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magouille et compagnie - Page 2301

  • Des gauchistes comme les autres

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    « La pensée anarchiste reste voilée par les clichés et des slogans : le « ni Dieu ni maître » et le drapeau noir ou la sombre légende -propre à épater ou à effrayer le bourgeois- des bandits tragiques et des poseurs de bombes en frac de la Belle Époque, en occultent souvent la force et la complexité. L’anarchisme est aussi parfois confondu avec une révolte infantile et fiévreuse, où le combat pour l’émancipation serait synonyme de toutes les transgressions et d’un libéralisme exacerbé. Aujourd’hui les anarchistes officiels -ceux que l’on croise en queue de manifestation, encadrés par la police, les syndicats et les partis de gauche- offrent en effet le spectacle affligeant de gauchistes comme les autres, de « mutins de Panurge » qui s’empressent de défendre toutes les bonnes causes de la bien-pensance progressiste. Ces anarchistes spectaculaires et subventionnés s’obstinent, lorsque les élites mondialisées assument fièrement de s’être libérées des derniers vestiges de la morale traditionnelle, à désigner l’ennemi dans le curé en soutane et le père de famille nombreuse ; à dénoncer les figures d’un vieux monde patriarcal que le turbo capitalisme a déjà liquidées. En d’autres temps, ces anars post-modernes auraient été justement qualifiés d’idiots utiles.

    Ces caricatures et ces malentendus empêchent donc encore les meilleurs esprits d’approcher une tradition critique qui pourrait pourtant inspirer des alternatives, tant au libéralisme mondialisé et aux idéologies du déracinement, qu’aux tentations de repli sur un État-Providence moribond et aux fantasmes de restauration autoritaire. De nombreux anarchistes ont en effet souvent développé des pensées et des pratiques à rebours des dogmes progressistes modernes. »

    Olivier François (Éléments n°147) http://lecheminsouslesbuis.wordpress.com/

    (photo : "un spectacle affligeant" … les mutins de Panurge semblent marcher vers  l’abattoir)

  • Mort de Clément Méric : l’odieuse instrumentalisation qui se profile

    Les médias ont révélé hier que Marc Sebaoun, fils du très anti-frontiste député socialiste de la 4e circonscription du Val-d’Oise, Gérard Sebaoun, avait été interpellé lundi en Indre-et-Loire en possession de 22 kg de cannabis alors qu’il remontait en voiture du Maroc avec un complice. Le même jour, le corps de Yacine B., 49 ans, était retrouvé criblé de balles dans les quartiers Nord de Marseille, certainement un énième règlement de compte tournant autour du trafic de stupéfiants, le septième dans la capitale phocéenne depuis le début de l’année. Mais c’est surtout la mort violente mercredi d’un militant d’extrême gauche, Clément Méric, 19 ans, étudiant de Science Po, qui a retenu l’attention des médias. En compagnie d’une bande d’amis, le malheureux aurait voulu en découdre avec des « skinheads » dits « d’extrême droite », ou aurait été agressé par eux, rue Caumartin dans le quartier Saint Lazare. Frappé, il a chuté sur la chaussée en heurtant un plot en béton.

    Faut-il le rappeler, le Front National a toujours condamné la violence, et les militants frontistes ont payé souvent un lourd tribut à celle-ci, parfois même victimes d’agressions mortelles.

    Comment pourrait-il en être autrement, Bruno Gollnisch comprend, ô combien, la douleur de sa famille, de ses proches, mais aussi la colère et la tristesse de ses camarades. Par delà les clivages idéologiques, il faut être ou avoir été militant soi-même pour les saisir et les ressentir pleinement.

    Nous ne saurions être indifférents à la mort d’un jeune homme embrigadé qui, avec l’exaltation propre à la jeunesse, pensait certainement de bonne foi combattre un Système alors qu’il militait dans un de ses rouages les plus pervers.

    Il est dans l’ordre des choses que le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon appelle ce soir à un rassemblement à Paris en hommage à ce jeune homme. Voire même, quand on connaît les méthodes de l’extrême gauche, pratique l’amalgame et instrumentalise ce décès en réclamant « la dissolution des groupes d’extrême droite », à l’instar de deux pseudopodes du PS, SOS Racisme et l’UEJF.

