magouille et compagnie - Page 1595
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Le Génocide des Blancs en Afrique du Sud
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Immigration : la complicité des ambassades et consulats français en Afrique
Le 3 juillet 2017, Jean-René Lecerf, président du Conseil départemental du Nord, a dévoilé un élément important au sujet de l’immigration massive qui nous submerge.
« Beaucoup de ces jeunes qui arrivent, qui sont guinéens pour un grand nombre d’entre eux, arrivent non pas par bateaux après avoir risqué leur vie, mais par Roissy ou par Orly. »
« Ce qui veut dire qu’il y a des visas qui leur ont été délivrés par des agents qui dépendent du gouvernement français, qui sont des agents des ambassades ou des consulats, (…) qui n’ont vérifié, ni la fiabilité des documents d’identité, ni la fiabilité des domiciles d’accueil qu’ils indiquent. »
« Lorsque je dis cela aux autorités nationales ou préfectorales, ils me répondent : « Ah monsieur le président ! Comme si vous ne saviez pas que la corruption existe à un niveau généralisé sans ce type de responsabilité ! « »
Mais l’absence de volonté des autorités françaises de mettre fin à cette corruption généralisée dans les ambassades et les consulats français en Afrique ne fait que confirmer l’idée que l’immigration de grand remplacement est bien un plan orchestré à haut niveau.
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La République refuserait la culture de mort. Et les 220 000 avortements annuels ?
Emmanuel Macron a prononcé un discours lors de l'hommage au père Hamel. Non seulement il a réussit l'exploit de ne pas prononcer une seule fois le mot "islam" ou "islamisme", mais en outre, il a fait des déclarations assez étonnantes, pour ne pas dire contradictoires. Exemple :
"la République n’est pas le règne du relativisme. Au cœur de nos lois et de nos codes forgés par l’Histoire, il est une part qui ne se négocie pas. Il est une part sur laquelle on ne porte pas la main. Une part, j’ose le mot, sacrée. [...] Le visage de Jacques HAMEL est devenu le visage de ce qui, en nous, refuse cette culture de mort"
"Culture de mort", "non négociable", la reprise de ces termes pourrait nous faire rêver... A l'heure où l'on parle de la légalisation de la PMA pour les homosexuelles, alors même que la loi française fait et défait la morale au gré des assemblées et appelle bien ce qui est mal et mal ce qui est bien, tandis que les Français découvrent au détour d'une affaire que l'on peut, dans les hôpitaux français, avorter un bébé jusqu'à sa naissance, on se demande encore ce qui ne se négocie pas. C'est l'avortement qui est non négociable en France...
"La République, oui, repose sur l’amour et le respect de l’humanité."
Les massacres de la Révolution, le génocide vendéen, les persécutions religieuses sous la IIIe République, la culture de mort déployée sous la Ve en témoignent... Tout dépend en fait de ce que l'on entend par "humanité". L'enfant porteur de la trisomie 21 appartient-il à cette humanité républicaine ? Rien n'est moins sûr...
Enfin, à défaut de nommer l'islam, Emmanuel Macron pratique l'amalgame facile entre les religions, mises dans le même panier, comme si elles connaissaient chacune les mêmes excès :
"Mais chaque religion, dont les responsables sont ici présents, et je les en remercie, a à mener sa part de combat pour que jamais la haine, le repli, la réduction de ce que nous sommes ne puissent triompher. C’est un combat long, et il se mène chaque jour."
Enfin, cette phrase pourrait se comprendre comme une monstrueuse déclaration de guerre au catholicisme :
"elle est là aussi la force de notre nation, dans cette capacité à entendre et faire siennes les paroles de fraternité et de charité que l’Eglise de France prononça voici un an ; dans cette capacité à réunir autour du corps supplicié d’un prêtre l’imam, le pasteur et le rabbin."
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La coqueluche Macron, ça ne marche plus ! [rediffusion]
Par Michel Geoffroy, essayiste ♦ Hier soir je voulais regarder la télévision. Horreur : sur trois chaînes généralistes d’information vers 21 heures, il y avait devinez qui ?… Emmanuel Macron ! Sur l’une il parlait de la banlieue avec des jeunes ; sur les autres il commentait le programme de François Fillon, gorge déployée. C’est simple : on trouve du Macron partout : sur nos télévisions, sur la première page des hebdomadaires, dans les journaux, à la radio, sur nos smartphones. Car il est la coqueluche de nos médias mainstream, dont tout le monde connaît l’objectivité et la sagesse. On en vient à souhaiter une journée sans Macron, comme il y a des jours sans auto : afin de limiter la pollution. Le mot coqueluche correspond bien à la réalité, d’ailleurs : une maladie infantile qui se transmet très facilement, par voie aérienne, aux personnes fragiles. Par voie hertzienne donc, dans le cas du virus Macron.
