacement : une solution aux populations en déclin et vieillissantes ».

    Joseph Chamie, directeur de la population de l’ONU, avait déclaré que la seule solution pour maintenir les grands équilibres socio-économiques, à commencer par le financement des retraites, était un appel massif à la main d’œuvre immigrée et que les besoins globaux des pays européens se chiffraient à 160 millions d’étrangers supplémentaires à l’horizon 2025.

    18 ans plus tard, on peut en tirer les conclusions et affirmer que les chefs d’Etat et de gouvernement de notre continent sont les responsables d’une invasion d’individus qui ne s’intègrent pas dans notre société et ne souhaitent nullement s’assimiler à nos coutumes, nos traditions et nos valeurs. Leur principale motivation, à part quelques exceptions, était de pouvoir gagner chez nous sans travailler, 10 fois plus que dans leur pays d’origine en travaillant ; et que l’on ne me raconte pas que les immigrés maghrébins de la 3ou 4génération sont un exemple de conscience professionnelle, d’assiduité aux études ou d’honnêteté. Et s’ils ne sont pas contents, qu’ils s’en aillent... tous !

    Mais quels exemples les Etats (du Nord au Sud de l’Europe) ont-ils donc montré à ces immigrés venus d’ailleurs ? Partout, nos pourriticards ont fait preuve de laxisme, d’angélisme, de lâcheté et de décadence, face aux forces du capitalisme apatride et aux lobbies du libéralisme cosmopolite.

    Ils ont tout cassé et tout abandonné. La corruption et le vice se sont partout infiltrés. Ils livrent nos citoyens à la décadence et à la ruine de notre civilisation. Il n’y a plus de morale. Alors pourquoi faudrait-il s’étonner des bataillons de volontaires fanatiques qui partent sur les fronts du Djihad ? Lorsqu’une société accepte les ukases d’une minorité, sans protestations ni manifestations alors, comme à Paris c’est « vélo pour tous et voiture pour personne ».

    Idem pour les motivations des 18-25 ans : le drapeau français et les valeurs qui s’y rattachent ?

    Le courage, la fidélité, la famille, l’abnégation, la patrie, l’honneur ou encore la ténacité ?

    Et si le petit prof arrogant de l’Elysée me considère comme un nationaliste lépreux, il va falloir qu’il me fournisse une crécelle… alors qu’il y a déjà 45 ans, mes camarades et moi avions sonné le tocsin !

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  • Monsieur Macron, les lépreux d’Europe vous saluent !

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    Face au durcissement de la ligne gouvernementale contre ceux qui osent s’éloigner du politiquement correct sur la question migratoire, Julien Dir a récemment rédigé une tribune libre sur le site de réinformation breton Breizh-Info. L’occasion pour lui d’assumer ironiquement l’injure proférée par Emmanuel Macron.

    Monsieur le Président,

    Ainsi, il aura fallu attendre que vous fouliez le sol de Bretagne pour venir nous réciter votre cantique larmoyant en faveur de l’immigration et contre les méchants populistes qui menaceraient l’Europe. « La lèpre populiste qui monte », avez vous dit, devant une assemblée de caniches triés sur le volet qui se sont bien gardés de poser la moindre question qui fâche.

    Et bien sachez que les lépreux, qui sont des dizaines de millions dans toute l’Europe, vous saluent. Ils rêveraient tous de vous embrasser, pour vous transmettre l’identitarovirus. Mais il est vrai que Madame Buzyn doit vous avoir vacciné à la naissance contre le respect, la transmission et l’amour porté à vos ancêtres et à votre terre.

    Vos accusations de « nationalisme rétrograde », de « menace pour l’Europe », sont horripilantes. Notre amour de l’Europe et de sa civilisation est bien réel. Nous sommes chez nous de Brest à Vladivostok, et à l’étranger sitôt passé la Méditerranée ou le Bosphore. Votre Europe, c’est l’amour des banquiers, des soirées mondaines, de la religion des droits de l’homme et du CAC40, mais aussi d’une petite oligarchie, cette classe médiatique et politique que vous appelez de vos vœux en indiquant qu’elle aurait une « responsabilité » à « éduquer les masses ».

