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magouille et compagnie - Page 2260

  • Ils commencent à avoir des états d'âme ... Il serait temps !

    Mariage gay : le « malaise grandissant » des commissaires face à la répression

    INFO LE FIGARO - Dans le journal interne du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN), des hauts fonctionnaires font part de leur refus d’être « une police d’opinion » face aux manifestants anti-mariage gay.

    Il y a quelques jours, les CRS s’indignaient, dans un tract du syndicat Alliance, de leur mission « ridicule » contre les « veilleurs debout ». Aujourd’hui, c’est chez les commissaires de police que la colère gronde. Dans le dernier numéro de la Tribune du commissaire, deux des trois « tribunes libres » sont consacrées au « malaise grandissant » de l’institution policière face à la répression des manifestations anti-mariage gay.« Du jamais vu ! », commente un membre de ce syndicat, qui représente 60 % des commissaires, et qui a toujours été très légitimiste. « Cela montre l’ampleur du mécontentement ».

    Signé « un collectif de commissaires de police », le premier article évoque « une vidéo ayant circulé sur Internet », « qui montre deux de nos collègues remettant en liberté des personnes portant un vêtement assorti du logo d’une association engagée dans un débat de société, après un simple contrôle d’identité ». « S’il apparaissait que des instructions ont été données à toute la chaîne hiérarchique policière d’interpeller des personnes sur ce seul motif, soulignent les auteurs, les commissaires de police qui ont décidé de les élargir honorent le Corps de Conception et de Direction ». Et de conclure : « il était temps de prouver que notre Institution n’est pas une police d’opinion ».

    Le deuxième texte - une tribune « poignante », juge le secrétaire général du SCPN, Emmanuel Roux - est une lettre d’« un commissaire de police attentif à l’actualité » à un « cher collègue ». Vraisemblablement pied-noir, il lui parle de sa grand-mère, Eugénie, qui « aimait beaucoup la France, bien qu’elle n’y soit jamais allée avant que le sens tragique de l’Histoire ne la contraigne (…) à quitter pour toujours notre terre natale il y a 51 ans ». Un jour, raconte-t-il, « elle commit l’acte fou de brandir un drapeau français à sa fenêtre ». Des uniformes « déboulèrent », « défoncèrent sa porte », à la recherche du drapeau.

    Un commissaire de police

    Aujourd’hui, le petit-fils d’Eugénie est commissaire divisionnaire. « Depuis plusieurs mois, le pays gronde, poursuit-il. Je vois des uniformes, de jeunes manifestants que l’on colle contre le mur. J’en ai vu qui tombaient, d’autres que l’on conduisait vers des fourgons, le regard perdu mais fier ». Avant d’asséner : « Je ne serai jamais l’un de ces officiers. J’aime trop ma grand-mère ».

    Emmanuel Roux admet avoir hésité avant de publier ces « collègues qui parlent avec leur tripes ». Mais il a reçu plusieurs appels dans le même sens, et a voulu jouer son « rôle de syndicat, lieu de parole ». « Je n’ai pas eu connaissance de pratiques policières qui auraient été différenciées selon les manifestants, tempère-t-il. Mais l’ordre public, c’est une alchimie complexe… »

    Au sein du SCPN, on affirme toutefois que « beaucoup ne se reconnaissent absolument pas dans les méthodes appliquées ». « C’est pas qu’on soit pro ou anti mariage gay, témoigne un commissaire signataire du premier article. On est simplement choqués. On voit une distorsion énorme entre ce qui se passe avec les voyous récidivistes et des gamins pacifiques qu’on met en garde-à-vue simplement parce qu’ils portent un tee-shirt ! Parfois, il faut avoir la force de dire « non ». Notre message, c’est que l’on refuse d’être une police politique, quel que soit le pouvoir ».