    II est a contrario plus inquiétant que Manuel Valls reprenne le même discours en tentant comme l’extrême gauche et le PS à travers ce drame, de déconsidérer les patriotes, les défenseurs des valeurs traditionnelles les opposants au mariage pour tous. En affirmant aujourd’hui sa « totale détermination à éradiquer cette violence qui porte la marque de l’extrême droite », le ministre de l’Intérieur pense-t-il rendre légitime une répression accrue contre les Français qui sont entrés en résistance (pacifique) contre la décadence socialo-libérale-libertaire ?

    Si Valls veut ménager les « jeunes des quartiers » comme on l’a vu encore dernièrement place du Trocadéro avec la quasi-impunité laissée aux bandes ethniques du Qatar-PSG , la répression contre les manifestants opposés au mariage pour tous est féroce. Une centaine de personnes sont notamment sur le point de déposer des plaintes devant le procureur de la République de Paris pour « brutalités policières », et « arrestations ou détentions arbitraires ».

    Pour salir la France résistante, est-il vraiment étonnant de retrouver le nom du milliardaire rose et mécène de SOS racisme Pierre Bergé ? Il y a quelques mois déjà, ce délicat vieillard, à l’instar de Jean-Michel Ribes dont le théâtre abrita notamment la pièce crapoteuse Golgota Picnic, effectuait un parallèle oiseux entre les manifs pour tous, qui seraient le signe du retour de l’homophobie, et l’antisémitisme

    M. Bergé ne fait pas (toujours) dans la dentelle, même s’il ne s’est apparemment toujours pas remis de l’accueil que lui ont réservé le 2 juin à Paris des militants du Printemps français. Ils entendaient notamment réagir au message humaniste laissé par le parrain des Potes sur son compte twitter : « Vous me direz, si une bombe explose sur les Champs à cause de #laManifPourTous c’est pas moi qui vais pleurer ». Imaginons le tollé que susciterait un tweet d’une même teneur, mais adressé au défilé de la Gay pride…

    Les jeunes du Printemps français voulaient aussi probablement dénoncer les propos, emblématiques de la vision du monde et du mépris de ce monsieur, en faveur de la Gestation Pour Autrui (GPA), du recours aux mères porteuses pour les couples d’hommes : « Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ? C’est faire un distinguo qui est choquant »…

    La mort de Clément Méric a été de nouveau l’occasion pour Pierre Bergé de régler ses comptes avec le pays réel, en twittant que « #lamanifpourtous a accepté dans ses rangs ces fachos qui ont tué Clément ». Et en appelant à « faire descendre un million de personnes dans la rue, (pour) dire notre indignation et notre colère ».

    Il est tout aussi significatif qu’un journaliste multicarte, plagiaire connu pour ses anciennes amitiés (intellectuelles) d’extrême droite comme Joseph Macé-Scaron soit monté lui aussi au créneau. Son tweet aussi ridicule, odieux que déplacé en témoigne : « La bête qui s’est réveillée depuis six mois veut du sang. #NoPasaran. »  

    Membre de la fraternelle maçonnique Les enfants de Cambacérès, qui regroupe frères et sœurs homosexuels, Joseph Macé-Scaron mènera le bal lui aussi sur ce thème.

    Bref, MM. Bergé, Scaron, Valls et autres humanistes sont à l’offensive et ne doutons pas que l’ensemble du lobby « progressiste », bien introduit dans les médias, donnera de la voix pour relayer les mots d’ordre et tenter de casser l’élan de contestation contre le Système. Il s’agit de ne pas être dupe des manipulations présentes et à venir.

    http://www.gollnisch.com

  • Terroristes hébergés en France à 100 euros par jour

    Au nom des droits de l'homme, la France n'expulse pas certains terroristes, même après la fin de leur peine. Ces hommes sont assignés à résidence, mais les risques de fuite existent.
    Ils sont 12 actuellement en France. 12 terroristes hébergés par la France, alors qu'ils ont purgé leur peine. Assignés à résidence, plutôt que d'être expulsés, mais cela n'empêche pas certains de prendre la fuite, comme Saïd Arif en mai. (Une enquête de RTL) 
    OÙ VIVENT CES TERRORISTES ?
    Ces hommes sont répartis un peu partout en France, loin des grandes villes. Comme Merouane Benhamed, 40 ans, un ami de Saïd Arif. Condamné à la même peine, 10 ans de prison pour avoir programmé à ses côtés un attentat terroriste en France, il était le chimiste des filières tchétchènes.
    Sorti de cellule en 2011, l'homme vit maintenant pour une durée indéterminée dans un petit appartement à Codom, 7.000 habitants, dans le Gers. Merouane Benhamed a l'interdiction de travailler, de sortir du village. Et quatre fois par jour, il doit pointer à la Gendarmerie.