    Cessez donc de vouloir faire la morale à des dirigeants et à des peuples qui se portent, désolé, très bien. Comme ceux, par exemple, de Pologne, de Hongrie, de République tchèque, de Slovaquie et d’Autriche.

    Car ces lépreux, comme vous les nommez, permettent à des jeunes et moins jeunes femmes de se promener tard dans les rues de leurs métropoles sans avoir la peur d’être violées, d’être agressées, ou pire encore…

    Cette « lèpre » protège les peuples contre leur remplacement démographique programmé. Elle les protège des « joies » de la société française, de ces policiers attaqués dans leur commissariats, de ces violentes agressions gratuites pour une cigarette ou un regard, de ces pompiers caillassés en sauvant des vies, de ces images sales ou violentes mises dans la tête de nos têtes plus si blondes que cela dès le plus jeune âge.

    Ces lépreux enseignent à leurs enfants à l’école d’où ils viennent et qui ils sont, pendant qu’en France on ne leur enseigne plus ni l’histoire ni la culture de leur peuple, préférant les bercer d’exotisme et de repentance.

    Ces lépreux qui vous effraient tant évoluent dans des sociétés où aucun islamiste fraichement arrivé en Europe (ou bien nés ici de parents arrivés il y a une ou deux générations) ne tire à la kalachnikov sur les passants ou sur les participants à un concert. Ils n’ont pas envie que par votre folie migratoire, leurs femmes et leurs enfants se retrouvent plongés dans la société dont ils ne veulent pas et qu’ils voient parfaitement quand ils voyagent et qu’ils arrivent dans les rues de Paris, de Marseille ou de Lille.

    Sachez aussi qu’en France, des millions de lépreux habitent, vivent, votent, construisent, travaillent, paient des impôts. Ils voient ce qu’ils passent. Ils subissent vos déclarations et vos renoncements, comme ceux de vos prédécesseurs. Ils veulent rester fidèle à leur culture, ils veulent transmettre à leurs descendants le pays qu’ont bâti au fil des siècles leurs ancêtres. Et, contrairement à vos déclarations mensongères, l’Europe – qui ne saurait se confondre avec l’Union européenne – n’effraie pas les lépreux. Sachez en tout cas qu’ils sont de plus en plus nombreux, la propagation du identitarovirus étant rapide, à vouloir vous faire un doux baiser gluant.
    Si la Peste noire a ravagé l’Europe, alors la Lèpre blanche la sauvera !

    Julien Dir

    Article paru sur le site de Breizh-Info

  • Et en même temps ce serait bien de dire la vérité…

    verite-sort-du-puit-libre-de-droit-235x300.jpgAprès sa promotion du lobby  LGBTI à l’Elysée sous couvert de fête de la musique, dont les images humiliantes pour notre prestige national ont fait le tour du monde,  Emmanuel Macron était hier au  Vatican  pour y rencontrer le  pape. Le grand écart du en  même temps comme technique de communication et procédé politique? Mais pour quels résultats ? M. Macron  a également reçu à la  basilique du Latran  le titre,  qui revient à tout président de la République française, de  « premier et unique chanoine d’honneur. »  Le Figaro rapporte qu’outre le pape François avec lequel il s’est entretenu quelques heures auparavant,  « le président a eu également un entretien avec le secrétaire d’État, le cardinal Pietro Parolin (le premier ministre du Saint-Siège) et le chef de la diplomatie, l’Anglais Mgr Gallagher. Il a été question de la place de l’Église en France, de la protection de l’environnement, des migrations, de la prévention et la résolution des conflits notamment par le désarmement. On a aussi parlé du Moyen-Orient, de l’Afrique. Sans oublier une réflexion conjointe sur les perspectives du projet européen. Le fait que ce sujet soit placé en fin de communiqué montre, dans le langage du Vatican, toute son importance et la place que ce thème a pris dans les discussions. Côté Élysée, on ajoutait à cette liste, la laïcité, les sujets sociétaux avec ce qualificatif: ce fut un échange très libre et intense. »

