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magouille et compagnie - Page 2251

  • 26 juillet 2013 : jour de libération fiscale

    Le salarié moyen travaille jusqu'au 26 juillet pour financer les dépenses publiques, «jour de libération fiscale et sociale», calculé par Ernst & Young et l'Institut économique Molinari (lire l'étude en pdf de 22 pages). L'étude prend en compte les charges sociales patronales, les charges sociales salariales, l'impôt sur le revenu et la TVA, comparés dans 27 pays. Seule la Belgique fait pire avec un taux de prélèvements obligatoires de 60,3 % contre 56,6 %.

    L'étude constate que le salarié français est en théorie «un des mieux payés» (53 647 euros), mais c'est aussi celui dont le niveau de vie est le plus pénalisé par la fiscalité. Impôts, charges et TVA s'élèvent à 30.371 euros. Et, à elles seules, les charges sociales (26.583 euros) représentent plus que le pouvoir d'achat (23.276 euros). Et cela alors que les comptes publiques ne sont pas à l'équilibre !

    Et ce n'est pas terminé : une nouvelle hausse des impôts est prévue en 2014.

    Les employeurs Belges et Français doivent débourser 252 et 230 € pour que leurs salariés moyens disposent de 100 € de pouvoir d'achat. À l'opposé, les employeurs du Royaume‐Uni, d'Irlande ou de Malte peuvent se contenter de distribuer entre 157 et 125 € pour générer 100 € de pouvoir d'achat réel.

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La république a menti :

    Voici une brève analyse historique, mettant en relief tous les mensonges que l'école républicaine a enseigné et enseigne encore et toujours sur l'Ancien Régime et la misère ouvrière. A travers des analyses historiques par des historiens de renom, cette vidéo vous dévoilera un aspect méconnu des qualités de vie au Moyen-Âge ainsi que les conditions de travail et des ouvriers de l'époque. Sans oublier aussi la naissance du prolétariat et de la misère ouvrière depuis la révolution française et sa fameuse loi Le Chapelier interdisant les corporations, et la naissance du libéralisme économique qui en fut la conséquence et qui engendrera à son tour le socialo-marxisme.

    TOUT CE QUE L'EDUCATION NATIONALE NE VOUS ENSEIGNERA JAMAIS ET POUR CAUSE...

    http://www.actionroyaliste.com

  • Valls «le minable» dissout l’Œuvre Française et les Jeunesses Nationalistes

    COMMUNIQUÉ de Roland Hélie, Directeur de Synthèse nationale : « Dissolutions », le feuilleton de l’été signé Manuel Valls
    Après avoir dissout, il y a 15 jours, sous des prétextes plus que fallacieux, les mouvements (déjà auto-dissous) 3e Voie et JNR ainsi que l’association « Envie de rêver », l’apprenti dictateur Manuel Valls vient de nous pondre un nouvel épisode de sa série de l’été, à savoir la dissolution par ce que l’on appelle encore un « Conseil des ministres » de l’Œuvre Française (institution nationaliste créée il y a 45 ans par Pierre Sidos) et des Jeunesses Nationalistes.
    Roland Hélie,
    Directeur de Synthèse Nationale
    Là aussi les raisons de cette décision sont pour le moins discutables. Quoi qu’il en soit, de telles mesures révèlent l’incapacité totale du gouvernement à gérer la crise qu’il a lui-même engendrée. Au moment où la terreur issue de masses importées s’impose partout dans le pays, au moment où la révolte sociale se développe, au moment où une partie de plus en plus grande de la jeunesse française bascule aux côtés de la résistance nationale, au moment où le pouvoir maintient en prison des jeunes patriotes, tels Esteban et Samuel, et fait preuve d’un laxisme scandaleux à l’égard des émeutiers de Trappes et d’ailleurs, le ministricule incapable de la Place Beauvau, celui que l’histoire retiendra sous le sobriquet peu flatteur de Manuel Gaz, multiplie les provocations liberticides.
     
