Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

magouille et compagnie - Page 2247

  • Livret A : l’État pickpocket, par Manuel GOMEZ

    Ce 1er août 2013, le livret A est passé à 1,25% (celui du LDD également). Ainsi, à partir d’aujourd’hui, le plafond de votre livret A (22.950 euros) qui vous «offrait» 401,60 E ne vous rapportera plus que 286,90 E. Le motif invoqué par le «voleur» est la baisse de l’inflation.

     

    Rappelons qu’en janvier 2013 il était à 2,25% avant de chuter à 1,75% le 1er fevrier. Ce nouveau vol de « Rapetout » va passer comme une lettre à la Poste parce que les 63 millions de possesseurs de Livret A ne peuvent placer leurs économies en toute sécurité nulle part ailleurs !

     

    Or, l’inflation, qui était de 2% en 2012, sera de 1,50% en 2013. Cela veut dire que chaque fois que vous croyez percevoir une économie vous perdez effectivement 0,25% de votre capital placé.

     

     
    Si cette ridicule économie servait à redresser notre pays, la France, nous l’accepterions bien volontiers mais ce n’est pas le cas. Elle bénéficiera en tout premier lieu à la CDC (Caisse des Dépôts et Consignations) qui perçoit 65% du montant total de nos livrets A, ce qui  lui permettra :

     

    D’une part de prêter moins cher (2,25%) aux collectivités locales afin de financer les logements sociaux. Prêts que nous rembourserons nous-mêmes par des hausses de la fiscalité locale.

     

    Et d’autre part permettra également à la CDC de se rembourser une partie des 4 milliards qu’elle a perdu dans la faillite douteuse de la banque DEXIA, dont 1 milliard provenait de « nos » livrets A.

     

     

    Nous serons ainsi volés deux fois.

     

     

    Les 35% restant, soit environ 50 milliards, iront vers les banques de dépôts et leur permettront d’augmenter les rendements de leurs autres produits à court terme et ainsi de se « refinancer » à nos frais.

     

     

    Les banques vont donc gagner de l’argent en nous prêtant notre argent, qui ne leur coûtera rien.

     

     

    Bravo les pickpockets !

     

     

    Est-ce que ce ne serait pas du « vol en bande organisée » ?

     

    Il ne nous reste plus qu’à attendre la prochaine décision des pickpockets qui nous gouvernent en espérant que ce ne sera pas, comme en Argentine il y a dix ans, la confiscation pure et simple de nos « Livrets A ».

    http://www.francepresseinfos.com/

  • Et après ils nous donnent des leçons de morale…

    La question n’est pas de savoir si la mesure se justifie ou non mais de montrer le double langage d’Israël. Dans les pays occidentaux les gouvernements ne peuvent bouger le petit doigt contre les clandestins sans se prendre une volée de bois vert par les politiques et autres intellectuels sionistes au nom de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme. En Israël par contre, des mesures très restrictives sont prises à l’égard des immigrés non juifs.

    Lu sur afrik.com :

    Une information confirmée par la direction de l’Ichilov Medical Center à Tel-Aviv : Seuls les migrants africains ayant besoin de soins médicaux seront acceptés. Les visiteurs et autres parias africains seront refusés. Ces nouvelles instructions figurent désormais dans le règlement de l’hôpital. Pour se justifier, la direction invoque une potentielle contagion de la tuberculose à éviter.

    Cette dernière estime donc que les migrants africains sont porteurs de maladies graves et qu’il est important d’écarter tout risque. En outre, les travailleurs et réfugiés africains n’auront plus le droit de pénétrer dans l’enceinte de l’hôpital s’ils ne portent pas de badges d’identification. Quant aux parents d’enfants hospitalisés, ils n’ont aucun moyen de voir leurs progénitures s’ils n’ont pas de badge.

    Le « badge de David »

    Ce précieux sésame indique que le migrant ne présente aucun risque de contamination. Sans ce badge, les maris qui accompagnent leurs épouses qui doivent accoucher ne pourront pas aller plus loin que la porte d’entrée de l’hôpital. De plus, les patientes immigrées ou réfugiées du service maternité de l’Ichilov Medical Center sont placées en isolement, ainsi que les enfants immigrés et réfugiés.

    Toutes ces précautions ségrégationnistes, qui rappellent des méthodes d’un autre temps, visent à garantir la santé et la sécurité des autres patients et du personnel.

    Une décision « purement médicale » ?

