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magouille et compagnie - Page 1597

  • La raison d’être de LR? La raison d’être de l’Europe bruxelloise?

    Le discours de Marine, actant sa rentrée politique à Brachay le 9 septembre, fut particulièrement pugnace, éclairé par les grands principes de notre famille politique, enraciné dans les valeurs de l’opposition nationale. Toutes choses à comparer avec la grande pauvreté, dans le fond comme dans la forme, de celui prononcé le 3 septembre au mont Mezenc par Laurent Wauquiez, candidat archi favori (sans concurrents réels) à la présidence de LR. Une allocution construite  autour du thème central d’une droite qui serait désormais fière d’elle-même, refuserait de se coucher devant les oukases de la gauche bien-pensante, bref d’une droite qui serait de retour. Normalien, énarque, agrégé d’histoire, et de surcroît paraît-il coaché par le maurrasssien Patrick Buisson, M. Wauquiez n’y a pourtant pas fait montre d’un grand talent et n’était pas animé par un grand souffle transgressif , à l’image des maigres exemples cités par lui de la culture française:  Bergson et sa philosophie française,  Proust si intimement français…quelle audace! Quel robinet d’eau tiède surtout pour séduire un public cocufié depuis trente ans par les promesses des hérauts d’une droite droite dans ses bottes…

    Laurent  Wauquiez ne cache pas sa volonté de récupérer l’électorat frontiste sans lequel il a bien compris que la droite libérale ne peut gagner. Il a redit le 3 septembre son inimitié radicale vis-à-vis du FN, qualifié « d’ impasse pour les électeurs qui se tournent vers lui», Marine étant « le visage de la haine, de l’incompétence, de l’agressivité », phrase toute droit sortie du registre mélenchonien.  Bruno Gollnisch  l’évoquait  depuis le Parlement européen la semaine dernière, M Wauquiez ne veut pas d’alliance avec le FN? Cela tombe bien nous ne sommes pas demandeurs !

    Une attaque contre l’opposition nationale que le président du Conseil régional Auvergne-Rhône-Alpes exprime pour complaire aux puissances médiatiques et aux lobbies qu’il estime nécessaire de se concilier dans sa marche vers 2022. Mais avec qui et pour faire quoi? Car son positionnement droite des valeurs et identitaire est assez largement minoritaire au sein des instances dirigeantes  de LR. Hiérarques républicains qui sont souvent beaucoup plus proches de la vision du monde d’un Macron, d’un Attali, d’un Juppé, d’un Chirac, d’un Sarkozy… ces deux derniers (calamiteux) présidents de droite figurant d’ailleurs en bonne place dans l’actuel panthéon personnel de Laurent Wauquiez;  il a certes encore le temps d’en changer, ce ne serait pas la première fois.

    Rappelons au passage aux dirigeants de ce parti miné par ses contradictions internes (toute maison divisée contre elle-même périra, Marc 3:24),  cette observation de Patrick Buisson dans La Cause du Peuple: « tant que la droite continuera à adhérer à ce présupposé du libéralisme qui fait de la société une collection d’individus n’obéissant qu’aux lois mécaniques de la rationalité et de la poursuite de leur seul intérêt, tant qu’elle ne renouera pas, dans une fidélité inventive à ses racines, avec l’idée qu’une société ne peut reposer exclusivement sur le contrat, c’est-à-dire sur le calcul, mais sur l’adhésion à un projet qui fait d’elle une communauté, rien ne pourra la repositionner au service du bien commun et lui valoir un retour de confiance du peuple, rien ne lui rendra sa raison d’être au regard de l’histoire. »

    Au regard de histoire,  quelle est pareillement la raison d’être de l’Europe bruxelloise? Elle qui refuse de défendre l’ identité des peuples européens et qui encourage même par son laxisme et la nocivité de son extrémisme droit-de-l’hommiste, la poursuite de la  submersion migratoire, conséquence directe de l’idéologie mondialisteUne tragédie  de nouveau dénoncée avec force par Marine le 9 septembre…et bien évidemment par le Secrétaire général du FN , Nicolas Bay, dont nous saluons ici l’élection lundi  à la co-présidence (avec le néerlandais du PVV Marcel de Graaf   du groupe ENL  au Parlement européen.

