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magouille et compagnie - Page 1442

  • Des centaines de milliers de déboutés du droit d’asile s’évaporent en Europe

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    En Suisse, un centre de regroupement pour déboutés du droit d’asile, situé au centre du Canton de Zürich, déclare avoir perdu la trace de 309 des 649 des « hôtes » qui lui avaient été confiés depuis Mars 2017. En vertu des accords de Dublin, ce type de centre est l’ultime destination avant leur expulsion soit vers un pays tiers soit vers leur pays d’origine.

    Malgré sa porosité, ce type de centre a le mérite d’exister en Suisse, contrairement à la situation dans de nombreux pays européens. En Finlande, où ce dispositif n’existe pas, ce sont 5 300 demandeurs d’asile qui ont « échappé » au contrôle gouvernemental.

    Pire, en Allemagne, le gouvernement fédéral a dû reconnaître avoir perdu la trace de 130 000 demandeurs d’asile. C’est pourtant dans cette population que se trouvaient les auteurs des attaques terroristes de Berlin (Anis Amri) et de Stockholm (Rakhmat Akilov).

  • I-Média n°206 : Trump et les enfants de clandestins : l’émotion au service de l’immigration

    01-Trump et les enfants clandestins : l’émotion au service de l’immigration
    « Insensible, sans âme, lâche », les médias ne mâchent pas leurs mots sur Donald Trump depuis la découverte de l’enregistrement d’un enfant de clandestin pleurant dans un centre de rétention.

    02- Le Zapping 
    Beaucoup de séquences immigrationnistes et …festival de novlangue : les clandestins africains deviennent dans la bouche des journalistes des « évacués », des « exilés », des « réfugiés », sauvés d’un « bateau en perdition ». Alors que l’Aquarius n’a jamais menacé de faire naufrage. On notera aussi l’aveu de cet Albanais racontant comment il avait menti pour tenter d’obtenir de l’OFPRA le statut de réfugié politique. Le mensonge, l’arme absolue de 95 % des demandeurs d’asile !

    03-censure de TVlibertés : petit meurtre en silence
    Jeudi 14 juin la chaine Youtube de TVlibertes a été fermée de manière unilatérale. La chaine avait 100 000 abonnés. Alors que la fermeture relève de la censure et de l’atteinte à la liberté de la presse, les médias restent silencieux.

    04-Les Tweets
    Vous reprendrez bien un petit coup de novlangue ? Pour l’Associated Press une agression au cri de « Allah Akbar » est faite au nom de « God is great ». Quant à l’AFP, elle titre sur « la menace grandissante du terrorisme d’extrême droite en Grande Bretagne ». Brr…

    05- Salvini et Trump victimes de bobards sur l’immigration
    Donald Trump aurait dit une « Fake news » en affirmant que la délinquance avait augmenté en Allemagne, Salvini, le ministre de l’intérieur italien aurait appelé à une épuration de masse. Salvini, Trump, deux victimes de bobards immigrationnistes

    https://www.tvlibertes.com/2018/06/22/23698/i-media-n206

  • Non Bernard-Henri Lévy, le solde migratoire de l’Europe n’est pas « nul » : "Il n'y a pas de crise des migrants", a-t-il affirmé sur Europe 1

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    Bernard-Henri Lévy a déclaré, hier, sur Europe 1 lors du Grand rendez-vous du dimanche qu’il n’y avait pas de crise migratoire comme le prouverait le solde migratoire nul de l’UE.

    Verbatim :

    Il n’y a pas de crise des migrants. Le solde migratoire, comme disent les démographes ou les économistes est nul. C’est-à-dire que la balance entre les gens qui quittent l’Europe et les gens qui y rentrent est à peu près à zéro.

    Lire la suite et voir la video sur Causeur

  • La liberté d'expression n'existe plus sur le net

  • EMMANUEL MACRON : HARO SUR LE NATIONALISME

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    La presse nous informe : en déplacement dans le Finistère, Emmanuel Macron a comparé la progression du nationalisme à « la lèpre qui monte ». Dans un salmigondis approximatif, le brillant énarque a déclaré : « Je vous le dis avec beaucoup de gravité. Beaucoup la détestent, mais ils la détestent depuis longtemps et vous les voyez monter, comme une lèpre, un peu partout en Europe, dans des pays où nous pensions que c’était impossible de la voir réapparaître. Et des amis voisins, ils disent le pire et nous nous y habituons », a déclaré le président de la République, ce jeudi 21 juin .