    Echange très libre  avec un pape dont les positions  immigrationnistes,   motivées  par une charité chrétienne bien dévoyée et au final meurtrière, destructrice (l’enfer est pavé de bonnes intentions), sont en adéquation avec  la politique d’ accueil en France  d’une immigration massive qui ne se dément pas.  Autre signal envoyé à tous  ceux qui veulent se donner bonne conscience en exigeant la   générosité,  quand bien même  leur laxisme renforce les mafias des passeurs et accélère les départs, M. Macron a accepté  que nous prenions à notre  charge sur notre sol un quota des clandestins  qui ont embarqué sur le navire de l’ONG allemande Lifeline.

    Liberté d’Emmanuel Macron qui l’a conduit jeudi dernier à stigmatiser  dans un discours d’une grandiloquence ridicule, qui ne fut  pas sans rappeler les heures sombres du hollandisme,  «la lèpre qui monte » en Europe, comprendre les Européens qui s’opposent à l’immigration, « le nationalisme qui renaît, la frontière fermée que certains proposent et ceux qui trahissent » (sic).

    Invitée de franceinfo lundi, Marine s’est indignée de  « ce propos  indigne et éminemment critiquable (…). Nous sommes nombreux à ce titre à être des lépreux (…), (Emmanuel Macron)   insulte ainsi des dizaines de millions d’Européens (et) des gouvernants de pays de l’Union européenne (…). S’il pensait pouvoir porter l’idée d’une Europe nouvelle, le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il apporte la guerre, car ce sont des propos de guerre contre des pays de l’Union européenne. »

    Certes, il se trouve toujours des propagandistes experts en (vraies)  fausses nouvelles, mais eux encouragés à les divulguer quand elles  vont dans le sens du camp du bien, pour nous dire que nous nous trompons, que nous fantasmons, que nous sommes des ânes.

    L’escroc intellectuel et philosophe pipo(le) Bernard-Henry Lévy s’est livré ainsi le 24 juin à un beau numéro de bonimenteur en affirmant au micro de David Doukhan dans l’émission Le Grand Rendez-Vous d’ Europe 1 qu’ «Il n’y a pas de crise des migrants. Le solde migratoire, comme disent les démographes ou les économistes, est nul, c’est-à-dire que la balance entre les gens qui quittent l’Europe et les gens qui rentrent est à peu près à zéro. »

    Sur la plateforme de l’Afp de vérification des informations (fat-checking) baptisée Factuel,   Guillaume Daudin a rétabli la vérité en citant la journaliste d’Europe 1 Géraldine Woessner : « Depuis 1985, le solde migratoire corrigé, soit la différence entre l’accroissement total de la population et l’accroissement naturel (naissances moins décès), est positif (…) si (BHL)  voulait dire que ce solde migratoire s’approchait de zéro ces dernières années, c’est tout aussi faux: même s’il a entamé une décrue depuis, il a connu en 2015 un pic, similaire à un précédent autour de l’année 2003.» «Depuis 1992, le solde migratoire corrigé a été l’élément principal de la croissance démographique (dans l’UE) explique Eurostat – l’institut en charge des statistiques pour l’Union européenne, NDLR. Pour l’année 2016, le seul solde migratoire a fait augmenter de 1,54 millions d’habitants la population totale de l’Union européenne à 28 pays (Royaume-Uni donc compris), portant cette population à 511,8 millions d’habitants. Au 1er janvier de cette année là, il y avait 35,1 millions de personnes nées en dehors de l’Union européenne à 28 pays et vivant dans un état membre.»  Se basant toujours sur cette même étude d’Eurostat, qui jusqu’à preuve du contraire n’est pas sous la coupe des populistes, Mme  Woessner a également  précisé  que la population européenne avait augmenté de 35 millions d’habitants depuis 1990 et que « 77% de cette augmentation (avait pour cause) le  seul solde migratoire. »

