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magouille et compagnie - Page 1594

  • Banques en crise : l’idée de l’UE, bloquer les comptes bancaires

    banque-argent-300x215.jpgDepuis qu’ils ont endetté considérablement leur pays respectif, les banques en crise sont un éternel problème de nos gouvernements démocratico-modernes soumis aux diktats financiers des banksters apatrides.

    Sauver les banques au bord de la faillite, et non les pauvres épargnants et simples clients, est une règle d’or de l’Union européenne. La nouvelle, éventée par l’agence Reuters, n’a pas fait de vagues en ces temps de chaleur estivale pourtant elle mérite l’attention.

    L’Europe des technocrates bruxellois, à travers la présidence estonienne, est en train d’étudier une norme, discutée le 13 juillet dernier, qui permettrait de bloquer, dans des circonstances exceptionnelles, les prélèvement sur les comptes courants et les dépôts afin d’éviter les paniques bancaires dans les institutions financières en difficulté. Dans la pratique les superviseurs européens auraient le pouvoir de congeler, quand ils l’estimeront nécessaire, les comptes pour un maximum de 20 jours ouvrés. En clair pendant un mois il sera impossible aux clients de retirer de l’argent dans des banques en crise !

    Actuellement la limite d’impossibilité de retrait est de deux jours et une autre proposition de la commission européenne présentée l’automne dernier prévoyait l’impossibilité de toucher aux comptes en dessous de 100 000 €.

    Divers pays et les banques elles-mêmes, car elles pensent que cela décourageraitl’épargne, s’opposent à ce plan. Mais l’Allemagne y est favorable : « Le souhait est de prévenir les paniques bancaires. Ainsi quand une banque est dans une situation critique elle n’est pas poussée à la limite » explique une source proche du gouvernement allemand.

    L’idée d’un tel plan d’urgence, qui s’attaque avant tout à l’épargnant, témoigne à lui seul que le système bancaire actuel est au bord de l’effondrement et que l’UE, coursier des banksters, veut être la maîtresse de votre argent.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/banques-en-crise-lidee-de-lue-bloquer-les-comptes-bancaires/77987/

  • Raquel, soldat de réserve du capital?

    Les réseaux sociaux ont beaucoup commenté  le fait que Raquel Garrido, avocate/ militante de Jean-Luc Mélechon et des structures qu’il préside, ait été engagée comme chroniqueuse dans la nouvelle émission de Thierry Ardisson,  Les terriens du dimanche,  qui débutera en septembre. Lors de son passage sur RMC, dans Les Grandes Gueules jeudi dernier, Mme Garrido a été mise sur le gril par  Olivier Truchot et Charles Consigny. Ils lui ont reproché ce qui serait une forme de duplicité ou de double-langage, à savoir le fait qu’elle  accepte d’être payée pour ce rendez-vous programmé sur C8, une chaîne appartenant au très capitaliste Vincent Bolloré. Déjà,  en juin 2013  l’Agence Bretagne Presse s’était arrêtée sur les activités annexes de cette  femme d’origine chilienne qui dirige  (dirigeait?) avec son mari « un label musical indépendant, Misty Productions, dont l’artiste phare est (sa sœur)  Mistysa », une « chanteuse de Soul / R n’ B qui connaît un certain succès au Chili d’où elle est originaire. » Or, « les activités de Mistysa semblent s’accommoder d’une certaine collaboration avec le capitalisme le plus sauvage : le lancement au Chili de son dernier album Macumba aura eu lieu dans l’auditorium de la Fondation Telefonica, c’est-à-dire une émanation de Telefonica, la sixième compagnie mondiale en matière de téléphonie (première compagnie espagnole) vouée régulièrement aux gémonies par tous les syndicats du monde latino-américain pour ses méthodes fort peu sociales. »

