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magouille et compagnie - Page 2100

  • Dans les coulisses des Bobards d’Or

    La cinquième cérémonie des Bobards d’Or s’est déroulée ce soir mardi à Paris. Cette cérémonie parodique récompense les meilleurs désinformateurs, journalistes et médias. Les nominés seront dévoilés ce mercredi sur le site des Bobards d’Or.

    Dans les coulisses des #Bobards d’or

    Entrez dans les coulisses des Bobards d’or est vivez en quelques instants les derniers préparatifs de cette cinquième cérémonie présidé par Jean-Yves Le Gallou Président de Polémia, et toute son équipe

    http://fr.novopress.info/

  • Petit manuel de la massification bon marché

    Moins de moyens, moins de débouchés et toujours plus d’étudiants ! La massification de l’enseignement supérieur est un désastre commandité, avec force autosatisfaction, par des idéologues de ministère… et dont les étudiants sont comme toujours les premières victimes. Voici un constat qui n’est pas neuf n’étonnant guère que les aveugles et ceux pour qui l’histoire s’est arrêtée en 68. Mais si l’idéologie est coupable de l’effondrement de l’Université, après celui de l’École, il serait bien naïf de penser qu’elle est encore seule aux commandes. Face au désastre, c’est le cynisme qui, sous couvert de bien-pensance altruiste, mène des centaines de milliers d’étudiants à l’abattoir social.
    En effet, devant ce naufrage, l’État n’a pas trouvé de meilleurs moyens que de se désengager, financièrement et symboliquement de l’Université. Après la LRU, portée par l’inénarrable Valérie Pécresse, la dernière loi sur l’Enseignement supérieur et la recherche conduite par Madame Fioraso semble n’être qu’une dérobade de plus face au problème. Sous prétexte d’autonomie (mot-valise signifiant en novlangue énarchique « liberté, modernité, désendettée »), l’État place les universités face à des choix insolubles, engendrés par la baisse sans précédent des dotations financières. Certes, le ministère annonce des créations de postes, mais se garde bien de dire qu’il ne s’agit en réalité que d’autorisations de création… que les établissements ne sont plus aujourd’hui en état de payer ! De plus, la non-prise en compte dans les dotations d’État de l’augmentation mécanique des salaires des personnels conduit les universités à un endettement croissant et automatique. « Cachez-moi ces chiffres que je ne saurais voir », se gaussent en cœur les Tartuffes du ministère ! Si Mesdames Pécresse et Fioraso pavoisent en rhétorique, l’université elle fait face à une bien triste arithmétique. Pour faire honneur à cette, merveilleusement moderne, idée d’autonomie, elle doit prendre des mesures dont on peut douter qu’elles soient compatibles avec les objectifs de massification de l’enseignement.
    D’abord la réduction de la masse salariale. De nombreux postes, soi-disant créés par le ministère, ont ainsi étaient abandonnés faute de moyens. Le non-remplacement des professeurs et des personnels retraités a également été monnaie courante ces dernières années. Si le ministère avait promis 1000 postes en 2013, bien peu ont effectivement vu le jour. La plupart des universités ont préféré récupérer la masse salariale correspondante sans les pourvoir, de manière à éponger l’augmentation automatique des salaires ou le déficit d’autres lignes budgétaires.
    Toutefois, comme il faut bien, malgré tout, faire cours, les universités font appel à de la main-d’œuvre précaire. Des enseignants ont ainsi été recrutés en CDD, ou même en CDI… Les postes d’ATER ne laissent plus aux doctorants le temps de préparer leurs thèses et beaucoup n’assurent qu’un salaire sur 10 mois. Ceci s’accompagne d’une intensification de pratiques à la marge du droit du travail (contournement de la loi Sauvadet, cumul des heures complémentaires, incitation à l’auto-entrepreneuriat…).
    L’offre de formation a de son côté été réduite comme peau de chagrin, en supprimant des options, des enseignements, en surchargeant les TD. Cette politique « de modernisation » a fait l’objet d’un beau consensus au sein de l’UMPS, les deux grands partis ne se distinguant en l’espèce que par leur capacité à bâillonner l’UNEF…
    Dans le même temps, il a été exigé de l’Université qu’elle pallie les carences de l’enseignement secondaire, et même primaire. Ainsi les universités ont été contraintes de mettre en place des cours d’orthographe et de syntaxe… La concurrence des grandes écoles et l’ouverture d’une offre d’enseignement en langues étrangères vont également les forcer à proposer des formations renforcées en anglais… Tout ça au détriment des enseignements fondamentaux !
    La massification de l’enseignement ne peut alors être qu’un désastre pour les étudiants. Pour les plus faibles, elle n’est qu’un mirage que se chargeront de dissiper les redoublements ! Loin d’être une chance, « l’université pour tous » bon marché est un crime contre les étudiants commis avec plus de cynisme que de bonne conscience. Ce sont eux qui perdent temps, argent et estimes d’eux même dans un système dont l’absence de sélection ne dure que jusqu’aux examens partiels. La conjoncture nuit aussi aux bons étudiants qui voient la qualité des enseignements s’effriter, et la valeur de leur diplôme fondre comme neige au soleil. Face à ce constat, la droite et la gauche n’ont plus qu’une politique, celle du pire. Sans moyen supplémentaire ou remise en cause de la politique de massification, c’est vers le sacrifice social de centaines de milliers de jeunes que nous mène l’UMPS. S’il est un niveau qui baisse plus vite que celui des étudiants, c’est peut-être bien celui des ministres de l’Enseignement supérieur.
    http://www.voxnr.com/cc/dt_autres/EFAuVFlAVyzeWuTOjq.shtml
    Source : Collectif Marianne : Benoît Michelet :

