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magouille et compagnie - Page 27

  • Meaux : l’ex-directeur d’Equalis condamné pour s’être octroyé 200 000 € de salaire et une Audi Q7 aux frais d’une association d’aide aux migrants subventionnée à hauteur de 85 millions d’euros par l’État et les collectivités

    09/09/25

    Selon Le Parisien, Arthur Anane, 64 ans, ancien directeur de l’association humanitaire Equalis (2019-2021), était jugé pour détournements de fonds publics au tribunal correctionnel de Meaux. L’association, financée à plus de 90 % par de l’argent public (80 M€ annuels), emploie 700 salariés et aide 14 000 personnes en difficulté.

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  • [SATIRE A VUE] Tondelier promet un gouvernement de gauche écolo catastrophique

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    Au cours de son interview sur BFMTV, Marine Tondelier se prend les pieds dans le tapis et annonce un gouvernement de gauche écolo porteur de famines et d'agressions racistes. 

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  • 40 ans de politique anti-FN et de front républicain, ça donne ça !

    Souvenez-vous, Bayrou a écarté l’immigration, pourtant largement assistée, comme cause de la dette, alors qu’elle entraine une perte de PIB de 100 milliards par an selon l’Observatoire de l’immigration et de la démographie. Faites le calcul sur des décennies. Ce monsieur soi-disant plein d’expérience, préfère faire porter le chapeau aux boomers, qui ont connu les semaines de 48 heures, la retraite à 65 ans et les trois semaines de congés payés.

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  • 2019 : quand Lecornu fermait Fessenheim… tout en se disant pro-nucléaire.

    Sébastien Lecornu, secrétaire d‘État auprès du ministre de la Transition écologique, dresse le bilan de la première année de Nicolas Hulot au gouvernement, et s’attarde sur le dossier de la centrale de Fessenheim. « Je me suis rendu par deux fois, la troisième fois au mois de septembre à Fessenheim » indique-t-il avant de déclarer : « L’irréversibilité de la fermeture de cette centrale, c’était un commentaire politique sous le quinquennat précédent, aujourd’hui il y a un process qui est irréversible ».

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  • Les justiciers de France Inter dans la tourmente

    Les justiciers de France Inter dans la tourmente

    C’est l’éternelle histoire de l’arroseur arrosé, du prêcheur puritain poissé au bordel, du donneur de leçons contraint de subir à son tour des leçons de morale. C’est celle de Patrick Cohen et Thomas Legrand, deux « autorités intellectuelles » de France Inter.

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  • [SATIRE A VUE] Sacrebleu, France 2 se met aux vieux français !

    Capture d'écran X
    Capture d'écran X
    Le temps d'un reportage sur les tribulations de Mohamed Amra, France 2 se remémore le vieux français. À la rédaction, un journaliste maîtrise les « saperlipopette », les « fichtre » et les « diantre ». L'expert va pouvoir livrer un aperçu de sa culture au travers d'un reportage consacré aux tribulations du responsable de la mort de deux agents pénitentiaires. Ce dernier a été arrêté par la police roumaine. Se voyant perdu, il offre un million d'euros à l'un de ses gardiens en échange de sa liberté. Pour réunir les fonds, Mohamed Amra appelle la garde, sonne le tocsin de la dernière manœuvre avant incarcération définitive. « À moi, chevaliers et damoiseaux, à vos pièces d'or pour me sauver ! »

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  • Le ministre ukrainien des Affaires étrangères fuit le pays

    L’ancien ministre ukrainien des Affaires étrangères a fui le pays et en a imputé la responsabilité à Zelensky.

    Dmytro Kuleba a établi un lien entre la nouvelle interdiction de voyager imposée aux anciens diplomates et sa condamnation publique de la volonté de Zelensky de censurer le NABU et le SAP.

    Selon lui, il a fui l’Ukraine «comme un voleur dans la nuit» et a réussi à se rendre en Pologne quelques heures avant l’entrée en vigueur du décret :

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  • Gouvernement des juges, crise républicaine

    Par Philippe Germain

    Après l’impuissance républicaine, voire la trahison en Outre-Mer, de la Nouvelle-Calédonie à Mayotte, le pays réel s’effare du rôle croissant du Conseil constitutionnel dans le pouvoir. Prenant une place prépondérante dans l’élaboration des lois, il détourne l’État de droit pour imposer les préférences du pôle idéologique progressiste, c’est-à-dire des « élites » du « camp du bien » que sont l’Université et la classe médiatique… La formule « gouvernement des juges » désigne ainsi le transfert du pouvoir parlementaire. Par exemple, à travers l’intervention du Conseil constitutionnel dans le débat sur la loi sur la rétention des étrangers. Le Conseil constitutionnel, en censurant cette loi, se place en maître du pays légal parlementaire. Il interprète la loi de manière idéologique et non pas juridique.

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  • A 15 % il se passe quoi ?

    Macron soutenu par seulement 15% des citoyens. À quel niveau faut-il qu’il arrive pour que nos parlementaires s’interrogent sur sa légitimité à rester à la tête de l’État ? On va nous rétorquer qu’on ne gouverne pas avec des sondages, certes, mais peut-on se voiler la face à ce point et faire comme si cette photographie de l’opinion publique ne comptait pas ? On le pourrait si derrière ce sondage n’était révélé quelque chose de plus inquiétant. 15% c’est peu mais ce qui est plus grave c’est que la part des très mécontents est très majoritaire et que 80% souhaitent son départ. La côte de désamour a basculé, l’homme est détesté… c’est là une première, car lorsque Hollande atteignait 12% il n’avait pas à faire à cette haine qui ne se cache presque plus à l’encontre du personnage Macron. Peut-on espérer que l’homme change ? Non, sa structure mentale est faite ainsi, jamais il ne se remettra en question parce qu’il n’a jamais demandé pardon, ne s’est jamais excusé, pour ses infamies et il y en a eu, il est certain d’être toujours dans le vrai, auto centré, il ne fait jamais d’erreur, ce sont les autres le problème, pas lui.

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  • Le réel, fossoyeur du macronisme

    La politique ne survivra pas à son monde fictif. Depuis des décennies, elle navigue dans le virtuel, prend ses rêves pour des réalités, ignore les faits. Emmanuel Macron, enivré de ses seules certitudes, crut ainsi sortir vainqueur de sa dissolution irréfléchie de l’Assemblée en juin 2024. François Bayrou va tomber ce lundi pour ce même péché d’orgueil : le Premier ministre n’aura pas la confiance des députés, qu’il a cru pouvoir obtenir en prenant, le 25 août, cette option irréaliste. Son échec actera la fin du « bloc central » et du macronisme.

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