    Preuve peut-être qu’elle ne se sent finalement pas aussi à l’aise et sereine qu’elle le dit vis-à-vis de l’électorat mélenchoniste   en acceptant de se vendre à C8,   Raquel Garrido a sur-réagi assez maladroitement sur twitter en écrivant après coup: « Les Insoumis me le répètent depuis la fin de la présidentielle et ils ont raison. Les Grandes Gueules de RMC font un violent insoumis-bashing #AuRevoir. » (sic). La meilleure défense c’est l’attaque: déjà pour  tenter de justifier le malaise engendré par la piètre prestation, la froideur du sentiment national exprimé par l’élue mélenchoniste controversée Daniele Obono qui avait été sévèrement étrillée  sur le plateau des Grandes Gueules  en juin  dernier, Jean-Luc Mélenchon et ses amis avaient crié au racisme… comme c’est original!

    Pourtant, sur le plateau des Grandes Gueules, Raquel  Garrido avait énoncé un certain nombre de vérités. Elle qui  officia également un temps auprès de Christophe Hondelatte sur BFMTV,  a  eu beau jeu de répliquer à ses détracteurs  que les militants politiques cachés sous la défroque du journaliste sont nombreux (ce qui est vrai);  que la quasi totalité des médias français appartiennent à neuf milliardaires (ça l’est aussi).  Bref qu’elle aurait bien tort de ne pas se saisir de la tribune (tarifée) qu’on lui tend pour y faire passer ses idées.  Tout juste peut-on constater avec Bruno Gollnisch que ce n’est pas demain qu’une chaîne osera confier une chronique à un  cadre, adhérent/militant  identifié comme tel  du Front National.  L’anticonformisme d’Ardisson a ses limites, qui sont peut-être également celles de  ses patrons. Car  en terme de transgression vis-à-vis de la doxa libérale,  de regard tranchant, incisif, décapant sur l’actualité, il y avait beaucoup mieux à trouver que cette représentante des  révolutionnaires en peau de lapin de la France Insoumise.

    Nous le savons,  les idées  défendues par les mélenchonistes  ne sont pas toujours d’une grande fraîcheur, pertinence et intelligence mais en désignant le FN comme leur adversaire principal, ils sont assurés de bénéficier d’une certaine bienveillance et surface médiatique.  Mme Garrido elle même,  n’avait pas hésité à qualifier Marine Le Pen  de « délinquante » en 2012, à la  suite d’un  tract distribué dans le cadre de la campagne législative à Hénin-Beaumont,  citant une  déclaration de Jean-Luc Mélenchon en faveur de l’immigration de peuplement. Dans un entretien accordé  à Street press, elle  expliquait qu’elle « rêve de ce qu’elle appelle une lutte à mort entre Parti de gauche et le FN, jusqu’au dernier survivant »;  lutte à mort qui était aussi  l’expression  utilisée en son temps par un grand maître du Grand Orient pour qualifier la nature de l’opposition de sa secte au Mouvement national.

    Épouse  à la ville du Monsieur anti FN  du Parti de Gauche, le tout nouveau député Alexis Corbière, Mme Garrido coche elle aussi toutes les cases du politiquement correct: ancienne vice-présidente de SOS racisme, ex de l‘Unef, ex adhérente du PS ralliée au mélenchonisme, cette dernière est en toute logique beaucoup plus virulente contre l’opposition nationale, populaire et sociale que contre un Grand capital dont, in fine, les socialo-trotskistes ont toujours été les alliés de revers ou les  idiots utiles.  En défendant notamment, comme le Medef, les partis du Système,  les cénacles mondialistes et le monde de la finance hors sol,  la poursuite d’une immigration, armée de réserve du capital,  qui paupérise, tiers-mondise notre pays et dont  les Français les plus modestes  sont  les premières victimes.

    https://gollnisch.com/2017/08/01/raquel-soldat-de-reserve-capital/

  • Agression policière contre Richard Roudier à Montpellier : ce qu'il faut savoir

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    Violences policières au Palais de Justice de Montpellier : ne faisons pas d’amalgame !