    Hier 3e Voie et les JNR, aujourd’hui l’Œuvre Française et les Jeunesses Nationalistes… Demain, à qui le tour ? Au Printemps français ? Au Front national ? Pourquoi pas à  l’UMP pendant qu’on y est ?
    Mais, hélas pour cette clique d’incapables qui constitue le gouvernement, le prochain épisode de cette funeste série estivale pourrait bien être, à la rentrée, celui du retour de bâton. Le printemps dernier risque fort de n’avoir été que la répétition générale de ce que sera l’automne prochain...
    Ndlr : Valls, malencontreusement devenu Français il y a seulement 31 ans ! « …Un jour viendra où les traîtres paieront, Faïlala… »

  • Le cauchemar démocratique de François Hollande

    François Hollande et ses ministres ont-ils peur du peuple français ? Lui président, qui, entre tant d’autres actions d’éclat, devait rassembler les Français, est en passe en effet de les réunir, mais contre sa personne, sa politique et son gouvernement.

    Ceux qui étaient présents le 14 juillet sur les Champs-Elysées ont pu mesurer l’impopularité du cher dirigeant aux sifflets et aux huées qui s’élevaient partout sur son passage, au long d’une descente de l’avenue qui a dû lui sembler interminable. Heureusement pour lui, les techniciens de chaînes de télévision savent à merveille contrôler le son et l’image pour que les français n’entendent pas ce qu’ils ne doivent pas entendre et ne voient pas ce qu’ils ne doivent pas voir : telle est la conception française de l’information. Ni les sifflets le 14 juillet, ni les drapeaux de la Manif pour tous agités à profusion sur le Tour de France n’ont été portés à l’écran : ceux qui les ont entendus ou vus ont dû rêver. [...]

    La suite sur Les 4 Vérités

    http://www.actionfrancaise.net

     
  • « Je me fous des Bretons » (Nicolas Sarkozy)

    PARIS (NOVOpress Breizh) – Nicolas Sarkozy a de gros problèmes d’argent. Au 31 juillet, son parti l’UMP, doit – ou devrait – rembourser aux banques un prêt de 11 millions d’euros, or l’Etat ne remboursera pas cette somme au parti en question car les comptes de campagne de M. Sarkozy – correspondant à l’élection présidentielle de 2012 – ont été invalidés par le Conseil constitutionnel. Ben sûr, l’inquiétude n’est pas de mise puisque les banquiers accepteront de bonne grâce le rééchelonnement de la dette.

     

    En effet le principal créancier concerné, la Société générale, dont le PDG n’est autre que Frédéric Oudéa, ancien conseiller de M. Sarkozy lorsque celui-ci était ministre du Budget, en 1993. Sous la présidence de M. Sarkozy, la Socgé a bénéficié en décembre 2008, de deux emprunts d’Etat de 1,7 milliard d’euros chacun. On voit mal, dans ces conditions, comment la banque et l’UMP pourraient ne pas trouver un accord pour quelques millions (Libération, 09/07/13).

    Cette question ne peut laisser indifférent M. Sarkozy car ce dernier s’était porté caution solidaire du prêt de 11millions d’euros que le parti doit rembourser au 31 juillet (Le Monde, 09/07/13). D’où l’organisation d’un « Sarkothon » destiné à trouver des fonds permettant de couvrir cette dette. SelonLes Echos (22/07/13), près de 7 millions d’euros auraient déjà été récoltés. Une somme suffisante, d’après Jean-François Copé, pour que les banques acceptent d’accorder un nouveau prêt si la somme de 11 millions n’est pas réunie. Donc l’ancien président de la République pourra partir en vacances l’esprit tranquille. Certes, les esprits chagrins font remarquer que le parti compte 44 millions de dettes, en dehors du prêt de 11 millions à rembourser pour la campagne de Sarkozy. Pour revenir à l’équilibre fin 2016, il doit rembourser 11 millions d’euros par an à quatre banques à qui il a emprunté 55 millions d’euros (Le Monde, 03/07/13).