    Voilà, tout est dit : quand l’immigration devient un problème social, sanitaire, économique, géopolitique, quand elle pose la question de la souveraineté nationale, aussi bien des pays dont sont issues les vagues de migrants que ceux qui les accueillent, ce sont bien sûr les « nationalistes » les fauteurs de troubles…

    Pourtant, pour reprendre l’élégante métaphore, le sentiment partagé de la lèpre montante de toute part, ce ne serait pas la montée du nationalisme qui viendrait en tête de la liste.

    D’ailleurs, le nationalisme, en France, n’est-il pas une invention de la république ? Laquelle a hérité du « pré carré » capétien constitué en huit siècles. La France était encore dans la logique du « nous », celui de la solidarité nationale inaliénable face aux impérialismes qui se dressaient à nos frontières.

    Un déjà ancien rapport de Gilles Kepel, publié à l’automne 2011 par l’Institut Montaigne – Banlieue de la République -, révélait que la République, qui s’est toujours historiquement adossée au patriotisme pour protéger sa légitimité, a commencé à scier la branche sur laquelle elle était assise dès lors qu’elle a choisi de rejoindre le camp du libéralisme supranational en abandonnant notre souveraineté à Bruxelles et à Washington.

    Le discours sur la laïcité et les valeurs républicaines a, dès lors, perdu de sa crédibilité.

    Depuis les traités de Rome, de Maastricht et de Lisbonne, l’accord de Schengen ou l’abandon du franc, ou encore le retour de la France dans le commandement intégré de l’OYAN, il est clair que la République se dépouille de ses oripeaux nationaux, et du premier d’entre eux, à savoir une « souveraineté nationale » à laquelle elle s’identifiait.

    Pourtant, le cri de « Vive la nation » et même la notion ambiguë de « sang impur » sont bien des inventions de la Révolution.

    Mais d’après Macron, ce nationalisme, hier encensé, aujourd’hui détestable – à cause, je suppose, des guerres mondiales notamment, lesquelles ne furent pas des entreprises nationalistes mais en réalité impérialistes (encore un héritage de notre Révolution qui a « métastasé » le peuple allemand grâce aux talents de Fichte en particulier, le père du pangermanisme) -, serait la cause des malheurs que nous vivons.

    Admettons qu’il soit de bon ton de fustiger le nationalisme, ce mot-valise qui permet facilement de désigner le mal absolu, la bête immonde, savamment tenue en éveil par nos élites orwelliennes, pour nous donner les chocottes et nous faire accepter servilement l’enfer qu’elles organisent par ailleurs… Mais quand même, on est en admiration devant ce culot arrogant qui consiste à installer le chaos et à stigmatiser, avec cette violence idéologique rappelant les belles années de 1917 en Union soviétique, ceux qui réagissent à bon droit.

    Pourtant, il peut y avoir une forme de nationalisme intelligent, le « nationalisme intégral » (année Maurras oblige) qui promeut (en France) l’indépendance et la continuité de l’État et la souveraineté pacifique de la nation, la solidarité historique des peuples de France, et, à l’extérieur, un interlocuteur libre et stable, capable de nouer des alliances multilatérales dans l’intérêt de son peuple, sans subir les pressions de la finance internationale. Nous appelons cela « la monarchie ».

     Membre du comité directeur de l'Action Française
  • Fête afro-techno-LGBT à l’Elysée ! Consternante décadence…

    Il y a quelques jours, un certain Philippe de Villiers tressait une couronne de lauriers à Emmanuel Macron, évoquant la « verticalité de sa présidence »…

    Pour bien comprendre, cette notion de verticalité, regardez donc les images de la « fête de la musique » organisée à l’Elysée par Brigitte et Emmanuel Macron.

    Devant un public de 1.500 bourgeois autant friqués que décadents, c’est une fête afro-techno-LGBT qui s’est déroulée dans ce lieu de pouvoir transformé en Sodome.

