#Grèce : Elles exigent le regroupement familial en Allemagne
Effet Kiss cool de la deuxième vague
magouille et compagnie - Page 1591
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Stratégie des "migrants" : après les hommes fuyant soi-disant leur pays en guerre, les femmes exigent le regroupement familial
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Bravo, l'Italie ! Pas pour Saint-Nazaire ! Pour la Méditerranée !
Quelles que soient les objurgations morales, les prétentions éthiques, qui surabondent, il était prévisible que face à ce qui est bien une invasion migratoire massive de l'Europe, l'emploi de la force - donc de la force armée - finirait, un jour ou l'autre, par s'imposer.
Bien entendu, on ne tirerait pas sur les migrants mais l'on chargerait les militaires et les marins de détruire les embarcations destinées à les transporter, de neutraliser les passeurs ; et même de se confronter aux associations de bonnes âmes qui n'ayant de charité que pour l'étranger quel qu'il soit et point du tout pour les populations européennes malheureuses de ne plus se sentir chez elles, d'y perdre leur identité, prêtent assistance à la transhumance migratoire et à ceux qui se sont organisés pour en faire un très lucratif commerce.
Il devait donc arriver un jour où les choses seraient devenues si graves, si massives et si intenables que l'on devrait y mettre un terme par la force. Il est possible que ce jour soit arrivé. Ou très prêt d'être arrivé.
C'est ce dont témoigne la réaction italienne en Méditerranée où c'est par la force que les marins italiens refoulent les embarcations des migrants quittant les côtes libyennes; par la force aussi qu'ils bloquent les navires des ONG qui sont en mer pour - en fait - sécuriser et favoriser les passages. Tel le sulfureux Aquarius français ou le l'allemand Juventa. Quant à lui, Médecins Sans Frontières n'est pas seulement en action pour soigner des malades parmi des populations lointaines mais, en l'occurrence, par idéologie, pour prêter la main aux migrations africaines et orientales vers l'Europe.
Seulement, l'Italie est à bout. Migrants et ONG sont désormais considérés et traités pour ce qu'ils sont. Des adversaires, des envahisseurs et leurs complices.
Il y a tout lieu de penser que cette évolution de l'attitude des Européens face à cette invasion tendra graduellement à s'amplifier.
L'Italie montre la voie parce qu'elle est en première ligne, qu'il y a plusieurs années maintenant qu'elle est saturée d'arrivées massives de migrants, et qu'elle n'en veut plus.
Le dernier recours, en pareille extrémité, est toujours la force; la force armée. L'Italie s'est décidée à y recourir. Elle ne fait que montrer la voie à l'Europe et l'on ne peut que l'en féliciter.
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Vaccins : la collusion entre le gouvernement et Sanofi
L’affaire incroyable des onze vaccins qui vont être imposés aux enfants de moins de deux ans posait une simple question. Pourquoi infliger une quantité pareille de vaccins alors que 18 pays d’Europe laissaient leurs citoyens libres de se faire vacciner. On ne pouvait que déduire une collusion entre l’État et le laboratoire Sanofi qui déjà avait fait ses choux très gras avec l’Hexavax.
Le site Neo-Nutrition nous offre la réponse sur un plateau avec photo à l’appui. On savait que la ministre de la Santé Agnès Buzyn a travaillé pour les labos et que son mari a des responsabilités dans le monde de la recherche. Mais le 20 juillet c’est le Premier ministre lui-même qui a rencontré en douce Serge Weinberg, directeur général de Sanofi qui synthétise les vaccins. Ce personnage a rencontré Macron quand ce dernier était à la banque Rothschild.
De plus Serge Weinberg et Emmanuel Macron se connaissent bien, puisqu’ils ont tous deux participé à la Commission pour la libération de la croissance française (dite Commission ATTALI, qui a rendu son rapport en janvier 2008), l’un en tant que membre, l’autre en tant que rapporteur.
Ce n’est un secret pour personne que Serge Weinberg a aidé puissamment Macron durant sa campagne électorale. Celui-ci lui « renvoie l’ascenseur » avec les profits incroyables que Sanofi va faire avec les onze vaccins.
Il a donc envoyé son premier ministre probablement pour discuter les prix. Ceci en dehors de l’agenda officiel.
Le gouvernement va donc faire des dépenses inouïes pour ces vaccins alors qu’on ne cesse de ressasser le principe de précaution.
Il faudra dons se mobiliser massivement au nom de ce principe.
Jean-Pierre Dickès
http://www.medias-presse.info/vaccins-la-collusion-entre-le-gouvernement-et-sanofi/77972/
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L'Italie ose montrer la vérité sur l'arrivée des "migrants"