    http://www.collectifmarianne.fr/petit-manuel-de-la-massification-bon-marche-3/

  • Si la droite remporte Paris, les subventions aux LGBT ne diminueront pas

    GayLib a organisé vendredi 7 mars un «apéro politique» en présence de Roselyne Bachelot, de Nathalie Kosciusko-Morizet et de la candidate à la mairie du IIIe Marie-Laure Harel.

    Marie-Laure Harel a dénoncé «le manque cruel de courage de la gauche» qui n’a pas ouvert la PMA aux couples de femmes. Sic. La candidate UMP s’est également prononcée en faveur de la GPA.

    «On n’a pas été très progressistes à droite sur le mariage. Je suis déçue par la position de l’UMP, mais le mariage n’est pas la seule raison pour laquelle on choisit un parti. Nous sommes en train de faire chez nous le travail que d’autres ont fait à gauche il y a 10 ans

    Elle a précisé que si la droite remporte la municipalité, les subventions aux associations LGBT ne diminueront pas, mais seront réparties autrement. 

    Michel Janva

  • Maxime : la justice socialiste frappe à nouveau très fort

    Maxime : la justice socialiste frappe à nouveau très fort

    L’adage prétend que la justice est la même pour tout le monde, mais le réel semble souvent démontrer le contraire. Dernière preuve en date, Maxime G., apprenti frigoriste de 24 ans et opposant à la loi Taubira, a été condamné à 18 mois de prison dont 6 mois ferme et incompressibles. Ce pour avoir soi-disant agressé un policier (0 jour d’ITT) et un journaliste (6 jours d’ITT).

    Interrogé par Solidarité pour Tous, qui soutient les militants opposés à la loi Taubira, Maxime G. détaille cette condamnation et surtout apporte des précisions utiles quant aux faits qui sont à l’origine de cette condamnation.

    Lors de cette triste date du 23 avril 2013, jour du vote du projet de loi sur le mariage homo, j ai fait l’objet d’une arrestation pour des violences sur des agents dépositaires de l’autorité publique et d’une journaliste. On m’accuse injustement d’avoir porté à leur encontre des coups. Cela est faux, ils n’ont d’ailleurs aucun jour d’ITT.