    Il fût un temps où l’honneur de la France était d’assurer la liberté d’expression et de cantonner son appareil répressif au maintien de l’ordre républicain... Et non pas de mobiliser ses forces de répression contre les lanceurs d’alertes.

    Il se trouve que Richard Roudier est le Président d’une Association, La Ligue du Midi, régulièrement enregistrée auprès de la Préfecture, et qui a pour objet de défendre les intérêts des autochtones face à une déferlante migratoire sans précédent qui remet en question l’existence même de notre civilisation dans ce qu’elle a de plus sacré : la condition de la femme, la neutralité de l’espace public, la soumission à des dogmes venus du moyen-âge, la délinquance de rue qui pourrit la vie de nos concitoyens, le refus de partager les valeurs de la République, notamment l’enseignement de son histoire, etc, etc.

    Richard Roudier et son fils Olivier ont eu le tort de visiter une association grassement subventionnée par des fonds publics et dont l’objet est de soutenir activement les enfants des clandestins illégalement présents sur notre territoire. C’est vrai aussi que leur visite a été quelque peu traumatisante pour le personnel salarié de cette association, puisque deux tasses à café ont été cassées...

    Convoqués par la Justice pour s’expliquer, ce qui semble tout-à-fait normal, Richard Roudier et son fils Olivier ont été placés en Garde à Vue, entendus par le Procureur auprès duquel ils ont répondu courtoisement aux questions (plusieurs griefs contre eux ont été abandonnés). Et c’est au “dépôt”, au sous-sol du Palais de justice, que Richard Roudier a subi une violence inouïe : refus de médicaments, détournement de nourriture, refus de le laisser aller uriner de la part de deux policiers névrosés. Non contents de cela, nos deux “bourreaux”, ont refermé la lourde porte barreaudée d’acier sur ses doigts coincés dans le chambranle. Malgré ses cris de souffrance, il est resté ainsi les doigts écrasés pendant plusieurs minutes, le sol inondé de son sang. Les deux petits chefs refusant d’appeler les pompiers. Richard Roudier est âgé de 70 ans ! ...

    La Juge de la Détention et des Libertés est descendue elle-même avec son équipe pour entendre le Président de la Ligue du Midi dans le fourgon des pompiers et lui signifier sa remise en liberté avant d’être dirigé vers l’hôpital de La Peyronie.

    Que nous dit cette sauvagerie sur l’état de la France ? Qu’une forme de soft-totalitarisme se met peu à peu en place au pays des Lumières et qu’il devient pratiquement impossible de dénoncer ce que pourtant tout le monde constate jour après jour sur notre territoire : le Grand RemplacementEt ce ne sont pas les commémorations de l’assassinat de masse de Nice et de l’égorgement du Père Jacques Hamel qui vont changer quoique que se soit à cette politique suicidaire qui menace l’existence même de notre civilisation.

    On peut, certes, contester la forme que prennent certaines manifestations de la Ligue du Midi. Nous sommes désolés que les associations de type RAIH qui vivent de la misère des illégaux pour les mettre au service de la mondialisation qui va les exploiter sans vergogne, aient du procéder au remplacement de deux tasses à café et au rangement de quelques dossiers éparpillés. (Des dossiers d’illégaux qui violent la loi française par leur présence non souhaitée sur le territoire national).

    Nous ne ferons ici aucun commentaire sur les suites judicaires qui seront données à cette bien triste affaire. Nul doute que cette sauvagerie inexcusable fera l’objet de lourdes sanctions dans l’administration de la police et que les deux cadres de la Ligue du Midi en sortiront la tête haute. Richard Roudier qui a assumé en permanence l’action au RAIH (local ouvert au public) déclarait, lors de sa sortie de l’hôpital, qu’il ne fallait pas faire d’amalgame entre quelques brebis galeuses et la grande majorité des fonctionnaires de police et ne regrette pas sa présence lors des manifestations de policiers au printemps.

