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magouille et compagnie - Page 1566

  • Les forces du futur ne désarment pas, par Elisabeth Lévy

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    Causeur-Elisabeth-Lévy-270x350.jpgEn 2002, dans un louable effort d’unification sémantique, la gauche lyncheuse, en la personne de Daniel Lindenberg, décida d’affubler tous les penseurs qui lui déplaisaient de l’épithète unique de réactionnaire. En 2017, quand des intellectuels critiquent Emmanuel Macron, il décrète qu’ils représentent « le vieux monde » et « n’ont rien produit de renversant », ce qui signifie certainement qu’ils n’ont pas assez co-worké pour team-builder notre start-up nation. La liste de Macron est aussi disparate que celle de Lindenberg. On ne voit pas ce qui permet d’enfermer dans le même sac idéologique Debray, Finkielkraut, Badiou, Onfray et Todd, qui ne pourraient pas prendre un café ensemble, sinon qu’ils déplaisent au président, pour la raison que lui ne leur plaît guère, et qu’ils sont tous, avec d’abyssales dfférences, les heureux héritiers d’un monde ancien : celui de l’écrit.

    Du gauchisme culturel au progressisme présidentiel, quelle que soit la lettre épinglée au plastron de l’adversaire, elle est toujours écarlate et le crime toujours le même : il sent le passé – et ça ne sent pas la rose. Quand nous devrions nous efforcer d’arracher nos pieds de la glaise, de rompre avec nos petites habitudes existentielles et d’entrer à pieds joints dans le monde de la fluidité identitaire et de la citoyenneté numérique, des grincheux parlent d’héritage, de dette et de continuité historique. Ça plombe l’ambiance.

    Comme on ne peut pas faire disparaître physiquement les réfractaires au nouveau cours, on s’emploie à les effacer symboliquement en les désignant comme de risibles survivances. On somme donc la vieille France (province du « vieux monde ») de consentir à son sacrifice sur l’autel du multiculti radieux, quand on ne lui raconte pas qu’elle n’a jamais existé puisque « nous sommes tous des immigrés ». […]

    Heureusement, […] la nation a la vie dure. « Les forces du monde ancien sont toujours là », confie le président au Point. Malgré l’énergie déployée pour lui faire intégrer sa propre indignité, la France d’avant refuse de jeter toute son histoire avec l’eau sale des heures les plus sombres ; elle entend continuer à écrire sa langue avec ses bizarreries et « oignon » avec un « i ». Et elle ne veut pas déboulonner les statues de Colbert, même si cela blesse certains de ses concitoyens que l’on honore l’un des bâtisseurs de notre État en dépit de son rôle actif dans l’esclavage.

    Nous devons connaître les ombres autant que les lumières de ceux qui nous ont précédés ; cela ne nous commande pas de les renier ou alors, il faudra interdire Shakespeare et surtout Voltaire qui n’étaient pas blanc-bleu sur le plan de l’antisémitisme. Et ne parlons pas des sexistes qui pullulent dans notre littérature.

    De plus, comme le rappelle Alain Finkielkraut, la spécificité de l’Europe n’est pas d’avoir pratiqué l’esclavage, mais de l’avoir aboli.

    Tant pis pour ces afféteries historiques et pour quelques statues qu’il faudra abattre, dit-on, afin de ne pas froisser les identités minoritaires. Sur le plateau de Karim Rissouli, sur France 5, Finkielkraut a raconté qu’au King’s College de Londres, il était question de cacher les bustes des fondateurs blancs. Personne n’a moufté, comme si cette inquisition rétrospective était le prix à payer pour guérir les blessures dont nous sommes collectivement coupables.

    Le camp progressiste célèbre ainsi à sa façon le centenaire de la grande révolution d’Octobre. Là-bas, on escamotait les sociaux-traîtres des photos ; ici et maintenant, on efface de l’histoire de vieux mâles blancs – morts de surcroît. Conception pour le moins paradoxale du vivre-ensemble que celle qui proclame ainsi : ôte-toi de là que je m’y mette.

    Elisabeth Lévy

    Extrait de l’éditorial du n° 50 de Causeur daté d’octobre 2017

  • [communiqué] Les islamistes ont-ils voulu assassiner Olivier Renault, contributeur de Riposte Laïque ?

