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magouille et compagnie - Page 1919

  • Une fusion PS/LR se concrétise

    Capture d’écran 2015-11-10 à 20.42.06Exit le front républicain : pour faire barrage au FN, on évoque à Matignon la possibilité de fusionner les listes Les Républicains/PS au soir du premier tour des élections régionales, en particulier dans la grande région Nord-Pas-de-Calais-Picardie. 

    Néanmoins François Hollande y serait totalement opposé : une telle coalition reviendrait à alimenter l'UMPS. Mais pour l’entourage du Premier ministre, il n’est pas question de se laisser enfermer dans cette logique, car on estime, qu’à un moment, il faut assumer face au FN.

    En tout cas le ballon d'essai est lancé.

    Michel Janva

  • Valeurs Actuelles, Minutes et Rivarol exclus des aides à la presse

    La République prive la presse patriote de subventions au nom du pluralisme et de la liberté d’expression. S’il n’y a rien à attendre des fanatiques qui gèrent notre pays, ils montrent chaque jour, un peu plus la haine qu’ils vouent à la France. L’argent est le nerf de la guerre, et le gouvernement étend ainsi un peu plus sa main mise sur la presse papier.

    Trouvé sur Ouest-France : « Les aides à la presse sont étendues à 50 titres ne dépassant pas les 300 000 exemplaires, mais Valeurs Actuelles, Minute et Rivarol en sont exclus après leur condamnations.

      Le gouvernement a étendu les aides à la presse au titre du pluralisme d’opinions à une cinquantaine de titres, allant du Monde Diplomatique à Témoignage Chrétien, sauf ceux condamnés pour incitation à la haine ou à la violence, ce qui exclut notamment Valeurs Actuelles. 

    Ces subventions, destinées aux publications nationales généralistes aux faibles ressources publicitaires (moins de 25 % de leurs recettes), étaient jusqu’ici réservées aux quotidiens – concrètement L’Humanité, Libération et La Croix. Un décret du ministère de la Culture paru ce week-end étend ces aides aux autres périodiques (hebdos, quinzomadaires, mensuels, trimestriels), ce qui devrait bénéficier à 40 ou 50 titres.

    Rien non plus pour Charlie Hebdo

    Deux conditions : ne pas dépasser les 300 000 exemplaires et ne pas avoir été condamné pour racisme, antisémitisme ou incitation à la haine ou à la violence au cours des cinq dernières années. Cette dernière condition exclura notamment Valeurs Actuelles, un des dix grands magazines généralistes français, condamné pour provocation à la haine contre les Roms en mars.

    Ou encore des publications moins importantes comme Minute, condamné en 2014 pour incitation à la haine homophobe, ou Rivarol, condamné pour provocation à la haine antisémite, deux publications marquées à l’extrême-droite.

    Cette aide, imaginée au départ pour aider des titres en difficulté comme Charlie Hebdo, ne concernera pas non plus le journal satirique car il dépasse la barre des 300 000 exemplaires depuis l’attentat qui a décimé sa rédaction en janvier dernier. 

    4 millions d’euros

    L’extension des aides avait été décidée en janvier par la ministre de la Culture Fleur Pellerin au vu des difficultés de certains titres« qui participent du débat démocratique, nourrissent la conversation nationale et font donc vivre la République ».

    Des titres de tous bords en bénéficieront, comme Pèlerin Magazine ou Causette, dont certains – comme TerraEco – sont en redressement judiciaire. Fleur Pellerin a dégagé 4 millions d’euros sur le budget 2 015 de son ministère pour pouvoir soutenir ces journaux jugés « essentiels à la vitalité de démocratie », a précisé le ministère.

