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Sandrine Rousseau, après la réélection de justesse de Yaël Braun-Pivet comme présidente de l'Assemblée nationale, a eu raison de dénoncer "des tactiques qui ne sont pas dans l'esprit de la démocratie". LFI envisage de contester cette victoire par des recours juridiques.
En réalité, par cette critique ciblée et évidemment partisane, Sandrine Rousseau projette sans le vouloir une lumière crue sur la perversion nationale qui, au moins depuis la décision de dissolution, entraîne notre pays dans une dérive où la démocratie est partout absente. Et la sincérité politique nulle part.
C’est un feuilleton qui n’en finit pas. Qui sera le nouveau Premier ministre d’Emmanuel Macron ? Si une pelletée de noms a déjà été citée – entre autres Huguette Bello, André Chassaigne, Laurence Tubiana –, c’est désormais celui de Lucie Castets qui est sur toutes les lèvres des membres du Nouveau Front populaire. Énarque de 37 ans passée par les plus prestigieuses écoles (Sciences Po, London School of Economics et ENA), cet ancien membre du ministère de l’Économie a le CV typique du technocrate. Invitée de France Inter, mercredi 24 juillet, cette dernière a tenté de crédibiliser son image. « Le moment est grave, mais je pense qu’un espoir est levé, dit-elle, le regard baissé, rivée sur ses notes. Et de poursuivre, en toute modestie : « Je suis prête, nous sommes prêts. Je demande maintenant au président de la République de prendre ses responsabilités et de me nommer Premier ministre. » Balayant d’un revers de main l’hypothèse Lucie Castets, Emmanuel Macron avait pourtant affirmé, la veille, sur France 2 : « La question n’est pas un nom. La question, c’est quelle majorité peut se dégager à l’Assemblée. » Fin de non-recevoir pour le NFP. Le Président impose et dispose.
Un incendie aux abords des voies à hauteur de Courtalain dans l’Eure-et-Loir a engendré l’interruption des circulations sur la ligne à grande vitesse Atlantique, provoquant des retards.
La SNCF s’est dit victime d’« une attaque massive pour paralyser le réseau » des TGV, les perturbations devraient « durer au moins tout le week-end », selon l’entreprise.
Le Brexit, une chance pour l’Europe puissance des nations et pour la langue française ?
Le Brexit aurait dû être une chance pour l’Europe Puissance des nations et pour la langue française qui a été paradoxalement éclipsée par l’anglo-américain, suite au non-respect de leurs promesses par les Anglais et suite à la trahison récente des élites françaises dont le président Macron qui a obtenu le prix déshonorant de la « Carpette anglaise » ! Pompidou avait perçu très clairement le problème, avant même l’entrée de l’Angleterre dans le Marché commun, puisqu’il avait exigé que les fonctionnaires britanniques à Bruxelles parlent français. La promesse fut tenue par l’Angleterre jusqu’à l’élargissement de l’UE à l’Europe de l’Est où les Anglais procédèrent à un coup d’État interne, pour imposer l’anglais à ces pays en lieu et place du français.
L’aveuglement de notre classe politique et des observateurs, dans l’immense majorité, en devient absurde. Le déni est partout visible mais personne n’ose en parler. L’interdit a été décrété pour ne pas froisser les bonnes consciences ni heurter les habitués du système. Le mot d’ordre est : Silence. Comme s’il suffisait de soustraire un fait à la réalité pour qu’il n’existe pas. On se complaît dans l’adoration d’une organisation qui est arrivée au bout. Nous avons d’abord un président largement détesté par la majorité des Français, qui refuse un verdict des urnes pourtant clair et façonne une réalité qui ne siège que dans son esprit et dans laquelle il reste le maître de tout. Il n’est plus un simple président qui passe, mais s’incarne comme le pouvoir de droit divin qui ne peut que durer et imposer sa vision des choses. Lui qui voudrait qu’on retrace l’histoire de la Révolution n’a même pas conscience qu’à cette époque, il y a longtemps qu’il aurait subi le sort de Danton ou Robespierre, ses écarts et trahisons l’auraient propulsé vers une fin tragique. Il n’a plus de limites puisqu’il les a fait disparaître, avec l’assentiment d’abord d’un parlement tétanisé, stupide ou complice, et d’un Conseil Constitutionnel qui s’est transformé en chambre de validation des caprices du prince.
Le Président a beau être performant, sembler compétent et diriger le pays en conducteur des travaux… il lui manque l’affection, l’humilité et l’amour ! Il gère des citoyens, alors que le roi a charge d’âmes. Eh oui, les gens de France sont comptés en âmes et non en électeurs !
Les Jeux olympiques, une manne pour l’économie française. C’est ce que les promoteurs de cette belle compétition sportive quadriennale promettaient. Certes, pour le bâtiment français ou les grands groupes comme Bouygues, Carrefour ou Decathlon, les retombées sont sûrement positives. À défaut de l’être pour les finances publiques. On espère, aussi, que les soubresauts politiques et les interrogations sur la sécurité, malgré un dispositif français que l'on espère à la hauteur, ne viendront pas obérer le chiffre d’affaires attendu de l’hôtellerie-restauration déjà en demi-teinte.
Selon Le Monde, l’ancien maire du 9e arrondissement de Lyon a été mis en examen ce mercredi pour corruption passive et trafic d’influence passif en bande organisée par un élu public dans l’affaire des ingérences et rémunérations étrangères présumées.