    Le Figaro  http://www.actionfrancaise.net

  • Le DAL installe des Roms dans la maison d’une octogénaire

     

    Le DAL installe des Roms dans la maison d’une octogénaire

    BORDEAUX (NOVOpress) – Après une intervention chirurgicale Odette Lagrenaudie, 84 ans, était partie se reposer chez son fils. Mardi dernier à son retour à Bordeaux, elle a trouvé sa maison occupée par des roms, logés là par le groupuscule d’extrême-gauche fondé par l’activiste maoïste Jean-Baptiste Eyraud.

    Le DAL avait fait changer les serrures de la maison qu’elle occupait depuis 55 ans. “Ca me rend malade de me dire qu’ils dorment dans mon lit” a-t-elle confié à notre confrère Sud-Ouest. En attendant elle est obligée de louer une chambre dans un hôtel.

     

    Il lui faut entamer une procédure d’expulsion des roms. Son avocat contacté par lefigaro.fr a déclaré «Cette brave femme se retrouve expulsée de son propre immeuble, avec une retraite de 900 euros par mois». L’assignation en justice pourrait coûter 1000 euros à sa cliente en frais d’huissier.  En outre il lui faudra “régler les factures d’eau et d’électricité.” Et rien n’assure que l’expulsion des squatters soit vite prononcée.

    http://fr.novopress.info/

  • France, la patrie du 2 poids, 2 mesures

     

    France, la patrie du 2 poids, 2 mesures
    Nombreux sont les Français qui s’indignent des scandales politiques à répétition, qu’ils se passent au sommet de l’État – de Stauss-Kahn à Cahuzac, de Woerth à Sarkozy, de Lagarde à Tapie – ou en région comme dans les Bouches-du-Rhone – d’Andrieux à Guérini, de Ciot à Medvedowsky – ou bien encore des médiocres crises d’ego au sein des partis de gouvernement : présidence de l’UMP, à droite ; limogeage de la Ministre Delphine Batho pour insurbordination budgétaire, à gauche.

    La cadence d’apparition sur la scène publique des affaires, scandales et autres joyeusetés judiciaires et/ou morales semble s’accélérer depuis l’élection de François Hollande à la Présidence de la Répu­blique… Sans compter les anciennes enquêtes toujours en cours, comme celle des rétrocommissions sur les ventes par la France de frégates à l’Arabie Saoudite et de sous-marins au Pakistan…

    Car une affaire médiatique en chassant une autre, constatons que chacune d’elle, après avoir défrayé la chronique et embarrassé plus ou moins longuement son ou ses protagoniste(s), aboutit rarement aux condamnations attendues…

    Il a suffit, outre-Alantique, à l’inculpé de viol Dominique Strauss-Kahn de payer pour que cessent les poursuites à son encontre… et en France, au même inculpé – cette fois pour des parties fines avec professionnelles rémunérées – de ne même pas attendre que soit prononcé le non-lieu requis par le Parquet de Lille, pour se rendre à une invitation à prendre la parole au Sénat.

    Tout comme sont également attendus les non-lieux en l’absence de charges requis par le parquet de Bordeaux dans l’affaire Betten­court, en faveur cette fois de l’ancien président de la République Nicolas Sarkozy, de l’ex-ministre Éric Woerth, ainsi que de l’homme d’affaires Stéphane Courbit et de l’avocat Pascal Wilhelm…

    Quant à Jérôme Cahuzac, lui, rappelons qu’il n’est finalement mis en examen que pour blanchiment de fraude fiscale, mais comme il n’a pas menti à ce propos devant les juges chargés de la procédure, il risque tout au plus une amende, alors que pour son crime le plus grave – avoir ridiculisé par son mensonge les élus de la Nation alors qu’il occupait le poste prestigieux de Ministre du Budget, donc d’avoir bafoué une des plus hautes institutions de la République – aucune sanction n’est prévue.