    « Cette réforme qui se concrétise, c’est un signe politique fort de mon soutien, du soutien de ce gouvernement, au pluralisme et à la liberté d’expression », a déclaré la ministre à l’AFP. »

    Source

    http://www.contre-info.com/valeurs-actuelles-minutes-et-rivarol-exclus-des-aides-a-la-presse#more-39847

  • Affaire Anticor/Buisson : Christiane Taubira soupçonnée de prise illégale d'intérêt

    Déjà désavouée lors de la plainte de Walwari contre Anne-Sophie Leclère, jugée irrecevable, Christiane Taubira serait à nouveau mise en cause, comme juge et partie, dans l'affaire des sondages de l'Elysée. En effet, un échange d'e-mail confirmerait les accusations de Patrick Buisson qui a porté plainte contre Christiane Taubira pour "prise illégale d'intérêt" en 2013 :

    "C'est un dossier très sensible qui se trouve – depuis près de deux ans – sur le bureau de la juge d'instruction parisienne Sabine Kheris. Si sensible que, depuis que cette juge s'est vu confier cette délicate affaire de "prise illégale d'intérêt", aucun acte d'instruction n'a été accompli. Il faut dire que la plainte vise un membre très en vue du gouvernement : Christiane Taubira, la ministre de la Justice et garde des Sceaux (...)

    Pour Patrick Buisson, la garde des Sceaux, qui est l'autorité hiérarchique du parquet, serait donc à la fois juge et partie. Après une longue bataille de procédure, cette plainte a été validée par la cour d'appel en janvier 2014. Une juge d'instruction a été saisie. Mais, depuis, le dossier est au point mort.

    Aujourd'hui, des documents versés au dossier d'instruction, que France 3 a pu consulter, apportent un éclairage sur les relations entre la chancellerie et Anticor. Et ils pourraient étayer les soupçons de "prise illégale d'intérêt"."

    Philippe Carhon

  • Du maoïsme au bushisme, de l’immigration à la carte scolaire…la somme de toutes leurs erreurs

    Plus âgé qu’un BHL avec lequel il a partagé une certaine trajectoire idéologique, les mêmes obsessions et en son temps la même étiquette («les nouveaux philosophes ») André Glucksman (paix à son âme), est décédé dans la nuit de lundi à mardi à l’âge de 78 ans. M. Glucksman symbolisait toutes les errances, les erreurs, les aveuglements d’une certaine caste intellectuelle. Il fut un des signataires, en 1977, dans le journal Le Monde, d’une pétition en faveur d’inculpés maintenus en détention provisoire dans une affaire de pédophilie. (Médiocre) philosophe, ancien communiste passé au maoïsme fanatique, collaborateur de La Revue des temps modernes de l’agité du bocal Jean-Paul Sartre, cet ami de Bernard Kouchner fut au nombre des gauchistes qui se sont ralliés au Nouvel ordre mondial . Une trajectoire assez courante qui a vu ainsi aux Etats-Unis de nombreuses figures de l’extrême-gauche faire allégeance au bushisme neocon…André Glucksman apporta un soutien sans recul à Washington, dont il a défendu toutes les mauvaises croisades, notamment contre le régime laïque irakien en 1991 et 2003. Adversaire virulent de l’opposition patriotique en France, comme du réveil national dans la Russie de Poutine, M. Glucksman avait appelé à voter Sarkozy à la présidentielle de 2007. Il défendait notamment la proposition du candidat de l’UMP de financer avec «l’aide publique la construction de mosquées » pour lutter contre « l’intégrisme », et sa volonté de mettre en place « la discrimination positive »…la boucle est bouclée.

    En fait de discrimination positive, ou plus exactement d’un de ses avatars, il est de nouveau fait état dans l’actualité de la carte scolaire. «Faut-il la supprimer ou non ? » s’interroge Le Monde. «Donner aux familles la possibilité de choisir l’établissement de leur enfant, ou affecter les élèves d’office ? C’est l’éternel débat depuis que la carte scolaire – plus précisément l’affectation des élèves au collège selon leur secteur d’habitation – existe. »

    « Sur ce sujet, Najat Vallaud-Belkacem n’apporte pas de réponse tranchée. Si (le) ministre de l’éducation nationale s’est engagée à agir pour davantage de mixité à l’école – c’est l’objectif premier affiché depuis les attentats de janvier et la grande mobilisation de l’école pour les valeurs de la République qui en a découlé –, aucune des mesures qu’elle envisage ne laisse présager de grand soir (…). L’idée est plutôt d’impulser une dynamique, de mobiliser les territoires pour les amener à trouver des solutions concrètes. A ce jour, dix-sept départements se sont engagés à mener des expérimentations en ce sens à partir de la rentrée 2016. Au total, ils seront plus d’une vingtaine», assure Mme Vallaud Belkacem.

