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magouille et compagnie - Page 1593

  • Premier séquestre d’un navire ONG après le refus de signer un code de conduite

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    Un Italien sur deux en est désormais convaincu : les organisations non gouvernementales opérant en Méditerranée seraient en collusion avec les passeurs. Et le refus de ces dernières de ratifier le code de conduite présenté par le ministère de l’Intérieur lundi dernier ne fait qu’accroître les doutes sur les véritables motivations de leur action.

    Sur les dix associations conviées, la moitié n’ont pas daigné se présenter à la réunion, deux seulement ont accepté les conditions (MOAS [Migrant Offshore Aid Station] et Save the Children) et une troisième (Proactiva Open Arms) a fait savoir par courriel qu’elle reviendrait sur son refus.

    Le texte est composé de treize points somme toute assez basiques, s’agissant de normes qui devraient déjà être respectées. Nous reprenons ci-dessous la totalité des conditions contenues dans le document. Leur lecture en dit long sur la totale absence de règles et l’impunité dont jouissent ces ONG :

    Interdiction d’entrée dans les eaux territoriales libyennes sauf « en cas de danger grave et imminent » ; de gêner l’activité des gardes-côtes libyens ; ne pas se rendre invisibles aux radars ; ni établir de communication avec les embarcations en partance ; certifier de l’aptitude technique à accomplir les activités de secours ; informer l’État du pavillon d’un sauvetage fait hors de la zone de recherche ; mettre à jour le Centre de coordination maritime sur l’évolution des secours ; ne pas transférer les rescapés sur d’autres navires sauf « en cas de sollicitation par le Centre de coordination pour le secours maritime compétent »(MRCC) ; informer l’État du pavillon de l’activité entreprise par le navire ; consentir à recevoir à bord, sur demande des autorités compétentes et pour le laps de « temps strictement nécessaire » des fonctionnaires de police judiciaire engagés dans des enquêtes sur le trafic d’êtres humains ; déclarer les sources de financement aux autorités du pays d’enregistrement de l’ONG ; fournir une coopération loyale avec l’autorité de sécurité intérieure du lieu de débarquement prévu ; récupérer, « une fois secourus les migrants et dans la limite du possible », les embarcations et les moteurs utilisés par les trafiquants.

    La réaction du ministère de l’Intérieur italien ne s’est pas fait attendre : « Avoir refusé la signature du code de conduite met ces organisations non gouvernementales hors du système de sauvetage en mer » et ce code de conduite a tout de suite été mis en application : le bateau de l’ONG allemande Jugend Rettet a été escorté par les gardes-côtes italiens et bloqué ce matin dans le port de Lampedusa. Une enquête est ouverte pour le délit présumé de complicité à l’immigration clandestine.

    Il apparaît ainsi toujours plus clairement que leur dessein n’est pas humanitaire mais idéologique : si elles sont, en majorité, composées de bobos sincèrement convaincus que les frontières, c’est ringard, et que la civilisation européenne – seule coupable de racisme – doit disparaître en se fondant avec le bon sauvage ou en lui cédant sa place, nombre de ces associations sont menées par de puissantes minorités subversives peu visibles, qui trouvent un intérêt certain dans la déstabilisation du Vieux Continent.

    http://www.bvoltaire.fr/premier-sequestre-dun-navire-ong-apres-refus-de-signer-code-de-conduite/

  • Anastasia Palmieri : « Une violence hallucinante est en train d’émerger »

    76e2c123efb0fd429a493a155e3589a4.jpgDans la nuit de samedi à dimanche, une bombe artisanale a explosé devant les locaux de l’Action française Provence. Anastasia Palmieri, porte-parole du mouvement, dénonce le silence des médias. Elle rappelle les intimidations et les agressions récurrentes, perpétrées notamment par des groupes d’extrême gauche et des hooligans, et déplore que, si les forces de l’ordre interviennent, rien n’avance, en revanche, sur le plan judiciaire face à la recrudescence de la violence dans la société.