    Migrations que certains soutiens financiers du candidat Macron de 2017  encouragent très clairement, d’après les informations publiées le 17 juin  par le média italien  Il Populista  et relayées notamment  par le site media-presse.info :« le piratage de la boîte courriel d’Emmanuel Macron a livré des informations très intéressantes. Les 21.075 fichiers inclus dans les 71.848 courriels piratés (…) ont enfin livré tous leurs secrets. On y découvre notamment les financements accordés à Emmanuel Macron sous forme de prêts : 8 millions de la part du Crédit Agricole, mais également 2.365.910,16 € de la part de George Soros ; 976.126,87 € de la part de David Rothschild et 2.145.100 € de la part de la banque Goldman-Sachs. Et le site italien de s’interroger :  Et à ce stade, il est légitime de demander en retour ce qu’ils ont demandé, ces magnats de la finance qui n’agissent certainement pas par un pur esprit ‘patriotique’. Et combien pèse leur soutien dans les choix du président … »

    Alors, la vérité est-elle tombée  au fond du puits comme l’affirmait Démocrite? Il serait  certainement tout aussi légitime que les équipes de communicants de M.  Macron qui doivent faire face actuellement aux suspicions entourant les comptes de campagne de leur champion, répondent aussi aux informations qu’affirment détenir ce média transalpin. Pour notre part, nous ne sommes pas en mesure pour l’instant  d’infirmer ou de confirmer lesdites révélations qui interviennent au moment ou le président de la république a déclenché  une guerre médiatique contre le gouvernement de nos camarades  italiens décidés à se libérer du joug euromondialiste. 

    Ce qui est en tout cas certain constate Bruno Gollnisch, c’est  qu’avec l‘arsenal répressif contre les informations  qualifiées (unilatéralement) de fake news qui en train de voir le jour, il deviendra  très difficile demain  d’énoncer des vérités auxquelles la plèbe ne doit pas avoir accès...Mais ne désespérons pas,  cette nouvelle offensive liberticide de l’Etat macronien  relève de la panique et s’apparente à une fuite en avant. Le choc du réel, comme à chaque fois, balaiera mensonges et faux-semblants… avant qu’il ne soit trop tard, espérons-le,  et c’est bien là la raison d’être du combat historique mené par les nationaux! … 

    https://gollnisch.com/2018/06/27/et-en-meme-temps-ce-serait-bien-de-dire-la-verite/

  • Mis en cause, les Volontaires Pour la France dénoncent une fausse nouvelle

    6a00d83451619c69e2022ad356244b200c-250wi.pngCommuniqué des coprésidents des VPF Ivan Blot et le Général Antoine Martinez suite à l'interpellation de 10 personnes par les services antiterroristes :

    "Dix personnes liées à ce que les médias qualifient d'ultradroite radicale ont été interpellées samedi soir dans toute la France par les services antiterroristes dans le cadre d'une enquête sur un projet d'attaque ciblant des musulmans. Elles ont été placées en garde à vue.

    Sur Twitter, le ministre de l'Intérieur s'est empressé de saluer «l'engagement constant de la DGSI qui veille au quotidien à la protection des Français face à toute action violente, d'où qu'elle vienne». On peut regretter qu’elle ne se soit pas montrée plus perspicace avant le drame de Trèbes qui a fait 4 morts, dont le colonel Arnaud Beltrame. Quelques jours avant, la DGSI avait, en effet, adressé un courrier à Radouane Ladkim pour l’inviter à prendre contact avec ses services pour un entretien d’évaluation alors qu’il était fiché S !

