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magouille et compagnie - Page 2035

  • Fabrication de cotes artistiques : un cas d'école

    Jean Paul II canonisé, météorisé, re-coté

    L’homme d’affaires et collectionneur François Pinault a prêté une sculpture « provocante » de Jean-Paul II au Musée des Beaux-Arts de Rennes, dans le cadre d’une exposition organisée par l’archevêché de la ville.

    L’archevêché, la municipalité, les institutions culturelles de Rennes célèbrent la canonisation de Jean Paul II, dans un grand élan œcuménique. Ces divers cultes font cause et com’ commune pour lancer l’exposition «Libre !» (1) illustrant la vie et l’œuvre du pape polonais. Elle a lieu simultanément en la basilique Saint-Aubin et au Musée des Beaux-Arts. Le collectionneur français François Pinault y expose un de ses chefs-d’œuvre de Financial Art : Le Pape écrasé par une météorite, inaugurée ce 10 juin par les notables, évêque en tête. Mgr d’Ornellas lors du vernissage a célébré cette «provocation… mais salutaire».

    Pour nos âmes ou pour la cote ?

    La fabrication de la cote par diverses manipulations est un «grand art financier» qui mérite reconnaissance. La question se pose : qui est le véritable créateur d’une œuvre d’AC (2)? Trois protagonistes indissociables pour ce type d’œuvre :

    –      le collectionneur stratège ;

    –      «l’artiste contemporain» signataire du concept ;

    –      l’artiste qui met en forme.

    Lequel des trois peut bien en avoir la propriété artistique et intellectuelle ?

    Une bataille sémantique et juridique est en cours : l’auteur se dit seul artiste et ravale au rang d’artisan celui qui donne forme à l’œuvre, même s’il ne lui a livré aucun programme écrit et détaillé, aucun dessin. L’ «auteur contemporain» joue de fait le rôle du commanditaire de la Renaissance qui impose le «programme» de l’œuvre à l’artiste, à une exception près… il n’est rien sans le collectionneur financier et stratège. Ils forment un binôme inséparable. La situation est inédite pour le droit français de la propriété intellectuelle et artistique élaboré dès la fin du XVIIIe siècle qui diffère totalement du droit de copyright pratiqué dans les pays anglo-saxons, beaucoup mieux adapté au commerce et au «Financial art». Dans l’International, il y a donc aujourd’hui un violent conflit de légalité.

    Un cas d’école : le réveil d’une cote endormie

    Le pape écrasé par la météorite fait date dans l’histoire financière de l’art : en 1999. Le galeriste Emmanuel Perrotin se rend dans l’atelier d’un sculpteur de grand métier, Daniel Druet. Il est accompagné de l’auteur contemporain Maurizio Cattelan qui ne réalise jamais d’œuvres lui-même. «Pas d’atelier, juste un téléphone !» Telle est sa devise ! Ils viennent passer commande. Ils veulent le pape Jean Paul II grandeur nature, façon musée Grévin. Ni maquette ni projet écrit ou dessiné : au praticien d’aviser. Quelques mois plus tard, le premier exemplaire de l’œuvre est exposé et acheté à la Foire de Bâle par un collectionneur discret. Un deuxième exemplaire, appartenant à François Pinault, fait son apparition à Londres en l’Académie Royale, pour l’exposition «Apocalypse». En mai 2001, le premier exemplaire vendu à Bâle cote chez Christie’s à New York 800.000 dollars.

    Les Londoniens ne sont pas papistes et le malheur du pape n’a pas attiré l’attention des médias et l’émotion du peuple. François Pinault rêve de faire mieux!

    Peu après, la directrice du musée Zacheta de Varsovie succombe aux charmes de l’acquéreur de l’exemplaire numéro un : elle expose l’œuvre. La règle d’or de Clauzewitz n’est-elle pas : Voir et agir sans être vu ?

    Les Polonais vénèrent leur pape qui est alors bien en vie. Scandale, révolte, insurrection des dévots, l’œuvre apparaît sur tous les écrans du monde. Anna Rottemberg démissionne du Musée. En 2004, chez Christie’s, l’œuvre atteint, grâce au mystérieux «animateur de marché», 3 millions de dollars.