     Porte-parole de l'AF Provence
  • Agnès Buzyn rassure : les coupes budgétaires ne se feront pas au détriment des migrants. Pour les Français, c’est une autre histoire…

    Agnès Buzyn, ministre de la Santé, sait comment parler aux Français.

    Mardi, elle visitait un centre d’hébergement pour demandeurs d’asile à Ivry-sur-Seine. Des élus communistes l’attendaient pour exiger plus de moyens pour accueillir les immigrés.

    En présence des médias, Christian Favier, président du conseil départemental, déclarait : “On ne peut pas demander aux collectivités locales de créer des places d’hébergements locales tout en baissant de 13 milliards d’euros leurs financements. Il faut s’assurer que les financements promis par l’État dans ce centre soient durables”.

    Mais Agnès Buzyn a immédiatement assuré qu’il n’y aurait aucune coupe budgétaire dans son ministère qui se ferait au détriment des migrants.

    Au détriment des Français, par contre, c’est plus que probable…

    http://www.medias-presse.info/agnes-buzyn-rassure-les-coupes-budgetaires-ne-se-feront-pas-au-detriment-des-migrants-pour-les-francais-cest-une-autre-histoire/78074/

  • L. ALIOT 2/08 s'insurge ! "on rabote les APL aux nôtres et on prend plus de migrants"

  • Le centre de déradicalisation de Pontourny était bien une escroquerie !

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    Une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.

    En février dernier, la mission d’information « Désendoctrinement, désembrigadement et réinsertion des djihadistes en Europe » avait déjà dressé un premier bilan très mitigé de la politique de déradicalisation menée en France. Les deux sénatrices, Esther Benbassa et Catherine Troendlé, dénonçaient notamment un véritable « business » tout en pointant du doigt la « gabegie financière » de l’État. Catherine Troendlé allait même très loin en déclarant : « Nous savons que nos programmes sont inutiles pour les djihadistes radicaux de conviction. »

    Dans le rapport final rendu public le 12 juillet dernier, les deux sénatrices ont notamment proposé la fermeture du centre de Pontourny, dont le but était d’accueillir des musulmans en voie de radicalisation sur la base du volontariat. Selon elles, il semble nécessaire de « mettre fin à l’expérimentation et renoncer à sa généralisation ». Rappelons tout de même que les candidatures volontaires se comptaient en réalité sur les doigts des deux mains. Pire encore : c’est Europe 1 qui avait révélé que le dernier pensionnaire avait été exclu après sa condamnation pour violences et apologie du terrorisme islamiste.

    « Son passage [dans le centre] a eu l’effet inverse de celui recherché. L’encadrement avait noté qu’il vivait le programme comme du prosélytisme anti-islam et qu’il semblait se radicaliser davantage. Son rejet de la France tendait à s’amplifier. »

    L’issue semblait ainsi de plus en plus évidente. Et, le 28 juillet dernier, le ministère de l’Intérieur s’est donc enfin décidé à annoncer la fermeture du centre de Pontourny. La Place Beauvau s’est contentée du strict minimum dans sa communication : « Malgré la compétence, la détermination et l’investissement des personnels du centre […] l’expérience ne s’est pas révélée concluante », tout en ajoutant : « Aucun de ces jeunes n’a suivi le programme jusqu’à son terme. » Toutefois, cet abandon est accompagné d’une réflexion sur la mise en place de « structures de petite taille », une promesse de campagne d’Emmanuel Macron. Toujours le même angélisme que l’on retrouve aussi, dans une certaine mesure, chez la sénatrice Esther Benbassa : « Je ne crois pas que l’on puisse déradicaliser les gens mais on peut les réinsérer, les resocialiser. » Comme si des mesures de « réinsertion » (sic) et quelques centres de dimension plus réduite pouvaient éradiquer la gangrène islamiste. Comme s’il était possible de transformer des barbus en djellabas en adorateurs de la République française.