    A ce stade, rien ne permet d'affirmer que ce « commando », dispersé géographiquement, envisageait réellement le passage à l'acte. L'enquête ouverte le déterminera. On notera cependant le moment choisi pour cette arrestation, le président de la République ayant évoqué il y a quelques jours à peine, en condamnant violemment l'Italie dans l'affaire de l'Aquarius, la lèpre populiste qui monte et qu'il assimile au nationalisme.

    Notre organisation des Volontaires Pour la France s'étant engagée résolument dans la défense de l'identité de la nation française et dans la lutte contre l'islamisation du pays est tout naturellement considérée radicale par certains. C'est le cas notamment d'un média classé, lui, radicalement dans la collabosphère en raison notamment de sa soumission à l'extrême-droite islamiste. Mediapart avait déjà le 8 avril dernier pris les Volontaires Pour la France pour cible et semble dans l'affaire de l'arrestation de samedi dernier en faire une nouvelle obsession en nous prêtant des intentions violentes et en cherchant à nous impliquer dans cette affaire abracadabrantesque. Il faut lui faire savoir que le jour de la parution de ce premier article nous a valu l'adhésion d'une cinquantaine de nouveaux membres. Ce média réitère aujourd'hui en nous faisant l'honneur d'un second article.

    Il faut préciser qu'il n'y a rien d'étonnant à ce que des « journalistes » autoproclamés au service d'un média dont chacun connaît l'orientation ne supportent pas que des Français puissent avoir l'outrecuidance d'être fidèles à leur héritage historique, spirituel et culturel et, scandale suprême, le proclament et veuillent défendre leur identité. Ces pseudo-journalistes prennent d'ailleurs quelques libertés avec la déontologie journalistique car ils ne savent pas faire la distinction entre des faits et des commentaires. Et puis, s'ils avaient le sens et l'éthique du journaliste d'investigation, ils auraient au minimum pris contact avec l'un des coprésidents des Volontaires Pour la France, au moins pour sauver les apparences.

    Il convient donc de rétablir la vérité et de rappeler quelques données fondamentales caractérisant notre organisation. Les Volontaires Pour la France sont une association légale, disposant de statuts approuvés par les services de l’Etat, et engagée dans une action qui s'inscrit dans le respect des lois de la République. Elle s'est engagée à défendre nos libertés menacées en respectant les lois et règlements de la République et les principes fondamentaux consacrés par la Constitution. En aucune manière, et n’en déplaise à ces journalistes et à ce média en mal de sensation, notre organisation n’est une milice ou un « groupuscule d’ultra-droite » aux objectifs obscurs et violents.

    Ensuite, il faut rappeler que, contrairement à ce qu'indique Mediapart, notre organisation n’a pas été créée en réaction aux attentats de 2015/2016 mais que sa constitution correspond à un besoin de dénoncer et de combattre des politiques calamiteuses et dangereuses, insouciantes des dangers que représente l’immigration massive et incontrôlée, à l’origine inquiétante de l’islamisation dangereuse du pays.

    S'agissant du fait qu'elle « recrute » des  militaires ou des membres des forces de l’ordre, il s’avère que, de façon assez naturelle, les gens issus de ces milieux professionnels sont bien évidemment sensibles à notre discours en raison de leur confrontation quotidienne aux réalités niées par nos dirigeants politiques et dissimulées par les médias traditionnels. Ce n’est donc pas chez ceux qui ont toujours servi fidèlement la France qu’il faut chercher ses ennemis.

    Alors, n'en déplaise à certains, nous continuerons à nous faire entendre, nous poursuivrons notre action et notamment celle de lanceurs d’alerte, mais nous la conduirons également sans relâche pour convaincre les Français de la nécessité d'un sursaut collectif et par conséquent nous les appelons à nous rejoindre.

    Enfin, certains médias ont évoqué rapidement notre organisation dans les commentaires entendus au cours de la journée. Nous les encourageons à inviter ses responsables à s'exprimer ne serait-ce que pour éviter les malentendus et les ambiguïtés."