    Or, « la dernière réforme remonte à 2007, sous la présidence de Nicolas Sarkozy. Elle a consisté à assouplir la carte, c’est-à-dire à élargir la liste des critères de dérogation auparavant strictement limités. Des études ont montré qu’elle avait conduit à ghettoïser davantage certains collèges de ZEP. Aujourd’hui, 700 collèges (soit 10 % d’entre eux) accueillent moins de 6 % de collégiens d’origine sociale très favorisée. Soixante-dix collèges accueillent plus de 80 % de collégiens d’origine sociale défavorisée.»

    Il est vrai que pour échapper aux établissements pluriels , caractérisés le plus souvent par leur médiocrité, beaucoup de parents ont su utiliser, du moins ceux qui le peuvent, l’assouplissement de la carte scolaire qui permet d’obtenir, dans la limite des places disponibles, une dérogation à une affectation sur simple critère géographique. Bref, une occasion offerte de scolariser leurs enfants dans des établissements encore majoritairement franco-français, pour dire les choses sans langue de bois.

    Plus largement, les critiques formulées par Bruno Gollnisch contre la carte scolaire voici neuf ans n’ont tien perdu de leur pertinence. Cette carte, notait-il, censée favoriser la mixité sociale, n’a fait que construire des ghettos ethniques et culturels. Un tiers des parents contournent la carte scolaire et au premier rang des tricheurs on trouve, – mais qui s’en étonnera ? – les enseignants, les journalistes, les politiciens des partis favorables à l’immigration... Les demandes d’inscription dans les écoles privées, du primaire au lycée, n’ont cessé d’augmenter au point que le privé refuse chaque année des milliers d’enfants, faute de places.

    Contrairement aux idées reçues, beaucoup de familles aux revenus moyens, ou même de familles d’immigrés soucieuses de l’assimilation et de l’avenir de leurs enfants, font des sacrifices financiers pour que leur progéniture échappe au collège ou au lycée que l’administration leur impose. Les seules vraies victimes de la carte scolaire sont nos compatriotes les plus modestes, ceux qui n’ont ni les pistons pour domicilier fictivement leurs enfants dans les bons quartiers, ni les moyens financiers de déménager ou de payer pour l’école.

    Tout cela est un formidable constat d’échec pour l’Éducation nationale, ses méthodes pédagogiques et sa politisation. Mais c’est surtout la conséquence des désastreuses politiques d’immigration et de la ville menées depuis trente ans.

    Nous savons en effet que quand ils le peuvent, les Français fuient les quartiers pluriels. Dans son étude désormais fameuse sur «La France périphérique», Christophe Guilluy, nous l’avions relevé, notait que ce paradis multiculturel vanté par une caste pratiquant la vente forcée – quartiers « d’avenir » que les bourgeois bien-pensants n’habitent pas, tandis que les bobos de l’est parisien ou du «9-3» contournent la « carte scolaire » pour ne pas scolariser leurs enfants avec le petit Mohammed ou le jeune Ababacar- les Français très majoritairement n’en veulent pas pour éviter la cohabitation/ confrontation avec des immigrés non assimilés.