    Ce nouveau règlement a été adopté une semaine après qu’un cas de tuberculose ait été diagnostiqué sur un nouveau-né de 6 semaines dont la mère, une Erythréenne, est elle-même atteinte de la maladie, rapporte Sistadiaspora.com. La mère et l’enfant ont été isolés en soins intensifs. L’alerte a tout naturellement immédiatement été donnée et toutes les personnes qui ont été en contact avec le bébé ont été convoquées pour des dépistages et la prescription d’antibiotiques en traitement préventif. Rien de bien choquant à ce niveau-là. Mais était-ce une raison pour instaurer un accès restreint de l’hôpital à toute la communauté noire d’Israël ?

    Un représentant de l’hôpital a indiqué que cette mesure n’avait rien à voir avec la campagne raciste relayée par les médias qui présentent les Africains comme des vecteurs d’infections graves. Plus grave encore, les hôpitaux israéliens se plaignent du coût des soins qu’ils doivent apporter aux migrants. L’Ichilov Medical Center s’était déjà fait remarquer en mai dernier, lorsqu’un médecin de cet hôpital avait déclaré que trop d’enfants noirs naissaient. Ils les avaient qualifié d’ « infiltrés ».

    L’Israël avait atteint son apogée avec le scandale des stérilisations forcées. La dernière fois que des Israéliens ont tenu des propos racistes en public, c’était dans l’émission de télé-réalité locale « Big Brother ». Des candidats ont proféré des propos racistes à une autre candidate d’origine Falasha. L’Etat hébreu censé donner l’exemple en matière des droits de l’Homme étant donné l’histoire, ne cesse au contraire de cumuler les affaires de racisme.

    http://www.contre-info.com

  • Transports et Libertés

    130801Une série spectaculaire de catastrophes est survenue cet été dans les transports collectifs. En France, en Italie ou en Espagne ceci a peut-être conduit le public à prendre, plus ou moins consciemment ou non, la mesure de leur place dans la vie de nos cités.

    Ainsi, moins dramatiquement, l'observation la plus élémentaire des projets du "Grand Paris" et de la "Métropole" francilienne nous indique aussi combien fondamentale se révèle la part attribuée par les décideurs d'État aux moyens de déplacements. Et les investissements, annoncés à hauteur de 5,3 milliards, concerneraient par priorité l'aménagement de gares et de voies ferrées.

    À ce stade on ne saurait faire l'économie d'une réflexion sur les manipulateurs de l'opinion.

    Le cas du camarade Braouezec peut être ainsi considéré comme celui du parfait représentant de la pensée dominante, celle qui se propose de guider l'urbanisme du futur soutenu par les applaudissements de la gauche caviar.

    Longtemps député-maire de Saint-Denis, l'intéressé imagine sans doute admirable sa propre contribution à l'urbanisme dirigé, solidaire, et collectiviste tendant au remplacement de peuple. Ce projet, plus populaire en général dans les beaux quartiers que chez les populations d'origine, compense sans doute par un bel avenir de notoriété mondaine le piétinement de sa carrière politique.

    Car on doit dire quelques mots de sa légitimité d'humaniste. Ancien "rénovateur" du parti communiste, il n'a quitté celui-ci qu'en 2010. Or, en "trente-huit ans de militance", il n'avait jamais remarqué le caractère criminel du stalinisme. Il déplore seulement que "le PCF n'est pas capable d'impulser un vrai rassemblement de la gauche critique et de porter un projet novateur." (1)⇓

    Sur le terrain de l'urbanisme comme sur celui des droits humains qui donc oserait le concurrencer ?

     Et de définir ainsi la nouvelle utopie : "En ville, le droit à la centralité pour tous" (2)⇓.

    Cette revendication, littéralement ridicule, ne verra jamais le jour, on s'en doute. Mais elle permettra aux promoteurs des projets technocratiques de s'appuyer sur elle. Tout ceci se réclamera aussi d'une "alternative de transformation sociale et écologique".  (3)⇓

    Or, non seulement on considère comme naturelle et évidente la part étatisée des services de transport, mais les alternatives les plus nécessaires sont combattues, dénoncées, stigmatisées, y compris les "concurrences intermodales."

    On entend parfois, trop rarement, Certains politiques, quand ils siègent dans l'opposition pointer les dysfonctionnements de ces structures, les retards accablants, l'insécurité, etc.