    "On est sorti de prison, on est quand même en prison, une prison infinie", raconte-t-il à RTL, comparant sa situation à celle d'un "otage". "Moralement, c'est une guerre psychologique."

    POURQUOI NE SONT-ILS PAS EXPULSÉS ?
    Au nom des droits de l'homme. La France n'expulse pas dans leur pays d'origine des personnes susceptibles d'y être torturées. C'est le cas de l'Algérie pour Merouane Benhamed… Il faut donc qu'il trouve un autre pays pour l'accueillir.
    Compliqué pour ces hommes réputés dangereux, dont personne ne veut vraiment : Merouane Benhamed en est à 16 refus.
    PEUVENT-ILS S'ÉCHAPPER FACILEMENT ? 
    Rien ne les en empêche vraiment. En tout cas pas les 4 pointages quotidiens à la gendarmerie. La DCRI ne peut pas tous les surveiller 24h/24 et il est impossible de les remettre en prison s'ils ne commettent pas d'infraction.
    La situation est ubuesque. Ces hommes tournent en rond comme des animaux en cage. L'absence totale de perspective les pousse de toute façon à fuir, comme un détenu condamné à perpétuité cherche à s'évader. Merouane Benhamed n'exclut d'ailleurs pas de quitter un jour discrètement Condom.
    "Vous avez peur de nous, laissez-nous partir", réclame-t-il. "Je ne cherche pas à rester en France, je n'appartiens à personne, je suis un homme libre, je reste un homme libre."
    LES POLICIERS SONT-ILS INQUIETS ?
    Pour le ministère de l'Intérieur, c'est un dossier sensible. Deux axes de travail sont à l'étude. Le premier, équiper ces hommes de bracelets électroniques : ça leur éviterait de pointer mais permettrait surtout de les surveiller de plus près.
    Le gouvernement travaille également au coup par coup sur la coopération internationale pour trouver un pays prêt à les accepter sur son sol. L'idée c'est bel et bien de se débarrasser de ces hôtes un peu gênants, hébergés aux frais de l’État, environ 100 euros par jour, un peu moins que s'ils étaient en prison. Le plus ancien des assignés, un kurde irakien, l'est depuis 10 ans.
    LES TERRORISTES, EUX SEULS, SONT-ILS SOUMIS À CE RÉGIME ?
    Non, ils sont en tout 850. Terroristes mais aussi meurtriers, violeurs et petits délinquants... En plus des risques de torture, existe une autre raison de non-expulsion : le droit à la santé. La France n'expulse pas des gens aux maladies aux "conséquences exceptionnelles".
  • Devant le Ministère de la Justice, les veilleurs ne lâchent rien

    L'un des veilleurs raconte :

     

    V"Nous avons marché dans le calme, sans bruit de l'Institut de France jusque devant le Ministère de la Justice en réussissant à déjouer les CRS. Nous nous sommes assis à 2 ou 3 mètres de la porte cochère.

    Nous avons reçu les trois sommations vers 1h mais nous avons dit que nous resterions jusqu'à 2h. Le commissaire est venu voir Axel en lui disant que le directeur de cabinet du Préfet de Police souhaitait lui parler et qu'il devait sortir de regroupement pour cela. Axel a refusé de sortir et a invité le directeur de cabinet à venir nous voir. Il n'est jamais venu.

    Nous sommes restés sur place, assis, dans le calme. Nous avons lu des textes et particulièrement des phrases iniques de Peillon, Taubira et Belkacem sur la Théorie du Genre, toutes ces phrases que nous connaissons et qui veulent arracher les enfants à leur famille, pour les remettre dans les bras de l'Etat.

    A 2h nous sommes partis libres et dans le calme. Les policiers étaient juste à côté de nous, ils ont donc entendu nos textes. Nous espérons que nos textes les feront réfléchir. Mais à comprendre ce qu'ils se disaient entre eux, nous nous rendions bien compte qu'ils ne comprenaient les ordres politiques qu'on leur donnait."

