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magouille et compagnie - Page 1564

  • Comparaison n’est pas raison

    2011-portraitbg-150x150.jpgCommuniqué de presse de Bruno Gollnisch, député européen et membre du bureau politique du Front National

    Interrogé par RFI ce vendredi 6 octobre 2017 sur le cas de Mme Kauffmann, nouvelle sénatrice du Var, qui aurait juxtaposé une photo de l’armée allemande d’occupation et une photo de « migrants », ma réponse en faveur de la liberté d’expression s’est transformée, sous la plume de certains, en intention de comparer les « migrants » à des « nazis » (sic !).

    A l’attention de ces commentateurs inaccessibles aux nuances (notamment au Lab d’Europe1) ou qui ignorent la célèbre phrase attribuée (à tort) à Voltaire, je précise que le fait de se prononcer en faveur de la liberté d’expression porte nécessairement sur des opinions que l’on ne partage pas, que ce soit en partie ou en totalité. Je ne compare donc pas les migrants à des « nazis ».

    J’ai fait en revanche sur le fond, et j’assume, une (brève) analyse de géopolitique, énonçant qu’il existait dans l’Histoire des changements de population qui ne résultaient pas nécessairement d’une guerre. Point de vue exprimé aussi bien par Clausewitz que par l’ancien président Giscard d’Estaing…

    Quant aux autres aspects concernant Mme Kauffmann, que je ne connais pas, je souhaite bien sûr qu’elle se conforme à la discipline du Front National, sous les couleurs duquel elle s’est présentée aux élections.

    https://gollnisch.com/2017/10/07/comparaison-nest-raison/

  • Poutine et Russie bashing : les Inrocks en pointe

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    Un homme blond légèrement dégarni et au regard bleu acier vous dévisage. Il dirige deux doigts vers ses yeux, l’air de dire « Fais bien attention je t’ai à l’œil ». S’agit il du directeur de la CIA, dont un ancien agent fait main basse sur la presse dans les Balkans ? Ou bien du directeur de la NSA, l’agence américaine aux grands yeux et aux grandes oreilles, employant plus de 20 000 personnes et dont le budget dépasse largement les dix milliards de dollars ? Non, c’est Vladimir Poutine qui jette ce regard inquiétant sur la couverture du numéro du 20 septembre 2017 de l’hebdomadaire du charmant milliardaire Pigasse. Poutine dont la stratégie d’influence est détaillée dans un papier involontairement comique du numéro. Florilège.

    Sachez le « Vladimir Poutine s’invitera bientôt dans votre salon », il vient d’arriver en parachute, vous le voyez déjà là, mâchoires serrées, l’air pas commode. Le même Poutine qui en 2013 annonçait (le fourbe) ses sombres desseins dans une salle rappelant « la war room bondée du Docteur Folamour de Stanley Kubrick ». La war room ce sont les studios de Russia Today (RT) à Moscou. Puisqu’il y une war room, ces russes doivent bien préparer la guerre… Et puis ces gens là « insistent en permanence sur des sujets qui ont pour but de susciter l’anxiété », ânonne une obscure professeur d’études russes de Rennes. Car ils veulent « déstabiliser la société, créer de l’insatisfaction et instrumentaliser la droite dure et le FN », rien que ça. Et même « préparer le terrain pour la future élection présidentielle » (de 2022 note de la rédaction). On reconnaît là les fantasmes thérapeutiques qui ont suivi l’élection de Trump et le complotisme autorisé : Clinton ne pouvait pas perdre, Clinton ne devait pas perdre, si elle a perdu c’est que le Kremlin a manipulé l’élection et ils vont faire la même chose en France. Fermez le ban ? Oh non car le CSA veille !

    Le CSA qui a autorisé RT France en décembre 2015 à émettre non sur le réseau hertzien mais sur le réseau numérique « a placé le site sous surveillance » car « nos homologues en Europe nous ont alertés sur des contenus qui pouvaient être potentiellement problématiques ». Un traitement particulier dont sera exonéré Arte la chaine franco-allemande, véritable instrument de propagande.

    Et puis certains journalistes auraient animé « deux sites jugés conspirationnistes et proches de la mouvance Dieudonné/Alain Soral », une réputation bien « sulfureuse ». Pour mémoire le soufre signale l’odeur du diable. Malheureuse Amélie qui signe cet amoncellement de poncifs. Donnons lui une chance de se rattraper avec au choix un reportage sur les médias financés directement ou indirectement par le département d’État américain ou bien une enquête sur la French American Foundation et son programme Young Leaders dont Emmanuel Macron et Édouard Philippe font partie. Pas sur les Inrocks bien entendu. Sur RT ?