    Pour la seule région Ile-de-France, on relève qu'en sus du Versement transport, prélèvement social récolté par le STIF monopoliste, la région subventionne à hauteur de 1,6 milliard d'euros par an les transports publics. Mais celle-ci n'impose aucun engagement en matière de régularité et de sécurité et aucune sanction. Le Rapport de la Cour des Comptes déplore que Syndicat des transports d'Ile-de-France, qui les finance n'arrive à se faire respecter ni de la SNCF ni la RATP. Chaque jour 3 millions de voyageurs sont victimes d'un réseau métro/train/RER dont 60 % des lignes ne remplissent pas leur objectif de régularité. Sur les transiliens : seules 2 lignes sur 8 atteignent leurs objectifs. On considère comme un exploit que les métros soient à 91 % de régularité et le RER E, seul dans ce cas atteigne 95 %. Les chiffres des autres lignes sont accablants RER A 85 % (objectif contractuel 94 %), RER B 84 % (94 %), RER C 91 % (93 %), RER D 84 % (92 %).

    Il convient donc d'exiger de la classe politique qu'elle ose enfin se prononcer en faveur d'un autre mode de gestion. Quitte à mécontenter la CGT.
    JG Malliarakis http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1. cf. "Le Monde" en ligne le 25.03.2010.
    2. in "Médiapart" 22 septembre 2012
    3. cf. l'entretien précité au "Monde" "Patrick Braouezec : pourquoi j'ai décidé de quitter le Parti".
  • Crise économique: ce qui nous attend vraiment…

    par Charles Sannat

    C’est la célèbre histoire de la dinde de noël

    Tous les jours pendant 1000 jours, la dinde est nourrie, engraissée. Chaque jour qui passe pendant cette période renforce la dinde dans sa croyance que demain sera identique à hier et qu’elle recevra une pitance abondante. Au bout de 1000 jours, le degré de confiance éprouvée par la dinde atteint son paroxysme. Le soir même la Dinde est tuée. Le lendemain vous la mangez dans votre assiette. La Dinde est morte alors que l’indice de confiance de la dinde était au plus haut.

    Madame notre lectrice, ce qui est sûr, c’est que votre banquier est un dindon… donc surtout ne devenez pas son « dindon de la farce »!!

     

    Je souhaitais également, Madame, vous apporter un autre élément de réflexion et en faire profiter tout le monde.

    N’imaginez pas que votre banquier est compétent. En fait c’est l’inverse depuis hélas bien longtemps. Les banquiers sont recrutés pour leur incompréhension de l’économie et du système (je parle des banquiers d’en bas, c’est à dire de ceux qui s’occupent de votre argent). Pourquoi ? Pour une raison simple. Imaginez une personne qui pense par elle-même, qui comprend la situation et à qui on demande de vendre à ses clients des produits qu’il sait mauvais et qui vont entraîner la perte de l’épargne de son client qu’il voit toutes les semaines. Quelle sera sa réaction ? Il ne vendra pas grand-chose. Or votre agence à des objectifs. Résultat, pour avoir les meilleurs vendeurs, il faut recruter des vendeurs de raquettes de tennis de chez décathlon. Pas des économistes.

    Enfin, ces collaborateurs subiront un véritable lavage de cerveau hebdomadaire et mensuel. On leur donne la bonne parole, on homogénéise les discours de tout le monde, on supprime le libre arbitre. Celui qui remet en cause est poussé vers la sortie.

    Alors dernier conseil Madame, faites passer un petit test à votre banquier qui normalement à moins de 40 ans (on s’est débarrassé des seniors qui comprenaient encore quelque chose à l’économie et à la finance et qui savaient lire et écrire en français), pour confier vote argent aux mains incultes de vendeurs de savonnettes.

    Demandez-lui comment fonctionnent les CDS ?

    Demandez-lui quelle est la taille du bilan de sa banque par rapport à ses fonds propres ? (là on  va franchement rigoler).

    Demandez-lui ce que sont les normes de Bâle 3 ou Solvency 2, il devrait y avoir un moment de flottement…

    Revenons donc à l’actualité du jour encore une fois bien chargée pour un été.

    Le FMI va arrêter son soutien à la Grèce

    Selon le grand quotidien allemand Der Spiegel, le Fonds Monétaire International aurait indiqué aux dirigeants de l’Union Européenne qu’il ne participerait pas à un soutien supplémentaire pour la Grèce.

    Il faut dire qu’actuellement, le FMI subit des pressions de plus en plus importantes car des voix de plus en plus nombreuses s’élèvent pour dénoncer le parti pris européen du Fonds. Cela a encore été le cas cette semaine avec la lettre de démission adressée au conseil d’administration de Peter Doyle, l’un des économistes britanniques du FMI.

    Lorsque l’on sait que de nombreux pays européens ont conditionné leur participation au sauvetage de la Grèce notamment à l’intervention et à la surveillance du FMI, cela n’augure rien de bon pour les prochaines semaines.