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/06/mis-en-cause-les-volontaires-pour-la-france-d%C3%A9noncent-une-fausse-nouvelle.html

  • NICOLAS DUPONT-AIGNAN CHEZ RUQUIER : QUAND LES HYÈNES CHASSENT EN MEUTE…

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    Quand les hyènes chassent en meute, c’est Nicolas Dupont-Aignan qui en fait les frais.

    Je me demande quand les politiciens de la droite nationale vont enfin décider de boycotter « On n’est pas Couché ». Aller ainsi à l’abattoir comme faire-valoir de la pensée unique relève presque du suicide. C’est ce qu’a fait Nicolas Dupont-Aignan samedi dernier. Félicitons d’abord le président de Debout la France pour son calme et sa retenue devant la hargne et la haine étalées à son égard par Ruquier et ses sbires de circonstance. Il a été digne jusqu’au bout.

    Face à lui, et de gauche à droite de l’écran, Christine Angot, l’écrivain dont les yeux trahissent cette haine mal dissimulée pour tout ce qui est, à son goût, trop à droite de l’échiquier politique. À côté d’elle, un grand (par la taille) monsieur aux lunettes noires qui ressemblait à un apparatchik stalinien, tout de noir vêtu et, semble-t-il, désireux de garder l’anonymat de ses propos. Ensuite, Yann Moix dans le rôle de l’accusateur public, qu’on ne présente plus. Une grande blonde qui n’a pas dit un mot, une dame d’origine africaine plus soucieuse d’accuser à tour de bras l’ex-puissance coloniale française de tous les maux que d’écouter les réponses à ses accusations et, enfin, l’inénarrable Jean Benguigui, l’acteur venu compléter l’équipe d’accusateurs publics mis en scène par Ruquier, dindon plus que jamais gloussant dans son rôle de président de séance.

    Cette émission a été pathétique parce que transformée en procès public d’un homme aux arguments pourtant évidents de lucidité et d’une grande courtoisie. On dit toujours que les loups chassent en meute, mais là, on a eu la preuve que les hyènes ne sont pas en reste puisqu’elles ont donné la mesure de leur talent dans ce domaine. Ruquier a été pitoyable tant il a été évident qu’il n’était pas là pour modérer le débat mais seulement pour rire avec ses hyènes de service. Rire sinistre maladroitement caché derrière des mimiques qui cachent une hargne hystérique digne des émissions de Radio Pyongyang de la belle époque…

    Seul point positif, finalement, dans toute cette affaire : l’intolérance et le prêt-à-penser étalés au grand jour qui ne prennent même plus la peine d’un semblant d’objectivité et d’honnêteté intellectuelle.

    http://www.bvoltaire.fr/nicolas-dupont-aignan-chez-ruquier-hyenes-chassent-meute/

  • La “lèpre qui monte ” : la police mobilisée, par Ivan Rioufol

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    L’actualité fait bien les choses : après la mise en garde d’Emmanuel Macron, jeudi, contre “une lèpre qui monte” chez les populistes, la Direction générale de la sureté intérieure vient d’interpeler un groupuscule d’extrême-droite, dans la nuit de samedi à dimanche. Les dix personnes arrêtées, inconnues des fichiers, étaient organisées pour projeter des actions violentes contre des cibles islamistes. Selon les enquêteurs, les suspects avaient “un projet de passage à l’acte violent, aux contours mal définis à ce stade, ciblant des personnes de confession musulmane“. Ils auraient notamment eu dans le collimateur des imams radicaux, des détenus islamistes sortant de prison ou encore des femmes voilées choisies au hasard dans la rue. Un retraité de la police nationale dirigerait le réseau.