    En 2014, la cote est endormie depuis dix ans. L’occasion se présente : Jean Paul II prend du galon, il est canonisé. François Pinault conçoit un nouveau plan de bataille. Quelle stratégie mettre en œuvre ?  Après tout Him, un Hitler en prières, signé Maurizio Cattelan, également de la main de Druet, a fait 14 millions de dollars en 2013. Il avait été exposé dans les différents ghettos d’Europe de Prague à Varsovie. Alors pourquoi ne pas ranimer le pape ! Il faut un contexte propice… Pourquoi pas la France ? Les foules sont en effervescence, la fronde est sur Internet… En voilà un potentiel ! Pourquoi pas la Bretagne ? Les Bonnets rouges ont repris le bocage.

    En ce mois de juin 2014, l’archevêché, la municipalité, les institutions culturelles de Rennes célèbrent la canonisation de Jean Paul II, dans un grand élan œcuménique. Ces divers cultes font cause et com’ commune pour lancer l’exposition «Libre !» illustrant la vie et l’œuvre du pape polonais. Elle a lieu simultanément en la basilique Saint-Aubin et au Musée des Beaux-Arts où François Pinault expose Le Pape météorisé.

    L’histoire dira si François Pinault a été en l’occurrence un bon stratège. Rien n’est sûr : les curés bretons sont shootés à l’AC depuis la création de «l’Art dans les chapelles» en 1996. Le FRAC de Bretagne a établi solidement le nouveau culte célébrant «l’Art contemporain». La pratique religieuse traditionnelle s’est effondrée, disent les experts, sociologues et statisticiens. Pas de scandale – pas de cote !

    En ce même mois de juin, en Normandie, au château de Vascueil, on peut voir un troisième pape, celui de Daniel Druet, son créateur. Une rétrospective est consacrée à l’artiste. De salle en salle on peut découvrir l’excellence de ce sculpteur, un des meilleurs portraitistes de son époque. A titre documentaire et anecdotique on verra le fameux pape victime de la divine colère et quelques autres célébrités. En guise de fable, il y a créé un «à la manière de» lui-même et de Cattelan : ce  dernier est portraituré en coucou squattant un nid. Elle illustre la situation ubuesque actuelle de «l’artiste» face à «l’auteur d’AC».

    La loi en France protège non seulement les droits de l’artiste mais aussi ceux du praticien ; elle prévoit que sa signature doit figurer sur l’œuvre. Ainsi Le Baiser de Rodin porte les signatures de Rodin et de Pompon. La peau lisse des amants enlacés ressemble davantage aux ours de Pompon qu’aux œuvres tourmentées et rugueuses de Rodin. Bourdelle fut aussi son praticien. On voit sur les gravures de Gustave Doré sa signature en bas à gauche et celle du praticien en bas à droite. Ce droit est bien vivant puisqu’un procès récent a été gagné par la famille du praticien de Renoir, Richard Guino, pour que soit mentionné son nom sur les tableaux du maître.

    Qu’est-ce que l’art ? Qui est artiste ? Cela se règlerait-il aujourd’hui au tribunal ?

     Aude de Kerros, graveur, essayiste, 23/06/2014

    Aude de Kerros est notamment l’auteur de Sacré Art contemporain : Evêques, Inspecteurs et Commissaires, Ed. Jean Cyrille Godeffroy, 2012, et L’Art caché, Editions Eyrolles, 2013.

    Notes : 

    (1) «Libre» : Exposition sur Jean Paul II à la Basilique Saint-Aubin et au Musée des «Beaux-Arts» de Rennes, du 8 juin au 8 juillet 2014.