    Le 26 juillet la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE), dont l’avocat général est le Français Yves Bot (proche de Nicolas Sarkozy), a même dénié le droit des Etats européens à ne pas vouloir ouvrir leurs frontières aux immigrés clandestins, baptisés migrants pour la bonne cause. Fut ainsi  rejetée le recours déposé par la Hongrie et la Slovaquie ( avec le soutien de la Pologne), afin de ne pas appliquer le plan de répartition-installation obligatoire des immigrés illégaux au sein de l’Union européenne. Les gouvernements des pays précités estimaient notamment ( à juste titre) que nous nous trouvions là devant un déni de démocratie puisque cette procédure était enclenchée  sans consultation des parlements nationaux,  sans débat public, sans obligation pour le Conseil européen,  qui rassemble les chefs d’Etat et de gouvernement des 28 pays de l’UE,  de prendre cette décision à l’unanimité.

    Pour autant, la résistance des peuples s’accroît au fur et à mesure que les mesures de coercition, les menaces bruxelloises  se font plus dures, plus précises.  Euractiv rapportait le 8 septembre qu’ « après de vaines mises en gardes, Bruxelles s’est résignée à lancer des procédures d’infraction contre la Hongrie, la Pologne et la République tchèque, pour leur refus obstiné d’accueillir des (immigrés clandestins) depuis l’Italie et la Grèce. La Slovaquie avait réagi jeudi en disant respecter l’avis de la CJUE mais en réaffirmant que sa position ne varierait pas.»

    Est rapportée la décision du Premier ministre Viktor Orban, fort du soutien d’une très large majorité des Hongrois, de refuser cette immigration imposée: « Nous devons prendre note de cette décision parce que nous ne pouvons pas saper les fondations de l’UE – et le respect du droit est une fondation de l’UE – mais dans le même temps l’arrêt de la cour n’est pas une raison pour changer notre politique qui refuse les migrants. »

    « (M. Orban) a également estimé que lier, comme l’a fait le président de la Commission européenne, Jean-Claude Juncker, la question de l’immigration et celle du financement de la cohésion européenne contrevenait aux règles communautaires et était « immoral ».
    Mais quelle morale anime le lobby euromondialiste? Au nombre des « caractères agissants »  de la « psyché européenne »,  de l’homme européen  déterminant « la précellence de l’Europe »Paul Valéry citait « l’avidité active, la curiosité ardente et désintéressée, un heureux mélange de l’imagination et de la rigueur logique, un certain scepticisme non pessimiste, un mysticisme non résigné » … Qualités qui font singulièrement défaut aux maîtres bruxellois qui conduisent l’Europe (la vraie) tout droit vers le chaos;  qualités en outre dont nous ne sommes pas non plus certains qu’elles soient également très partagées  chez les populations que nous sommes sommés d’accueillir.

    https://gollnisch.com/2017/09/13/raison-detre-de-lr-raison-detre-de-leurope-bruxelloise/

  • NICOLAS HULOT LIVRE LA FRANCE AUX PÉTROLIERS

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    Décidément, la France fait de mauvais choix dans beaucoup de domaines. Ses « responsables » semblent peu instruits… Ainsi, le docteur en physique Thomas Allmendinger vient de démontrer 1que le gaz carbonique (CO2) ne joue pas de rôle dans la température terrestre.

    Mais qui le sait ?

    Enfin un physicien reconnu a bien voulu clarifier la situation ! Son travail met fin au fondement même du discours du GIEC : le réchauffement climatique anthropique par le CO2.