    Même si nous ne rejoignons pas tous les combats de cette association, voici un communiqué de Riposte Laïque apportant une potentielle réponse à "l'inexplicable" tentative d'attentat du XVIe arrondissement de Paris.
    OlivierRenault2.jpgDans la nuit de ce vendredi à samedi, à 4 heures du matin, quatre bouteilles de gaz ont été retrouvées, avec un dispositif de mise à feu, sur le palier d’un immeuble du 1e arrondissement, situé au 31, rue Chanez. Un locataire ayant entendu du bruit a prévenu la police, évitant miraculeusement un massacre.
    Cinq personnes, présentées comme appartenant à la mouvance radicale de l’islam, ont été arrêtées le lendemain. Il se trouve, selon les enquêteurs, que ce serait une confusion des djihadistes qui a fait que cet immeuble soit visé. En effet, parmi les occupants figure un homme appelé Olivier Renault… même nom qu’un contributeur régulier de Riposte Laïque. Les enquêteurs paraissent privilégier la piste d’un homonyme, et pensent que notre ami était visé, pour sa participation à Riposte Laïque. Qu’il y ait eu, de la part des islamistes, une confusion – Olivier Renault, journaliste indépendant, est le correspondant de Riposte Laïque en Allemagne – ne change rien à la réalité. Cet épisode confirme que ceux qui refusent l’islamisation de la France sont terriblement exposés, dans un contexte où les musulmans les plus radicaux entendent terroriser la population pour lui imposer la charia.
    Nous n’avons pas oublié que le groupe Forsane Alizza, dissous en 2012, avait préparé, sous l’impulsion de son leader, Mohamed Achamlane, des repérages autour des habitations des organisateurs de l’Apéro saucisson pinard et des Assises internationales contre l’islamisation de nos pays. Nous n’avons pas oublié les menaces de mort qui, régulièrement, visent, sur les réseaux sociaux, certains de nos animateurs, obligés de prendre dans leur quotidien de nombreuses précautions.
     La mise en danger de nos contributeurs, confirmée par cette tentative d’attentat, est d’autant plus intolérable que, parallèlement, l’Etat français, des associations dites antiracistes et des organisations musulmanes multiplient les plaintes et les poursuites contre Riposte Laïque et Résistance républicaine, comme le confirme l’emploi du temps de notre avocat, cette semaine.
    Un gouvernement digne de ce nom mettrait fin immédiatement à toutes ces procédures iniques, qui visent des lanceurs d’alertes à qui les faits donnent raison quotidiennement, et font le jeu des islamistes, et de leurs complices. Les choses sont pourtant claires : on ne vaincra pas l’islam, qui a déclaré la guerre à notre modèle de civilisation, sans l’interdire en France, et sans expulser massivement les musulmans qui préfèrent la charia aux lois de la République. Si cela avait été fait, les deux cousines, Laura et Mauranne, assassinées à Marseille par un islamiste clandestin, délinquant multi-récidiviste, seraient encore en vie.
    Loin de se laisser intimider par cette nouvelle tentative d’attentat, qu’elle ait visé Olivier Renault ou pas, Riposte Laïque et Résistance républicaine lanceront, dans les jours qui vont suivre, une énorme campagne d’autocollants, en France et dans toute l’Europe, demandant l’interdiction d’un dogme qui encourage, dans ses textes sacrés,  le crime de ses disciples contre tous ceux qui ne sont pas de vrais musulmans.
    lu sur le site de riposte laïque

  • LE « BORDEL » SELON MACRON

    Emmanuel Macron vient d’administrer une nouvelle fois la preuve du mépris qu’il éprouve à l’endroit de ces « Français qui ne sont rien ».

    « Certains, au lieu de foutre le bordel, feraient mieux d’aller regarder s’ils ne peuvent pas trouver des postes là-bas ! » Ceux qui « foutent le bordel », ce sont les salariés de GM&S. « Là-bas », c’est à près de cent cinquante kilomètres de leur usine menacée. Et celui par qui le scandale – et le « bordel » – arrivent, c’est évidemment Emmanuel Macron.

    Cette sortie n’en finit plus d’agiter le microcosme des hommes et commentateurs politiques. Elle n’a pourtant rien d’officiel, ayant été « volée » par les journalistes de BFM TV, alors que le Président s’entretenait en privé avec Alain Rousset, lui-même président socialiste de la région Nouvelle-Aquitaine. Était-il licite de jouer ici avec le « off » ? Les médias n’en sont plus à ça près.

    En revanche, il est sûr qu’Emmanuel Macron livre là ce qu’il a sur le cœur, avec les mots que tout un chacun emploie généralement loin des caméras et des micros. On notera encore que ce n’est pas la première fois qu’il s’exprime, en privé ou pas, dans un langage que les plus indulgents tiendront pour « fleuri ». Il est tout aussi sûr qu’il y a vulgarité et vulgarité ; celle des mots et celle de la pensée. En l’occurrence, sa copie est exemplaire, que ce soit dans le fond et la forme ; et son épouse ne pourrait faire moins que de lui coller un vingt sur vingt, même en notant vache.