    (2) AC : Acronyme de «Art contemporain». Il permet au lecteur de distinguer ainsi le courant conceptuel, financiarisé dans le monde et officiel en France, des multiples courants de l’art d’aujourd’hui.

    http://www.polemia.com/fabrication-de-cotes-artistiques-un-cas-decole/

  • Une compagnie de théâtre se bat contre Coca-Cola

    NANTES (NOVOpress via le Bulletin de réinformation)
    La compagnie de théâtre nantaise, Royal de Luxe, a décidé de déclarer la guerre au géant agro-alimentaire Coca-Cola. Royal de Luxe est connue pour ses spectacles de rue avec ses marionnettes géantes. En 2012, Coca-Cola propose à la compagnie un partenariat. La multinationale imagine un spot publicitaire avec un père Noël de 12 mètres de haut. La compagnie nantaise refuse, en disant qu’elle a toujours refusé de se mettre au service d’une entreprise commerciale.

    Coca-Cola ne se laisse pas abattre et décide de tourner cette publicité tout de même. La compagnie décide alors de porter plainte contre le géant américain en parlant d’injurieuse usurpation. Même si la compagnie de théâtre ne possède aucun droit de propriété intellectuelle sur le personnage de Santa Claus, elle accuse Coca-Cola d’avoir volé le concept et toute la technique d’animation des marionnettes.

    http://fr.novopress.info/171104/compagnie-theatre-se-bat-contre-coca-cola/

  • Procès des Hommens : le rôle inquiétant du parquet…

    Tout démocrate, quelles que soient ses opinions politiques, a de sérieuses raisons d’être inquiet.   

    Le 24 juin dernier, lors de l’audition en appel à Paris des quatre Hommens de Roland-Garros, le parquet a requis des peines allant de 12 à 18 mois de prison avec sursis et même 6 mois ferme pour l’un d’entre eux.

    Au même moment et dans un autre procès, un autre procureur général déclarait lors de son réquisitoire contre le docteur Bonnemaison : « Votre volonté n’était pas de faire le mal (…) mais pour faire le bien, au regard de la loi, vous avez fait le mal », phrase qui appelait implicitement à la clémence du jury qui a finalement décidé d’acquitter l’accusé. À Paris au contraire, le Parquet a fustigé le comportements des Hommens qui étaient selon lui « des irresponsables qui masquaient leurs visages et n’assumaient pas la conséquences de leurs actes et qu’il fallait par conséquent punir sévèrement »…

    Rappelons que, dans un cas, le docteur Bonnemaison avait administré, de sa propre initiative et sans prévenir ni les familles ni le personnel médical, des produits à l’origine du décès de sept patients, afin prétendait-il « d’abréger leurs souffrances ».

    Dans le cas des Hommens, l’objectif était, selon les auteurs des faits eux-mêmes, de défendre l’intérêt des enfants dans leur droit à avoir un père et une mère, en attirant l’attention de la presse internationale sur le mouvement de contestation de la loi Taubira que la presse française semblait fortement vouloir minimiser.

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  • Les LGBT visent toujours plus les enfants

    Endoctrinement à la théorie du genre ("qui n’existe pas"...) : La Commission des droits de l’homme (à savoir Matignon) exhorte le gouvernement à renforcer la prévention [sic] de l’homophobie à l’école.

    A lire dans Le Figaro : « LGBTphobies » : Matignon sous pression

    Alors que Benoît Hamon tente de mettre sous le tapis l’embarrassant sujet des ABCD de l’Égalité, le gouvernement est rappelé à l’ordre par la CNCDH (Commission nationale consultative des droits de l’homme). Cet organisme consultatif, sous tutelle de Matignon, [c’est-à-dire de Manuel Valls :ndlr], a voté jeudi un avis qui rappelle le gouvernement à ses anciennes promesses en matière de lutte contre les « LGBTphobies » (hostilité envers les lesbiennes, gays, bi et trans), notamment à l’école. Un pavé lancé dans la mare à la veille de la Marche des fiertés, ou gay pride parisienne du 28 juin.

    « Lors de plusieurs auditions menées par la CNCDH, des acteurs de la communauté éducative ont souligné la grande timidité du ministère dans la mise en œuvre des recommandations du programme d’actions gouvernemental », note la commission dans son avis sur « Les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle et l’identité de genre ».

    Le gouvernement a cédé à la mobilisation de la Manif pour tous [sic !]