    Quant à cette journaliste, j’ai appris par la suite qu’elle était très connue dans le milieu de l’extrême gauche. Très soucieuse de prendre des clichés des manifestants anti-mariage, elle aurait effectivement essuyé des coups, mais ne venant pas de moi ! La preuve en a été apportée puisqu’elle ne m’a pas reconnu comme l’agresseur lors d’un tapissage deux heures après.

     

    J’ai été condamné en première instance au quasi-double des réquisitions du procureur (chose rare). Procès politique ? Certainement car, le lendemain, mon avocat m’appelait pour me signifier que le parquet faisait appel de cette décision. Sans doute ont-ils jugé cette dernière peine trop légère !

    Pour l’instant, j’ai réussi à faire face aux frais d’avocat, très lourds pour un apprenti comme moi dont le salaire n’est qu’à 80% du SMIC (soit environ 1000 euros par mois), grâce l’aide de Solidarité Pour tous.

    En appel, malgré l’excellente défense de mon avocat, Maître Frédéric Doyez (un des ténors du barreau de Lyon que j’ai pu solliciter toujours grâce à l’aide de Solidarité pour Tous), les juges sont allés encore plus loin! Dix-huit mois de prison, dont six mois fermes sans aménagement de peine, plus environ 10.000 euros d’amende et de frais et trois ans d’interdiction de stade et de participation à toute manifestation.

    http://fr.novopress.info/159109/maxime-justice-socialiste-frappe-nouveau-tres-fort/

  • Des postiers refusent de distribuer des tracts. Du FN, pas de l’extrême gauche…

    Ce sont les syndicats SUD et CGT qui annoncent la nouvelle. Des postiers du 7e arrondissement de Paris ont refusé lundi de distribuer un tract du Front national figurant dans un lot de publicités non mis sous pli. Le tract est celui de la candidate du Front national et du Rassemblement bleu Marine aux élections municipales dans l’arrondissement. Sur la quarantaine de facteurs qui travaillaient lundi sur l’arrondissement, « au moins une douzaine ont retiré le tract avant de partir faire leur tournée », a déclaré sans gêne Olivier Rosay (SUD).
    Seul le 7e arrondissement est concerné par cet activisme politique anti-FN de certains postiers. Interrogée, La Poste met en avant le « principe de neutralité ». « La Poste et Médiapost (filiale du groupe) distribuent la propagande électorale des partis politiques lors de chaque élection. Dès l’instant où le parti qui s’exprime n’est pas interdit, La Poste doit les traiter avec équité », affirme le groupe.
    Lors d’assemblées générales, SUD a lancé un appel « à l’objection de conscience et à la désobéissance » et la CGT a demandé aux postiers « de ne pas toucher aux plis en attendant d’avoir des réponses de la direction ». Selon les deux syndicats, la direction a envoyé à l’aube un huissier au centre de distribution, délocalisé dans le 15e arrondissement, pour contrôler la préparation des documents.

    http://medias-presse.info/des-postiers-refusent-de-distribuer-des-tracts-du-fn-pas-de-lextreme-gauche/7375

  • Soutenez Le Salon Beige

    Suite à la mise en examen du directeur de la publication de votre blog préféré, nous vous invitons à diffuser cette image, notamment sur votre mur Facebook.

    Miege SB2 Le Salon Beige 

  • Manif pour Tous – Dérapages ?

     Samedi 8 mars à la Mutualité à Paris, la Manif Pour Tous a tenu les assises du « Grenelle de la Famille » auquel assistèrent plus de 5.000 personnes : un beau succès.

    Sur le plateau : les AFC, les protestants, le professeur Joyeux, un juriste, un psychiatre, et quelques autres. Comme à l’habitude la sélection des orateurs est sévère et orientée…

    Si l’on ne peut que souscrire aux 10 propositions publiées à l’issue des assises, on ne peut  par contre qu’être surpris de certaines des 38 propositions qui les accompagnent.