    Lorsque dans quelques années nous constaterons tous et toutes que la situation nous aura définitivement échappée et que l’Europe sera sous contrôle étranger, l’avertissement que Churchill lança aux démocraties en apprenant la signature des accords de Munich résonnera bien étrangement :

    « Entre le déshonneur et la guerre, vous avez choisi le déshonneur, et vous aurez la guerre »

    NDLR SN : Depuis quelques jours, nombreux sont les patriotes qui veulent manifester leur émotion et leur soutien à Richard Roudier. Ils peuvent le faire ne écrivant à liguedumidi@orange.fr

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • APL: T’as pas cinq balles?

    Ne vous demandez pas ce que vous pouvez faire pour votre pays, demandez-vous combien votre pays vous doit – et braillez-le sur tous les tons. Ainsi pourrait-on résumer la nouvelle philosophie, sinon des Français, de ceux qui se targuent de parler pour eux, élus et médias, sans oublier les inévitables associations devenues les arbitres des élégances sociales.

    17 centimes par jour

    Encore que, soyons honnêtes, pas mal de mes concitoyens semblent prêts à se dire opprimés, victimisés et bien sûr discriminés, parce qu’on leur sucre cinq balles d’allocs par mois, soit 17 centimes par jour. Sur je ne sais quelle chaîne, Virginie, ou peut-être bien Prune, étudiante en je ne sais pas quoi mais déjà docteur en comptes ménagers explique que, si on soustrait 5 euros de son budget de 377 euros, c’est la vie qu’on lui enlève. C’est certainement dur de vivre avec 377 euros par mois, mais ce qui est encore plus dur, c’est de penser de cette façon à 20 ans, et même à 50. Quand bien même Virginie ou Prune devrait sauter un repas dans le mois pour contribuer à l’effort national, cela signifierait-il que nous sommes revenus aux heures les plus noires de la révolution industrielle ?

    Et le tabac dans tout ça?

    Du reste, ceux qui en font des caisses sur le sort des étudiants ont la larme à l’œil quand ils écoutent La Bohême – « Nous ne mangions qu’un jour sur deux ».

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  • La nouvelle Assemblée ou la philosophie du foutoir

    Par André Bercoff

    Dans cette humeur selon son style si personnel et si sympathique [Figarovox 28.07] André Bercoff exprime un fort point de vue. Derrière l'amateurisme des députés LREM, les amendements antiracistes liés à la loi de moralisation montrent une volonté de réduire au silence tous ceux qui ne rentrent pas dans les clous de la « police novlangue ». André Bercoff a raison.  LFAR

    En politique comme ailleurs, il est peut-être bon de ne rien savoir, mais il ne faut point en abuser. Ils furent nombreux à se réjouir, et légitimement, de l'éruption des jeunes pousses de la société civile dans la République en Marche. Le Monde Nouveau surgissait enfin sur les bancs du Palais Bourbon, balayant les caciques fatigués, les septuagénaires blasés, et les vieilles formations gouvernementales en déroute. Reste qu'être député exige un certain nombre de connaissances quant au fonctionnement de l'appareil législatif : faire la différence entre article et amendement, savoir formuler sa question de façon à ce qu'elle n'apparaisse pas comme un sabir au goût étrange venu d'ailleurs ; de ce point de vue, le présent spectacle apparaît, selon que l'on appartienne à la majorité sonore ou à l'opposition indignée, réjouissant ou navrant.

