La présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, dont il faut rappeler qu’elle n’a jamais été élue par les citoyens Européens qu’elle prétend diriger, poursuit son emprise sur les mécanismes financiers de l’Union avec une initiative controversée : fusionner deux départements stratégiques sous son contrôle direct pour instaurer un modèle conditionnant l’accès aux fonds européens à la mise en œuvre de réformes idéologiques. Un chantage donc. Cette réforme, révélée par Politico, suscite de vives critiques, notamment pour les risques de dérive politique et de concentration du pouvoir à Bruxelles.