    La fermeture du centre de Pontourny constitue déjà, à elle seule, une petite victoire. En effet, les Identitaires ont mené campagne pour dénoncer l’escroquerie de ces centres de déradicalisation. Le 11 février dernier, ils avaient battu le pavé aux côtés de responsables du Front national et des habitants de Pontourny, excédés par la présence d’adeptes du djihad dans leur village. Mais le combat doit continuer. En effet, il est illusoire de penser que ce type d’établissement réussira à promouvoir « des valeurs de citoyenneté, de respect d’autrui, de la règle de droit et des valeurs de la République et de la démocratie ». C’était, en tout cas, le pari fait par les créateurs du centre de Pontourny. Le projet de mise en place d’éventuels établissements de petite taille aboutira au même échec.

    Financé par nos impôts, ce type de centre de déradicalisation ou de réinsertion – bientôt le nouveau terme consacré ? – reste une escroquerie intellectuelle et financière qui n’arrêtera en rien le terrorisme islamiste en France.


    Directeur national - Les Identitaires. Fondateur de l’agence Novopress.info
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  • N. DUPONT-AIGNAN 31/07 "cette loi de moralisation est une loi de pacotille !"

  • Les radars : utiles ou instruments de racket ?

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    Les automobilistes haïssent les radars, ennemis sournois qui leur coûtent cher et fragilisent les permis. 26 % des accidents et 800 morts sont dus à une vitesse excessive. S’il est naturel de lutter contre ce fléau, quel conducteur n’a jamais été excédé quand une autoroute perd subitement son statut aux abords d’une ville et voit, sans raison, sa vitesse limitée à 110 km/h (ou 90) ? Bien entendu, des flashs sont installés à cet endroit, donnant l’impression d’avoir affaire à des traquenards destinés non à sauver des vies, mais à remplir les caisses de l’État. Cette politique brouille le message de prévention et de sécurité que les radars devraient délivrer.

    En 2016, le plus efficace des radars était ambulant. Il a été déplacé cinq fois aux abords d’un chantier sur l’A9 et a totalisé plus de 40.000 flashs. Le meilleur des fixes (toujours sur l’A9) en a récolté 160.000. Au total, ils sont six à avoir dépassé les 10.000 éclairs en 2016. A contrario, deux autres placés sur des routes nationales n’ont enregistré que quatre infractions ! (Preuve, sans doute, de leur efficacité pour la dissuasion ?) Les amendes pour vitesse excessive ont rapporté 920 millions à l’État (+26 % sur un an !), à comparer aux 360 millions récupérés par le gouvernement avec l’impopulaire réduction des APL. Cette somme ne devrait pas être versée au budget, mais servir à l’amélioration du réseau routier. Pourtant, selon la Cour des comptes, 50 % serait détournés de sa destination. (Cependant, l’État dépenserait 3,4 milliards pour la sécurité routière.) Pour le budget 2018, le pouvoir promet de détailler l’affectation de cette manne, ce qui constituerait un progrès notable. 

    Une autre politique est-elle possible ? En Allemagne, le nombre de morts sur les routes est le même qu’en France malgré vingt millions d’habitants en plus. Pourtant, la vitesse est limitée à 100 km/h sur les routes et illimitée sur les autoroutes. Mais, surtout, pour des excès inférieurs à 20 km/h, on ne retire aucun point ! On se contente d’amendes qui ne dépassent pas 35 €. Le « civisme » des « Teutons », comparé à l’indiscipline des habitants de l’Hexagone, n’explique pas tout.

    Les autoroutes n’induisant que 4 % de morts sur la route, la limitation de vitesse sur les quatre-voies n’est probablement pas utile pour la sécurité (sauf aux abords des travaux, bien sûr). D’ailleurs, elle n’a été introduite au départ que pour faire des économies d’énergie ! Cette raison est-elle encore valable en 2017 ? À chacun sa réponse ! Par contre, sur les routes à deux voies ou en ville, il faut impérativement conserver des limitations.