    Texte repris du site OJIM

    https://fr.novopress.info/

  • L’affaire Parenthood continue. L’enquête avance lentement

    Un des intervenants sur Médias Presse Infos s’est opposé avec une constance déconcertante aux articles concernant la vente de morceaux de fœtus avortés par Parenthood, le planning familial en Amérique. Or un dénommé Daleiden avait effectué 14 vidéos sur lesquelles on voyait des dirigeants importants de cet organisme raconter avec cynisme  comment ils négociaient les tarifs de cet effroyable commerce. Notre contradicteur estimait qu’il s’agissait de montages vidéos. Or les diverses personnes filmées n’ont jamais porté plainte pour ce motif ; mais pour atteinte à la vie privée. Notre opposant s’attachait surtout au fait qu’il n’y avait pas eu de suites judiciaires pour cette « supposée » vente. Inutile de lui objecter que l’enquête était très longue car il fallait remonter les filières nombreuses  et complexes de cette affaire. Celle-ci tomba d’ailleurs dans l’oubli. Mais pas pour l’État fédéral.

    Selon Wikipedia, Breitbart « est commentateur pour Le Washington Times, et rédacteur pour le Drudge Report. Ami proche d’Arianna Huffington, il contribue à la création de la première version du Huffington Post ». Il est considéré comme « conservateur » bien qu’ayant écrit dans ces journaux de gauche. Il a créé d’ailleurs un site portant son nom. Il explique que le Comité Judiciaire du Sénat américain a appris que le FBI a reçu les références concernant les investigations criminelles afférentes à Parenthood ; ceci concernant les groupes impliqués dans cette affaire judiciaire du trafic de morceaux fœtaux. Voir  http://www.breitbart.com/big-government/2017/09/28/fbi-official-confirms-receipt-criminal-referrals-planned-parenthood/.

    Tant le Sénat que le Congrès ont ouvert des investigations sur l’industrie de l’avortement. Ces deux chambres avaient demandé au FBI d’enquêter et éventuellement d’établir les accusations criminelles nécessaires contre Planned Parenthood.

    Dans une lettre du 29  juin dernier envoyée au sénateur Chuck Grassley, président de la commission sénatoriale chargée de l’affaire, le bureau des investigations du Département de la Justice  confirme qu’il a suivi les recommandations du Sénat. Le bureau de la Justice a bien reçu la requête de cette assemblée. Il s’excuse de son retard. Grassley avait en effet envoyé le dossier en décembre dernier. Gregory Brower, le directeur assistant de ce bureau écrit qu’il fera le nécessaire pour entreprendre toute action appropriée. C’est le sens de la lettre ci-jointe.

    Par ailleurs à la même époque, Grassley avait communiqué le dossier au Département de la Justice pour investigation et poursuites éventuelles contre les divers protagonistes concernés par le trafic de morceaux de foetus avortés. Il a rappelé les échecs totaux de cet organisme depuis des décades.

    Quelques semaines plus tôt la maison des Représentants (parlement) avait établi une liste de 9 références criminelles et infractions aux règlements. Il s’agissait de violations au HIPAA (Health Insurance Portability and Accountability Act) l’équivalent de notre Code de la Santé.

    La conclusion est que l’instruction l’affaire suit lentement son cours et le FBI s’en occupe. Mais comme en France, la Justice est très lente.

    Jean-Pierre Dickès

    http://www.medias-presse.info/laffaire-parenthood-continue-lenquete-avance-lentement/80951/

  • La Hongrie ne changera pas sa politique à l’égard des migrants

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    06/10/2017 – HONGRIE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : C’est confirmé : la Hongrie continuera de refuser l’installation de migrants sur son territoire, a annoncé le Premier ministre hongrois Viktor Orban, lançant :

    « Ils font plus pour les droits des migrants que pour leurs propres citoyens »

    Il a également estimé que lier la question de l’immigration et celle du financement de la cohésion européenne s’opposaient aux règles communautaires et étaient immorales :

    « Nous devons prendre note de cette décision parce que nous ne pouvons pas saper les fondations de l’UE – et le respect du droit est une fondation de l’UE – mais dans le même temps l’arrêt de la Cour n’est pas une raison pour changer notre politique qui refuse les migrants. »