    Bien sûr, il faut tenir compte du financement public dont bénéficie l’UMP, à savoir 19,87 millions d’euros en 2013 (Journal Officiel du 28/05/13), à quoi s’ajoutent les cotisations des adhérents et des élus.

    Soucieux d’aider Nicolas Sarkozy à sortir de ce mauvais pas, le Canard enchaîné (10/07/13) propose six pistes pour « faire du fric » et lutter contre le surendettement. L’une d’elle consiste à « discourir plus ». En effet l’ancien président de la République s’est lancé dans une carrière de conférencier international. Il parait que M. Sarkozy est un orateur recherché. Ses prestations sont généralement évaluées à 100.000 dollars (1 euro = 1,30 dollar).

    En douze mois, Nicolas Sarkozy est allé dispenser ses avis et analyses sur la situation préoccupante de l’Union européenne, l’état de la mondialisation ou les perspectives de sortie de crise aux Etats-Unis, en Russie, en Chine, à Singapour, au Brésil, en Lybie, au Qatar, au Canada et enfin en Grande-Bretagne. Et, d’ici à l’automne, le « Sarko tour » est annoncé en Israël et au Mexique (Le Nouvel observateur, 11/07/13). En octobre dernier, à New York, invité par le groupe brésilien BTG Pactual, principal fonds d’investissement d’Amérique latine, il aurait empoché 120.000 dollars, pour une conférence à Las Vegas, invité par la société américaine de gestion d’actifs Skybridge Capital, il serait reparti avec 200.000 dollars. Début juin, à l’hôtel Intercontinental de Londres, l’ancien président a dû se contenter de la moitié pour s’exprimer devant des représentants de la banque Goldman Sachs. Bref le dépôt de bilan n’est pas pour demain.

    L’entourage de M. Sarkozy s’est empressé de claironner que l’intéressé avait versé 7.500 euros à la caisse du parti, le maximum autorisé par la loi. « Or, en tant que candidat à la présidentielle, Sarko n’est pas tenu à cette règle : il peut légalement, s’il le veut ou le peut, payer l’intégralité de la douloureuse. Soit les 11 millions que l’Etat ne remboursera pas à l’UMP du fait du rejet de son compte de campagne. Ou au moins les pénalités subsidiaires : la restitution au Trésor de l’avance forfaitaire (153.000 euros) ainsi que le paiement au même Trésor de l’« amende » de 363.615 euros infligée au candidat « pour dépassement » par la Commission nationale des comptes de campagne. » (Canard enchaîné, 10/07/13).

    Consentir un effort supplémentaire ne serait pas de trop pour celui qui chantait au début de l’année 2008 : « Pour l’instant je fais président, mais un jour j’irai faire du fric. » Rappelons que le candidat Sarkozy s’est porté « caution personnelle » auprès des banques pour obtenir un crédit relais de 11 millions d’euros ».

    En attendant, les adhérents sont priés de faire un effort pour aider le parti et éviter à M. Sarkozy d’avoir à sortir un chèque autrement plus conséquent que celui de 7.500 euros donnés récemment. A cette occasion, il ne semble pas inutile d’attirer l’attention des adhérents bretons de l’UMP sur ce que le « petit mari » de Carla pense d’eux.

    Dans son dernier ouvrage, « Breizh bric-à-brac » (Palantines), Yann Lukas rappelle un évènement qui situe le personnage Sarko. « Qu’est-ce qu’on va foutre dans un cercle opérationnel sinistre, à regarder un radar ? Je me fous des Bretons. Je vais être au milieu de dix connards en train de regarder une carte ! Grand sens politique, vraiment ! ». C’était le 1er mai 2007 au Cross Corsen, dans le Finistère. Yasmine Reza rapporte ces propos de Nicolas Sarkozy dans son livre-enquête, L’Aube, le soir ou la nuit, sorti le 24 août 2007. A partir de l’automne 2006, elle avait suivi le candidat pendant sa première campagne présidentielle. Sa relation des faits n’a pas été démentie. Des propos qui font dire à certains qu’un(e) Breton(ne) possédant un brin de dignité de donne pas un sou à Sarko.