    En outre, une des causes principales des accidents est désormais l’utilisation du cannabis et des stupéfiants (plus de 23 % !). Il conviendrait de lutter contre elle avec plus de férocité qu’on ne le fait actuellement. Et soyons cyniques : d’un point de vue comptable, des sanctions pécuniaires dans ce domaine rapporteront autant sinon plus que la vitesse.

    http://www.bvoltaire.fr/radars-utiles-instruments-de-racket/

  • Banques en crise : l’idée de l’UE, bloquer les comptes bancaires

    banque-argent-300x215.jpgDepuis qu’ils ont endetté considérablement leur pays respectif, les banques en crise sont un éternel problème de nos gouvernements démocratico-modernes soumis aux diktats financiers des banksters apatrides.

    Sauver les banques au bord de la faillite, et non les pauvres épargnants et simples clients, est une règle d’or de l’Union européenne. La nouvelle, éventée par l’agence Reuters, n’a pas fait de vagues en ces temps de chaleur estivale pourtant elle mérite l’attention.

    L’Europe des technocrates bruxellois, à travers la présidence estonienne, est en train d’étudier une norme, discutée le 13 juillet dernier, qui permettrait de bloquer, dans des circonstances exceptionnelles, les prélèvement sur les comptes courants et les dépôts afin d’éviter les paniques bancaires dans les institutions financières en difficulté. Dans la pratique les superviseurs européens auraient le pouvoir de congeler, quand ils l’estimeront nécessaire, les comptes pour un maximum de 20 jours ouvrés. En clair pendant un mois il sera impossible aux clients de retirer de l’argent dans des banques en crise !

    Actuellement la limite d’impossibilité de retrait est de deux jours et une autre proposition de la commission européenne présentée l’automne dernier prévoyait l’impossibilité de toucher aux comptes en dessous de 100 000 €.

    Divers pays et les banques elles-mêmes, car elles pensent que cela décourageraitl’épargne, s’opposent à ce plan. Mais l’Allemagne y est favorable : « Le souhait est de prévenir les paniques bancaires. Ainsi quand une banque est dans une situation critique elle n’est pas poussée à la limite » explique une source proche du gouvernement allemand.

    L’idée d’un tel plan d’urgence, qui s’attaque avant tout à l’épargnant, témoigne à lui seul que le système bancaire actuel est au bord de l’effondrement et que l’UE, coursier des banksters, veut être la maîtresse de votre argent.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/banques-en-crise-lidee-de-lue-bloquer-les-comptes-bancaires/77987/

  • Raquel, soldat de réserve du capital?

    Les réseaux sociaux ont beaucoup commenté  le fait que Raquel Garrido, avocate/ militante de Jean-Luc Mélechon et des structures qu’il préside, ait été engagée comme chroniqueuse dans la nouvelle émission de Thierry Ardisson,  Les terriens du dimanche,  qui débutera en septembre. Lors de son passage sur RMC, dans Les Grandes Gueules jeudi dernier, Mme Garrido a été mise sur le gril par  Olivier Truchot et Charles Consigny. Ils lui ont reproché ce qui serait une forme de duplicité ou de double-langage, à savoir le fait qu’elle  accepte d’être payée pour ce rendez-vous programmé sur C8, une chaîne appartenant au très capitaliste Vincent Bolloré. Déjà,  en juin 2013  l’Agence Bretagne Presse s’était arrêtée sur les activités annexes de cette  femme d’origine chilienne qui dirige  (dirigeait?) avec son mari « un label musical indépendant, Misty Productions, dont l’artiste phare est (sa sœur)  Mistysa », une « chanteuse de Soul / R n’ B qui connaît un certain succès au Chili d’où elle est originaire. » Or, « les activités de Mistysa semblent s’accommoder d’une certaine collaboration avec le capitalisme le plus sauvage : le lancement au Chili de son dernier album Macumba aura eu lieu dans l’auditorium de la Fondation Telefonica, c’est-à-dire une émanation de Telefonica, la sixième compagnie mondiale en matière de téléphonie (première compagnie espagnole) vouée régulièrement aux gémonies par tous les syndicats du monde latino-américain pour ses méthodes fort peu sociales. »