    Sur le fond, donc, et quoiqu’il s’en défende, Emmanuel Macronvient d’administrer une nouvelle fois la preuve du mépris qu’il éprouve à l’endroit de ces « Français qui ne sont rien », « illettrés », « alcooliques », « fainéants » et autres petits mots doux. Plus frappante encore demeure sa conception de ce que devrait devenir la France de demain : mobile, connectée, ouverte, tournée vers les technologies de demain ; bref, une France qui bouge et donne le tournis, telle une start-up trépignant dans son incubateur. L’usine en question, où il y a du travail, se trouve à deux heures de route du domicile des chômeurs en puissance ? La belle affaire ! Il s’agit d’un tout autre métier pour lequel il faudrait repartir presque de zéro ? La splendide occasion que voilà ! De tels changements de vie pourraient mettre en péril la vie de famille, voire la vie sociale des principaux intéressés ? Mais la vie, qu’elle soit ou non de famille, est sans cesse à réinventer !

    C’est bien la peine de se vanter d’avoir été l’assistant du philosophe chrétien Paul Ricœur, contempteur « d’individualisme libéral », pour se faire aujourd’hui le chantre du déracinement, non point conjoncturel – il peut arriver de devoir déménager pour conserver sa situation professionnelle –, mais éminemment structurel, l’exception ayant avec lui vocation à devenir mode de vie.

    Ce n’est pas pour rien qu’Emmanuel Macron fut rapporteur général adjoint de la Commission pour la libération de la croissance française, commandée en 2008 par Nicolas Sarkozy à un certain Jacques Attali ; commission que Marine Le Pen avait fort justement rebaptisée « Commission Attila », tant elle entendait faire table rase de toute forme de tradition française en la matière.

    Ces temps derniers, il est beaucoup question d’insécurité. Laquelle peut recouvrir de multiples visages. Il y a évidemment celle des corps et des biens. Mais il en existe une autre, aux effets autrement plus insidieux, celle consistant à voir disparaître, pan par pan, le capital immémorial de cette nation plus que millénaire qu’est la France. C’est l’insécurité culturelle, spirituelle, civilisationnelle. En effet, notre patrimoine immatériel n’a pas de prix : c’est ce qui en fait tout le sel.

    http://www.bvoltaire.fr/bordel-selon-macron/

  • Le bus anti-gender de CitizenGo gêne le lobby LGBT

    Les associations ultra-subventionnées LGBT, comme Act Up ou AIDES dénoncent“l’influence des réactionnaires” dans le débat public :

    “Face à la haine au visage tranquille, l’urgence est donc double : il faut défendre un projet de société égalitaire, ouverte, émancipatrice, dans lequel l’école, parce qu’elle est un lieu de socialisation autant que d’apprentissage, doit contribuer à lutter contre les rapports de domination sexistes, LGBTphobesracistes qui oppriment et aliènent”.
    “Il faut également exiger la plus grande détermination, le refus de toute complaisance ou compromis de la part de nos institutions (ministère, rectorats, inspections académiques, centres de formation, équipes dirigeantes et pédagogiques des établissements) à l’égard de celles et ceux qui défendent la perpétuation des oppressions sexistes et LGBTphobes”.

    Résultat, CitizenGo a dénoncé des menaces à son encontre, en publiant des captures d’écran de messages dans lesquels les utilisateurs de la Toile proposaient d’incendier le bus.

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Islamisme : l’hebdomadaire Marianne dénonce à son tour la politique de l’autruche

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    Qui restera-t-il, à part peut-être Libération, pour ne pas s’inquiéter des avancées de l’islamisme ? Marianne, dans son numéro à paraître demain, s’inquiète à son tour de la politique de l’autruche qui prévaut. En Une, le dossier de la semaine, titré : « Ceux qui ne veulent pas voir », et comme surtitre : « L’islamisme avance, le terrorisme frappe partout… » Mais jusque-là, tout va très bien, madame la marquise…

    Marianne Couv Islamisme

  • Alba Ventura sur Danièle Obono : « On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise »

    04/10/2017 – FRANCE (NOVOpress) : Ce matin sur RTL, Alba Ventura, d’ordinaire mesurée, s’est livrée à une charge violente contre Danièle Obono, ce député de la France insoumise qui a expliqué qu’un chauffeur de bus qui refuse de prendre le volant derrière une collègue féminine, ce n’est pas de la radicalisation, c’est « seulement du sexisme » :

    « Bien sûr ! Désolé madame Obono, mais le sexisme c’est considérer qu’une femme n’est pas à sa place. L’intégrisme c’est considérer que Dieu vous interdit de toucher une femme, de lui serrer la main ou de vous asseoir là où elle s’est assise, parce que la femme est jugée impure. Dans le cas du chauffeur de bus, il s’agit bien d’un signe évident de radicalisation. Appelons un chat un chat !