    Et cela se passe au moment où la France fait l’objet d’un projet de loi interdisant progressivement toute recherche ou exploitation des hydrocarbures producteurs de CO2

    La presse bien-pensante et soumise insiste sur le fait que la France ne produit actuellement que 1 % de ses hydrocarbures, que ce sacrifice est peu douloureux et doit servir d’exemple aux autres nations. On camoufle ainsi le fait qu’elle s’interdit d’exploiter ses ressources en gaz naturel (de schiste) aptes à la rendre autonome. Cet interdit est d’autant plus absurde que les États-Unis ont essuyé les plâtres et qu’aujourd’hui, les techniques d’extraction sont parfaitement au point, sûres et propres… tandis que les vraies pollutions sont passées sous silence !

    Il faut noter que Total pourra (devra) continuer toutes ses activités mais – vertueusement – hors de France. La pollution, c’est pour les autres !

    On sera doublement vertueux : interdiction d’importer le gaz naturel obtenu par fracturation, il doit sortir « tout seul ». C’est fou et il y a pire : la multiplication des éoliennes importées se fera en parallèle avec la fermeture des centrales nucléaires (fabriquées en France)… Centrales nucléaires qui produisent un courant très économique, dont les finances du pays ont grand besoin.

    La folie est totale : il faudra multiplier les centrales au gaz importé. Elles ont un faible rendement et sont donc très polluantes. Ces centrales au gaz polluantes sont nécessaires quand il n’y a pas de vent et elles doivent être assez souples pour pouvoir suivre les variations incessantes du vent ! Personne n’a envie d’être privé de courant quand le vent manque. Et comme si cette folie ne suffisait pas, on voit se multiplier les usines éoliennes dans des régions peu venteuses !

    Une explication à la folie générale ? À partir de 1928, Edward Bernays 2 a mis au point des techniques psychologiques permettant de nous faire avaler n’importe quel mensonge dès qu’il y a de l’argent à prendre dans nos poches… C’est réussi !

    Si le mensonge ne rendait pas service à certains, on pourrait voir la réalité des découvertes de Phidias Mitchell : cet Américain a su libérer les hydrocarbures des roches non poreuses dès 2005. Ces hydrocarbures ont retrouvé des prix en rapport avec leur prix de production et non plus basés sur une pénurie programmée, entre autres par Riyad. Nos financiers, habitués aux juteux arrangements avec l’Afrique et le Moyen-Orient, ont été perturbés… Ils veulent s’assurer que la dépendance de la France restera totale et leur portefeuille bien garni. Propaganda leur est précieux…

    Ainsi Nicolas Hulot se bat pour sauver la France d’un problème qui n’existe pas ! Nous n’avons jamais influencé et n’influencerons jamais le climat sur Terre 3.

    Imaginez ce que l’on aurait pu faire avec les deux mille milliards d’euros jetés, par exemple, dans les éoliennes ! On aurait pu dépolluer les centrales thermiques, les usines en général et éviter beaucoup d’autres pollutions qui nous empoisonnent vraiment. L’Allemagne, modèle de Nicolas Hulot, ne serait pas devenue le pays le plus polluant d’Europe avec ses 70.000 éoliennes couplées à des centrales thermiques très peu souples fonctionnant… au charbon ou au lignite ! Espérons que les personnes composant l’Assemblée nationale, non encore corrompues par la politique, empêcheront le désastre : le maintien artificiel de la dépendance française des pétroliers…

    Notes:

    1. Thomas Allmendinger :The Refutation of the Climate Greenhouse Theory and a Proposal for a Hopeful Alternative, Environment Pollution and Climate Change
    2. Edward BERNAYS, Propaganda, 1928, traduit en français et édité par Zones en 2007 
    3. Au Burkina Faso, j’ai pu voir des localités au climat amélioré ou détruit par l’être humain : le Sahel déboisé, sec et chaud en opposition avec une mission catholique où les missionnaires avaient boisé et où il faisait bon… 

    http://www.bvoltaire.fr/nicolas-hulot-livre-france-aux-petroliers/

  • De Gaulle et Maurras : la leçon de Paul-Marie Coûteaux à Valérie Pécresse

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    2838_page_01.jpg « Ce qui fait la force d’âme de la droite, c’est d’avoir toujours préféré Charles de Gaulle à Charles Maurras », a déclaré dimanche Valérie Pécresse. Mais quelle gourde ! Dans le numéro de Minute paru ce matinl’ancien député Paul-Marie Coûteaux, membre de la Fondation Charles-de-Gaulle et directeur des Cahiers de l’indépendance, lui répond. Sous forme de cours magistral d’histoire politique. Extrait.