    Force est de reconnaître qu'une dimension quasi zoologique vient d'être atteinte avec des députés qui votent contre un article de la loi de « confiance dans l'action publique » qu'ils avaient pourtant ratifié en commission. Ce qu'on appelle peut-être en psychanalyse la schizophrénie heureuse ; en réalité ici, l'envers d'un amateurisme appelé sans doute à s'estomper quand les néophytes apprendront à la fois la base du métier et la maîtrise de leurs affects. Pour le moment, ils semblent fonctionner à l'aveugle en attendant les instructions de messieurs Ferrand et Castaner, et la baguette du chef d'orchestre de Rugy : en l'absence de ceux-ci, tous les désespoirs sont permis, ce qui laisse aux aimables comédiens de la France Insoumise le loisir de se livrer aux jeux de rôles dont ils sont, faute de vrai pouvoir, si friands.

    Mais tout cela n'est que billevesées à côté d'amendements qui viennent d'être votés et qui rendent définitivement inéligibles tout candidat qui se serait livré à des déclarations discriminatoires, injures publiques, provocations à la haine raciale: tout le vocabulaire des associations « droitsdelhommistes » à sens unique, anti-racistes deux poids deux mesures, qui consiste en fait à censurer et à paralyser toute personne qui oserait s'exprimer en dehors des passages cloutés de la police novlangue. Soyons clairs : il ne s'agit en aucun cas ici de cautionner ni d'admettre le racisme d'où qu'il vienne et la haine d'où qu'elle jaillisse. Mais comme la parole dominante et la pensée toujours unique s'attachent à ne culpabiliser et à ne condamner que ceux qui ne pensent pas comme elles, on s'aperçoit que le curseur est mis de façon à ne frapper que d'un côté. Aujourd'hui, cela vise les politiques et déjà les intellectuels, demain les humoristes et bientôt - pourquoi pas - les citoyens. Je relisais récemment une collection du magazine Hara Kiri des années 60-70 ; j'écoutais les monologues de Pierre Desproges, de Coluche et d'autres : ils seraient tous aujourd'hui dans le collimateur de la nouvelle Inquisition. Sous les pavés des faux débats parlementaires, la plage de Big Brother s'étend. Régressivement. Dangereusement.  

    André Bercoff

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Trump : derrière le chaos, la victoire ? (1re partie)

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    Faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille…

    Il est dit que Trump, chaotique, tombe en vrille. Avant de nous prononcer, faisons le bilan du coup d’État rampant qui le tenaille (avant de prévoir, en 2e partie, les prochains mouvements tactiques et stratégiques du président).

    Reprenons :

    1) Trump a gagné l’élection du 8 novembre avec un nombre écrasant de grands électeurs, et peut-être même la majorité du vote populaire (l’enquête menée par le vice-président Pence sur les fraudes électorales – dont le vote des illégaux – permettra de le savoir).

    2) Depuis la rencontre du 14 novembre (à l’hôtel Mandarin de Washington) entre la chef de file démocrate Nancy Pelosi, George Soros et un certain nombre de capitalistes, un coup d’État rampant a été mis en branle, visant à transformer Trump en Viktor Ianoukovytch. Il fallait trouver une histoire à vendre au public, tout en lançant une sédition à géométrie variable.

    3) On se souvient que tout avait démarré avec le piratage, en 2016, du serveur du Parti démocrate, et les publications de WikiLeaksdes courriels de Podesta (le directeur de la campagne Clinton). Ces deux actes ont été « imputés » à Poutine en personne, orchestrant un « acte de guerre » à l’encontre des États-Unis.

    4) Puis est survenu le fameux « dossier Trump » en janvier 2017, décrivant un Trump se livrant à la débauche dans un hôtel de Moscou. Ce dossier assemblé pour le compte du Parti démocrate par la firme américaine de salissage politique Fusion GPS a été, depuis, unanimement démoli.

    5) Depuis six mois, la relation entre Trump et le Congrès est à « qui manipule l’autre ». Le Congrès tentant d’imposer son programme à Trump (autrement dit celui des bailleurs de fonds électoraux), Trump cherchant à se rallier les élus républicains.

    6) La réalité est que la majorité des élus républicains veulent le vice-président Mike Pence comme président et, passivement ou activement, ont été complices de l’inquisition visant à faire tomber Trump pour collusion dans « l’ingérence russe dans nos processus démocratiques ».