    Une immigration incontrôlée qui pèse sur le niveau scolaire. La dernière enquête Pisa (2012) qui évalue tous les trois ans les élèves de 15 ans chez les jeunes de 15 ans des pays de l’OCDE (Organisation de coopération et de développement économiques), enregistrait une chute de deux places de la France dans ce classement (25 éme sur 65 pays). Un blogueur du site de Marianne avait eu l’audace de l’écrire : « il y a ce que Pisa se garde bien ou, en tout cas, oublie de dire : les pays les plus en difficulté, en dépit des moyens qu’ils allouent, comme l’Allemagne ou la France, ou encore l’Angleterre sont aussi des pays de très forte immigration.»

    Bref, plutôt que de traiter, sous un angle démagogique ou idéologique, les effets découlant de leur désastreuse politique d’immigration, un gouvernement digne de ce nom, soucieux de l’intérêt des Français s’attaquerait aux causes. Ce qui nécessiterait de rompre avec des décennies de progressisme, de cosmopolitisme, de multiculturalisme mortifères. Une remise en question dont ce Système sclérosé n’est pas capable.

    http://gollnisch.com/2015/11/10/du-maoisme-au-bushisme-de-limmigration-a-la-carte-scolairela-somme-de-toutes-leurs-erreurs/

  • Fermer les frontières… juste pour la Cop21

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    Dans un premier mouvement, Bernard Cazeneuve avait annoncé que la France allait « fermer ses frontières pendant quelques semaines », mais, aussitôt après, un communiqué du ministère de l’Intérieur à l’AFP précisait qu’il ne s’agit « en aucun cas » d’une « fermeture » de ces frontières ! Cazeneuve dans le même mouvement de rétropédalage s’est défendu de vouloir « suspendre Schengen. Ça n’est pas du tout ça ».
    Il ne s’agit que du rétablissement de simples « contrôles » du 13 novembre au 13 décembre pendant le grand show écolo-présidentiel, la Cop21. Et cela, souligne le ministre de l’Intérieur, « Dans un contexte de menace terroriste – ou de risque de trouble à l’ordre public – qui pourrait venir entacher cette grande manifestation internationale qui porte un grand message pour l’humanité ». Il contrôle les frontières pas seulement pour la France, mais aussi pour l’avenir de l’humanité réchauffée !
    S’il refuse le terme « fermeture » au profit de celui de « contrôle » c’est afin que l’on n’amalgame pas la France à ces méchants pays qui ferment leurs frontières aux « migrants », nous restons dans le camp du Bien, nos frontières et nos cœurs ouverts. Il est vrai qu’il y a une différence importante entre notre gouvernement et ceux de l’Est de l’Europe : chez nous, on « contrôle » nos frontières pour protéger les grands de ce monde ; chez eux, on les ferme pour préserver tous les habitants de la ruée des « réfugiés ». Ce que l’on fait pendant un mois pour les chefs d’État étrangers doit l’être pour tous les Français. Rien à voir avec la suspension de Schengen, dit Cazeneuve ? Force est pourtant de constater que, pour défendre l’ordre public, il faut rétablir les contrôles aux frontières que Schengen fait disparaître.

    Qui menace cet ordre pendant la Conférence ? Ces commandos d’anarchistes, gauchistes, casseurs, connus sous le nom de Black Block qui se déplacent en bandes organisées sur le théâtre de manifestations internationales. Notre ministre est bien présomptueux en annonçant pouvoir les contrôler ! Comment, en étant incapable d’arrêter des gens du voyage qui brûlent des voitures et barrent les routes, pourrait-il maîtriser des individus rompus à la guérilla urbaine, bottés, casqués, armés de cocktails Molotov ? Et s’il en a la volonté et les moyens que ne les a-t-il mis en œuvre contre les gens du voyage et autres casseurs impunis !