    « Que dire devant une telle ineptie ? D’abord que la droite française n’a pas « toujours » préféré de Gaulle à Maurras, notamment à l’époque où l’école d’Action française, que Maurras a fondée et inspirée pendant des décennies, a dominé la jeunesse intellectuelle française, la droite bien sûr mais au delà – l’AF soutint d’ailleurs tous les gouvernements de la Grande Guerre. Parmi tant d‘autres, le jeune Charles de Gaulle dont les parents ont lu et financé l’Action française, journal que, selon le témoignage qu’en a donné sa sœur Agnès, le jeune Charles, puis l’encombrant officier contestataire a constamment lu jusqu’à la seconde guerre.

    Paul-Marie-Couteaux-3-300x252.jpg« Entre autres choses, il en empruntera les conceptions de défense nationale, notamment « l’Armée de métier », et bien sûr sa politique étrangère, « capétienne », de même son obsession d’un exécutif fort et son choix « du pouvoir personnel plutôt que de l’impuissance impersonnelle » comme il le dira à Peyrefitte – c’est d’ailleurs à bon droit que l’on souligne le caractère monarchique de la Ve République, monarchie certes imparfaite comme son fondateur l’a plusieurs fois éprouvé et avoué, tentant des années durant de pousser le Comte de Paris à se présenter à l’élection présidentielle dont il jugeait l’onction indispensable après « une si longue interruption »…

    « Sur l’inspiration politique, notamment diplomatique et institutionnelle du Général (qui fut souvent décrit comme royaliste, y compris à l’étranger, de Staline à Roosevelt qui en prirent prétexte pour tenter cent fois de l’écarter), les faits et témoignages sont si multiples qu’il est impossible de tous les reprendre ici : rappelons que, dans les années 1920, de Gaulle donna ses premières conférences au Cercle Fustel de Coulanges, furieusement royaliste, qu’il entretint une longue correspondance avec le Comte de Paris dans laquelle il témoigna envers Lui (il mettait toujours la majuscule !), d’une déférence sans équivoque, et que, quand, un jour, à l’Elysée, Philippe de Saint Robert évoqua son monarchisme, il rectifia de lui-même : non, royalisme ! (cf. Philippe de Saint Robert, Le Secret des jours, Lattès, 1996).

    Envoi-De-Gaulle-Maurras-300x244.jpg« Pour ce qui est de Maurras, on sait (mais apparemment Mme Pécresse ne sait pas) que de Gaulle dédicaça la plupart de ses ouvrages au « maître de Martigues », qu’il reprit souvent son fameux, et très profond « politique d’abord » et s’entendit plus tard avec Malraux sur cette formule qui va loin : « Marras eut tellement raison qu’il en est devenu fou. » Des divergences, certes, mais entre qui n’y en a-t-il pas (comme avec Péguy ou Barrès, leurs grands mécontemporains) ? Surtout, que de points communs, y compris, comme le montre Stéphane Blanchonnet dans son récent « petit dictionnaire maurassien » sur la République elle-même, que l’un et l’autre entendaient comme Res-Publica, ce que Péguy nommait « Notre Royaume de France » en un beau souci de syncrétisme.