    7) Cette inquisition se matérialise aujourd’hui par quatre enquêtes parlementaires (sans succès), une enquête du FBI (sans succès) et, enfin – in cauda venenum –, celle du procureur spécial Robert Mueller, républicain « bushiste » qui a recruté une équipe juridique… pro-Clinton afin de fouiller dans les affaires personnelles de Trump.

    8) Or, les lois américaines sont telles qu’on peut toujours trouver un crime. Le journaliste Tucker Carlson disant récemment : « Si je vais au restaurant à Moscou, il y a fort à parier que je serai inculpé par le FBI pour blanchiment d’argent ! »

    9) Début juillet, lorsque sa famille est passée à la moulinette des enquêtes, Trump a alors compris que sa mise à mort se profilait. Il a réagi…

    En 2e partie nous verrons comment Trump a ridiculisé les élus républicains « gestionnaires » tout en motivant les élus « idéologiques », comment il a débloqué un certain nombre d’obstacles, comment il a repeint le paysage à coups de tweets, de couteau (ou de massue !), et enfin comment il réorganise sa maison afin de tenter une échappée quand tous dormiront en août.

    http://www.bvoltaire.fr/trump-derriere-chaos-victoire-1re-partie/

  • En marche vers le collimateur : Macron avait décidé de virer le général de Villiers avant le « coup de gueule » du 12 juillet

    Narcissime, ego et despotisme : 

    "Le jeu de bascule s’apparente aussi à la «revanche de Bercy», après trois années durant lesquelles la Défense a somme toute tenu la dragée haute aux argentiers de l’État. Il n’est guère étonnant que les questions de budget aient été au cœur du maelström des dernières semaines. À deux jours de la Fête nationale, «Bercy a joué ses cartes à toute vitesse, pour faire passer ce qui n’aurait pas été possible sous Le Drian», raconte une source gouvernementale. Un haut fonctionnaire a joué un rôle clé dans l’ombre du chef de l’État: celui qui fut son directeur de cabinet lorsqu’il était ministre des Finances, Alexis Kohler, actuellement secrétaire général de l’Élysée.

    Une bonne source raconte ainsi comment se serait «noué le sort» du général de Villiers, ce 12 juillet au matin. Non pas lors de l’audition parlementaire à huis clos, tant commentée, qui se déroule en fin de matinée et à l’issue de laquelle le chef d’état-major des armées (CEMA) a fait part de son exaspération en des termes plutôt crus. Mais un peu plus tôt, lors du conseil restreint de défense qui se tient à 9 heures à l’Élysée. La veille, Gérald Darmanin, le ministre de l’Action et des Comptes publics, a évoqué les économies à réaliser dans une interview au Parisien, que nombreux au gouvernement, Défense en tête, jugent intempestive. Parce qu’il faut trouver 4,5 milliards d’euros au second semestre et qu’on veut baisser les prélèvements, il faut «taper tout de suite» dans le budget de l’État.

    Lors de la réunion à l’Élysée, le premier ministre, Édouard Philippe, confirme la réduction de 850 millions d’euros imputée au budget de la Défense en 2017. La ministre des Armées, Florence Parly, exprime alors son désaccord, soutenue par Jean-Yves Le Drian, le nouveau patron du Quai d’Orsay. Enfin, le général de Villiers prend lui aussi la parole. «Alexis Kohler en a été extrêmement mécontent», indique une bonne source. Aucune déclaration n’a filtré de ce conseil restreint couvert par le secret de la défense nationale. Il n’en ira pas de même lors de la commission parlementaire, quelques heures plus tard, d’où «fuite» la colère du CEMA. Un enchaînement d’événements retentissants est enclenché.