    Pendant le contrôle aux frontières pour empêcher les anarchistes de venir chez nous, elles restent ouvertes au tout-venant, notamment aux « migrants ». Croit-on que les nervis du Black Block vont se présenter au pont de Kehl en tenue de combat, cagoulés, une barre de fer à la main ? Ils se faufileront dans les files parmi les touristes, les vrais et les faux, les « migrants » et les « réfugiés ». Va-t-on les interroger ? On leur demandera s’ils viennent pour tout casser, auquel cas on les expulsera, s’ils viennent pour s’installer chez nous, on leur dira, bienvenue ? Il ne faut donc pas uniquement contrôler les frontières, mais les fermer, les demi-mesures ne sont qu’à moitié efficaces et être efficace à moitié, c’est ne pas l’être du tout…

    Guy Rouvrais

    http://fr.novopress.info/194740/fermer-les-frontieres-juste-cop21/

  • Défense : au « Pentagone français », installer une imprimante coûte plus de 13.000 euros

    « Des devis, refusés par le ministère de la Défense, font état de coûts faramineux pour des installations et modifications basiques au sein des nouveaux locaux. Une casserole de plus pour le « Balardgone », qui [était inauguré jeudi dernier] par François Hollande.

    13.613 euros pour l’installation d’une imprimante et d’un scanner, 2.000 euros pour un changement de sens d’ouverture de porte… le « Pentagone français » semble bien être le paradis de la surfacturation, révèle l’hebdomadaire Challenges.

    Dans les nouveaux locaux du ministère de la Défense, dont la construction a été réalisée dans le cadre d’un partenariat public-privé (PPP) sur 30 ans signé avec Bouygues, tout changement ou modification des bureaux donne lieu à un paiement supplémentaire. De quoi faire grimper la déjà très imposante facture de 3,5 milliards d’euros (hors taxes) dont l’État a étalé le règlement sur quelque 27 ans, à raison d’un loyer annuel de 154 millions d’euros.

    Rien d’inhabituel, au premier abord. Seulement, voilà: les devis d’Opale (le consortium emmené par Bouygues Bâtiment et réunissant Thales, Sodexo, Exprim et Dalkia) atteignent des montants particulièrement élevés.

    Refusés par le ministère de la Défense, et consultés par l’hebdomadaire « Challenges », certains devis laissent pantois: ainsi de cette imprimante et de ce scanner dont l’installation a été proposée au prix de 13.613, 21 euros. Et le journal de détailler la ventilation de cette somme:

    « 2.274 euros pour la seule installation de deux prises de courant ; 3.194 euros pour la « maintenance » des prises sur la durée restante du PPP (26,5 années) ; et 8.146 euros pour le matériel et sa maintenance sur 60 mois. » (…)

    Si le secrétaire général à l’administration Jean-Paul Bodin, a assuré en octobre« freiner les demandes de modifications », certaines doivent tout de même être exécutées. Le loyer 2016 de l’Hexagone Balard sera ainsi« supérieur » aux 154 millions d’euros prévus…

    Soupçons de corruption et de favoritisme

    Malheureusement, ce n’est pas la première mauvaise surprise… Le nouveau centre névralgique des forces armées françaises – inauguré ce jeudi par François Hollande – traîne déjà de nombreuses casseroles derrière lui. […]

    Le Canard enchaîné a ainsi révélé fin 2011 qu’une enquête pour corruption et favoritisme a été ouverte en février de la même année. Dès octobre 2010, le parquet de Paris avait confié à la police financière une enquête préliminaire à la suite d’une information anonyme. D’après l’hebdomadaire satyrique, un cadre dirigeant de Bouygues avait obtenu d’un haut fonctionnaire le cahier des charges du projet.

    Si le groupe de BTP a nié fermement toute accusation, il n’est pas parvenu à faire condamner le Canard enchaîné pour diffamation et avait été débouté en première instance en 2012 puis de nouveau en appel en 2014.

    De fait, une troisième personne a été mise en examen dans cette affaire en juillet 2015, après celles un an auparavant d’un homme d’affaires franco-tunisien, soupçonné d’avoir voulu vendre des informations confidentielles, et d’un officier de l’armée en poste au ministère de la Défense. »

    Source

    http://www.contre-info.com/defense-au-pentagone-francais-installer-une-imprimante-coute-plus-de-13-000-euros#more-39833

  • Le soutien de Laurent Fabius au Front al-Nosra rappelé par Damien Viguier, invité à la télévision syrienne

    Durant son récent voyage en Syrie, Maître Damien Viguier  fut l’invité de la télévision arabe syrienne. Il n’a pas manqué d’y rappeler le soutien de Laurent Fabius aux terroristes djihadistes du Front al-Nosra.