    Alors que le FMI n’est tout simplement plus disposé à fournir des fonds supplémentaires pour aider la Grèce, il est difficile d’imaginer que les pays européens prennent à leur charge les dizaines de milliards d’euros qui vont manquer dès septembre. Vous n’avez pas fini d’entendre parler du cas grec, vous savez, ce pays que l’on a sauvé de la catastrophe lors des différents sommets de la dernière ultime chance.

    Enfin, cela en dit long sur ce que pense les anglo-saxons de la construction européenne et de l’avenir de la monnaie unique. Barack Obama et les Américains n’ont aucun intérêt à voir émerger une Europe unie et fédérale. Si une Europe unie est un danger pour le leadership américain, une Europe désunie est une grande chance y compris pour le dollar américain…

    Plus de crédibilité pour l’Espagne

    Ambrose Evans-Pritchard, mon journaliste fétiche du Telegraph à Londres, signe encore un papier digne d’intérêt. Pour lui la crédibilité de l’Espagne est nulle.

    « La crédibilité financière de l’Espagne est proche de zéro. La crédibilité budgétaire est égale à zéro. La crédibilité politique est nulle ».

    En gros l’Espagne ne pourra pas s’en sortir et le coût d’un sauvetage global par ses partenaires européens est tellement élevé qu’il est illusoire. Effectivement c’est également ce que je pense.

    D’ailleurs les marchés aussi sans doute, en tout cas le marché obligataire puisque le 10 ans espagnol dépasse allègrement la barre des 7,5%, un taux insoutenable à long terme.

    Justement le marché obligataire, avec d’un côté des taux astronomiques pour de plus en plus de pays, et à l’autre bout de l’échelle, des taux négatifs pour quelques-uns, est en réalité la bulle financière ultime.

    Des milliers de familles d’épargnants modestes pris au piège par le scandale des actions privilégiées

    Toujours en Espagne, vous vous souvenez ce que je vous disais sur les bons produits financiers vendus aux particuliers qui allaient perdre leur épargne. Et bien voilà, c’est fait, ils sont déjà un million.

    Les actions privilégiées sont un produit financier émis par une banque étrangère à perpétuité qui ont été mis sur le marché par les banques et les espagnols. Cela signifie que les économies sont déposées dans un actif, en échange d’un supposé intérêt (3 ou 4%). Ce dépôt est effectué à perpétuité, sans possibilité de « rédemption » pour le client, sans aucune garantie de rentabilité et aucune garantie minimale du système financier espagnol.

    Voilà qui va sans doute renforcer la sympathie du peuple espagnol envers ses dirigeants bienveillants et ses banquiers charmants qui ont vendu de bons placements de père de famille à tous ses clients, toutes les banques espagnoles ou presque ayant participé à la ruine de leur client.

    Tant qu’il y en a qui veulent croire que les banquiers veulent leur bien, nous ne pourrons rien faire pour les aider.

    L’Amérique se dirige vers une apocalypse économique

    Si il n’y avait que l’Europe dans une situation dramatique, nous pourrions encore avoir un petit espoir, mais vraiment, ce n’est pas le cas, d’ailleurs les Etats-Unis ne vont pas très bien. Mais ce n’est pas un scoop. Non le Scoop c’est qu’un site Internet très, très grand public aborde ce genre de problématique avec le titre suivant : « l’Amérique se dirige vers une apocalypse économique ». Rien de moins, mais c’est déjà tout un programme. Lorsque je vous dis que le dollar vaudra un peu plus que l’euro, mais pas très longtemps… c’est hélas une réalité pour bientôt.

    Ainsi Yahoo Finances nous annonce que pour le PDG de “Euro Pacific Capital” Peter Schiff, l’économie américaine « se dirige vers un crash économique qui fera de 2012 une vulgaire promenade de santé. Les différents programmes de stimulation (QE) peuvent retarder le jour du jugement, mais seulement pour quelques temps, et au risque de  provoquer un effondrement beaucoup, beaucoup plus grave »

    Amen, récitez 10 « Notre Père », et forcez un peu la dose sur les « Je vous Salue Marie », trop de protection ne sera pas de trop…

    « Un effondrement massif est à venir, et pas seulement des marchés, mais de toute l’économie », a affirmé Peter Schiff dans la vidéo. « Ce sera comme ce que l’on peut voir en Europe en ce moment, mais en pire.»

    Que devez-vous faire pour vous protéger ? Peter Schiff a trois suggestions :

    1. Sortez des bons du Trésor

    Le dollar américain sera broyé dans le scénario de Peter Schiff. Verrouillé sur un rendement à 10 ans de 1,5%. Si l’inflation s’élève même à 5%, un niveau beaucoup plus faible que celle observée dans les années 1980, les propriétaires d’obligations auraient un pouvoir d’achat en baisse de 3,5% à la fin de chaque année. Et si vous voulez les vendre, vous ne trouverez que des acheteurs à un prix beaucoup plus bas que le prix d’achat.