    Et dans le même temps, sont jetés en prison des gosses à peine majeur, tel Nicolas de la Manif pour tous, coupable d’avoir manifesté contre François Hollande et refusé de se soumettre à un test de salive… ou Esteban, agressé avec sa compagne comme cela ne fait désormais plus aucun doute, par une bande de nervis gauchistes et dont le seul tord, pour s’être défendu, est d’avoir donné un coup de poing mortel dans la confusion de la bagarre…

    Et dans le même temps encore, la classe politique européenne vient de lever l’immunitée parlementaire de Marine Le Pen pour sa décla­ration comparant les prières de rues des islamistes en France à l’occupation allemande…

    Que craint-on ? Que des Français en arrivent à considérer que les défilés au pas de l’oie de la Whermacht étaient somme toute moins dérangeants – et peut-être plus esthétiques aussi – que les culs en l’air des barbus fanatiques au milieu des chaussées de leur pays ?

    Horresco referens ! Il serait à l’évidence citoyennement inadmissible que les avis soient de plus en plus partagés sur la question… plus de soixante-dix ans plus tard !

    Il est en ravanche moralement admissible que le Sénat français refuse, de son côté, la levée de l’immunité parlementaire de Serge Dassault dans le cadre d’une enquête sur une affaire d’achats de voix et une autre de tentatives d’homicides qui pourraient être liées.

    Tout un chacun peut ainsi juger de la gravité du crime de madame Le Pen, à l’évidence sans commune mesure avec les soupçons de facéties politiciennes pesant sur l’ancien maire de Corbeil-Essonnes… du moins pour la Justice française.

    L’indignation populaire va-t-elle rester indéfiniment un tonneau des Danaïdes que rien, ni personne, ne pourra décidément jamais fait déborder ou sommes-nous, tout de même, à la veille d’un bouleversement… à force de le craindre… ou de le souhaiter… suivant que l’on soit puissant élu ou misérable citoyen !
    Philippe Randa http://www.voxnr.com/
  • Pierre Hillard décortique les rouages du Nouvel Ordre Mondial

  • Une invitation à un apéro pour tous interdite par la préfecture du Var

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  • Inacceptables hausses du tarif de l'électricité : où est passé le service public ?

    Communiqué de Presse de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Les nouvelles hausses de tarif de l’électricité annoncées par le gouvernement, 5% en août 2013 puis 5% en août 2014, frapperont durement et injustement nos compatriotes. En quelques années la France sera passée de l’énergie bon marché à l’énergie chère, parce que ses gouvernements PS et UMP ont aveuglément suivi la politique européenne de libéralisation du secteur de l’énergie et de casse du service public à la française. Contrairement aux promesses des adorateurs de l’Union européenne, cette politique menée à coup de directives n’a pas entraîné de baisse des prix, bien au contraire.
    Notons que cette nouvelle augmentation du prix de l’électricité est d’autant plus inacceptable qu’EDF a réalisé en 2012 3,3 milliards d’euros de bénéfice, après 3 milliards déjà en 2011.

    Le grand saccage du pouvoir d’achat continue donc : dans quelques mois ce sera le prix du timbre qui bondira, et bientôt le taux du livret A connaîtra une nouvelle baisse.

    Marine Le Pen appelle le gouvernement à renoncer à ses augmentations du tarif de l’électricité : aucune considération sérieuse ne les justifie. Elle s’engage à promouvoir une grande politique du service public, qui rompe avec la doctrine ultralibérale de l’Union européenne et qui conforte les entreprises de service public dans leur mission première de service aux Français, loin du dogme de la rentabilité à tout prix.

    Comme mesure d’urgence pour le pouvoir d’achat, elle renouvelle sa proposition de baisse immédiate de 5% des tarifs du train, de l’électricité et du gaz, financée par les confortables bénéfices des grandes entreprises concernées.