La campagne du vide
La campagne de la coqueluche Macron compense, il est vrai, par son matraquage terroriste le vide abyssal de son programme. L’intéressé n’a-t-il pas affirmé dans le Journal du dimanche que « c’est une erreur de penser que le programme est le cœur » d’une campagne électorale, alors que, selon lui, la politique, c’est « mystique », c’est un « style », une « magie (1) ».
Avec Macron la politique, comme à Disneyland, est en effet magique. Abracadabra !
Macron n’est ni de gauche ni de droite. Mais Abracadabra : toute la gauche, de Robert Hue à Pierre Bergé, se rallie à lui. L’immigration ? Abracadabra : pas de problème puisque « c’est aussi une opportunité économique car ce sont des femmes et des hommes qui ont aussi des qualifications remarquables (2) ». Le chômage ? Abracadabra : « le point-clé c’est de sécuriser la rupture et l’après-rupture (3) », donc, en clair, de faciliter… les licenciements. La durée du travail ? Abracadabra : « Il faut s’adapter aux individus (4) ». Les retraites ? Abracadabra : « Il faut pouvoir moduler selon les individus et les situations (5) ». La sécurité ? Abracadabra : « Je poursuivrai les bonnes décisions de Jean-Jacques Urvoas (6) ». L’Europe ? Abracadabra : « Nous avons besoin de l’Europe parce que l’Europe nous rend plus grands, parce que l’Europe nous fait plus forts (7) ».
L’impunité pour la coqueluche
La coqueluche répand à longueur d’ondes et en toute impunité son enfilage de perles, calculé dans le moindre détail pour ne déplaire à personne, car elle ne craint pas la contradiction. Au contraire, elle l’évite soigneusement.
Pour cette raison la coqueluche n’a pas voulu participer à la primaire de la gauche. De même, la coqueluche ne craint ni les médias ni le parquet financier : personne ne lui posera les questions qui fâchent. Ni sur ses financements, ni sur son patrimoine, ni sur ses impôts, ni sur le prix de ses costumes. Personne ne lui demandera non plus comment elle a pu construire un « mouvement » en si peu de temps. Mais, comme disaient nos ancêtres, « à vaincre sans péril on triomphe sans gloire ».
La coqueluche se répand d’autant plus facilement dans notre quotidien qu’elle se déploie dans un monde aérien et donc hors sol : celui des réunions de banquiers, des médias de propagande, des meetings préfabriqués, du politiquement correct et des sondages bidonnés.
L’hologramme de la superclasse mondiale
La superclasse mondiale, inquiète de la progression de la révolte populaire en Occident et déçue du fiasco « hollandais », misait sur deux candidats pour l’élection présidentielle française de 2017, pour garder la main : à droite Juppé et à gauche Macron.
Juppé tombe à l’eau. Qu’est-ce qui reste ? Macron !
La coqueluche Macron n’est donc qu’un clone, qu’un hologramme politique : l’hologramme de la superclasse mondiale et le dernier espoir des bobos.
Un clone qui promet en effet de ne rien changer à la politique mise en œuvre depuis bientôt 30 ans en France et en Occident, sinon une nouvelle fois de « transformer le pays (8) ». On sait ce que signifie cet appel maladif au changement dans la bouche d’un oligarque…
D’ailleurs qui se ressemble s’assemble. Quels sont les soutiens officiels de Macron ? Le gratin mondialiste d’Alain Minc à Jacques Attali. Voilà qui devrait ouvrir les yeux, s’il en était besoin, sur la signification politique d’une telle candidature.
On ne marche plus !
Dans les meetings de la coqueluche, également organisés dans leurs moindres détails par des sociétés de conseil très bien payées, les caméras complaisantes nous montrent des figurants brandissant une pancarte sur laquelle on peut lire « Je marche », l’air épanoui.
« Lève-toi et marche » : Emmanuel en nouveau Messie en quelque sorte ? Hélas, les communicants qui entourent le clone ignorent manifestement que marcher signifie aussi, dans la langue de la France d’en bas, « se faire avoir ». En d’autres termes suivre En marche ! revient à se faire avoir ou à « marcher dans la combine », pour les plus rusés.
La coqueluche frappe, c’est bien connu, surtout les bébés et les personnes fragiles.
La France réelle, elle, ne marche pas.
Michel Geoffroy 14/03/2017
Notes :
1 TV libertés du 13 février 2017.
2 Interview sur la chaîne israélienne i24 news, le 25 décembre 2016.
3 Marianne du 13 novembre 2016.
4 Interview à L’Obs du 9 novembre 2016.
5 Interview à L’Obs. du 9 novembre 2016
6 LeFigaro.fr du 17 février 2017.
7 LeFigaro.fr du 14 janvier 2017.
8 Le 20 janvier 2017.https://www.polemia.com/la-coqueluche-macron-ca-ne-marche-plus/
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Les dernières statistiques prouvent-elles le Grand Remplacement ?
Tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés.