    Ça c’est une évidence, et c’est la principale raison qui me fait penser que les contrats d’assurance vie fonds en euros seront une catastrophe dans les années qui viennent pour l’épargnant.

    2. Soyez propriétaire des bonnes actions

    Avec les obligations et le dollar comme souffre-douleurs, les actions devraient surperformer de façon spectaculaire, à condition que vous possédiez les bonnes. Les exportateurs et les sociétés multinationales bénéficieront d’un dollar faible. Le mieux serait encore d’acheter des actions étrangères et d’éviter complètement les États-Unis… Je pense que ce raisonnement est faux. A qui vendront les sociétés exportatrices ? Non, pour le moment il ne faut pas aller sur les marchés. Attendez le point bas, qui sera compris entre 1 500 et 1 800 points pour le CAC40.

    3. Achetez de l’argent et de l’or !

    Peter Schiff affirme que la faiblesse récente des métaux précieux n’est juste qu’une pause en attendant que le tout baisse. Main Street n’a pas encore pris de positions sérieuses sur l’or ou l’argent. Une fois qu’ils commenceront à laisser tomber les obligations et qu’ils rechercheront un endroit pour se cacher, le prix de ces métaux va monter en flèche.

    Etes-vous prêts pour un effondrement du marché et de l’économie américaine ?

    Allez, je vous laisse, c’est l’heure de rejoindre les enfants à la plage, on va essayer de lutter contre la marée montante… hélas je connais déjà l’issue, mais c’est vrai, je suis sans doute trop pessimiste.

    JOLpress   http://fortune.fdesouche.com/

  • De la déliquescence de la société occidentale…

    Mohawk Nation News

    29 Juillet 2013

    url de l’article: http://mohawknationnews.com/blog/2013/07/29/straight-up/

    ~ Traduit de l’anglais par Résistance 71

    Que feriez-vous si un vieil homme envoyait des photos de son pénis en érection à votre fille adolescente, avec en sus quelques invitations suggestives pour avoir des relations sexuelles avec elle ? C’est comme suggérer qu’un père viole sa fille. L’ancien député Anthony Weiner, un riche politicien faisant campagne pour la mairie de New York donne l’exemple. L’ancien gouverneur de l’état de New York, un autre vieillard, a été pris la main dans le sac de solliciter une jeunette de 22 ans. Il démissionna et devint une star des médias. Tous deux commirent des crimes contre des femmes.

    Les dirigeants sont en train de démanteler les Etats-Unis et le Canada légalement, socialement, politiquement, commercialement et moralement. Le Canada est en phase d’être donné à l’empire américain (NdT: Il n’est pour l’heure qu’un des satellites majeurs de l’empire, mais la fusion du Canada et du Mexique avec les Etats-Unis est prévue avec le projet d’Union Nord-Américaine, les commandements militaires de ces nations sont déjà sous contrôle américain avec le NORAD). Le premier ministre Harper démantèle tout ce qui peut l’être de façon à ce que les banquiers internationaux puissent avoir accès direct à nos ressources.

    Des membres de la famille royale aux liens consanguins sont mis en vitrine, l’armée de l’air et la reinette sont partout en photo. Charles et Camilla seront sans doute installés comme roi et reine du Canada. La classe laborieuse continue de servir de mineurs et d’extracteurs de ressources.

    Anthony Weiner est une mise à l’épreuve pour un empire mourant, un empire de parasites qui volent tout et ne produisent rien, un empire de l’escroquerie générale et d’une société pourrie se décomposant. Des milliers d’années de morale, de normes décentes et d’intelligence sont foulées au pied. Le voyeurisme sexuel attaque les femmes et les enfants en premier lieu, il s’en suit le massacre de l’humanité.

    Les épouses de Spitzer et Weiner ont pris parti pour leur homme. Elles ont pardonné à leur mari parce qu’elles se moquent bien des autres. La vanité, le statut social et être la femme d’un maire ou d’un PDG est bien plus important. Elles font partie du problème et sont tout aussi coupables. La culpabilité et la corruption commencent de manière interne. Les collaborateurs sont protégés. La société dépourvue de morale ne se préoccupe plus de la politique. Weiner nous dit: “Je peux être aussi décadent que je le veux.”

    Les dirigeants ont promu le pénis et la pornographie pour être les représentants du pouvoir, de la guerre et du statut social. Cette strate décadente de la société doit être éliminée de la race humaine ou nous allons tous plonger. Ceci doit être la toute dernière classe exploiteuse autorisée à régner.