    L’enquête devra déterminer le degré d’avancement et de maturité du projet. Selon les échanges interceptés par la DGSI, les suspects voulaient se procurer des armes. Familiers de stands de tirs, certains en possédaient déjà. Comme le reconnait l’Afp, ce lundi, “il s’agit d’un rare dossier judiciaire impliquant la mouvance de l’ultradroite au sein du pôle antiterroriste de Paris qui a connu depuis 2015 un important contentieux lié à la menace terroriste djihadiste”. En 2017, un autre groupe d’extrême droite avait été arrêté. De l’aveu même du ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, il ne constituait pas “la bande la plus sérieuse qu’on ait arrêtée au cours des derniers temps“. Réagissant aux dernières arrestations, SOS Racisme estime que cette affaire montre “que les racistes (…) se sentent suffisamment soutenus pour passer de leur pensée-poubelle à des actes sanglants“.

    Vu l’imprécision des charges et des soupçons qui pèsent, pour l’instant, sur cette mouvance extrémiste, il est loisible de faire un lien politique entre l’opération de police et la dramatisation voulue par le chef de l’Etat. A l’entendre, les années 30 se profileraient dans le réveil des nations, des peuples, des souverainetés, des frontières. Lépreux seraient donc, à ses yeux, tous ceux qui, lassés des élites déconnectées, se montrent de plus en plus à l’écoute des populistes. Pour Macron, ces derniers participent à une dérive violente. Elle serait opportunément illustrée par ce groupuscule baptisé Action des Forces Opérationnelles (AFO). L’enquête dira la dangerosité des dix branquignols.

    Il apparaît néanmoins que ce type de mouvance reste jusqu’à présent très marginale. Le spectre fasciste est de ces propagandes menées par ceux qui sont les premiers à dénoncer l’instrumentalisation des peurs. Les mêmes hurlent à l’esprit complotiste, sans s’apercevoir qu’ils en sont les promoteurs. En insultant les Français coupables de s’alarmer de la vulnérabilité de leur pays, Macron révèle la panique qui le gagne. Le populisme n’a évidemment rien à voir avec “cette lèpre qui monte”. L’expression pourrait convenir, en revanche, au totalitarisme islamique que ne nomme pas le chef de l’Etat et que protègent des associations antiracistes. La lèpre que combat le président est dans l’article 2 de la Constitution française : “Le principe de la République est (…) : gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple“. Faut-il, comme le proposait Brecht, dissoudre le peuple ?

    Ivan Rioufol

    Texte daté du 25 juin 2018 et repris du blog d’Ivan Rioufol

    https://fr.novopress.info/

  • 80 km/h : une forme de racket au détriment de la Sécurité Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com

    Intéressants propos de l’avocat Eric de Caumont : « Le 80 km/h est une forme de racket au détriment de la sécurité des automobilistes. Le gouvernement s’attend l’an prochain à une rentrée de 230 millions découlant de cette mesure. Je redoute que ce soit une des premières mesures qui augmente la mortalité. Beaucoup de conducteurs vont connaître le Salaire de la Peur. La privatisation des voitures #radars simultanée n’est certainement pas une coïncidence. » 

    Voir la video

  • Is fecit cui prodest

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    Bernard Plouvier

    Cela fait plus de deux millénaires que magistrats et policiers appliquent – même ceux qui ignorent la langue latine – ce proverbe, qui n’est qu’un truisme. Lorsqu’on cherche un coupable, il est bon de réfléchir à cette simple question : À qui profite le crime ?

    En fouillant bien, on peut toujours trouver et monter en épingle une histoire d’abrutis amateurs de scandale et, cerise sur le gâteau, ça permet de détourner le bon peuple des vrais problèmes (le chômage & l’insécurité), des vrais fléaux (la corruption et l’effarante nullité intellectuelle et physique de la jeunesse autochtone) et des vrais dangers publics (les djihadistes ou les nervis gauchistes).

    À partir de 1990, il parut opportun de faire mousser durant des années une enquête sur la profanation d’un cimetière juif – alors même que l’organisateur avait été arrêté le lendemain, puis relâché, ce qui permit de faire durer six années la campagne médiatique de diabolisation d’un Front National en plein essor et sans la moindre relation avec l’affaire.