    La cerise sur le gâteau : le DJ Kiddy Smile arborant un maillot sur lequel était écrit « Fils d’immigrés, noir et pédé ». Le ton était donné…

    http://www.medias-presse.info/fete-afro-techno-lgbt-a-lelysee-consternante-decadence/93589/

  • Le Samedi Politique : Industrie, énergie et scandales, 40 ans dans les coulisses du pouvoir avec Loïk Le Floch-Prigent

    Edition Spéciale du Samedi Politique : Après 40 ans dans les coulisses de la République, Loïk Le Floch-Prigent a dirigé quelques unes des plus grandes entreprises françaises telles que Elf et la SNCF. Pris dans un des plus célèbres scandales français, il connaît les rouages les plus secrets du fonctionnement de l’Etat profond. Avec nous, il revient sur l’évolution catastrophique de l’industrie française, et sur son parcours unique, du jeune breton marqué à jamais par son identité régionale rythmée par les marées à son ascension fulgurante jusqu’à la tour Elf.
    Avec son dernier ouvrage, En finir avec les idées reçues, il dresse un constat accablant de la gestion de l’industrie et livre sa vision : une vision pragmatique, scientifique et empirique.

    https://www.tvlibertes.com/2018/06/23/23734/samedi-politique-industrie-energie-scandales-40-ans-coulisses-pouvoir-loik-floch-prigent-2

  • Macron veut des sanctions financières pour les pays qui refusent d’accueillir des migrants

    Lors d’une conférence de presse avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, Emmanuel Macron s’en est pris aux pays “qui revendiquent massivement leur égoïsme national”.

    Le président français Emmanuel Macron s’est prononcé samedi en faveur de sanctions financières envers les pays de l’Union européenne qui refuseraient d’accueillir des migrants.

    Au cours d’une conférence de presse avec le Premier ministre espagnol Pedro Sanchez, il a affirmé qu'”on ne peut avoir des pays qui bénéficient massivement de la solidarité de l’UE et qui revendiquent massivement leur égoïsme national quand il s’agit de sujets migratoires”.

    “Je suis favorable à ce qu’il y ait des sanctions qui existent en cas de non solidarité (…), à ce que des conditions sur ce sujet soient mises au financement d’aides structurelles”, a-t-il précisé. “Je suis résolument favorable à ce qu’il y aient des mécanismes qui prennent en compte cela. C’est un débat qui viendra en temps voulu.”

    France et Espagne veulent des centres fermés sur le sol européen. La France et l’Espagne ont également proposé la mise en place de “centres fermés sur le sol européen dès le débarquement” des migrants, Emmanuel Macron, prônant une “solution différente et complémentaire” à une crise qui divise l’Europe.

    “Une fois débarqués sur le sol européen, nous sommes favorables à mettre en place des centres fermés conformément au HCR, avec des moyens européens qui permettent (…) une solidarité financière immédiate, une instruction rapide des dossiers, une solidarité européenne pour que chaque pays prenne de manière organisée les personnes qui ont droit à l’asile”, a souligné le chef de l’État.

    “Nous devons tenir nos principes”. Pour les migrants qui n’ont pas droit à l’asile, Emmanuel Macron a souligné la nécessité d’avoir “une solidarité européenne et une efficacité pour raccompagner” ces personnes “vers leur pays d’origine” et “en aucun cas vers des pays de transit”. “C’est une solution qui est coopérative et respectueuse du droit. Nous devons tenir nos principes et ne pas nous laisser bousculer par les extrêmes”, a-t-il ajouté à la veille d’un mini-sommet européen sur la question.

    Source Europe1

    https://www.patriote.info/actualite/union-europeenne-actualite/macron-veut-des-sanctions-financieres-pour-les-pays-qui-refusent-daccueillir-des-migrants/

  • LES FAKE NEWS, QUAND C’EST CONTRE LES POPULISTES, C’EST PAS GRAVE

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    « L’Italie ne veut plus être complice du business de l’immigration clandestine. En ministre et en père, je le fais pour le bien de tous », a écrit Salvini sur sa page Facebook. « En père » ? Une pièce de plus à verser au dossier chargé du président de la Ligue. Le mâle blanc hétérosexuel a encore frappé !

    Alors, ça y est, du coup, c’est lancé : il fallait un successeur à Poutine qui, comme l’écrit Hélène Carrère d’Encausse, se détourne d’une Europe hostile et glisse doucement vers l’Asie. Un successeur dans le rôle du méchant. Dans la société orwellienne, le bouc émissaire reste essentiel. Ce sera donc Matteo. Matteo Salvini, qui en est à son troisième refus d’accueillir ces bateaux venus des côtes libyennes. Les Lifeline et Seefuchs, deux bateaux d’ONG allemandes, ont en effet été placés sous séquestre par le ministre des Transports 5 étoiles du nouveau gouvernement italien pour non-conformité au droit international. Les vies ont été sauvées, a déclaré le ministre. Mais ça, on ne le dira pas…

    Emmanuel Macron, jeudi en Bretagne, a nommé la maladie : « Le populisme, c’est la lèpre », a-t-il dit. Alors, on entendra tinter la crécelle de tout un pays, puisque 80 % de son peuple est d’accord avec Salvini !