    Auparavant, des hommes poursuivaient le perpétrateur, l’attrapaient, l’attachaient à un arbre et le castraient. Les femmes le fouettaient avec des branches de saule rouge devant les gens. Chacun fait son choix. Nos communautés ont la responsabilité de prendre soin de nos femmes et de nos enfants. Les masses font confiance en leur police, leurs politiciens, leur députés et sénateurs, dont beaucoup commettent des indécences. Si les gens ne confrontent pas Weiner, c’est qu’ils sont d’accord avec lui.

    Weiner, Spitzer, l’ancien président Bill Clinton et bien d’autres ont contribué à ouvrir la porte de cette société écœurante. Ces modèles sont promus à dessein. Maintenant d’autres psychopathes peuvent approcher et attaquer des jeunes filles qui refusent leurs avances. Nos garçons et filles doivent résister même si leurs parents sont trop occupés dans un système qui rend les jeunes filles si vulnérables. Un coup-monté contre la prostitution enfantine se déroule en ce moment dans 74 villes des Etats-Unis.

    Comme l’a si bien chanté Frank Zappa au sujet du contrôle planifié par le gouvernement:

    “I am the tool of the Government/And industry too/For I am destined to rule And regulate you.”

    “Je suis l’outil du gouvernement/et de l’industrie aussi/car je suis destiné à vous diriger et vous réglementer.”

    “I’m the Slime”.

    http://resistance71.wordpress.com/

  • Cambridge: une employée de cantine scolaire licenciée pour avoir servi par erreur du porc à une élève musulmane

    Lu sur Fdesouche :

    • L’employée de cantine d’une école primaire limogée au motif d’avoir servi accidentellement du porc à une fillette musulmane
    • Alison Waldock agée de 51 ans a présenté ses excuses pour son erreur dès que l’erreur ait été constatée
    • Elle a dit qu’il lui était difficile de garder traçabilité de tous les desiderata alimentaires de plus de 40 élèves à partir des listes qui lui ont été fournies.
    • Mais en dépit de 11 années de travail en tant que cantinière , elle a néanmoins été licenciée de l’école primaire de Cambridge

    Alison Waldock, 51 ans, a donné du Gammon (l’équivalent de la souris d’agneau pour le porc) à une fillette de sept ans après que celle-ci ait montré du doigt son choix de plat sur les menus de la cantine.

    Le chef d’établissement a repéré l’erreur et est intervenu avant que la fillette ne mange la totalité de sa viande qui est interdit de par sa religion.

     

    Mais les parents de la fillette ont été informé de l’erreur et ont porté plainte contre l’entreprise de restauration qui fournit les plats à l’école.

    Mlle Waldock a été suspendue de toutes ses fonctions et a été licenciée pour faute grave.

    Mlle Waldock a déclaré hier qu’elle avait fait une erreur non-intentionnelle qui a été rejetée bien qu’elle ait supplié ses employeurs de lui laisser garder son emploi.
    « L’école ainsi que la société de restauration font de moi un bouc émissaire » a ajouté cette mère de deux enfants.
    « J’adorais mon travail et je n’avais jamais eu de problèmes auparavant »

    L’erreur s’est passée à l’école primaire de la Reine Edith à Cambridge où la proportion d’élèves issus de minorités ethniques est « bien supérieure à la moyenne » selon le dernier rapport Ofsted. Le site internet de l’école informe également que les familles des élèves parlent plus de 28 langues.

    Mlle Waldock confirme que l’élève avait effectivement demandé de la viande. « J’ai demandé : Tu veux du Gammon?  Et elle a répondu « oui » alors je lui ai servi dit-elle. »

    « Il y a certes une liste de tendances alimentaires mais les élèves ne portent pas de badges ou d’autocollants et nous ne pouvons les connaître tous par coeur. Je respecte toutes les croyances, les religions des enfants ainsi que les choix de repas. C’était juste une erreur. Je pense qu’être virée pour ça est vraiment très sévère. »

    Les parents de la jeune fille Zahid et Rumana Darr ont affirmé que l’école leur ait dit que Mlle Waldock n’était pas directement concernée par l’erreur (rejetant l’erreur sur la société de restauration)

    Mme Darr 33 ans a déclaré: « L’employée de cantine ne se souciait guère des impératifs de son travail »

    Mais Mlle Waldock a répondu : « Ce n’est pas vrai. Si je voyais les parents aujourd’hui, je leur dirais que je suis vraiment désolée de ce qui est arrivé »

    Un groupe de militants musulmans a déclaré que «virer une employée de cantine pour voir servi par inadvertance de la viande de porc est toutefois une sanction excessive»

    Le Groupe communautaire Muslims4UK dit également que la majorité des parents musulmans se montrent «compréhensifs» vis à vis de l’erreur accidentelle.