    Michel Janva  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Les enfants français gazés incarnent eux aussi la révolte en France !

    La « femme en rouge » devient le symbole de la révolte en Turquie

    Une photo montrant une jeune femme aspergée de gaz lacrymogène est devenue l’un des symboles de la révolte menée contre le gouvernement du premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan.

    En Turquie...

    Et en France...

    « La femme en rouge » est devenue malgré elle l’égérie du mouvement de contestation qui secoue depuis plusieurs jours la Turquie. Vêtue d’une robe rouge et d’un sac de toile blanc, la jeune fille apparaît sur des clichés capturés le 28 mai dans le centre d’Istanbul. On y voit notamment un policier, protégé par un masque à gaz, qui lui envoie du gaz lacrymogène à bout portant. Sur les différents clichés, la jeune femme semble impassible. Ses cheveux volent mais elle se contente de fermer les yeux.

    La scène se déroule dans le parc de Gezi, dont l’améngaement en centre commercial est à l’origine de la contestation. Osamn Orsal, un photographe de Reuters, a réalisé plusieurs photos de l’incident lorsque la police est intervenue contre des opposants manifestant pacifiquement contre l’abattage d’arbres.

    Une photo qui « incarne l’essence de cette contestation »

    L’image a depuis fait le tour du web, devenant le symbole de la brutalité de la répression, largement relayée sur les réseaux sociaux. Une étudiante turque explique que cette photo « incarne l’essence de cette contestation » et « illustre la violence de la police contre des manifestants pacifiques, des gens qui essaient juste de défendre leurs valeurs ». COMME EN FRANCE ! (NDLR)

    Depuis, la photo a été diffusée et détournée sur les réseaux sociaux Twitter et Facebook.

    LE FIGARO

    http://www.actionfrancaise.net/

  • Décès d’un militant de l’extrême-gauche violente et manipulations médiatiques

    Hier à Paris, près de Saint Lazare, une rixe a opposé quelques jeunes nationalistes (dont une femme, pas encore identifiés) à plusieurs militants d’extrême-gauche (se faisant appeler « antifas ») qui semble-t-il les attendaient, et qui ont porté les premiers coups.

    Cela s’est produit à l’issue d’une vente privée de vêtements, où l’année dernière des militants d’extrême-gauche avaient déjà guetté et attaqué des patriotes.

    Après avoir reçu un coup, un jeune « antifa » est tombé et sa tête a alors heurté un plot en métal. Ce choc accidentel a été fatal à Clément Méric, 19 ans.

    Aussitôt, c’est l’emballement médiatique contre « l’extrême-droite » : on présente cela comme une « agression », presque un meurtre avec préméditation !

    « Antifas » parisiens

    La vérité est que depuis quelques années, des dizaines d’activistes d’extrême-gauche, notamment à Paris, ont pour seule préoccupation d’attaquer des militants de droite nationale ou radicale : lors de rassemblements ou lorsque ces derniers sont isolés. Même les femmes n’y échappent pas, ni les commerces d’ailleurs.
    Lors de la plupart de ses attaques, qui s’accompagnent pour les gauchistes d’une étonnante impunité policière, les agresseurs utilisent des armes et n’attaquent que s’ils sont en surnombre.
    C’est miracle qu’il n’y ait pas eu de morts jusqu’ici.

    Les antifas ne vivent que pour la violence contre les nationalistes ou supposés tels.
    Faut-il s’étonner qu’à ce jeu ils puissent se retrouver perdants, de temps en temps, et accidentellement !?

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    Ci-dessus des « antifas », pauvres citoyens victimes de la violence d’extrême-droite

    On regrettera que ce jeune homme se soit engagé au service d’une cause qui relève de la farce idiote mais s’appuie sur une violence haineuse, et que ses parents l’y aient probablement autorisés.

    Sans surprise, les vautours de gauche et d’extrême-gauche instrumentalisent cyniquement cette issue tragique pour exiger la dissolution des groupements nationaux.