    « Et que de détestations communes […] »

    Extrait de « Pour instruire Mme Pécresse sur Maurras et sur De Gaulle » par Paul-Marie Coûteaux paru dans Minute n° 2838 daté du 13 septembre 2017

    https://fr.novopress.info/207157/de-gaulle-et-maurras-la-lecon-de-paul-marie-couteaux-a-valerie-pecresse/

  • Jean-Pierre Pernaut persiste et signe

    Au journal télévisé de 13 heures sur TF1, le 10 novembre 2016, Jean-Pierre Pernaut avait évoqué le sort des sans-abri puis celui des immigrés, deux sujets d’actualité, faisant la transition d’un simple « en même temps » :

    « Plus de place pour les sans-abri, mais en même temps, les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France. »

    La police du politiquement correct, de la LICRA au CSA, avait dénoncé cet écart insupportable. Interrogé samedi sur cette séquence, il ne regrette rien, non rien de rien :

    « Quand on met des informations côte à côte dans un journal, c’est en fonction de ce qu’elles sont et pas en fonction d’une certaine bien-pensance. On ouvre sur la campagne hivernale avec des SDF qui pleurent parce qu’il n’y a pas de place et le même jour on ouvre un camp de migrants à Paris. J’ai mis les deux informations côte à côte. Conclusion, on m’a accusé de vouloir les mettre en opposition. »

    Gabrielle Cluzel écrit :

    "Sur le plateau de « Salut les Terriens », il vient d’affirmer, revenant sur l’incident, « n’avoir fait que son travail de journaliste ». Il enfonce même le clou : s’il devait le redire demain, il le redirait. À ceux qui, sur le plateau, lui reprochent le manque de neutralité que traduirait son « en même temps », il répond par une question candide, aussi imperturbable qu’imparable : « Ce n’était pas en même temps ? »

    « Résultat, vous faites peur ! » conclut Thierry Ardisson sur un ton tragi-comique. C’est en effet le mot de la fin qui convient. Ce que l’on reproche à Jean-Pierre Pernaut n’est pas d’avoir menti mais d’avoir dit une vérité anxiogène, qui pourrait susciter chez les Français une réaction « malsaine ».

    Le travail des journalistes n’est plus de dire le vrai mais le bien. Ils n’informent pas, ils enseignent. Des Français sous tutelle, vieux gamins auxquels on recommande de se cacher les yeux avec les mains pour éviter d’avoir peur dans leur lit quand le soir vient.

    On a les héros – et les hérauts – que l’on mérite. Avec son nom d’apéritif un peu beauf, son prénom double emblématique du mâle blanc de plus de 50 ans dont Delphine Ernotte ne veut plus et que les médias raillent méchamment – « Sept réponses à votre beau-père Jean-Louis qui ne supporte plus la réduction des voies pour automobiles à Paris », titrait le site de France Info il y a quelques jours, volant au secours d’Anne Hidalgo -, et son « Journal de 13 heures » ambiance village fleuri et artisanat du terroir, qui lui a valu en 2016 d’être élu « présentateur de JT préféré des Français » – s’il aime la France périphérique, celle-ci le lui rend bien -, il a tous les attributs réputés peu flatteurs de Superdupont. Le pire – ou le meilleur – est qu’il semble endosser le costard assez volontiers et sans façon."

    Il pourrait enseigner la vertu du courage à quelques personnalités politiques qui en ont bien besoin.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Important : L'analyse d'Eric Zemmour sur le cas Wauquiez. Il a raison !

    AINSI VA LA VIE (ET LE MONDE) A DROITE...

    Analyse publiée dans le Figaro magazine du vendredi 8 septembre. Et qui risque, sur la future présidence Wauquiez des Républicains, un pronostic qui a toutes chances de s'avérer exact.  LFAR

    Cela n'a pas tardé. En prenant Virginie Calmels à ses côtés, Laurent Wauquiez a donné les gages que beaucoup attendaient : d'ouverture, de rassemblement, de tolérance. L'élue bordelaise, femme, centriste, libérale, juppéiste, a le profil idéal. Elle sera à Wauquiez ce que NKM ou Valérie Pécresse furent à Sarkozy, ce que Michèle Barzach fut à Chirac ou Simone Veil à Balladur : des cautions à la fois de « modernité » et de « tolérance ». Des pare-feu médiatiques et idéologiques pour se faire accepter par la bonne société politiquement correcte. D'ailleurs, Wauquiez a déjà livré les deux modèles qu'il a choisis s'il devient, comme c'est probable, le prochain président des Républicains : Chirac et Sarkozy.