    http://www.frontnational.com/

  • À Brétigny, la racaille caillasse le Samu et détrousse des sauveteurs

    Environ une heure après la catastrophe ferroviaire de Brétigny, des heurts ont eu lieu autour de la gare de Brétigny-sur-Orge, entre les forces de l'ordre et des racailles qui tentaient de passer le périmètre de sécurité mis en place après l'accident. Des membres du Samu ont même été caillassés et des victimes dépouillées.
    Ce samedi matin, en bon socialiste immigrationniste, le ministre des Transports a néanmoins osé minimiser les incidents, évoquant des «actes isolés», «une personne interpellée», «une tentative de vol de portable» au préjudice d'un secouriste, de «pompiers qui, par petits groupes, ont été accueillis de façon un peu rude». Mais de «véritables actes commis en bande, non», affirme-t-il. Ben voyons ! Le nez dedans, ce type-là dira encore que ça sent la rose !
    Vendredi vers 18h30, alors que les secours se déployaient en masse autour de la gare, près de 200 curieux avaient pris place autour du périmètre de sécurité établi par les forces de l’ordre. Une mesure de précaution destinée notamment à permettre aux huit hélicoptères des secours de se poser.
    Rapidement, une cinquantaine de racailles s’en sont pris à la police, tentant de forcer le barrage mis en place. Des Compagnies Républicaines de Sécurité sont alors intervenues, pour repousser d’une centaine de mètres le périmètre de sécurité.
    C’est à ce moment-là que des heurts ont eu lieu avec une partie des racailles, dont certains ont commencé à caillasser plusieurs véhicules du Samu qui n’avaient pas pu prendre place à l’intérieur du périmètre.
    Un secouriste s’est ainsi également fait voler son téléphone portable. Certaines sources policières affirment que des victimes de l’accident et une journaliste ont été elles aussi, dépouillées de leurs sacs à main ou téléphones.
    Les policiers ont procédé à uniquement six interpellations, dont deux seulement se sont soldées par une garde à vue. Les juges si sévères avec le jeune Nicolas vont-ils maintenant les faire relâcher ?
    Vers 19h30, repoussés par les CRS, curieux et racailles ont déserté la zone.
    Avec le Parisien http://www.francepresseinfos.com/

  • Tours : manifestation de Vox Populi contre le financement public de la Grande Mosquée

     

    Tours : manifestation de <em>Vox Populi</em> contre le financement public de la Grande Mosquée

    TOURS (NOVOpress) – A la suite de la déclaration d’une adjointe au maire de Tours (Indre-et-Loire) indiquant que la communauté d’agglomération Tour(s) plus et le Conseil Régional veulent financer, à hauteur de 2,5 millions d’euros, la Grande Mosquée de Tours, l’association tourangelle Vox Populi, a manifesté (photo) mercredi soir devant la mairie de Tours pour s’opposer à ce financement public qui serait fait au mépris des principes de laïcité.

     

     

    Le mouvement a réclamé un référendum local sur ce sujet et son porte-parole, Pierre-Louis Mériguet, a déclaré au micro de France Bleu Touraine « En démocratie, les responsables politiques doivent consulter le peuple avant d’envisager ce genre de décision». Toutes les possibilités susceptibles de faire avorter ce projet de subvention devant être voté courant juillet, seront étudiées par Vox Populi.

     

    Les manifestants ont été pris à partie par des partisans de la mosquée : «On baise vos mères, on vous tuera tous !». L’association va déposer plainte et elle conclut Nous ne céderons pas face aux intimidations et nous poursuivrons le combat pour la défense et la promotion de notre identité devant ceux (en costard ou en casquette) qui veulent faire de la France une terre d’Islam.”

    http://fr.novopress.info

  • La justice a tranché

    La justice a tranché : 3000€ dont 1500 avec sursis, au lieu de quatre mois de prison dont deux fermes, on revient à des proportions plus raisonnables, même si il reste encore à débattre sur le sens de la sanction.

    Elle a encore tranché dans la nuit de mercredi à jeudi pour notre camarade Stanislas, pour lequel le Procureur de la république (de Salo ?) réclamait quatre mois de prison dont deux fermes. Le juge, une fois n’est pas coutume en première instance, et sans doute impressionné par les fortes paroles de l’excellent avocat d’Action française, Maître Trémollet de Villers, a ramené la sanction également à une amende.