    Le milliardaire socialiste inverti Pierre Bergé – naturellement défenseur de la gauche prétendue anticapitaliste – se déchaîne en imprécations, tachant de faire croire que ce décès est du au climat créé « par les Manifs pour tous ». Le même Bergé qui souhaitait qu’une bombe explose pendant ces manifestations familiales…

    En revanche, quand Romain et Damien Vandaele, 2 jeunes patriotes, sont tués il y a quelques semaines dans le nord par un Turc (les percutant volontairement avec sa voiture par « réflexe communautaire »), l’émoi est faible dans les gros merdias.
    Aujourd’hui nos pensées émues iront à François Noguier, délaissé par les faiseurs d’opinion : ce jeune étudiant français est mort mardi après avoir été frappé par un individu de « type nord-africain », pour « un motif futile ». Comme des centaines d’autres.

    http://www.contre-info.com/

  • Montpellier, les veilleurs ne lâchent rien !

  • Après la matraque, l’intox : "Un groupe royaliste qui se revendique du Printemps français appelle à un « coup de force » "...

    C’est donc Jean-Do qui s’y colle... Un "scoop" pour fêter son arrivée à L’Opinion ? Il vient de quitter Marianne pour le quotidien ultralibéral après avoir quitté Libé pour Marianne...

    Ce qu’il y a de bien avec Manuel Gaz, c’est qu’il est sans surprise. L’intox après la matraque et les gaz. Ou comment diaboliser ses adversaires pour mieux justifier une répression illégale...

    ...Et le fichage, par son collègue maçon de la Défense, des officiers qui défendent la famille, puisqu’ils vont désormais pouvoir être assimilés à des apprentis putschistes ! Nauséabond.

    Cette extrême-droite qui fantasme sur un coup d’Etat militaire

    Un groupe royaliste qui se revendique du Printemps français appelle à un « coup de force » de la part d’officiers catholiques, sans crainte de donner des noms !

    Un magazine largement diffusé sur Internet par un groupe maurrassien [sic] baptisé « Lys Noir » cite le nom de généraux de premier rang, connus pour leur position « catho-tradis ». Leur appel intervient alors que les esprits s’échauffent dans les milieux militaires sur fond de rumeurs faisant état d’un fichage par les franc-maçons des officiers et de leurs familles engagés dans la Manif pour tous.

    C’est le retour de « l’Appel au soldat », façon Maurice Barrès. Dans le sillage du Printemps français, ce mouvement informel apparu avec la Manif pour tous, des militants d’extrême-droite s’adressent aujourd’hui aux militaires en des termes inquiétants. « Ceux qui évacuent d’un revers de main toute possibilité de coup d’Etat militaire en France feraient bien de réviser leurs classiques », lit-on dans un journal diffusé sur Internet. Selon les animateurs du groupe Lys Noir, qui viennent de publier le premier numéro du magazine

    Arsenal, « un coup de force est à nouveau imaginable ». Fantasme  ? Assurément. Mais un fantasme nourri d’un malaise palpable dans une partie minoritaire de l’institution militaire. Le coeur de cible de cette extrême-droite, ce sont les officiers « cathos-tradis », choqués à la fois par la « rupture anthropologique » que constituerait le mariage gay et par le poids des francs-maçons dans l’entourage du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian. Béatrice Bourges, l’animatrice du Printemps français, affirme « ne pas connaître » le Lys Noir, qui se situe explicitement dans sa « mouvance ». « Nous ne sommes pas une organisation structurée. C’est un peu désagréable de voir certaines personnes se revendiquer de notre esprit de résistance non-violent. Certains Identitaires le font déjà… », dit-elle.

    La suite sur Secret Défense

    http://www.actionfrancaise.net

  • Les méthodes de la police républicaine

     


    Les évènements de ces derniers mois auront notamment mis en lumière pour les catholiques naïfs, que la fonction première de la police/gendarmerie n’est pas de garantir l’ordre, mais d’obéir aux ordres. Aux ordres des escrocs et des francs-maçons qui dirigent et asservissent chaque jour la France.
    Non les flics ne sont pas et ne seront jamais nos « amis », car ils garantissent la sécurité du Système. A titre individuel, ils peuvent être patriote, catholique, nationaliste, aimable, généreux, attaché à l’ordre naturel, etc.
    Il n’empêche que plus de 40 heures par semaine ils travaillent au maintien de République dont l’essence même est la haine de la religion catholique et de la nation française. Un bon flic républicain fera, face à ses compatriotes, ce que la gueuse lui demande de faire, même si c’est « quelqu’un de bien ».
    C’est elle qui le nourrit chaque fin de mois, il se conformera à ses exigences.
    Un paroissien « tradi » a même rapporté à contre-info.com qu’il avait discuté avec un policier catholique (présent à la manif du 24 mars) à la sortie d’une messe dominicale et que celui-ci tentait de justifier son attitude et celle de ses collègues.
    Alors non, un policier n’est pas ami, car même s’il n’est pas content de devoir vous frapper, il le fera pour toucher son salaire en fin de mois. AUCUN policier n’a démissionné  afin de ne pas obéir aux ordres, aucun n’a démissionné en signe de protestation. Pour en revenir aux méthodes de la police aux ordres de notre beau pays, voici un témoignage éloquent trouvé sur politiquemagazine.fr :