    Tout l’entretien mérite d’être attentivement écouté.

    http://www.medias-presse.info/le-soutien-de-laurent-fabius-au-front-al-nosra-rappele-par-damien-viguier-invite-a-la-television-syrienne/42896

  • La publicité et la téléréalité, commando de choc de l’idéologie du métissage

    Camille Galic., journaliste, écrivain, essayiste.

    ♦ La famille idéale française est-elle désormais composée (ou recomposée) d’un couple blanc/noir engendrant des enfants métis ? C’est ce que l’on pourrait déduire des publicités encombrant les pages de nos magazines, l’espace public et les écrans de télévision — dont Patrick Le Lay, ancien PDG de TF1, disait qu’elle servait à vendre aux annonceurs « du temps de cerveau humain disponible ». Le serpent se mordant ainsi la queue.

    C’est dans les années 80 de l’autre siècle que commença l’épidémie, avec les pubs du confectionneur italien Benetton montrant de belles blondes avec des Blacks. Elles avaient à l’époque fait causer, parfois scandalisé, mais en tout cas provoqué l’envol des ventes de tricots (d’ailleurs très quelconques), ce qui était le but recherché. D’où le subit engouement des fabricants de chaussures, de meubles (Ikea) ou de lunettes (Générale d’optique) pour de telles réclames.

    Machine à décérébrer

    Et puis les institutionnels s’y sont mis. La RATP, la SNCF, les banques — notamment la Banque postale —, les opérateurs de téléphone tel Orange mais aussi les collectivités. Le journal municipal de Bordeaux, ville dont le prince est Alain Juppé, affichait à sa une un couple pie en 2014, et Essonne Info, organe du conseil départemental de ce département, se penche avec compassion sur les couples mixtes, ces amoureux qui seraient toujours mis « au ban public » par les méchants racistes alors que leur éternelle idylle est une pierre (précieuse) jetée dans le jardin des nuisibles.

    Rien d’étonnant à ce que le phénomène prenne toujours plus d’ampleur. La publicité est un très important média d’influence comme il ressort du chapitre 15, intitulé « La publicité au service de la diversité », de l’étude sur « Les médias en servitude » éditée par Polémia*. Il y était justement souligné que, depuis le succès des campagnes United Colors of Benetton, les « créatifs », et en particulier ceux de l’agence Publicis de Maurice Lévy, grand prêtre autoproclamé de la « mondialisation heureuse », avaient « reçu ordre de multiplier dans les publicités (pour les parfums, les couches-culottes, les vêtements… ou EDF) les gays ou les «minorités visibles» et de valoriser les dynamiques cadres de couleur afin de les imposer comme modèles — et partenaires idéaux ».

    Ce qui fait de la publicité « un rouage de la gigantesque machine à décérébrer et à dénationaliser » avec sa perpétuelle exaltation de la race noire — qui, elle, existe au contraire de la race blanche et qu’elle est même censée faire rêver puisque tout sportif ou mannequin noir est par définition « sublissime » dans les magazines féminins en extase devant le « charismatique » Yannick Noah, marié successivement à trois blondes, ou la « ravissante » ancien ministre Ramatoulata (dite Rama) Yade, épouse de Joseph Zimet, fils d’un chanteur yiddisch et nommé par François Hollande patron de la Mission sur le centenaire de la Grande Guerre.