    Ce qui compte aujourd’hui, c’est que Stanislas soit libre et que Nicolas Buss soit enfin dehors après 19 jours passés à Fleury-Mérogis dans des conditions d’incarcération inacceptables. La jeunesse de France n’oubliera pas ce que ce régime lui aura fait subir. Il faudra retenir les noms de tous les acteurs de cette affaire, ainsi que plus généralement ceux qui se sont laissé emporter par la volupté de la violence. Les policiers en premier lieu qui se sont montrés d’une brutalité disproportionnée avec beaucoup de jeunes dont certains avaient à peine 14 ans. Les procureurs de la République qui ont mis en garde à vue plusieurs dizaines d’heures, de simples manifestants pour délit d’opinion.

    Certains juges du tribunal de grande instance qui ont voulu faire un exemple en dépit du droit.

    Certains préfets aussi, très empressés de servir les nouveaux maîtres et montrant un zèle exemplaire à l’application des mesures de répression.

    Cela pue trop l’idéologie, cela pue trop la police politique.

    On ne vous oubliera pas messieurs et viendra le jour ou vous supplierez qu’on vous pardonne votre veule obéissance aux ordres de politiciens devenus fous par l’exercice du pouvoir.

    Vous êtes comparables aux forces de l’ordre qui en 1940 obéissaient à Vichy et début 45 avec le même zèle conduisirent l’épuration.

    Votre erreur sera de vous en être pris avec une telle sauvagerie à ceux des Français qui au fond vous respectaient le plus. Vous avez mal joué. Croyez-vous que pour autant la racaille va mieux vous considérer, comme ce policier qui a failli être noyé par une vingtaine d’individus sur une plage de Marseille ?

    Croyez-vous que l’extrême gauche qui se cache souvent derrière vous, va vous en apprécier d’avantage ?

    Non seulement vous êtes flics, vous êtes juges, mais en plus vous avez la haine de l’ordre réel. Les forces de « l’ordre » — mais quel ordre ? — défendent en réalité le Chaos.

    Vous êtes finalement les forces du désordre, tombées accidentellement sous la tutelle d’une bande organisée d’irresponsables à qui le pouvoir a échoué fortuitement.

    Personne ne vous oubliera et comme ce régime déjà épuisé tombera bientôt, l’occasion viendra plutôt que vous ne l’imaginez, que vous soit, dans le respect du droit, présentée la note.

    Olivier Perceval, secrétaire général de l’Action française

    http://www.actionfrancaise.net

  • La vie n’appartient pas au citoyen

    D'Yves Daoudal :

    "Jean-Luc Romero dans le texte- Dans Le Point :

    « Dans notre République, la vie n'appartient qu'au seul citoyen, personne n'a le droit de décider pour lui-même, surtout pas en fin de vie - mon corps m'appartient ! -, et la souffrance n'est pas rédemptrice. »

    Eh bien non, monsieur Romero. Même « dans notre République », la vie n’appartient pas au citoyen. Car ce n’est pas le citoyen qui s’est donné la vie. Et s’il a recours à l’euthanasie il met fin à sa vie terrestre avant terme, mais il ne peut pas décider de ne pas mourir. Donc il ne fait pas ce qu’il veut de sa vie, donc sa vie ne lui appartient pas.

    On remarquera l’emploi pervers du mot « citoyen ». Car on pourrait faire remarquer à Jean-Luc Romero que si personne n’a le droit de décider de la vie de son semblable, alors il doit être contre l’avortement. Mais il prend soin de parler de « citoyen ». Le fœtus n’est pas un citoyen… Il ne semble pourtant pas que Jean-Luc Romero soit pour l’avortement jusqu’à 18 ans.

    Enfin, un militant athée de la culture de mort n’est pas qualifié pour parler de souffrance rédemptrice. On lui répondra que l’histoire de l’Eglise est pleine d’exemples prouvant la valeur rédemptrice de la souffrance, pas en elle-même, certes, mais vécue en union avec le Christ crucifié – et ressuscité."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/