    «Ce qui a déplu à Alexis Kohler, c’est l’idée qu’on puisse imaginer revenir sur un arbitrage du président de la République en organisant la pression. On n’est plus sous Hollande», souligne une source proche de l’affaire. «Ce qui l’a excédé, c’est la contestation de l’autorité. L’argument selon lequel le CEMA aurait contrevenu au devoir de réserve (évoqué par Emmanuel Macron dans son discours à l’Hôtel de Brienne, NDLR) ne tient pas. Faire passer cette affaire pour une histoire de discipline, c’est de l’habillage médiatique», estime cette source. Selon celle-ci, la «fuite» des propos du CEMA devant les parlementaires a été «exploitée pour en faire une démonstration d’autorité». Le message aux 220 directeurs d’administration centrale et principaux responsables de l’administration est clair: «Attention, seuls les plus loyaux resteront.»"

    Lahire

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Harlem Désir recasé à plus de 10.000 euros mensuels exemptés d’impôts pour nous baratiner sur la liberté des médias

    Défaite électorale ou pas, les socialistes ont un grand talent pour se recaser. Ainsi, Harlem Désir, ex-président de SOS Racisme et ancien premier secrétaire du Parti socialiste, a été nommé au poste de représentant pour la liberté des médias au sein de l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe.

    Représentant « pour la liberté des médias  » ? On croit rêver ! Rappelons que cet énergumène est un professionnel de longue date de la police de la pensée, grand adepte de l’utilisation des lois liberticides de type Pleven-Gayssot.

    Mais revenons aux avantages financiers qui accompagnent cette nouvelle fonction offerte à Harlem Désir.  L’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE) a un système de rémunération basé sur celui de l’Organisation des Nations unies « pour les membres de ses équipes », ce qui signifie que les trois dirigeants à la tête des trois institutions que compte l’OSCE (responsable du Bureau des institutions démocratiques et des droits de l’homme, représentant pour la liberté des médias et haut commissaire pour les minorités nationales) ont… le rang de sous-secrétaire général de l’ONU.

    Pratiquement, cela signifie qu’Harlem Désir va empocher 122.195 euros annuels, soit plus de 10.180 euros par mois, et exemptés d’impôts !

    Ah, la dure vie de socialiste…

    http://www.medias-presse.info/harlem-desir-recase-a-plus-de-10-000-euros-mensuels-exemptes-dimpots-pour-nous-baratiner-sur-la-liberte-des-medias/77746/

  • Loi de moralinisation

    Si quelqu’un veut instaurer une dictature en France, qu’il s’y prenne entre le 20 juillet et le 15 août, il a toutes les chances d’y parvenir. Personne ne troublera ses vacances pour si peu. À l’exception d’un édito par-ci et d’une tribune par-là, nul ne s’est ému de la disposition scélérate adoptée par l’Assemblée dans la nuit de vendredi à samedi, avec le reste de la stupide loi « confiance ».

    Que dire, en effet, d’un texte par lequel les députés acceptent de se placer sous une tutelle infantilisante parce que le moloch de l’opinion exige de voir leurs notes de frais et que puisque je suis obligé de le faire pourquoi pas eux gnagnagna, et qui leur interdit de surcroît de travailler avec les personnes en lesquelles ils ont le plus confiance, parce que le Canard et Mediapart sont aux aguets ? Cette loi manifeste en vérité un consternant asservissement à l’air du temps et aux vaches sacrées d’une époque qui ne tolère plus que l’on ait quelque chose à cacher. On dira que, si les députés veulent se mettre à poil, c’est leur problème. Pardon, mais vu qu’ils me représentent, moi le peuple souverain, c’est un peu le mien.

    Feu sur la liberté d’expression!