    Exclusif : le témoignage de Maître Paul Yon, avocat au barreau de Paris, désigné pour défendre plusieurs gardés à vue suite à la « Manif pour tous » du dimanche 26 mai au cours de laquelle 293 personnes ont été interpellées. 231 d’entre elles ont gouté aux geôles républicaines…

    Je tiens à signaler, en préambule, que dans l’ensemble, les officiers de police judiciaire (OPJ) ont été corrects vis-à-vis des manifestants. Mais tous ne l’ont pas été. Comme vous allez le voir avec cet exemple particulièrement éloquent.

    I-Les faits

    Ma cliente, Sophie M.*, avait rejoint un de ses cousins à Montparnasse, prenant un des cortèges de la « Manif pour tous » en marche pour arriver aux Invalides. Près de la station de métro Duroc, son cousin a proféré une insulte à l’égard des CRS, sans doute agacé par la répression policière qui s’est abattue sur les manifestants depuis trois mois, mais ma cliente l’a immédiatement repris et lui a demandé d’arrêter immédiatement. Pensant que l’incident était clos, ils ont tous les deux repris la marche en direction des Invalides.

    Au bout de quelques mètres cependant, une vingtaine de policiers en civil les enjoignait de  les suivre dans une impasse perpendiculaire au boulevard des Invalides. Les policiers leur ont dit qu’ils interpellaient le cousin pour le mettre en garde à vue. Ma cliente s’est alors interposée, en faisant barrage de son corps, tout en essayant de leur faire comprendre que son cousin n’avait jamais participé à une manifestation et que, de plus, il ne connaissait pas Paris. Pour toute réponse, elle s’est alors retrouvée projetée au sol par cinq policiers qui lui ont signifié qu’elle était, elle aussi, placée en garde à vue.

    Il convient de préciser que ma cliente pèse 45 kilos et qu’elle est atteinte d’une maladie génétique qui lui fragilise les vaisseaux sanguins. Un choc au ventre pourrait entraîner une rupture de l’aorte !

    Alors qu’elle était plaquée à terre, ma cliente a expliqué aux policiers qu’il ne fallait pas la brutaliser à cause de sa maladie qu’elle pouvait prouver avec sa carte médicale. Les policiers lui ont rétorqué qu’ils s’en moquaient et qu’elle était placée en garde à vue pour avoir commis le délit de rébellion.

    Une policière en civil a alors effectué sur ma cliente les palpations de sécurité. Cette policière a touché la poitrine et le sexe de ma cliente en lui demandant si ça l’excitait ! Emmenée finalement au commissariat, elle m’a désigné comme son avocat.

    II -La garde à vue

    26 mai 2013 vers 19 heures. La permanence pénale du Barreau de Paris m’annonce que ma cliente est en garde à vue. Je me rends donc au commissariat pour l’assister.

    La première audition se passe plutôt bien. L’OPJ essaie de comprendre ce qu’il s’est réellement passé.

    C’est le lendemain, le 27 mai 2013, que tout a dégénéré.

    Le matin, le commissariat m’appelle pour me signifier que Sophie M. va subir un nouvel interrogatoire. Je retourne donc au commissariat où je suis fort mal accueilli car, prétendent les policiers, j’ai deux heures de retard (il y avait tellement de gardes à vue à faire qu’il m’était difficile d’arriver avant).

    L’interrogatoire commence et je me rends compte rapidement que l’OPJ veut à tout prix piéger ma cliente et son cousin. J’interviens pour rappeler à la gardée à vue qu’elle a le droit de garder le silence et qu’elle n’a pas à participer à sa propre incrimination. Cela a le don d’énerver l’OPJ qui m’intime l’ordre, sur un ton très désagréable, de ne pas intervenir.