    « La paix, c’est la guerre », susurre le novlangue. Fermer ses ports à des bateaux de clandestins parmi lesquels se trouvent potentiellement des guerriers du califat, c’est donc faire la guerre.

    Contre Salvini, du coup, tout est permis. Surtout la réductio ad Hitlerum. Ainsi, L’Important a tweeté cette semaine : « Salvini veut une épuration massive. » Mais la vidéo qui illustrait le propos – et où était employé le verbe « nettoyer » (pulire) et non « épurer » – date de… février 2017 !

    Car la campagne des élections européennes est lancée, et elle reposera, comme celle de la présidentielle, sur le « pas ça, pas ça, pas ça ! », variante de « le fascisme ne passera pas ».

    Et Big Brother traquera, sur les réseaux sociaux et dans la presse, les présumées « fake news » de ces nouveaux lépreux, ces populistes, présumés anti-européens.

    Mais, bien sûr, pas celle d’un quotidien en ligne qui accuse Salvini d’« épuration »…

    http://www.bvoltaire.fr/fake-news-cest-contre-populistes-cest-grave/

  • Grand Président, il a raison

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    Bernard Plouvier

    Passant par la Bretagne, Grand Président, qui semble succomber à la magie de la musique noire, a évoqué la « lèpre populiste ». Et comme à son habitude, Grand Président se moque de la Nation.

    Il est exact que dans le continent d’un Vivaldi, d’un Mozart, d’un Brahms ou d’un Wagner, nous avons besoin de recevoir des leçons de joueurs de tam-tam. Il en faut pour tous les goûts, même pour le mauvais.

    Grand Président n’aime pas les populistes. Il oublie qu’on peut être populiste sans être raciste (mais pour un môssieur sorti de l’ENA, Antonio Salazar ou Juan Péron doivent être des inconnus).

    De fait, nos merveilleux immigrationnistes oublient qu’en favorisant l’afflux d’une délirante quantité d’individus provenant d’autres continents, ils importent du racisme antiblancs, celui là même que les citadins Français de souche doivent affronter quotidiennement depuis les années 1980… qui a passé sa jeunesse à Roubaix, puis exercé à Lille et à Douai en connait un rayon en matière de racisme antiblancs. Mais Grand Président et sa suite ne sont jamais qu’au contact de « gentils z’immigrés », qui brossent les puissants dans le sens du poil.

    Car Grand Président, s’il se penchait trois minutes sur les réalités triviales de la vie quotidienne des Blancs de la région parisienne, ou de la région de Marseille, de la Lyonnaise, ou du triangle Lille-Roubaix-Tourcoing, saurait que le « Bon Peuple » est quelque peu excédé.

    Si Grand Président a peur de la lèpre (il a tort : dans une société comme la nôtre, c’est une maladie qui se diagnostique tôt et se traite bien ; la lèpre mutilante, ça n’existe plus que chez les sous-évolués, les populations à la traîne), la Nation française, elle, ne veut pas mourir du cancer aux noms multiples : substitution de population (rappelez-vous ce que les Britanniques ont fait en Amérique du Nord, en Australie et en Nouvelle-Zélande), métissage universel, islam djihadiste, violences urbaines quotidiennes.

    La vie en France, dans les années qui ont précédé le décret de regroupement familial des Giscard et Chirac, n’était peut-être pas idyllique – dans ce que les théologiens juifs et chrétiens nomment une « vallée de larmes », on aimerait savoir où et quand la vie a été une idylle entre doux humains et bonne nature -, mais nous étions chez nous et entre nous.

    Pour changer de statut, c’est-à-dire pour passer d’un pays d’Europe occidentale à un gourbi africain ou proche-oriental, il faut au moins consulter le bon peuple. Il est possible qu’une majorité de Français veuillent vivre dans un État régi par la Charî’a et se fondre dans une espèce de race globale, mais il faut au moins, Grand Président, leur demander leur avis. C’est cela que l’on nomme démocratie.

    Et il est probable que le bon peuple de France ne puisse connaitre de démocratie que grâce au Populisme.

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