    Tout est dit : Chirac prit le mouvement gaulliste en dénonçant le «parti de l'étranger» des européistes pour finir par appeler à voter oui au traité de Maastricht ; Chirac défendit « l'immigration zéro », la suppression du regroupement familial et du droit du sol dans les années 1980, avant d'achever sa carrière en porte-parole de la gauche contre le FN. De même, Sarkozy promit le « Karcher » et on eut Kouchner. Il nomma un ancien socialiste comme ministre de l'Identité nationale et de l'Immigration, et jamais le nombre d'immigrés ne fut aussi élevé.

    Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. Le rassemblement tourne toujours au profit des mêmes. La droite amène les électeurs et les centristes amènent les élus. Les électeurs de droite sont les éternels cocus d'un système qui oblige le patron du parti à tenir des propos flatteurs pour les attirer, puis à renoncer à tout lorsqu'il faut rallier les centristes. Au nom de la République, des droits de l'homme, de l'Etat de droit, de la modernité, de l'humanitarisme, les « modérés » tirent toutes les ficelles, avec la bénédiction de la gauche et le soutien actif des médias.

    Comme Chirac et Sarkozy avant lui, Wauquiez a déjà mis le doigt dans un engrenage qui le broiera. Plus il parlera haut et fort, moins il agira. Certains observateurs sagaces ont déjà remarqué que, lors de son premier discours de campagne, il aparté de tout sauf des sujets sensibles qui tournent autour du « mariage pour tous ». C'est la leçon que la droite, suivant là encore la gauche et les médias, a tirée de l'échec de Fillon à la présidentielle : trop réac, trop catho, trop tradi.

    Wauquiez est sans doute persuadé d'être habile. Mais il sera lui aussi victime de la « maladresse des demi-habiles » qu'évoque Pascal. Il arrive trop tard dans un monde trop vieux. Il ne pourra pas, comme ses prédécesseurs, se rattraper par un discours économique libéral et antisociaIiste, Emmanuel Macron faisant en économie la politique de la droite. Il ne pourra attirer l'électorat populaire qui vote massivement FN qu'en reprenant le programme de ce parti sur l'immigration. C'est exactement ce que lui interdiront ses alliés modérés et centristes. Ils le sommeront de ne jamais faire de concessions aux idées du FN. Wauquiez devra se soumettre d'autant plus qu'il est soupçonné des pires arrière-pensées. C'est ce qui s'appelle perdre sur tous les tableaux.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2017/09/10/important-l-analyse-d-eric-zemmour-sur-le-cas-wauquiez-il-a-raison.html

  • Climat de guerre civile et violences ethniques dans l’île antillaise de Saint Martin

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    12/09/2017 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie:

    Les Saint Martinois font face à une situation de chaos après le passage de l’ouragan Irma qui a détruit 95 % des habitations et causé des dégâts matériels évalués à 1.2 milliard d’euros. Le nombre de morts est encore trop incertain pour être avancé. Des gangs armés, composés d’individus d’origine africaine, volent tous types de denrées dans le but de créer un marché noir et instaurent un climat de terreur.

    Les forces de l’ordre ont tardé à arriver et le gouvernement est critiqué pour son impréparation et sa gestion calamiteuse de la crise

    Côté néerlandais de l’île, l’armée avait déjà été déployée en amont de l’ouragan afin d’anticiper les pillages. Côté français, ce sont 1 100 gendarmes, policiers et soldats qui sont arrivés seulement vendredi sur les îles de Saint Martin et de Saint Barthélemy. Le président français, après avoir organisé une réunion d’urgence ce samedi, a décidé d’envoyer 240 gendarmes supplémentaires et 30 hommes du GIGN.