  • UN NOUVEAU DÉRAPAGE VERBAL ? NON, UNE NOUVELLE FAUTE LOURDE

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    On peut tracer en pointillé une ligne droite entre les prétendues maladresses…

    Le dernier dérapage verbal de M. Macron n’est pas anecdotique. Ce n’est pas un accident. Ce n’est, d’ailleurs, pas un dérapage, puisque lorsqu’on peut tracer en pointillé une ligne droite entre les prétendues maladresses d’une personne, c’est qu’elles révèlent une attitude profonde, cohérente, qui se dissimule de moins en moins à mesure que l’ivresse du pouvoir la libère. Il faut rappeler les faits qui ne concernent pas seulement les ouvriers en difficulté mais aussi les pieds-noirs ou les militaires, bref, tous ceux qui ne correspondent pas au modèle de vie qui compte seul aux yeux de l’homme qui devrait être le Président de tous les Français : celui qui « réussit », en gagnant beaucoup d’argent.

    M. Macron, en tant que ministre, puis comme candidat, et enfin devenu Président, a fait un tour de France du mépris. Ministre depuis trois semaines, il évoque les ouvrières « illettrées » de Gad en Bretagne. Pour lui, il est clair que les Français appartiennent à deux catégories : la première, il en parle l’œil brillant et le ton allègre, ce sont les jeunes « qui ont envie de devenir milliardaires », qu’il évoque en mars 2015, et la seconde, les pauvres qui doivent pouvoir voyager plus facilement, en bus (15/10/2014). Il y a la France des TGV et celle du low cost routier. Devenu Président, il précisera d’ailleurs sa pensée en opposant, parmi ceux qu’on croise dans les gares, « ceux qui réussissent et ceux qui ne sont rien » (29/6/2017). C’était à la station F, un campus de start-up lancé par son ami Xavier Niel, copropriétaire du Monde, qui a effectivement réussi, en commençant par le Minitel rose, les peep-shows et les sex-shops. C’est connu : depuis l’empereur Vespasien, l’argent n’a pas d’odeur, et après quelques démêlés judiciaires, M. Niel est maintenant le propriétaire d’Iliad, c’est-à-dire de Free, et l’heureux époux de la fille de Bernard Arnault, directrice générale adjointe de Louis Vuitton au sein du groupe LVMH. C’est ce qui s’appelle une réussite comme les aime notre Président : économiquement très rentable et moralement progressiste… Évidemment, ce n’est pas le monde auquel il était confronté à Lunel, le 28/8/2016, lorsqu’il s’adressait à des syndicalistes en leur disant que « la meilleure façon de se payer un costard, c’est de travailler ».

    Difficile d’être plus étranger à la situation de ceux qui lui font face : un jeune syndicaliste qui travaille sans costume ni cravate depuis l’âge de 16 ans, et une jeune chômeuse qui lui explique, les larmes aux yeux, qu’il lui manque 150 euros pour payer son loyer. Manifestement, ce n’est pas son problème. Il a beau jouer parfois la compassion, il ne faut pas le pousser beaucoup pour qu’il se lâche, en étant méprisant. Les « fainéants » visés récemment à Athènes, le 9 septembre dernier, qui sont-ils ? Ceux qui « foutent le bordel » en osant manifester contre lui et le rencontrer au lieu de chercher du travail ailleurs, comme il le dit à Égletons, le 4 octobre ? Cette phrase lapidaire, vulgaire et princière à la fois, est une faute. L’autorité de Jupiter demande du charisme. Le roi doit aussi aimer « son » peuple, le faire sentir, et savoir l’écouter. S’il avait été élu local, il aurait fait cet apprentissage. Le « cynique » dénoncé également à Athènes, n’est-ce pas avant tout lui-même ? Président tout neuf, le 29/6/2017, fort de sa majorité introuvable, il ne se sent plus. Certes, il n’est pas hostile à l’immigration qui pèse sur les salaires, mais il dira que c’est par humanisme. Non, en fait, les migrants n’ont droit qu’à son mépris et à son cynisme : « Le kwassa-kwassa [la barque comorienne] pêche peu , il ramène du Comorien. » 

    Son attitude arrogante à l’égard du monde militaire est injustifiable. Dénué de la moindre compétence et de la plus petite expérience dans ce domaine où il détient le pouvoir suprême, il croit utile d’humilier un général cinq étoiles, chef d’état-major des armées, la veille du 14 Juillet, en affirmant qu’il n’avait nul besoin de commentaire parce qu’il était le chef.