    On accoucha d’une souris : 4 « néo-nazis », qui ignoraient probablement que les cimetières juifs avaient fonctionné normalement durant le IIIe Reich, même à Berlin jusqu’en avril 1945, et que seuls les bombardements de terreur alliés avaient déterré des cadavres, confondant juifs et goyim dans la même horreur. À force d’écrire des insanités historiques, il arrive qu’on transforme des esprits faibles en satanistes de pacotille et en violateurs de sépultures.

    De nos jours, après cinq années d’attentats terroristes mahométans, dont certains furent très sanglants, et alors que partout en Europe occidentale les populations autochtones, pourtant si molles et si longues à émouvoir, commencent à grogner (oh ! très discrètement) contre l’invasion du continent  par des cohues de gens qui n’ont rien à y faire (d’autant moins qu’il y règne un chômage structural énorme), on lance un gram tam-tam médiatique sur un « vaste complot anti-mahométan »…chacun sait l’amour de nos excellences pour le vacarme africain.

    Il y aurait de quoi rire s’il ne fallait s’attendre à une nouvelle vague d’attentats meurtriers des fous d’allah, par mesure de rétorsion. Car la « pensée-poubelle », chère à nos preux chevaliers de l’antiracisme, est plutôt une spécialité de nos merveilleux envahisseurs. Après tout, qui viole et qui tue de parfaits innocents en énormes quantités en Europe occidentale : les rarissimes excités de « l’ultra-droite » ou les fous d’allah ? Qui saccage depuis des mois, en France, écoles et universités : les nervis fils-à-papa de l’ultragauche trotskiste ou les jeunes de la mouvance populiste ?

    L’on veut bien admettre qu’il existe des Européens n’ayant pas encore compris qu’une Libération, ça se prépare et ça n’a de chance de triompher qu’au bon moment. Mais l’unique réalité sanglante depuis 2014, ce sont les tueries organisées par les mahométans djihadistes.

    N’inversons pas les rôles dans la comédie politico-médiatique. Il est évident que la Nation française commence à trouver un peu trop cynique la politique « jeune et dynamique » du Président, largement acquis aux charmes de l’économie globale et de l’invasion migratoire. C’est en informant constamment l’électorat que pour l’instant, l’on doit agir. Et la triste réalité de notre Europe occidentale est telle que le simple exposé des faits suffit à ébranler une partie de plus en plus grande des citoyens.

    C’est d’ailleurs ce qui effraie les hommes et les femmes implantés à la direction des États européens pour y faire passer la pilule de l’invasion et du brassage des races et des pensées. Si le slogan : « Tous métis », métis culturels ou métis raciaux, pouvait devenir la réalité de l’Europe occidentale et scandinave, cela enchanterait les tireurs de ficelles des pantins qui font semblant de nous gouverner.

    Ne leur donnons pas la joie, à ces joueurs de flûte et à ces richards qui veulent jouer aux démiurges, de gagner trop facilement leur partie de Monopoly vicieux. Informer et préparer en toute légalité les conditions de la Libération sont les seuls objectifs utiles pour le moment. Ce ne sera pas facile et l’on peut faire confiance à nos ennemis pour multiplier les coups bas.

    L’essentiel est d’obtenir en tout pays européen meurtri, avili, envahi, une majorité d’électeurs qui se prononcent pour une solution politique favorable à la Nation autochtone. D’abord s’unir contre la folle arrogance des maîtres du fric, s’unir contre l’envahisseur non désiré. Ensuite, quand la majorité de chaque Nation sera éveillée, on agira en établissant de nouvelles lois, l’on organisera méthodiquement la nécessaire re-migration des non-Européens vers leurs terres d’origine, et l’on en reviendra, logiquement, aux valeurs fondamentales : Honneur, Travail, Famille, Patrie.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/