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Le ministre estonien des Affaires étrangères a averti que l’Occident risquait de perdre d’importantes réserves de minerais en Ukraine, indispensables aux technologies et à la défense. Il a souligné que ces ressources se trouvaient près de la ligne de front et que leur contrôle par la Russie renforcerait son influence dans des secteurs clés.
L’Occident pourrait perdre d’énormes réserves de minerais essentiels en Ukraine, a écrit le ministre estonien des Affaires étrangères, Margus Tsahkna, dans un article pour le National Interest.
Dans le dictionnaire des bien-pensants, le mot « submersion » n’existe pas. Comme Voldemort est le nom qu’on ne prononce jamais chez Harry Potter, il y a pour les policiers de la pensée des mots qui fâchent. Ils sentent le pas cadencé et le bras tendu.
La République des coquins et des faquins s’illustre une fois de plus, et devinez par quelle bouche elle s’exprime ? Macron bien entendu. Encore et toujours lui, le chantre de la provocation, l’habitué des turpitudes, le virtuose de l’indécence. Moqué à l’international, évité quand il n’est pas carrément remis vertement à sa place par des responsables étrangers, empêtré dans le feuilleton Owens qu’il aurait souhaité étouffer comme il le fait si facilement en France… revoilà l’enfant gâté en pleine crise d’autoritarisme, se contorsionnant comme il sait le faire lors de ses caprices, en annonçant qu’il veut remplacer Fabius par Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel. L’homme mis en cause avec son épouse pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire des mutuelles de Bretagne, c’est moins bien que le sang contaminé, mais c’est tout de même un délit. Celui-là même dont les enquêteurs journalistes du Monde nous révèlent, dans leur dernier opus, « les juges et l’assassin » qu’il a docilement appris par cœur les éléments de langage pour mentir officiellement devant une commission parlementaire.
La République des coquins et des faquins s’illustre une fois de plus, et devinez par quelle bouche elle s’exprime ? Macron bien entendu. Encore et toujours lui, le chantre de la provocation, l’habitué des turpitudes, le virtuose de l’indécence. Moqué à l’international, évité quand il n’est pas carrément remis vertement à sa place par des responsables étrangers, empêtré dans le feuilleton Owens qu’il aurait souhaité étouffer comme il le fait si facilement en France… revoilà l’enfant gâté en pleine crise d’autoritarisme, se contorsionnant comme il sait le faire lors de ses caprices, en annonçant qu’il veut remplacer Fabius par Ferrand à la tête du Conseil Constitutionnel. L’homme mis en cause avec son épouse pour prise illégale d’intérêts dans l’affaire des mutuelles de Bretagne, c’est moins bien que le sang contaminé, mais c’est tout de même un délit. Celui-là même dont les enquêteurs journalistes du Monde nous révèlent, dans leur dernier opus, « les juges et l’assassin » qu’il a docilement appris par cœur les éléments de langage pour mentir officiellement devant une commission parlementaire.
Après avoir été un des animateurs du combat à Callac en Bretagne avec mes amis – notamment Pierre Cassen, Catherine Blein, Danielle Le Men – contre la venue de 537 Africains dans un bourg de 2200 habitants, j’ai écrit un livre (« Callac, la mère des batailles » – Synthèse Nationale) afin que les leçons du combat que nous avions mené ne soient pas perdues. Dans ce livre, il y avait un chapitre intitulé « Le business de l’immigration ». Il avait pour objet de dénoncer ce que nous avions commencé à voir, à savoir que des gens officiellement avec le cœur sur la main et voulant « accueillir des gens en grande précarité » (les migrants) étaient en fait des personnes qui agissaient pour des raisons bassement matérielles.
Des dizaines de milliers de Londoniens, encore plus que le 26 octobre dernier (cliquez ici et cliquez là), sont descendus dans les rues de la capitale britannique samedi après-midi pour exiger la libération immédiate de celui qui est en train de devenir le héros du peuple anglais qui refuse de mourir, Tommy Robinson.
François Bayrou l'a annoncé dans un entretien à la Tribune du dimanche : il déclenchera l'article 49.3, ce lundi 3 février, pour faire passer le projet de loi de finances de l'État (PLF) et le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS). Le Premier ministre a justifié sa décision : « Maintenant, il faut passer sans tarder à l’adoption. Un pays comme le nôtre ne peut pas rester sans budget. Le seul moyen, c’est d’engager la responsabilité du gouvernement. Ce sera fait ce lundi. »
Ce type était une ordure. Un maquereau pédophile. Un maître chanteur. Il aurait dû être condamné à la prison à vie, sans possibilité de remise de peine, par un jury populaire dûment constitué. Au lieu de ça, ses clients, des détraqués sexuels de «l’élite», se sentant menacés malgré leur fortune et leurs accointances dans les hautes sphères, auraient décidé de le faire taire. Définitivement.
Rien ne fonctionne dans la stratégie énergétique de l’Allemagne en pleine crise économique, politique et stratégique. Après avoir subi le double coup dur de la fin des achats de gaz russe par gazoduc et, en septembre 2022, du sabotage de Nord Stream dans la mer Baltique, il apparaît désormais que Berlin continue tout de même de recevoir l’or bleu de Moscou, mais sous une forme plus coûteuse et plus complexe. Plus précisément, depuis Dunkerque, dans le nord de la France. Près des plages où, en 1940, la Wehrmacht d’Adolf Hitler laissa échapper l’occasion d’asséner un coup fatal au corps expéditionnaire britannique fuyant la France alors occupée; une nouvelle humiliation, bien que plus subtile, est aujourd’hui infligée à Berlin par un pays considéré comme adversaire : la Russie.
Bande de lopettes, de sans-couilles ! Ils ont osé s’attaquer à la sépulture de Jean-Marie Le Pen ! Ces pourris ne respectent absolument rien ! « L ’infamie que vous m’enseignez, je la mettrai à exécution et je me fais fort de surpasser mes maîtres. » William Shakespeare. Voilà ce que m’inspire cet acte scandaleux ! Cela me donne l’envie de les combattre encore et toujours de plus en plus fort. Je puis admettre que certains n’aiment pas les idées développées par notre Menhir, bien que ce qui se passe actuellement prouve, s’il en était besoin, qu’il avait 30 ans d’avance. Il voyait juste. Ses paroles, lorsqu’il m’a quitté, alors qu’il m’avait fait l’honneur de venir manger chez moi, JAMAIS je ne les oublierai. « Président, lui dis-je, si vous aviez 20 ans de moins, vous seriez élu ». Ce à quoi il m’a répondu : « Patrick, en politique je n’ai eu qu’un seul tort, celui d’avoir raison trop tôt ».