    http://fr.novopress.info/

  • L'homofascisme des LGBT

    Douglas McIntyre, fondateur de la petite association « Les homosexuels anonymes » va rendre visite à dix grandes villes américaines où il a l’intention de demander au Congrès la protection des personnes qui ont été homosexuelles contre les crimes de haine. Il dénonce « les menaces et le harcèlement menés à l’encontre des anciens homosexuels » et « l’homofascisme », c’est-à-dire

    « les intimidations des homosexuels qui pensent que seul leur point de vue sur l’homosexualité peut être toléré ». « Bien qu’ils prêchent la tolérance pour les gays, ils pratiquent couramment la discrimination envers les ex-homosexuels comme moi qui ont pris un chemin différent ».

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Mettre un terme aux interventions du FMI ?

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    Minimisée, dédaignée, déformée par les médiats hexagonaux la polémique entre les autorités européennes et le Fonds monétaire international mérite qu'on s'y attarde.

    De quoi s'agit-il en effet ?

    Dès le 16 juillet, sur le site de "Die Welt" était publié un long article relatant la teneur d'un entretien avec Mme Viviane Mme Reding, vice-présidente de la Commission européenne, à paraître en date du 17 dans les colonnes de la "Stuttgarter Zeitung".

    Le site internet du Figaro (1)⇓, reprenant l'AFP résume sa nouvelle mise en garde sous le titre suivant "UE : Viviane Reding veut abolir la troïka"(2)⇓

    Un peu court, semble-t-il, par rapport au long texte à l'origine du débat. La responsable européenne considère, entre autres, que la "troïka" cette émanation supposée des "bailleurs de fonds internationaux" a, désormais, "fait son temps". Elle fait remarquer que sa mise en place en 2010 remonte à une période où l'Europe ne disposait pas des dispositifs de stabilité, adoptés depuis.

    À cet argument juridique elle en ajoute un autre : celui de l'impopularité grandissante, pour ne pas dire les campagnes de haine orchestrées à bon compte contre les trois technocrates dans les diverses capitales où ils viennent régulièrement inspecter les mesures de rigueur planifiées et, probablement, nécessaires.

    Au bout du compte la question que pose Mme Reding porte sur la légitimité d'une intervention extra-européenne, celle du FMI, en Europe. (3)⇓ Le Fonds Monétaire International intervient-il quand les collectivités locales américaines font faillite ?

    L'intervention du FMI fut inventée en 2010, sous prétexte de "sauver l'euro", par Strauss-Kahn, avec l'appui de son prête-nom, président de l'Internationale socialiste et, accessoirement chef du gouvernement d'Athènes, Georges Papandréou.

    Mme Lagarde, a prétendu réagir au nom du FMI mis en cause. Ci-devant ministre des Finances du gouvernement Fillon, ayant succédé en juin 2011 à Strauss-Kahn, empêché, à la tête du FMI, elle a cru bon d'ironiser avec toute l'arrogance dont les oligarques parisiens savent exaspèrent nos voisins : ils ne débattent pas, ils n'argumentent jamais, ils "expliquent".

    Devons-nous penser qu'en toutes circonstances les solutions du FMI sont les bonnes ? Non : les économistes de cette organisation viennent officieusement de reconnaître eux-mêmes qu'ils ont accumulé les erreurs dans la gestion de la crise de la dette des pays de l'Europe du sud.

    En regard deux choses méritent d'être retenues dans cette affaire, outre le fait que la [méchante]* Luxembourgeoise de Bruxelles (4)⇓ peut avoir raison, sur ce point et la [gentille] Française de Washington avoir tort. Incroyable n'est-ce pas ?

    Le FMI ne représente pas l'assainissement nécessaire des finances publiques d'États mis en faillite par les démagogies et les bureaucraties syndicales. Le FMI n'est que l'embryon de la gouvernance technocratique mondialiste.

    Sa présence dans la "troïka" a fait son temps.

    JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1. cf. http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2013/07/16/97001-20130716FILWWW00522-ue-viviane-reding-veut-abolir-la-troika.php
    2. Depuis 2010 on appelle ainsi le comité de trois technocrates représentants respectifs du FMI, de la Commission européenne et de la Banque centrale européenne supposés apporter "la" solution aux résorptions des dettes souveraines en Europe dans le cadre de la monnaie unique.
    3. Dès le règlement, assez "novateur", de la crise chypriote on savait que les représentants de l'Union européenne n'avaient pas apprécié pas la solution spoliatrice des déposants. Or elle fut imposée par les services de Mme Lagarde. Un lapsus du jeune président socialiste néerlandais de l'Eurozone s'en était suivi. IL fut très vite démenti sur le principe… et confirmé cependant par les décisions ultérieures. Il s'agissait bien de faire de la procédure un précédent que l'on prétend renouveler dans les autres crises analogues.
    4. Mme Viviane Reding dispose habituellement de toutes les qualités nécessaires pour désobliger les adversaires de l'eurocratie. À vrai dire les médiats parisiens, les souverainistes hexagonaux et les inconditionnels du droit de l'État ne parlent jamais d'elle. À peine se souviendra-t-on qu'en 2010 elle avait engendré une controverse position contre les déclarations du président français à propos des gens du voyage. Or, après avoir été l'éditorialiste du principal quotidien du Grand-Duché, le Luxemburger Wort, cette ancienne sorbonnarde, née en 1951, est devenue, à partir de 1999, l'un des piliers de la Commission européenne. Elle en assume aujourd'hui la charge de la Justice, des droits fondamentaux et de la citoyenneté. Ainsi Mme Reding joue-t-elle donc un rôle pivot au sein de cette Europe institutionnelle tant décriée dans le pays même qui en a conçu la plupart des dispositifs : la France, ou plutôt ses représentants officiels, ès Delors et Lamy pour le traité de Maastricht, d'où sont sortis l'euro et la Banque centrale, ès Juppé pour le calamiteux traité de Nice, ès Giscard pour la constitution avortée devenue Traité de Lisbonne.
  • Un peu de jugeote, M. Le ministre de l’Intérieur, par Manuel GOMEZ

     

    Ne noyez pas le poisson, Manuel Valls, ce ne sont pas des « fondamentalistes » qui ont assiégé le commissariat de Trappes, qui ont créé une émeute, brûlé des voitures et des poubelles et jeté des cocktails Molotov, mais de jeunes musulmans qui refusent que les lois de la république leurs soient appliquées…

     

    Même si c’est un « fondamentaliste » qui a exposé sa femme entièrement voilée afin de provoquer justement cette réaction.

     

    Heureusement d’ailleurs car, dans le cas contraire, ce serait tous les musulmans qui seraient « fondamentalistes »… ce que je ne veux pas croire.

     

    Je suis d’ailleurs très étonné du silence de toutes ces associations communautaires qui se gardent bien de sanctionner cette mini-révolte, alors qu’elles s’empressent de s’émouvoir et d’intervenir auprès de tous les médias dès le moindre contrôle au « faciès » ou le plus petit propos qu’elles estiment « raciste ».

     

    Après tout, enfreindre les lois républicaines est-ce que c’est si grave ?

     

     

    On promène sa femme entièrement voilée, on tente d’étrangler un policier, on est à l’origine volontaire d’une agression massive contre les forces de l’ordre, et on est remis en liberté !!

     

     

    Alors qu’un simple manifestant contre le « mariage pour tous » a été maintenu, lui, en prison.

     

     

    Bizarre la justice en France, de nos jours… oui j’ai bien dit « bizarre ».
  • France, Europe, Vie : une liste pour faire vaciller le système

     

    Béatrice Bourges explique à Nouvelles de France l'intérêt de la liste constituée pour les élections européennes :

     

    "[N]otre annonce a créé la surprise et tant mieux. Ceux qui ont été les plus virulents sont ceux qui font partie du système des partis traditionnels.