    La suite ici

  • Nouvelle menace sur la 3ème RPIMa

    Le 3e RPIMa est installé à Carcassonne depuis 1962. La présence du 3e RPIMa dépasse le seul cadre économique. Il s’agit de plus de 50 ans de symbiose sociale et sociétale. Le « 3″ fait partie de l’ADN du pays carcassonnais.

    Le « 3″, serait également programmé pour partir en Afrique (Tchad ? ) à la rentrée prochaine. Une question s’impose : l’Etat peut-il envoyer des troupes à l’étranger en leur disant que leur unité sera dissoute. Avec quel moral, quelle motivation, ces soldats pourraient-ils accomplir leur mission ? 

    Par STÉPHANE GAUDIN 


    Nouvelle menace sur le 3e RPIMa, le Maire de… par TVcarcassonne

    Motion pour le maintien du régiment du 3e RPIMa

    Certaines informations laissent penser que l’avenir du 3ème RPIMa n’est pas définitivement fixé et que sa dissolution serait toujours à l’ordre du jour.

     

    Si ces informations devaient s’avérer exactes, une telle décision serait catastrophique pour la ville de CARCASSONNE, son Agglomération ainsi que pour le département de l’Aude.

    2300 personnes seraient concernées dont 550 familles et 770 enfants. 30 millions d’euros de dépense disparaîtraient de l’économie locale, touchant, ainsi, tous les secteurs d’activité, à commencer par le secteur immobilier et ne parlons même pas de l’incidence de voir disparaître 770 enfants de nos établissements scolaires.

    Nous demandons solennellement au Chef de l’Etat-major des Armées de Terre, au Ministre de la Défense, au Premier Ministre et au Président de la République de nous confirmer que notre prestigieux régiment du 3e RPIMa ne sera pas dissout.

    Si cet appel ne devait être entendu et si gain de cause n’était pas obtenu, le bassin carcassonnais serait confronté à une véritable catastrophe économique que nous aurions bien du mal à gérer.

    Cette motion, déposée à l’initiative du maire de Carcassonne Gérard Larrat, a été adoptée à l’unanimité par les 73 communes (110.000 habitants) qui composent la communauté d’agglomération du carcassonnais.

    Theatrum Belli.org

  • Nicolas Sarkozy en garde à vue, une première pour un ex-chef de l'Etat

    Nicolas Sarkozy a été placé en garde à vue mardi à l'office anti-corruption de la PJ, une première pour un ancien chef de l'Etat, visé par une enquête ouverte notamment pour trafic d'influence présumé.

    L'ancien chef de l'Etat est arrivé peu avant 08H00 dans une voiture noire aux vitres teintées, qui s'est engouffrée sous les objectifs des caméras dans le parking de la direction centrale de la police judiciaire à Nanterre (DCPJ), dans la banlieue ouest de Paris, à quelques encablures de son ancien fief de Neuilly-sur-Seine.

    Cette garde à vue intervient au moment où les rumeurs sur la volonté de Nicolas Sarkozy de renouer avec la vie politique, et notamment de prendre à l'automne la tête de l'UMP, se font de plus en plus précises.

    L'avocat historique de Nicolas Sarkozy, Me Thierry Herzog, est, lui, en garde à vue depuis lundi, ainsi que deux hauts magistrats, Gilbert Azibert et Patrick Sassoust. Les enquêteurs vont pouvoir confronter les versions des quatre hommes.

    Les enquêteurs cherchent à établir si l'ancien chef de l'Etat (2007-2012) a cherché à obtenir des informations auprès d'un magistrat de haut rang, Gilbert Azibert, sur une décision de justice le concernant, en échange de la promesse d'un poste de prestige à Monaco.

    La Cour de cassation devait se prononcer sur la saisie des agendas présidentiels de Nicolas Sarkozy, à laquelle ce dernier s'opposait. Ces agendas étaient susceptibles d'intéresser les juges enquêtant sur d'autres dossiers, notamment l'affaire de l'arbitrage Tapie.

    Dans l'affaire Bettencourt, Nicolas Sarkozy avait été mis en examen par des juges bordelais avant de bénéficier d'un non lieu.

