
Pauvre Bruno Retailleau, rien ne lui sera épargné tant qu’il restera dans ce gouvernement ! Le président de la République, qui le désavoue publiquement en affirmant qu’on ne remettra jamais en cause l’accord ô combien avantageux avec l’Algérie de 1968, le poignarde dans le dos. Peut-être que Macron, qui est passé à la caisse en 2017, n’a rien à refuser à ceux qui l’ont aidé à voler l’élection présidentielle ?