    Plus grave, les habitants blancs font état de violences ethniques à leur égard

    Exactions, menaces de mort et coups de feu omniprésents, les habitants livrés à eux mêmes sont obligés de créer des milices pour se protéger. Les gangs meurtriers ont dévalisé l’armurerie de la police aux frontières et des douanes. Ils sillonnent l’île et défoncent les portes des habitations, armes au poing en criant « dehors les blancs ». Cette chasse aux blancs terrorise les Saint Martinois qui veulent à tout prix être évacués, car ils se savent en danger de mort.

    https://fr.novopress.info/

  • JEAN-YVES LE GALLOU : « SI LES GENDARMES TROUVENT UN PILLARD, ILS ONT À PEINE LE DROIT DE LUI TIRER L’OREILLE »

    Le Président Macron a dû décoller lundi soir pour se rendre sur l’île de Saint-Martin, notamment pour faire taire les critiques quant au manque de moyens déployés par l’État avant et après l’ouragan.

    Jean-Yves Le Gallou, lorsqu’il était à l’Inspection générale de l’administration, a eu à plusieurs reprises l’occasion de participer à des missions de retour d’expérience (RETEX) à la suite de catastrophes naturelles. Il a pu constater que le débarquement d’autorités gouvernementales sur les lieux d’une catastrophe n’aide pas à régler les problèmes mais, au contraire, en retarde le règlement.

    Par ailleurs, Jean-Yves Le Gallou revient sur la situation sécuritaire de l’île. Il constate qu’il est très difficile de savoir ce qui s’y passe exactement, notamment parce que les médias essayent de rassurer.

    http://www.bvoltaire.fr/gendarmes-trouvent-pillard-ont-a-peine-droit-de-lui-tirer-loreille/

  • Irma : Après l’ouragan, le chaos - Journal du lundi 11 septembre

  • Newcastle. Nouvelle affaire de viols et de trafics d’êtres humains commis par un gang d’immigrés

    L’affaire est, une fois de plus ignoble – mais n’a pas ou peu été relevée jusqu’ici par la presse française (hormis par Libération qui ne fait pas mention des origines des accusés alors que toute la presse anglaise l’évoque). 
    Le tribunal de Newcastle au Royaume-Uni a condamné mercredi 9 août 17 hommes (nés au Royaume-Uni mais originaires d’Inde, du Pakistan, de Turquie, d’Iran, d’Irak) et une femme pour avoir pendant des années forcé des jeunes filles et femmes, âgées de 14 à 25 ans, à avoir des relations sexuelles. 
    Le modus operandi était toujours le même : ils fournissaient de nombreux produits stupéfiants à leurs victimes, comme cocaïne, cannabis, alcool ou méphedrone, pour ensuite abuser d’elles pendant des orgies collectives connues comme « sessions ». 
    Au total, près de 300 personnes auraient été victimes de ces criminels immigrés ou d’origine immigrés. « A ce jour, nous avons arrêté 461 personnes, parlé à 782 plaignantes potentielles et avons trouvé 278 victimes»a souligné Steve Ashman dans un communiqué
    L’un d’entre eux, assumant totalement ses actes, Badrun Hussein (37 ans), avait déclaré lors de sa déposition : « Toutes les filles blanches ne servent qu’à une chose pour des hommes comme moi : il faut les baiser et ensuite, il faut les jeter comme des déchets. C’est tout ce qu’elles méritent. » 
    Les faits se sont déroulés entre 2011 et 2014 à Newcastle, dans le nord de l’Angleterre. Le gang a été mis hors d’état de nuire de façon par ailleurs très douteuse (le scandale est grand outre Manche) : il a en effet été révélé durant le procès que la police avait infiltré le réseau via un violeur pédophile qui avait servi d’indicateur contre 10 000 livres (11 000 euros). 
    La listes des condamnés : 
    Saiful Islam, 
    Yasser Hussain 
    Mohammed Hassan Ali 
    Redwan Siddique 
    Carolann Gallon 
    Mohammed Azram 
    Jahangir Zaman 
    Nashir Uddin 
    Abdulhamid Minoyee 
    Eisa Mousavi 
    Monjur Choudhury 
    Taherul Alam. 
    Prabhat Nelli 
    Nadeem Aslam, 
    Mohibur Rahman 
    Badrul Hussain 
    Abdul Sabe, 
    Habibur Rahim, 
    Une nouvelle affaire de violences sexuelles en réseau donc, après les scandales de Roterham, Rochdale ou encore Oxford, avec à chaque fois des autorités et une police qui ont cherché à ne pas étendre ces affaires monstrueuses sur la place publique, racialement et politiquement correct oblige. 
    This is England 2017…really ?