Les bien-pensants nient avec véhémence que les immigrés venus d’autres continents remplacent progressivement les « autochtones » européens (j’utilise ce terme avec précaution, alors qu’il est employé sans aucune restriction pour les « progressistes « dès qu’il s’agit d’anciennes colonies). Le « Grand Remplacement » ne serait qu’un fantasme de la fachosphère, vaste conglomérat d’individus dont les avis sont immédiatement rejetés avec indignation par les partisans du « camp du bien », quelles que soient les preuves apportées.
Pourtant, les chiffres sont têtus (et ne mentent pas) et même Libération, chantre de la pensée correcte, est obligé de les admettre en relayant une étude d’Eurostat, office statistique de l’Union européenne. Depuis deux ans, le nombre de décès égale celui des naissances dans l’Union européenne (autour de 5,1 millions). Par contre, 2 millions d’immigrés extra-européens sont venus s’installer dans notre continent en 2015, et 1,5 en 2016. Trois bébés pour un migrant !
Et encore, ces chiffres officiels sous-estiment peut-être la réalité, du moins pour la France. Il n’y aurait chez nous, selon cette étude, que 65.900 arrivées alors que l’INSEE certifie qu’elles seraient 220.000, en y incluant les clandestins et les originaires de l’Union européenne.
Les bien-pensants, pour nous rassurer, mettent en avant que 35 % des arrivées sont des regroupements familiaux ; cela signifie qu’un migrant venu seul fera ensuite venir sa femme et ses enfants, voire ses parents ou ses frères et sœurs et, donc, que les deux millions d’immigrés de 2015 généreront, au final, plus de six millions d’entrants, plus que les naissances !
L’autre grand contingent de ces nouveaux arrivés est formé de réfugiés, tandis que l’immigration « choisie » (personnes disposant d’un contrat de travail) représente moins de 10 % du total ; cela pose évidemment le grave problème de l’insertion dans le marché de l’emploi d’immigrés souvent sans qualifications. En Allemagne, seulement 42.000 réfugiés sur 1.500.000 auraient trouvé du travail. Les experts les plus pessimistes estiment que, dans vingt ans, 50 % seront toujours au chômage ; l’immigration serait donc un total non-sens économique. L’Union européenne pourra-t-elle supporter longtemps ce fardeau ?
Une bonne partie des bébés européens ont des parents immigrés. En France, combien de nouveau-nés ont des aïeux originaires d’Afrique ou d’Asie. 20 % ? 35 % ? Difficile de le dire, car tous les fichages dits ethniques sont interdits par la loi. Même compter les prénoms est légalement dangereux. Mais au vu de ces chiffres, on peut avancer que, tôt ou tard dans des pays de l’Union européenne, il naîtra moins de descendants d’« autochtones » que d’enfants d’immigrés. La première à basculer sera l’Allemagne. Et nous ? Quand viendra notre tour, s’il arrive ? En 2050 ? En 2100 ?
Nier ce « Grand Remplacement » paraît absurde. Le problème est, à mon sens, le suivant : faut-il le craindre ? Simplement le déplorer ? Le trouver naturel, neutre et sans importance ? Ou faut-il carrément s’en réjouir et trouver que c’est une formidable occasion ? À chacun sa réponse.
http://www.bvoltaire.fr/dernieres-statistiques-prouvent-grand-remplacement/
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Fin d’année cacophonique à l’Assemblée - Journal du vendredi 28 juillet
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Le ministre du Travail aurait spéculé sur la suppression de 900 emplois dans le groupe Danone où elle dirigeait les ressources humaines
Selon l'Humanité, Muriel Pénicaud, l'actuelle ministre du Travail, aurait réalisé en 2013 une importante plus-value boursière alors qu'elle était directrice générale des ressources humaines chez Danone, à la faveur de l'annonce de la suppression de 900 emplois, qui avait fait bondir le cours de l'action du groupe. Une pratique pas illégale mais jugée "scandaleuse" par les représentants syndicaux.
Selon les comptes officiels de Danone, Muriel Pénicaud a choisi, le 30 avril de cette année, d'acquérir un lot de 55.120 actions pour 34,85 euros pièce, selon le principe des "stock-options" réservées aux dirigeants. Le prix de ces actions lui était garanti depuis quatre ans et avait été fixé en pleine crise financière, en 2009. La directrice a donc pu acquérir ses actions "bien en-dessous du cours de l'action ce jour-là", selon le quotidien, avant de les revendre "aussitôt pour l'essentiel, à 58,41 euros l'unité", réalisant au passage une plus-value d'environ 1,129 million d'euros.
Les critiques résident dans l'explication du cours élevé auquel la ministre a pu revendre ses actions, après les avoir achetées à un prix très bas. L'annonce, quelques jours avant l'opération de Muriel Pénicaud, de la suppression de 900 emplois de cadres chez Danone - dont 230 en France - avait en effet fait bondir le cours de l'action du groupe.