    « On a affaire à une spécialiste, a enchaîné AlbaVentura. C’est la même madame Obono qui n’admet pas qu’on lui demande si dire “Vive la France” c’est plus gênant que de dire “Nique la France”. Tenir de tels propos, c’est atterrant, qui plus est de la part d’une députée. On est entre l’idéologie, la provocation et la bêtise. À la France insoumise, ils sont impayables en la matière.

    « Prenez les jeunes députés Adrien Quatennens et Ugo Bernalicis qui parlent de “démocrature” dans le cadre de la loi antiterroriste, autrement dit d’un glissement de la démocratie vers la dictature. Savent-ils ce que c’est une dictature ? On peut désirer très fort que la rue gouverne, sauf que ce n’est pas le cas en démocratie. Là encore que de bêtises. »

    « Aussi haut que Raquel Garrido. La porte-parole du parti de Jean-Luc Mélenchon, devenue chroniqueuse télé, se trouvait samedi 30 septembre au Parc des Prince, sans doute en bonne compagnie, peut-être même invitée par sa chaîne, lorsqu’une tribune s’est effondrée à Amiens. Raquel Garrido a tweeté ceci : “J’ai assisté ce soir au match du PSG, événement qui coûte des millions, tandis qu’à Amiens une tribune s’effondre. Cherchez l’erreur”, écrit-elle. Elle fait donc un parallèle alors qu’elle n’y connait rien. Elle parle sans savoir, en oubliant un peu vite que la chaîne pour laquelle elle travaille, qui a longtemps été la chaîne du foot, brasse aussi des millions. Chez les Insoumis, c’est un sacré défilé d’indignité. » !

    « Ils devraient se tenir oui. Jean-Luc Mélenchon dit des énormités. Il lui arrive de déraper dans l’agressivité. Mais lui, à la différence de ceux sus-cités, a de la densité politique. Il place la République à un autre niveau que ces gens-là. Il ne va pas essayer de trouver des excuses aux intégristes. Nous ne sommes pas sûr qu’il soit toujours en phase avec ses jeunes troupes. »

    « Mais attention. Ils ont parfaitement le droit de penser que le monde est injuste, qu’il faut plus d’impôts pour les riches, que les lois Travail ne sont pas bonnes, qu’il faut nationaliser les banques et qu’il faut une VIe République. C’est ça la démocratie. C’est la fameuse formule de Voltaire : “Je ne suis pas d’accord avec vous, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire”. Seulement il y a une différence entre dire ce que l’on pense et dire n’importe quoi. »

    https://fr.novopress.info/207711/alba-ventura-sur-daniele-obono-on-est-entre-lideologie-la-provocation-et-la-betise/

  • Islamo-terrorisme : LR veut censurer l'information

    6a00d83451619c69e201bb09ca1e53970d-200wi.jpgBrigitte Kuster, député LR, a déposé une proposition de loi visant à interdire la diffusion du nom de famille et des images des terroristes dans les médias.

    Il ne faudrait en effet pas que les Français sachent et comprennent que l'immigration massive, le laxisme envers les immigrés clandestins souvent délinquants multirécidivistes, est aussi à la source de ce terrorisme qui a tué des centaines de personnes innocentes sur notre sol et qui tuera certainement encore... 

    Ce que Brigitte Kuster et ses amis ne savent visiblement pas, c'est que nous continueront à nous informer à l'étranger, non pas chez les autruches, Suisses ou Romains, qui font semblant de croire que ces musulmans immigrés sont aussi violents que quiconque, parce que cibler une population cépabien, mais dans la presse anglo-saxonne.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La vérité dangereuse

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    Bernard Plouvier

    Il est évident, pour tout esprit libre de dogme(s), qu’il n’existe pas plus de vérité politique, philosophique ou juridique qu’il n’existe de vérité historique ou religieuse. Toutefois, il existe une vérité factuelle : les faits d’observation forment des évidences et nier ces évidences définit médicalement le délire.

    Fait : le terrorisme mahométan est devenu un risque permanent un peu partout dans le monde et rien ne permet de différentier a priori un fidèle d’allah calme d’un djihadiste en puissance. De même qu’une canaille d’affaires peut un jour décider de ne plus escroquer son prochain, de même qu’il arrive qu’un alcoolique ou un drogué cessent d’être esclaves de leur poison, un homme pieux peut devenir un illuminé, fou de son dieu.