  • Saint-Martin : La sous-préfète s’est enfuie de l’île, pillage et fusillades sur fond d’effondrement de l’état français

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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (10/09/2017) cliquez ici Sur l’île de Saint-Martin, l’État Français s’est effondré en moins de 24 heures après le passage de l’ouragan « Irma ». Largement occultée par les médias étatiques hexagonaux, cette réalité a cependant pu être communiquée au plus grand nombre par les gens présents sur place grâce aux réseaux sociaux. Une anarchie qui tranche avec la mobilisation immédiate du gouvernement américain.

    La sous-préfète s’enfuit

    Premier élément de cet effondrement, la fuite de la sous-préfète de l’île, Anne Laubiès. Cette dernière a abandonné les habitants à leur sort et avec son départ précipité, c’est l’organisation politico-administrative française qui s’est évaporée instantanément.

    Cette fuite n’entraînera, bien sûr, aucune poursuite pénale.

    Les nombreux pillards, essentiellement des individus de race africaine, ont rapidement mis à profit cet écroulement du gouvernement pour se livrer à des meurtres et pillages à grande échelle. Les Français de l’île expliquent avoir du organiser, sur conseil d’une gendarmerie totalement dépassée, des milices pour garantir leur sécurité.

    Contrairement aux USA qui ont mis en place un vaste plan d’évacuation en Floride, le gouvernement français est pour l’essentiel resté spectateur malgré les informations dont il disposait au sujet de l’arrivée de l’ouragan. Dès le 31 août, les premières informations sur la venue de l’ouragan étaient connues et ce dernier mettra une semaine complète à atteindre l’île de Saint-Martin.

    Ce délai n’a pour ainsi dire jamais été mis à profit pour évacuer l’île ou préparer un puissant dispositif sécuritaire.

    En Floride, le gouvernement fédéral ainsi que les autorités de cet état ont procédé depuis des jours à l’évacuation préventive des zones potentiellement touchées tandis que tous les services gouvernementaux étaient mobilisés en prévision. Le président Trump détaille depuis des jours les mesures à prendre, donne les adresses des sites internet diffusant les informations indispensables ou supervise la mise en œuvre du dispositif de crise.

    En d’autres termes, l’État Français a été mis à genoux par un ouragan ayant frappé l’équivalent d’une petite ville hexagonale comme Alfortville là où les USA assurent, dans l’ordre, la gestion d’une crise impliquant l’équivalent d’un tiers de la population française.

    Une priorité pour Macron et l’État Français : sauver les apparences

    Face aux images et témoignages communiqués sur les réseaux sociaux, le gouvernement français tente désormais de limiter les retombées politiques. Il s’agit donc d’organiser et de scénariser un déplacement d’Emmanuel Macron sur place. Objectif : faire croire que tout est sous le contrôle de l’état et du président français.

    Cet effondrement rapide du gouvernement représente un avertissement pour la société bretonne : en cas de crise et d’émeutes raciales à grande échelle, elle sera livrée à elle-même. Nul ne doit faire confiance à l’état français, sous peine de s’exposer à de cruelles déconvenues.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2017/09/11/saint-martin-la-sous-prefete-s-est-enfuie-de-l-ile-pillage-e-5978703.html