    Preuve peut-être qu’elle ne se sent finalement pas aussi à l’aise et sereine qu’elle le dit vis-à-vis de l’électorat mélenchoniste   en acceptant de se vendre à C8,   Raquel Garrido a sur-réagi assez maladroitement sur twitter en écrivant après coup: « Les Insoumis me le répètent depuis la fin de la présidentielle et ils ont raison. Les Grandes Gueules de RMC font un violent insoumis-bashing #AuRevoir. » (sic). La meilleure défense c’est l’attaque: déjà pour  tenter de justifier le malaise engendré par la piètre prestation, la froideur du sentiment national exprimé par l’élue mélenchoniste controversée Daniele Obono qui avait été sévèrement étrillée  sur le plateau des Grandes Gueules  en juin  dernier, Jean-Luc Mélenchon et ses amis avaient crié au racisme… comme c’est original!

    Pourtant, sur le plateau des Grandes Gueules, Raquel  Garrido avait énoncé un certain nombre de vérités. Elle qui  officia également un temps auprès de Christophe Hondelatte sur BFMTV,  a  eu beau jeu de répliquer à ses détracteurs  que les militants politiques cachés sous la défroque du journaliste sont nombreux (ce qui est vrai);  que la quasi totalité des médias français appartiennent à neuf milliardaires (ça l’est aussi).  Bref qu’elle aurait bien tort de ne pas se saisir de la tribune (tarifée) qu’on lui tend pour y faire passer ses idées.  Tout juste peut-on constater avec Bruno Gollnisch que ce n’est pas demain qu’une chaîne osera confier une chronique à un  cadre, adhérent/militant  identifié comme tel  du Front National.  L’anticonformisme d’Ardisson a ses limites, qui sont peut-être également celles de  ses patrons. Car  en terme de transgression vis-à-vis de la doxa libérale,  de regard tranchant, incisif, décapant sur l’actualité, il y avait beaucoup mieux à trouver que cette représentante des  révolutionnaires en peau de lapin de la France Insoumise.

    Nous le savons,  les idées  défendues par les mélenchonistes  ne sont pas toujours d’une grande fraîcheur, pertinence et intelligence mais en désignant le FN comme leur adversaire principal, ils sont assurés de bénéficier d’une certaine bienveillance et surface médiatique.  Mme Garrido elle même,  n’avait pas hésité à qualifier Marine Le Pen  de « délinquante » en 2012, à la  suite d’un  tract distribué dans le cadre de la campagne législative à Hénin-Beaumont,  citant une  déclaration de Jean-Luc Mélenchon en faveur de l’immigration de peuplement. Dans un entretien accordé  à Street press, elle  expliquait qu’elle « rêve de ce qu’elle appelle une lutte à mort entre Parti de gauche et le FN, jusqu’au dernier survivant »;  lutte à mort qui était aussi  l’expression  utilisée en son temps par un grand maître du Grand Orient pour qualifier la nature de l’opposition de sa secte au Mouvement national.

    Épouse  à la ville du Monsieur anti FN  du Parti de Gauche, le tout nouveau député Alexis Corbière, Mme Garrido coche elle aussi toutes les cases du politiquement correct: ancienne vice-présidente de SOS racisme, ex de l‘Unef, ex adhérente du PS ralliée au mélenchonisme, cette dernière est en toute logique beaucoup plus virulente contre l’opposition nationale, populaire et sociale que contre un Grand capital dont, in fine, les socialo-trotskistes ont toujours été les alliés de revers ou les  idiots utiles.  En défendant notamment, comme le Medef, les partis du Système,  les cénacles mondialistes et le monde de la finance hors sol,  la poursuite d’une immigration, armée de réserve du capital,  qui paupérise, tiers-mondise notre pays et dont  les Français les plus modestes  sont  les premières victimes.

    https://gollnisch.com/2017/08/01/raquel-soldat-de-reserve-capital/