    Une « priorité absolue » pour Sarkozy : le Grand Mélangement

    Certes, la publicité n’est pas le seul donneur d’ordres — du Nouvel Ordre mondial qui s’est juré d’éradiquer nations, traditions et lignées. Les politiques aussi se sont aussi faits avec enthousiasme les apôtres du Grand Mélangement. Seize ans après SOS Racisme et son fameux slogan sur la France sommée de « marcher au mélange, comme les mobylettes », le discours prononcé le 17 décembre 2008 à l’Ecole polytechnique par le président Sarkozy constituait une ode délirante au « métissage d’Etat ». Ode dont il est bon de rappeler quelques extraits puisque, évincé de l’Elysée en 2012, Nicolas Sarkozy brûle d’y revenir après s’être fait élire président des Républicains, et que nos compatriotes sont connus pour avoir la mémoire courte.

    « L’objectif, disait alors devant la future élite du pays celui qui était chef de l’Etat, c’est relever le défi du métissage ; défi du métissage que nous adresse le XXIe siècle. Le défi du métissage, la France l’a toujours connu et en relevant le défi du métissage, la France est fidèle à son histoire. D’ailleurs, c’est la consanguinité qui a toujours provoqué la fin des civilisations et des sociétés, jamais le métissage. La France a toujours été, au cours des siècles, métissée. » Et si elle a su produire « un discours universel, c’est parce qu’elle-même, la France, se sent universelle dans la diversité de ses origines ».

    Pour qu’elle puisse poursuivre sa mission, martelait le chef de l’Etat, « je veux une mobilisation de tout l’appareil de l’État, de toutes les administrations et de tous les ministères. Et l’État doit être exemplaire et il ne l’est pas  […] J’espère que vous avez compris que je m’impliquerai personnellement dans ce chantier qui est pour moi absolument prioritaire et que j’y consacrerai toute mon énergie. »

    Comme on aurait aimé qu’en cette année 2008 où la crise commençait à dévaster notre pays, et dans les années qui suivirent, l’Elyséen ait consacré « toute son énergie » à d’autres objectifs sans doute moins médiatiques mais autrement prioritaires ! Mais après tout, lui-même ne se sent pas congénitalement, consubstantiellement français comme en témoigne son aveu de 1999 à Philippe de Villiers (« Tu as de la chance, toi tu aimes la France, son histoire, ses paysages. Moi, tout cela me laisse froid… »). Et sans doute pensait-il en outre s’acheter la bienveillance de l’Intelligentsia et de la Mediaklatura avec cet ahurissant plaidoyer pour une politique volontariste visant à faire de notre pays un Brésil européen. Sans compter qu’enfant typique d’un siècle décadent, il était lui-même esclave de la pub’ — voir son goût pour le bling-bling, le Fouquet’s et les Rolex endiamantées chères aux rappeurs avant que Carla ne l’initie au charme discret (encore qu’exorbitant : entre 40 000 et 150 000 euros) des montres Patek Philippe.

    La télé melting-potes ou la nouvelleAmerican way of love

    Aux Etats-Unis, la publicité métisseuse est omniprésente et relayée par le cinéma (« Devine qui vient dîner ce soir », avec l’African-American Sydney Poitier), l’opéra (la décision du « MET » de New York d’imposer le baryton Simon Estes comme le « Wotan noir » de la Tétralogie wagnérienne), et surtout par cette autre machine à pétrir la matière humaine qu’est la téléréalité : série diffusée depuis 2007 et très suivie, « l’incroyable [et hélas réelle] famille Kardachian » est un véritable concentré des déviations de notre époque : folles de shopping et dictant la mode, trois des cinq filles, en commençant par la célébrissime Kim — épouse du rappeur Kanie West qui va lui donner un deuxième enfant et dont le contrat vient d’être renouvelé pour 50 millions de dollars par la chaîne E ! —, ont un compagnon noir. Ainsi que la mère, Chris, dont le second mari (blanc), l’ancien champion olympique Bruce Jenner, vient, lui, de changer de sexe à l’âge de 60 ans pour devenir Caitlyn, ce qui lui vaut de figurer en bonne place des « Femmes de l’année » dans le magazineGlamour !