    Je lui explique que mon devoir, en tant qu’avocat, est de conseiller ma cliente. Celui-ci me menace alors de demander au procureur que le dossier me soit retiré car je « troublais l’audition ». Il me demande de ne plus intervenir… Je me tais jusqu’au moment où je conseille à ma cliente de ne plus répondre aux questions : cela devenait trop dangereux pour elle et pour son cousin. Je lui conseille également de ne pas signer le procès-verbal dans la mesure où l’OPJ avait tout fait pour la piéger et m’avait empêché de la défendre.

    Je précise à l’OPJ que je consigne les évènements : l’interdiction qui m’a été signifiée de défendre et de conseiller ma cliente, la menace d’appeler le procureur de la République pour que l’on me décharge du dossier. Ces observations écrites sont versées obligatoirement dans le dossier et font partie de la procédure.

    Furieux, l’OPJ m’ordonne alors de porter plainte contre lui et fait même venir un de ses collègues pour recueillir ma plainte, ce que je refuse. L’OPJ met alors fin à l’audition et me sort, sans ménagement aucun, de son bureau.

    Je suis donc redescendu au dépôt pour assister un autre client dans le même commissariat. Quelques temps après, je revois alors Sophie M., complètement effondrée et en larme : l’OPJ avait renouvelé sa garde à vue pour 24 heures.

    Me désignant cette fois encore pour la défendre, j’ai donc un autre entretien d’une demi-heure avec elle. Ma cliente m’explique que, après mon départ, l’OPJ s’était mis en colère et avait fait pression sur elle pour qu’elle change d’avocat. Il l’a aussi menacée de faire une perquisition à son domicile si elle ne coopérerait pas avec la justice ! Pour terminer, le dossier ayant pris une telle ampleur selon lui (!), il lui signifiait le renouvellement de sa garde à vue.

    J’ai donc décidé de prendre des conclusions écrites (qui elles aussi sont versées au dossier) dans lesquelles j’expliquais que la garde à vue avait été renouvelée parce que ma cliente avait décidé de ne plus répondre aux questions de l’OPJ (ce qui est prévu et permis par le Code de procédure pénale), que l’OPJ avait exercé des pressions, sur elle et sur moi-même, et que l’enquête avait été menée à charge. J’indiquais enfin que ma cliente était sans nouvelles de ses enfants depuis 24 heures alors que son fils aîné, malade, avait fait deux hémorragies la semaine précédente. Cette situation l’angoissait terriblement.

    A la fin de l’entretien, vers 19 heures, j’ai donc versé ces observations au dossier. Contre toute attente, l’OPJ, en les lisant, m’annonçait qu’il mettait fin à la garde à vue.

    Finalement,  Sophie M. a fait environ 27 heures de garde à vue (du dimanche 26 mai à 16h15 au lundi lundi 27 mai à 19h) alors que son dossier était vide. Un gardien de la paix m’a même confié qu’il ne comprenait pas l’acharnement de l’OPJ à son encontre. Ma cliente est convoquée devant le délégué du procureur dans le courant du mois de juin pour se voir notifier un rappel à la loi.

    Un rappel à la loi mérite-t-il 27 heures de garde à vue ? Poser la question, c’est déjà y répondre !

    http://www.contre-info.com

  • Comme Zemmour, Ménard a le courage de dire non !

    Coïncidence ? Alors que Valeurs Actuelles sort un numéro consacré à Éric Zemmour, la presse se fait l’écho de la candidature de Robert Ménard à l’élection municipale de Béziers, pour y ajouter aussitôt « soutenu par le Front national ».

    Et le 30 mai, dans l’édition de 23 h de BFMTV, alors que ledit Robert était interrogé en duplex, la moitié de l’écran était occupée par des images de Marine Le Pen en campagne électorale…

    Il fallait bien ce soutien pour parler d’un journaliste que ses confrères affectent d’ignorer depuis qu’il a quitté ses attaches de gauche pour tenir son propre cap, avec pour seule boussole la défense de la liberté de pensée. La horde de chiens de garde de la pensée unique ne pouvait décemment pas reconnaître comme l’un des siens un tel trublion. Celui dont on ne parle pas n’existe pas, disait le regretté Vladimir Volkoff dans sa Petite histoire de la désinformation. [...]

    François Teutsch - La suite sur Boulevard Voltaire

    http://www.actionfrancaise.net/