    Un jour peut-être, les « penseurs » comprendront-ils qu’il n’est pire criminel de masse que celui qui impose un dogme où l’extermination des ennemis est présentée comme chose belle et bonne, agréable à la divinité ou à son substitut politique.

    Il arrivera fatalement qu’un historien « révisionniste », versé dans l’exploitation prudente des statistiques modernes et des estimations chiffrées antiques et médiévales, estimera que les religions monothéistes ont été aussi meurtrières que le marxisme qui a endeuillé le XXesiècle.

    Ce ne sera pas une chose aisée à présenter, ni dépourvue de risque judiciaire dans un monde où le milieu politique est prosterné devant les divinités économiques (et le pétrole en est une aussi puissante que la finance cosmopolite dont Wall Street et la City ne sont plus que des bases historiques)… sans même évoquer « l’action directe » dont le courageux auteur pourrait être l’objet de la part de tueurs fanatiques.

    Il est à noter que si notre « État de droit » n’intervient pas souvent pour freiner le délire verbal des imams et ulémas hébergés sur le sol français, toute allusion aux risques que la religion mahométane fait courir aux Français peut être requalifiée « d’appel à la haine » dite « raciale » ou religieuse par un magistrat proche de la mouvance globalo-mondialiste.      

    Fait : les races de chiens, de vaches, de chevaux, etc. existent. Aucun politicien n’a été assez stupide pour légiférer sur ce point ni aucun juriste assez carriériste pour condamner un vétérinaire au titre du racisme canin ou caprin. En revanche, selon la Loi française du régime macronien, il n’existe pas de race humaine, mais « de prétendues races ». Toutefois, il existe un racisme, qu’en bonne logique on devrait dénommer « supposé » ou « présumé » puisque son objet n’existe pas ou plus.

    Parler de races était autrefois un sujet d’anthropologie, pouvant déboucher sur des constatations sociologiques dénommées ethnologie et cela pouvait mener à devenir membre d’une académie ou titulaire d’une chaire d’université. En nos jours de progrès continu des connaissances (et des législations toquées), cela mène à la case prison ou à un « stage de rééducation civique ».

    Fait : l’Europe, où les autochtones les moins certifiés, mais aussi parfois de jeunes diplômés connaissent un chômage massif et de longue durée, n’a nul besoin d’une immigration d’extra-européens dont une grande partie est analphabète (les autorités scandinaves et allemandes l’ont reconnu), dépourvue de toute connaissance professionnelle… sans même parler de la délinquance voire des activités criminelles d’un nombre effarant de jeunes hommes importés, avec la bénédiction pontificale, à la demande de la grande distribution pour accroître ses bénéfices grâce à une consommation en partie parasitaire, alimentée par les contribuables.  

    Présenter cette réalité quotidienne, évoquer la menace d’une substitution de population majoritaire et les risques de guerres de « prétendues races » et de religion au sein de notre continent qui se remet à peine du précédent épisode, mènent au lynchage médiatique et à de ruineux procès. Il est piquant de constater que les Goyim nés bien après 1945 sont contraints de déguster l’évocation de la Shoah matin, midi et soir (voire la nuit pour les plus accrochés) et qu’on ne peut sans risque évoquer l’hypothèse d’un prochain génocide des Européens dans leur propre continent.

    Fait : l’omniprésente corruption, dans les milieux politique, médiatique et administratif. On peut en parler de façon vague, mais citer précisément ses mécanismes, ses institutions, notamment sectaires, les agents corrupteurs mène devant un juge… lui-même pouvant appartenir à un parti, une secte maçonnique ou une tribu corrompue ou corruptrice.    

    Et l’on pourrait multiplier ces vérités factuelles qui sont tellement dérangeantes pour nos véritables maîtres que leur évocation en est devenue périlleuse. Auparavant, l’on disait : « Toute vérité n’est pas bonne à dire ». Il se pourrait bien que dans un avenir pas trop éloigné on en revienne à l’application d’un rituel mongol : le messager porteur de mauvaises nouvelles est exécuté.

    L’histoire le prouve abondamment : une civilisation meurt peu après avoir atteint son apogée. Mais une société où le fait de délirer - c’est-à-dire : nier l’évidence des faits – est institutionnalisé, sanctifié par des lois de circonstances aussi bien que par « l’idole que l’on adore au Vatican » (saluons « Voltaire »), ne peut que s’effondrer sous le poids de sa bêtise, de sa médiocrité, de son absence de référence éthique, comme l’ont fait les sociétés marxistes.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/10/04/la-verite-dangereuse-5986234.html