    On le voit, tout y est, y compris le plus glauque, et le résultat de ce matraquage peut réjouir tous les zélateurs du métissage: les lois ségrégationnistes qui avaient interdit les mariages interraciaux dans nombre des Etats de l’Union jusqu’en 1967 sont bien oubliées et le nombre de ces unions a fait un bond de 15 points en trente ans comme le signalait, évidemment pour s’en féliciter, Radio France internationale le 6 juin 2010.

    Inévitables sur Internet et notamment sur le moteur de recherches Yahoo !, très appréciées des annonceurs, les coucheries black and white de la vomitive famille Kardachian sont diffusées dans le monde entier et notamment chez nous (dès novembre 2008 sur MTV France et MTV Idol1, à partir d’octobre 2011 sur Direct Star et de juillet 2014 sur NRJ 12).

    Conjugués à ceux de la publicité, les effets de cette téléréalité délétère, évidemment imitée de ce côté-ci de l’Atlantique (voir « Secret Story » sur TF1 et même « L’Amour est dans le pré » sur M6, qui a réussi à trouver un agriculteur noir et un autre homosexuel en quête d’âme sœur) ont fait leur œuvre. N’oublions pas non plus l’interminable série melting-potes de France3, « Plus belle la vie », qui pourrait basculer sur TF1.

    La France interdisant les statistiques ethniques, contrairement aux Etats-Unis et à la Grande-Bretagne, on ignore le nombre des unions interraciales et celui des enfants mulâtres. Tout ce que l’on sait, par un rapport publié en 2006 par le très officiel Secrétariat général du comité interministériel de contrôle de l’immigration, est que les unions mixtes — terme très vague fondé non sur la race mais sur la nationalité et s’appliquant à nombre de cas de figures, y compris ceux d’Africains naturalisés allant chercher femme au pays ou d’un Français épousant une Russe — représentaient alors « 28% des mariages célébrés ou transcrits dans notre état civil ». Mais le spectacle de la rue est édifiant quant à l’augmentation des familles bicolores et les psychologues scolaires sont de plus en plus confrontés au mal-être d’élèves métis et aux problèmes qui en résultent, aussi bien pour l’enfant que pour l’institution. Problèmes assez sérieux pour qu’une association comme MéTIS-EUROPE s’emploie à « regrouper les professionnels et toutes les  personnes s’intéressant aux traitements des troubles psychologiques qui se manifestent  par des troubles du comportement ».

    Une situation angoissante pour l’équilibre de la société et l’avenir de la natio francorum, certes métissée et enrichie mais, jusqu’à une date récente, exclusivement d’éléments celtes, latins et — à dose homéopathique — slaves.

    Comme on comprend que les fossoyeurs condamnent avec tant de virulence le sursaut de survie identitaire encore timide, mais réel, qui se fait jour dans notre pays !

    Camille Galic, 5/11/2015

    Note : http://www.polemia.com/pdf_v2/media-servitudes.pdf
    http://www.polemia.com/la-boutique/

    http://www.polemia.com/la-publicite-de-la-telerealite-commando-de-choc-de-lidealogie-du-metissage/

  • Combien de fraudes pour le RSA ? L’exemple de l’Eure

    Ce phénomène est-il marginal - quelques pour cents -, comme le prétendent les syndicats et les ONG ? Ou est-il massif au point d’obérer les finances d’un département ?
    Le RSA constitue une lourde charge pour les départements, charge qui n’est pas intégralement compensée par l’État. Certains allocataires fraudent et obtiennent des aides indues. Ce phénomène est-il marginal – quelques pourcents -, comme le prétendent les syndicats et les ONG ? Ou est-il massif au point d’obérer les finances d’un département ?
    L’Eure a tenté une expérience. Elle a écrit au tiers de ses allocataires pour leur demander de signaler les éventuels changements dans leur situation. Ce n’était, donc, pas un vrai contrôle car un fraudeur peut toujours mentir effrontément ! L’Eure n’a reçu que 56 % de réponses ! Parmi les réponses, 5 % indiquaient un changement susceptible de modifier le montant du RSA.

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