    Or, avant même d’entrer à l’Élysée, M. Macron avait commis sa plus grande faute, lorsqu’il s’était abaissé à parler des « crimes contre l’humanité » de la France en Algérie, prenant à son compte le discours de l’étranger, ignorant l’humiliation et les souffrances des pieds-noirs, des harkis et de leurs descendants, obligés de vivre hors d’un pays qu’ils avaient grandement contribué à construire, avec le souvenir des assassinats perpétrés à leur encontre, par exemple à Oran, en 1962.

    Monsieur Macron n’est pas le Président de tous les Français. Il est celui du microcosme, de l’oligarchie : celle du monde des affaires, celle des médias, celle des politiciens arrivistes.

    http://www.bvoltaire.fr/nouveau-derapage-verbal-non-nouvelle-faute-lourde/

  • Non à la fin de l’universalité des allocations familiales !

    Olivier Véran, député LREM de l’Isère, rapporteur général de la commission des affaires sociales de l’Assemblée, veut supprimer les allocations familiales pour les plus hauts revenus (au-dessus de 6.000 euros par mois) car cela représenterait une économie supplémentaire de 440 millions d’euros.

    La réduction des allocations familiales par François Hollande de 50 % et 75 % pour les ménages gagnant entre 6.000 et 8.000 euros par mois a déjà touché 455.000 familles, soit 9,5 % des familles françaises, et déjà permis de réaliser une économie de 400 millions d’euros, de 800 millions d’euros si l’on ajoute le plafonnement du quotient familial ! Une fois encore, ce sont les classes moyennes supérieures qui vont être touchées. Tondre la laine sur le dos des pères de famille nombreuse, c’est plus facile que de s’attaquer à l’immigration extra-européenne (coût : 70 milliards d’euros par an), réduire les dépenses publiques françaises éhontées de fonctionnement les plus élevées d’Europe, avec deux millions de fonctionnaires en trop par rapport à l’Allemagne, supprimer les régimes spéciaux des retraites ou supprimer d’un trait de plume l’inutile Conseil économique, social et environnemental dont le seul objet est de recaser les petits copains…

    Le coût actuel de la politique familiale française est d’environ 3 % du PIB. Des progrès restent à faire afin de permettre aux femmes d’avoir les enfants qu’elles désirent. Les études qui se sont penchées sur la question l’ont montré : les femmes arrivant à la cinquantaine constatent, en moyenne, qu’elles ont eu au final un enfant de moins que le nombre qu’elles auraient aimé avoir. Cet enfant qui manque, c’est la solution à nos problèmes démographiques et de retraites. L’Europe ne fait pas de 3e enfant. Un 3e enfant coûte cher en France, bien plus que les 150 euros supplémentaires par mois que donnent les allocations familiales. En un demi-siècle, les prestations familiales ont diminué de près de 70 % pour les familles avec trois enfants. Il faudrait que ces prestations atteignent, au contraire, 5 % du PIB, ce qui est à comparer aux plus de 20 % du PIB consacrés annuellement aux retraites et à la santé.

    Élever des enfants diminue le niveau de vie d’un ménage. L’arrivée du premier enfant dans un couple se traduit par une baisse du niveau de vie (après impôts et transferts) de l’ordre de 13 %, et 6 % pour chacun des enfants suivants. Ainsi s’explique la diminution constante du nombre des familles nombreuses d’origine européenne, qui sont pourtant nécessaires au simple remplacement des générations. Une famille sur cinq, seulement, en France est composée aujourd’hui d’au moins trois enfants.

    Malthus triomphe en Europe et en France avec Macron, qui n’a pas d’enfants, tout comme madame Merkel ! Le taux de fécondité global français est en train de s’écrouler, en passant de 2,1 à 1,89 et, pour les Françaises de souche européenne, de 1,71 à 1,5 ! Le taux de fécondité de renouvellement des populations à l’identique est de 2,1. 

    On assiste au démantèlement continu de la politique familiale mise en place par le général de Gaulle en 1945. Le Général avait multiplié les mesures destinées à relever la natalité française : indexation des allocations familiales sur le salaire de base et non sur les prix ; refus de soumettre les allocations familiales à l’imposition (car elles ne constituent pas un revenu, mais la juste compensation d’investissements privés avec un intérêt collectif fondamental) ; refus de les soumettre à condition de ressources ; et, enfin, instauration du quotient familial dans le calcul de l’impôt sur le revenu. Autant de mesures concrètes permettant de bien distinguer la politique familiale de la politique sociale à visée égalitariste.