    Toutefois, le plus scandaleux n’est pas cette nouvelle et grotesque avancée de la transparence, mais le forfait contre la liberté d’expression, donc, contre la démocratie, contenu dans l’article 1, de la loi, modifié au cours des débats par les amendements 572 et 621, dont Alain Jakubowicz, le patron de la Licra, tient absolument à faire savoir urbi et orbi qu’ils ont été inspirés par son association. Il s’agit en réalité d’un sucre lâché aux ultras, tous ceux qui entendent laver plus blanc que blanc (surtout le linge des autres), pour leur faire avaler l’abandon de l’exigence de casier judiciaire vierge pour tous les candidats, idée qui, en plus de son robespierrisme outrancier, montre la confiance que nous avons dans la capacité de rédemption de notre Justice, mais qui, semble-t-il n’était pas constitutionnelle, quel dommage.

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  • Constance : il mitraille dans une discothèque. Encore un musulman demandeur d’asile !

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    La population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans.

    Depuis l’ouverture des frontières par la chancelière démocrate-chrétienne Angela Merkel durant l’été 2015, la population allemande est frappée quotidiennement par des attaques physiques ou sexuelles commises par des migrants musulmans. Ce dimanche 30 juillet 2017, la ville de Constance, située au bord du lac du même nom dans le sud du Bade-Wurtemberg, près de la frontière suisse, fait la une de l’actualité. Un demandeur d’asile irakien de 34 ans y a ouvert le feu dans une discothèque. Deux personnes, dont l’auteur des faits abattu par la police, sont décédées et plusieurs sont blessées, dont trois lourdement.

    Le tueur était connu de la police pour divers délits et vivait depuis longtemps à Constance. Il a pénétré dans la discothèque et, quelques minutes plus tard, vers 4 h 30, a ouvert le feu avec une arme à canon long. Lorsqu’il a quitté la discothèque, un échange de coups de feu a eu lieu avec la police et l’individu a été blessé mortellement. Il est décédé de ses blessures à l’hôpital. Un policier a été également blessé lors de l’échange de coups de feu, mais n’est pas en danger de mort.

    Un témoin raconte à l’agence de presse DPA (Deutsche Presse-Agentur) que l’auteur a tiré avec une mitraillette au hasard, dans la discothèque Grey, sur les personnes présentes dans ce lieu qui était bondé. Des centaines de personnes y dansaient. Lors des faits, la panique s’est emparée des noctambules qui se sont enfuis et se sont cachés. La police a déployé des forces spéciales et a demandé un hélicoptère de la police pour d’éventuelles recherches.

    L’Allemagne était autrefois un pays au sein duquel une femme pouvait sans problème se promener seule dans la rue la nuit, même dans une grande ville. L’afflux de migrants a changé complètement la donne. Faire ses courses, se rendre dans une discothèque, se promener dans la rue n’est plus désormais un acte anodin, mais peut conduire aux pires conséquences. Les Allemandes et Allemands ne sont plus en sécurité à leur domicile. Des migrants pénètrent chez les habitants du cru et les tuent pour les voler ou violent les femmes. À Auerbach dans le sud de la Bavière, un Roumain a été arrêté ce 28 juillet après avoir violé une Allemande à son domicile. 

    Face à toutes ces atrocités, la justice ne daigne pas condamner lourdement les auteurs des faits, leur trouvant des circonstances atténuantes au vu de leurs origines. Cinq jeunes individus dénommés Murat C., Hasrit S., Madonna R., Meto K. et Amir R., qui avaient tué un pensionné de 81 ans à son domicile à Tönisvorst en Rhénanie-du-Nord-Westphalie en le battant à mort lors d’un vol organisé, écopent, alors qu’ils étaient déjà connus des forces de l’ordre pour d’autres faits, de peines allant de 6 ans et 7 mois à 7 ans et 9 mois de prison.

    À Hanovre, en Basse-Saxe, le Marocain Nori Najia été condamné à seulement 7 ans et 3 mois de prison pour avoir violé durant deux heures et agressé violemment une Allemande de 27 ans enceinte de sept mois de jumeaux à son domicile alors qu’elle rentrait chez elle.

     Écrivain et journaliste belge francophone Son blog