    Le responsable de l’UKIP Nigel Farage a promis de prendre fait et cause pour Mlle Waldock.

    « Je suis sincèrement désolé pour elle. Si elle avait servi du Gammon à un végétarien aurait-elle été virée? Je ne le crois pas. »

    http://www.contre-info.com

  • Revenir sur la loi Taubira : L'UMP se cherche

    Entre les partisans de l'Union Civile, ceux qui souhaitent revenir sur le volet de l'adoption, et ceux qui pensent soumettre la question au peuple par référendum, les avis sont nombreux et divergents au sein de l'UMP quant à l'atitude à adopter en cas de retour au pouvoir en 2017.

     

    Beaucoup reconnaissent que les promesses ne sont pas forcément tenues. Pour Thierry MAriani, par exemple :

     

    "Quand nous sommes dans l'opposition, nous prenons des engagements qui ne sont pas suivis de faits une fois aux affaires"

     

    Malgré cela, Geoffroy Didier, co-fondateur de laDroite Forte estime :

     

    "Ce combat n'est pas un fond de commerce. Il ne faut pas prendre les gens pour des imbéciles."

     

    Quoiqu'il en soit, derrière ces hésitations demeure le spectre du Front National dont l'ascension semble gêner la droite :

     

    "La montée du Front national est autant due à la radicalisation de certains de nos électeurs qu'à notre incapacité à tenir nos promesses [...] À force de faire campagne à droite et de gouverner au centre, voilà le résultat."

     

    A défaut d'idées claires sur la dénaturation du mariage, voilà de la clairvoyance sur un constat d'échec des politiques passées.

    Carole d'Hombelois   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Béatrice Bourges à L'Action Française : "La civilisation est en danger de mort."

    Il n’est pas exagéré de dire que nous avons assisté depuis l’hiver dernier à un sursaut historique du peuple français dans ses fondements, à savoir la famille. Comment analysez-vous ce sursaut face au mariage gay ?

    Béatrice Bourges - Oui, je pense que l’on peut vraiment parler de sursaut historique. Depuis huit ans, je me bats sur ces sujets. J’ai d’ailleurs écrit en 2008 un livre intitulé "L’homoparentalité en question, Et l’enfant dans tout ça" (Editions du Rocher). Je peux donc constater l’évolution de la société française sur ce sujet. Jamais je n’aurais pu imaginer que cela prenne une telle ampleur et s’installe dans la durée.

    Le Français ont pris conscience de la gravité de la situation. Ils se sont rendu compte de ce qui se cachait derrière cette loi. Ils ont compris qu’il s’agissait, non pas d’un sujet qui ne concernait que quelques personnes, comme on tentait de le leur faire croire, mais que notre civilisation était en danger de mort. C’est la famille qui est la pierre d’angle de la société. Lorsqu’elle est mise en danger, c’est toute la société qui s’effondre. Depuis de très nombreuses années, la famille est attaquée de façon très violente par les gouvernements successifs qui ont contribué à sa lente destruction. Ce dernier coup qui lui a été porté a été celui de trop et c’est ce qui a provoqué le réveil du peuple. 

    Pourriez-vous nous faire un court historique de la Manif pour tous dont est issu le Printemps français ?

    L’aventure a commencé très précisément le 5 septembre 2012, lorsque nous avons, à un très petit nombre, décidé de faire une réunion fondatrice d’opposition au futur projet de loi « Mariage pour tous ». Une quarantaine de « têtes de réseaux » ont pris part à cette réunion qualifiée « d’historique », tant les participants venaient d’horizons variés. Cela a permis d’identifier les forces en présence et même pour certains de se reparler, ce qu’ils n’avaient pas fait depuis des années. Cette réunion a été le détonateur de cet immense mouvement qui s’est levé depuis. Nous hésitions à cette période sur la stratégie à tenir. Assez vite, nous avons eu les remontées du terrain et nous avons senti qu’une grande manifestation s’imposait. Cela a commencé par des manifestations régionales le 17 novembre (ce sont les Lyonnais qui en ont été les initiateurs), puis le 13 janvier a eu lieu cette immense manifestation parisienne dont le nombre a été complètement sous estimé par la Préfecture, ce qui a contribué à la mobilisation encore plus forte des Français.