    D’une part, l’UMP qui a été prise de court et a eu l’impression de se faire doubler alors que certains cadres sont actuellement en train d’effectuer de grandes manœuvres pour aller draguer les électeurs du FN, tout en continuant à prendre des airs choqués lorsqu’on leur parle de ce parti. Ils vont continuer à appeler au front républicain, ce que je trouve insupportable et d’une grande hypocrisie. Voilà des années qu’ils se trompent d’adversaires.

    D’autre part, le FN qui, avouez le, n’a pas été clair sur les sujets qui nous mobilisent depuis maintenant 10 mois. Il ne suffisait pas de dire qu’on était contre la loi, il fallait le prouver. Mais c’était bien difficile puisqu’on sait qu’à l’intérieur même du FN, les avis sont très partagés. En revanche, certaines personnes à l’intérieur de ces partis se sont battues avec courage et détermination. Je pense par exemple à Marion Maréchal-Le Pen, qui n’a pas eu le droit de monter à la tribune des grandes manifestations alors que son discours était particulièrement clair et sans ambiguïté. Du côté de l’UMP, certains élus se sont aussi battus avec courage. À gauche aussi, on a pu apprécier les prises de position à contre-courant de certains élus particulièrement valeureux, tels Bruno Nestor Azérot.

    Ce qui prouve bien qu’il faut inventer autre chose.

    Le paysage politique va se recomposer autour de deux visions de la société : celle qui est fondée sur le réel, qui a pour objectif le Bien commun. C’est celle qui ouvre notre société à la vie, aussi bien la vie économique, que la vie sociale, sociétale etc. et, a contrario, celle qui nous emmène dans une impasse car fondée sur une vision idéologique et mortifère. C’est celle qui fonde les lois sur le désir des minorités et donc favorise le communautarisme, celle qui veut faire des personnes humaines de simples individus producteurs consommateurs. [...] 

    Patrick Louis était d’accord sur la démarche. J’étais moi-même allée à Lyon pour lui demander de se joindre à l’aventure. Il a accepté rapidement, après avoir obtenu l’accord de Philippe de Villiers. Mais l’opération s’étant faite en quelques jours,  le rôle de chacun n’a pas été suffisamment bien préparé et quelques maladresses, en particulier en temps de parole, ont pu faire croire à Patrick Louis qu’il n’avait pas autant de place dans l’initiative qu’il était en droit de réclamer. Ce que révèle cet épisode, c’est que les personnes ne doivent pas occulter le fond. La convergence entre les hommes se fera le moment venu. [...]

    Les journalistes n’ont pas compris ce qui se jouait. Ils ont donné une vision uniquement centrée sur quelques personnalités politiques. Ce n’est pas surprenant. On ne bouscule pas des décennies de conformisme en une seule conférence de presse !

    [...] Nous n’avons pas pour objectif des pourcentages mais de faire vaciller un système à bout de souffle. La question des résultats attendus est une bonne question si on la resitue dans la perspective européenne. [...]

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Violents affrontements entre racailles et militaires

    Voici le témoignage édifiant d’un ami d’un militaire du 126ème régiment d’infanterie de Brive qui raconte comment des « chances pour la France » agressent des familles de militaire, tabassent une femme enceinte de 7 mois à tel point qu’elle perdra son enfant et poignardent dans le dos un jeune engagé. La police ne fait rien pour protéger les familles et met les militaires qui se défendent en garde à vue. Quant à la réaction de la hierarchie militaire, ça se passe de commentaire…