    Dans le dossier qui lui vaut d'être placé en garde à vue, les policiers de l'office anti-corruption (Oclciff) vont pouvoir entendre Nicolas Sarkozy pendant une durée pouvant aller jusqu'à 24 heures, éventuellement renouvelable une fois.

    A l'issue de cette mesure coercitive, le chef de l'Etat peut être relâché sans poursuites ou présenté à un juge d'instruction qui peut le mettre en examen.

    Autre soupçon qui pèse sur l'ancien chef de l'Etat: avoir été informé de manière illicite de son placement sur écoute par des juges enquêtant sur les accusations, pour l'heure non étayées, d'un financement par la Libye de Mouammar Kadhaafi de sa campagne victorieuse de 2007.

    Obstacles judiciaires

    L'affaire naît au printemps 2013. Plusieurs proches de Nicolas Sarkozy ont été placés sur écoute dans l'enquête libyenne: Claude Guéant, Brice Hortefeux, mais aussi Michel Gaudin, ancien patron de la police nationale et ex-préfet de police de Paris.

    Ce dernier, qui a suivi l'ancien chef de l'Etat après la défaite de 2012 pour devenir son directeur de cabinet, entretient plusieurs conversations qui interpellent les enquêteurs. Il semble notamment vouloir, en vain, se renseigner sur l'enquête libyenne auprès du patron du renseignement intérieur, Patrick Calvar.

    Les juges décident de placer à son tour l'ex-président de la République sur écoute, notamment le téléphone qu'il utilise sous l'identité d'emprunt de Paul Bismuth pour converser avec Me Herzog.

    Or, des échanges entre les deux hommes peuvent laisser croire qu'ils ont cherché à obtenir des informations auprès de Gilbert Azibert.

    Les obstacles judiciaires se multiplient sur la route d'un retour de Nicolas Sarkozy en politique.

    Outre les dossiers du financement libyen et du trafic d'influence, le parquet de Paris a confié à des juges financiers une enquête pour "faux et usage de faux", "abus de confiance" et "tentative d'escroquerie", cette fois sur le financement de la campagne de 2012 de Nicolas Sarkozy. Ses meetings semblent avoir été en grande partie financés par l'UMP afin de masquer un dépassement du plafond autorisé.

    Dans l'affaire de l'arbitrage Tapie, Claude Guéant a été placé en garde à vue, tout comme dans le dossier des primes qu'il a perçues quand il était directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy à l'Intérieur. Michel Gaudin a également été placé en garde à vue dans cette affaire des primes.

    Les policiers s'interrogent également sur la régularité des contrats conclus entre l'Elysée et neuf instituts de sondage sous le quinquennat Sarkozy.

    Source http://www.publicsenat.fr/lcp/politique/nicolas-sarkozy-garde-vue-une-premi-re-un-ex-chef-letat-599975?estat_svc=s=298098196837&svc_mode=A&svc_campaign=politique&svc_partner=yahoo&svc_position=Nicolas+Sarkozy+en+garde+%C3%A0+vue,+une+premi%C3%A8re+pour+un+ex-chef+de+l%27Etat

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EupukpyEkAtPTkYkCd.shtml

  • Comment une table ronde de banquiers devint le conseil des relations étrangères le plus influent du monde

    Lyndon LaRouche raconte que le 5 février 1891, une association secrète, connue sous le nom de Round Table Group, fut formée par Cecil Rhodes, par son banquier Lord Rothschild, par Lord Rosebery, le Rothschild par alliance, et par Lord Curzon. LaRouche expose que la Table Ronde était représentée aux Etats-Unis par le groupe Morgan. Le Dr Carrol Quigley, dans Tragedy and Hope, parle de ce groupe comme de « La société Secrète Anglo-Américaine » en expliquant que « La principale épine dorsale de cette organisation s’est développée tout au long d’une coopération déjà existante, qui allait de la Banque Morgan à New York jusqu’à un groupe de financiers internationaux à Londres emmenés par les frères Lazard (en 1901). » 

         William Guy Carr, dans son Livre Des pions sur l’Echiquier, expose ceci : « En 1899, J.P. Morgan et Drexel se rendirent en Angleterre dans le but de participer à la Convention Internationale des Banquiers. Lorsqu’ils s’en retournèrent, J.P. Morgan fut nommé à la tête des intérêts de Rothschild aux Etats-Unis. A la suite de la Conférence de Londres, J.P. Morgan & Company de New York, Drexel & Company de Philadelphie, Grenfell & Company de Londres, Morgan Harjes & Cie de Paris, M.M. Warburg Company d’Allemagne et d’Amérique et la Maison Rothschild étaient toutes affiliées. 