    Toutes choses étant égales par ailleurs, il semble que nous assistions en 2013 à la levée en masse d’une France du refus comme les pays de l’Est ont produit à la fin des années 1980 des peuples du refus. Comme si avec le mariage gay, les Français avaient décidé de se lever contre cette dernière provocation d’une idéologie totalitaire issue de Mai-68...

    Je suis tout à fait d’accord.

    En fait, cette loi, mortifère pour notre civilisation a été comme une énorme claque qui a fait sortir le peuple de sa léthargie.

    L’idéologie totalitaire issue de Mai 68 a fait des ravages colossaux, dans tous les domaines. Le libéralisme libertaire a anéanti la France. Mais, dans un instinct de survie, les Français sortent, comme un peu hébétés, d’une hibernation qui a duré plus de 40 ans.

    A la différence cependant de certains autres mouvements de contestation, je pense que nous sommes plus « pour » que « contre ». C’est vrai, nous refusons cette société fondée sur une idéologie soixante huitarde de l’individualisme et de l’hédonisme comme valeurs absolues. Mais nous travaillons déjà à la reconstruction d’une nouvelle société fondée sur le respect de l’intérêt général associé au respect des personnes. C’est ce que l’on appelle le Bien commun.

    Le gouvernement sous estime complètement ce qui est en train de se passer. Il a tort et son réveil sera douloureux.

    Pourriez-vous nous présenter le Printemps français que le pouvoir et les media aux ordres ont cherché à criminaliser ? Vous avez dit que c’était avant tout un état d’esprit et qu’on ne pouvait dissoudre un état d’esprit. [...]

    Propos recueillis par François Marcilhac - La suite dans L’AF 2868

    http://www.actionfrancaise.net

  • Une mise au point à propos de Nelson Mandela

    Lettre adressée le 20 juillet 2013 à la « Gazetta di Parma ».
    Un fidèle lecteur de Polémia, citoyen italien francophone, a écrit à son journal régional, comme il le fait régulièrement pour s’étonner et même s’insurger  contre certains événements politiquement choquants, pour rappeler qui a véritablement  été Nelson Mandela, dans sa lutte contre l’apartheid. Nous ignorons si sa lettre a été publiée, mais le félicitons pour son courage sinon son audace.
    Polémia

    Monsieur le Directeur,

    Il est déconcertant de voir avec quelle hypocrisie et quels mensonges on a célébré ces derniers jours le « Mandela Day » en l’honneur de Nelson Mandela, ex-président de l’Afrique du Sud, avec un déferlement de louanges et une vénération qui sont à la limite du blasphème.
    Si l’on observe les faits avec réalisme et objectivité, il est clair qu’on a présenté au monde une image fausse de Mandela. Il est difficile de déterminer quel aura pu être la part d’ingénuité chez certains journalistes perroquets et la part de la propagande capitaliste et communiste dans la construction de cette image en tout point erronée. Cet homme n’a absolument pas l’amour de la paix, de la justice et de la liberté comme on le croit, mais il n’est qu’un tyran, un délinquant de droit commun. Il n’a pas été emprisonné sans raison à Robben Island, et ce n’était pas parce qu’il était un simple opposant de l’apartheid. Il a été emprisonné pour avoir projeté un renversement de l’Etat, causant de ce fait la mort violente de milliers de personnes innocentes (Noirs compris). C’était un crime qui prévoyait la peine de mort, et il aurait dû s’estimer heureux que ledit régime d’apartheid ne l’ait pas appliquée.
    Dans son autobiographie intitulée Le Long Chemin vers la liberté, il a reconnu avoir été personnellement l’instigateur de la bombe de Church Street qui a éclaté à 16h 30 le vendredi 20 mai 1983 et entraîné la mort de 19 personnes et 217 blessés.
    Ensuite ce sont les pays occidentaux comme l’Angleterre, l’Amérique et les Pays scandinaves qui ont financé les mouvements terroristes en Afrique du Sud. Ces derniers ont aussi participé activement, en liaison avec le réseau communiste international, à la construction de l’image de Mandela, en le présentant comme l’homme qui allait sauver la nation, l’arrivée du Messie Noir.
    Le soutien actif apporté à l’ANC par les pouvoirs occidentaux ont eu pour résultat de réduire pratiquement à néant, partout dans le monde, la moindre critique contre la campagne de violences de l’ANC. Le degré d’implication de l’Occident est confirmé par le fait que le siège de l’ANC ne se trouvait pas dans un pays communiste mais à Londres, depuis toujours capitale des intrigues et des mensonges internationaux organisés par les pouvoirs politiques et financiers forts.
    Salutations.
    Gian Franco Spotti, Italie, 20/07/2013
    http://www.polemia.com