    Bonjour,
    Je tiens à informer que des évènements graves se déroulent actuellement sur Brive, garnison du 126ème Ri!
    L’histoire commence dans une résidence privée ou des familles avec enfants profitent de ce qui paie! Des gens de la cité voisine, viennent squatter,seulement ils commencent a mettre le souk donc une invitation à sortir leur est faite car leur dérive commence a devenir dangereuse, pour les enfants notamment!
    Un mili étant avec sa compagne sur les lieux, leur demande de quitter les lieux, le ton monte car ces messieurs sont accompagnés et sont en bande!
    ça dégénère, un autre militaire arrive et la situation dégénère, le second militaire accompagné de sa compagne enceinte tente d’arrêter ça car son compagnon se fait passer à tabac! Elle se fait à son tour prendre à partie alors qu’elle est enceinte et que cela se voit!!!
    Bilan, elle finit à l’hôpital et perd son petit garçon à la suite des coups reçu!!! Il nous semble que cet acte porte un nom et fait partie d’une certaine catégorie!
    Le lendemain, des militaires se réunissent et vont dans le quartier concernés! Ils y vont non armés comme certains pourraient le prétendre! Le ton monte parce que « eh les militaires vous faites quoi chez nous!!! » je ne cite que les débuts des propos qui sont soft car la suite, vous pourrez l’imaginer amplement! ça commence à courir, forcément ça galope bien en face donc aucun coup aura été donné de la part des militaires! seulement en face, les gens du quartier ont tirer sur les militaires à coups de feu!
    A l’arrivée des forces de l’ordre et afin de ne pas trop envenimer les choses les militaires décident de quitter les lieux sans heurt avec les forces de l’ordre que nous respectons!!!
    Les jeunes eux, par la suite s’en prendront à eux et aux pompiers venus pour éteindre les différents feux!
    Le lendemain, 3 militaires isolés en ville dont un gars des iles se sont fait prendre en embuscade par les gens du même quartier, un militaire prendra un coup de couteau et finira à l’hôpital! Les gens de ce quartier n’en resteront pas là, ils iront aux abords de la résidence et donnent des coups de feu sur les appartements des militaires!
    Le soir même,tard, après ces évènements, le régiment est rassemblé par le chef de corps, annonce faite de la mort du bébé et des incidents, appel au calme fait par le chef de corps et les hautes autorités! seulement décision d’interdire la sortie aux militaires, notamment à tous les tahitiens!
    Renfort de CRS arrivé sur Brive, car peur que d’autres garnisons ne s’en mêlent,il faut dire et surtout avouer que Brive n’est pas la seule garnison à avoir des soucis avec les quartiers!
    Seulement impunité des gens du quartiers des chapélies qui viennent provoquer aux abords direct de la caserne et menacent entre autre tous militaires rentrant du dimanche, trajet gare/ caserne qui passe par chez eux!
    Aucune interpellation des gens concernés par la mort de ce bébé,par contre le papa et 2 autres militaires sont placés en garde à vue!!!
    Dimanche soir un jeune engagé, rentrant de ses perms et n’étant pas au courant des évènements a été attaqué par derrière et à subi des coups de cutter dans le dos!
    A savoir que lors de la venue des militaires dans ce quartier pour voir les auteurs! les militaires n’étaient pas constitués de casseurs, voleurs ou autres types d’individus malsains et sans valeurs!
    Ce matin 2 autres étaient appelés pour soi-disant témoignage ce matin à 9 heures du matin, en fait ce n’était pas pour prendre des témoignages mais pour placer des militaires en garde à vue!
    Là, je parle pour l’un d’eux, qui est mon ami, mon frère d’arme et je peux garantir les yeux fermés, qu’il n’y a pas plus « CLEAN » que lui car ce CCH est d’une valeur inestimable, toute personne le connaissant pourrait se porter garant de crédibilité!
    A notre plus grande surprise (Mauvaise), les médias ne relatent que très peu les faits, laissant même entendre que les fauteurs de trouble seraient les militaires! Les commentaires de certains compatriotes sont tout simplement insultants pour rester au premier degré!
    Nous nous demandons ou est la justice?
    Pourquoi les policiers ne sont-ils pas avec nous alors qu’ils ont tous les éléments?
    Pourquoi les médias nous salissent-ils comme ça??
    Pourquoi? et de qui viennent les ordres?
    Je crois que si nous nous posons les bonnes questions, les réponses font peur…………!

    Pour l’instant il n’y a que France 3 qui parle de cette affaire en déformant la réalité.

    http://www.contre-info.com/