    Les allocations familiales n’ont pas pour but de combler le fossé entre riches et moins riches, mais d’éviter que les ménages avec enfants voient leur niveau de vie se dégrader par rapport à ceux qui n’en ont pas. Or, depuis les années 70, ce principe de base du printemps démographique français d’après-guerre n’a cessé d’être bafoué.

    Les gouvernements successifs dévoient, en fait, la politique familiale de la France en l’éloignant sans cesse du soutien initial à la fécondité, pour la spécialiser dans l’assistanat, la lutte contre la pauvreté, l’exclusion ou le chômage.

    Les grands bénéficiaires de cette politique sont les populations d’origine immigrée, avec des taux de fécondité doubles de celui des populations d’origine européenne. Le paradoxe, c’est que les allocations familiales censées enrayer, à l’origine, en 1945, l’insuffisance de la natalité française de souche européenne contribuent, aujourd’hui, à accentuer les déséquilibres démographiques en attirant les populations immigrées extra-européennes et en développant leur taux de natalité.  

  • Le député Obono place La Manif Pour Tous et le terrorisme musulman sur le même plan

    Hallucinant! @Deputee_Obono met au même niveau le terrorisme islamique et @LaManifPourTous.#Ignoblepic.twitter.com/hCfQ4ZPv5K

    — ManifPourTous Paris (@LMPT75) 7 octobre 2017

    Pour Matthieu Baumier, dans L'Incorrect, Madame Obono pratique le révisionnisme du réel :

    "[...] C’est ici qu’un Vidal-Naquet s’élèverait et publierait une tribune dans Le Monde ou Libération, en démontrant que Madame Obono pratique le révisionnisme du réel — qu’il qualifierait sans doute d’obonisation. Vidal-Naquet avait le don très vieille France de la formule. Tribune, pétition et débat qui pourraient entraîner le vote d’une loi contre la négation du réel quotidien. Car il est un fait réel et quotidien que de plus en plus de femmes sont victimes d’un sexisme faisant partie intégrante de l’Islam tel qu’il se pratique sur le territoire de la République française, à commencer par nombre de femmes musulmanes. Il semble en effet que ces dernières ne choisissent pas toutes la manière dont elles peuvent se vêtir avant de quitter le domicile conjugal. Madame Obono pratique le déni de réalité au sujet du sexisme qui se développe à la RATP comme dans la rue. Refuser de conduire un bus après une femme au nom de sa pratique religieuse est évidemment un signe de radicalisation religieuse. Il est tout aussi évident que Madame Obono organiserait une manifestation nationale, ponctuée d’un discours universaliste de Mélenchon, si un chauffeur de métro chrétien refusait de prendre les manettes d’une rame après une femme.

    Une députée coutumière du fait

    Ce déni de réalité, la députée, réputée proche du Parti des Indigènes de la République, ne le pratique pas seulement à propos des bus. Ainsi, s’exprimant le 27 septembre 2017 à l’Assemblée Nationale, Madame Obono a protesté contre l’autorisation donnée aux préfets de fermer des lieux de culte, autrement dit des mosquées, qui sont à l’origine d’actes de terrorisme ou en font la propagande. La fermeture peut aussi être prononcée au motif des idées et théories propagées. Ce qui gêne Madame Obono, c’est que l’autorisation vise les mosquées radicalisées et l’Islam. Face à cette « injustice », elle lit un extrait de l’Ancien Testament devant ses collègues de l’Assemblée. Son but est de « montrer » que la violence se trouve aussi dans les textes du judéo-christianisme. Déni de réalité, encore. Actuellement, en France, de quelle autre religion que de l’Islam des terroristes et des assassins se réclament-ils pour tuer des innocents, au Bataclan par exemple ? Un Bataclan dont les familles des victimes doivent être horrifiées d’entendre les propos d’une telle députée de la République. Notons que cette dernière s’exprimait dimanche sur BFM Politique quelques minutes avant que deux personnes soient assassinées Gare Saint Charles à Marseille — par un individu ayant crié « Allah Akbar », une expression absente de l’Ancien Testament. Révisionnisme devant le sexisme lié à l’Islam, révisionnisme devant les meurtres perpétrés au nom de cette religion. Pierre Vidal-Naquet, Dieu sait que nous avions des désaccords mais… reviens ! Il-e-s (c’est bien comme cela en inclusif, non ?) sont devenus fou-oll-es ! À entendre de telles négations de la réalité quotidienne, il ne serait pas si incorrect de réclamer une loi contre le révisionnisme du réel quotidien. Une loi que l’on pourrait appeler « Loi sur l’obonisation de la société française »."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • ALSTOM : FACE AUX ERREURS DE MACRON, MONTEBOURG A TOUT JUSTE !