    Que viennent faire dans la Manif Pour Tous :  »une médiation dans les procédures de divorce » ou encore   »un encadrement strict de la PMA »  ? 

    Ce n’était vraiment pas la peine de faire descendre dans la rue des millions de catholique et de braves gens, pour en arriver là. On comprend mieux pourquoi « Civitas » n’avait pas été convié sur le podium !…

      Docteur Luc Perrel

    http://medias-presse.info/manif-pour-tous-derapages/7339

  • Un collectif de juristes étudie l'abrogation de la loi Taubira

    L'Institut famille et République, think-tank de juristes présidé par le professeur de droit constitutionnel Guillaume Drago, planche sur cette hypothèse en vue d'une alternance en 2017.

    Michel Janva

  • Le Traité transatlantique

    Les négociations pour le Traité transatlantique ont commencé en loucedé et personne ne se soucie, étrangement, d’en parler. Faut-il en accuser notre insouciance, ou plutôt notre regard médusé sur le sort intérieur fait à la France de François Hollande et sur l’inertie de l’Union européenne ? Que l’on juge que ce n’est pas un sujet d’actualité, qu’il sera bon d’en parler à Pâques ou à la Trinité, ou simplement que l’on s’en contrefoute, le fait est que le pire est devant nous : la construction de l’Europe à la bruxelloise sera de la petite bière devant le maëlstrom que l’on nous prépare. Pour se limiter à quelques chiffres très simples, cet accord concerne rien moins que la moitié du PIB mondial et 40 % des échanges mondiaux : de quoi bien entendu aiguiser les appétits, et aussi – bizarrement on en parle moins – entraîner les dégâts économiques les plus graves.

    Les peuples étant décidément jugés trop bêtes pour avoir un avis sur une question si importante, le mois de mars devrait voir se dérouler à Bruxelles le quatrième « round » comme on dit de négociations, et toujours dans le plus grand secret, même si le cher commissaire européen afférent annonce une grande « négociation publique ». L’agenda des technocrates prévoit, grand seigneur, que l’accord soit soumis en 2015 au Conseil européen et au vote des députés, lorsqu’il aura été achevé. La technique est rodée et commence à être connue : on vous ficelle un bon traité de derrière les fagots, puis on vous explique que le refuser serait passéiste, réactionnaire, signe de fermeture et de repli, et que de toute façon vous n’avez rien d’autre à proposer à la place, ce qui démontre parfaitement votre mauvaise volonté.

    Il est toujours malaisé de négocier avec plus grand que soi – la France en a fait l’amère expérience avec l’Allemagne lors du Traité de Maastricht – et les États-Unis, qui disposent de la monnaie de réserve mondiale, sont toujours une puissance plus importante que l’Europe, n’en déplaise aux optimistes. L’Europe a réussi dès le début à abstraire la « culture » du débat – on se demande bien pourquoi si l’on ignore les rapports incestueux qu’entretiennent ensemble les artistes, les intellectuels et les politiques qui sont globalement pour un monde sans frontières tant que ça ne salit pas leur rue – mais pour le reste, tout est négociable : l’agriculture, qui a bien besoin de la concurrence des OGM américains, l’énergie, et nous aurons le gaz de schiste, toutes sortes de produits manufacturés dont nous avons certainement bien besoin, incapables que nous sommes de les produire ici.

    Ce Traité, d’obédience ultralibérale si l’on en juge à ses buts autant qu’aux experts et lobbies qui le fomentent, introduirait de plus une nouvelle norme juridique qui permettrait à des entreprises de poursuivre un État souverain dont elles jugeraient que la réglementation a porté atteinte à leurs intérêts. Typiquement anglo-saxonne, cette mesure a déjà permis à des gros cigarettiers de faire condamner l’État australien, et autoriserait demain les multinationales de l’énergie à plaider contre la France qui interdit l’exploitation de gaz de schiste.

    La suite sur le site de la Nef

    Jacques de Guillebon

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Le-Traite-transatlantique