         Visiblement, ni conscient du lien entre Peabody et les Rothschild, ni que les Morgan avait toujours été affiliés avec la Maison Rothschild, Carr supposa qu’il avait découvert que cette relation datait de 1899, alors qu’elle remontait en fait à 1835. 

         Après la Première Guerre mondiale, [en 1921,] la Table Ronde adopta le nom de Council on Foreign Relations (CFR) aux Etats-Unis et de Royal Institute of International Affairs (RIIA) à Londres. Les dirigeants officiels des gouvernements anglais et américains et sélectionnés parmi leurs membres. Dans les années 1960, alors que l’attention se concentrait de plus en plus sur les activités gouvernementales discrètes du CFR, des groupes affiliés qui représentaient des intérêts identiques, commencèrent leurs opérations – les Bilderbergers [1954] et la Commission Trilatérale [1975]. Les responsables les plus importants, comme Robert Roosa, étaient membres des trois groupes. 

    Eustace Mullins, Les secrets de la Réserve fédérale

    http://www.oragesdacier.info/2014/07/comment-une-table-ronde-de-banquiers.html

  • [Bordeaux] .Les jeunes socialistes en jupe se révoltent ! (ATTENTION !) .

    Lors de la conférence de Farida Belghoul et de l’Abbé Horovitz à Bordeaux, les jeunes socialistes ont fait le coup de poing, la démonstration de force même, en développant une nouvelle forme de militantisme : la jupe pour tous ! Savourez l’ardeur militante au service du Progrès ! 

     
  • Comparution immédiate pour les Bonnets Rouges interpellés samedi

    La garde-à-vue des six Bonnets Rouges, interpellés samedi après avoir manifesté devant le domicile de Jean-Marc Ayrault, a été prolongée de 24h dimanche soir. Le procureur a demandé à ce qu’ils soient jugés aujourd’hui en comparution immédiate pour dégradations d’un bien privé. Ils avaient jeté de la farine et des oeufs sur le portail du domicile. Parmi eux, trois militants devront répondre également de violences sur les policiers.Le sixième bonnet rouge interpellé, âgé de 21 ans, sera jugé plus tard, pour port d’arme. Il était en possession d’un couteau au moment du contrôle d’identité.

    L’État sait être sévère quand il le veut… Combien de comparutions immédiates après les débordements de jeudi dernier ? Aucun chiffre n’a été fourni et nous laisse à penser qu’il n’y en a pas eu. Pourtant, on parle de voitures brûlées et non d’œufs et de farine !

    Add: le procès a été renvoyé au 4 août, sans contrôle judiciaire.

    http://medias-presse.info/comparution-immediate-pour-les-bonnets-rouges-interpelles-samedi/12127

  • Le Tribunal Administratif annule le rejet de la pétition par le CESE

    Victoire de la LMPT :

    "Le Tribunal Administratif de Paris vient de déclarer recevable la pétition citoyenne sur le projet de loi Taubira déposée le 15 février 2013. Cependant, alors qu’il annule donc le délibéré du CESE sur ce sujet, le Tribunal n’a étonnamment pas retenu la demande d’enjoindre le CESE d’émettre un avis, ce qui était pourtant la conséquence logique de sa décision. Cela reste néanmoins une grande victoire pour les 700 000 signataires de la pétition citoyenne, dont l’affront est en partie réparé : ils voulaient faire respecter la filiation père/mère/enfant, mais le pouvoir a triché. Ils auront au moins fait reculer ceux qui ne respectent pas la démocratie."

    Michel Janva