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    Montebourg a 100 % raison ! Il faut rediscuter pour qu’Alstom soit européen (50 % français et 50 % allemand) et non pas sous contrôle allemand. Macron a commis une faute énorme en vendant l’activité énergétique d’Alstom à General Electric. À l’époque, Siemens était prêt à laisser à un Alstom français le contrôle non seulement de l’activité matériel ferroviaire, mais également de l’activité des signaux qui semble plus développée chez « Siemens Mobility » que chez Alstom en France.

    Ayant fait une ânerie grosse comme une maison, Macron, ne se bat même plus pour ce qui est encore sauvable, à savoir garder la parité de contrôle 50/50 dans la fusion Siemens/Alstom, comme c’est le cas dans l’Airbus de l’air. Ce n’est plus une défaite, c’est une déroute, c’est la Bérézina, et de ce fait, l’État devrait, selon le plan Macron, se retirer à terme complètement du capital d’Alstom, tout comme le groupe Bouygues, après que ce dernier a empoché ses dividendes exceptionnels.

    On se demande pourquoi Macron a nationalisé, s’est tant battu dans l’affaire des chantiers navals STX pour le 1 % de contrôle majoritaire du capital… Subitement cela n’aurait plus aucune espèce d’importance dans l’affaire Alstom ? La contradiction est totale.

    La supercherie de communication nous assurant qu’aucun site ne fermera est affligeante ! Le brave Le Maire s’époumone, criant « l’emploi ! », l’emploi qu’il jure de garder pendant 4 ans ! Oui… et après ? Eh bien, après cela se terminera comme Pechiney, Sacilor, Alcatel, Technip Lafarge ; après les 4 ans, c’est celui qui contrôle, à savoir Siemens qui ne laissera à l’entreprise croupionne Alstom que ses beaux yeux pour pleurer, afin de continuer à vendre ses signaux et son matériel ferroviaire en France à la SNCF !

    Selon Le Maire, qui n’a rien d’un économiste ou d’un homme d’affaires, cette fusion est une très bonne nouvelle. IL prétend même que cela ne sert rien d’avoir un strapontin au capital d’Alstom ! En ce sens, il a raison, il faut effectivement que ce soit 50 % du capital pour garder la parité de contrôle.
    Il s’agit donc d’une trahison pure et simple de Macron en rase campagne avec une communication hypocrite d’enfant de chœur pour le grand public juste bonne à écœurer les initiés !

    Alors, que faut-il faire ? Il n’y a qu’une solution, engager des fonds publics pour imposer la parité de contrôle 50/50 à Siemens en étant conscient qu’à cause de la faute irréversible que constitue la vente d’Alstom énergie à GE, il n’est plus possible d’avoir en France le siège social pour l’activité signaux.

    L’État, comme le conseille Montebourg, devrait racheter les actions qu’il loue actuellement à Bouygues. À Grenoble, Montebourg a évoqué un mélange d’action politique, de lutte syndicale et de menaces de poursuite pénales. Cette affaire n’est pas sans nous rappeler la légèreté avec laquelle Madame Lagarde avait accepté la décision d’un arbitrage honteux dans l’affaire Tapie.

    Et le comble de la tartufferie fut avenue Iéna, où l’on vit Henri Poupart-Lafarge, pour garder son poste et ses « stock options » – parlant anglais – avoir le culot, en compagnie de Joe Kaeser, le Président allemand de Siemens, de tenir ces propos :  « les Allemands ont l’impression d’être rachetés par les Français ». Et Joe Kaeser est venu en rajouter une pincée en nous disant qu’« Alstom sera européen et non pas allemand »

    Montebourg a raison : « Il n’est pas trop tard pour nationaliser Alstom » et tout renégocier.

    http://www.bvoltaire.fr/alstom-face-aux-erreurs-de-macron-montebourg-a/

  • Subventions : le maire de Paris arrose ses amis

    Lu dans L'Action française 2000 :

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    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La France Vassale, Leo Imbert Elite et vassalisation