
Une soixantaine de migrants occupent depuis dimanche une église à Lyon, a-t-on appris auprès de la police et du collectif qui les assiste.
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Une soixantaine de migrants occupent depuis dimanche une église à Lyon, a-t-on appris auprès de la police et du collectif qui les assiste.

Trente ans après Srebrenica, la Bosnie vit toujours dans l’ombre du 11 juillet 1995. Consacré « génocide » par les Nations unies, l’événement a figé la mémoire du conflit dans une lecture univoque : des bourreaux serbes, des victimes musulmanes. Or, une part entière de la guerre reste refoulée — celle des villages serbes rayés de la carte, des civils assassinés, des églises rasées. Pour les Serbes, la justice internationale a tranché avant d’instruire. À La Haye, l’histoire a été écrite à coups d’acquittements sélectifs et de qualifications discutables, au prix d’une humiliation mémorielle qui alimente la défiance. À mesure que le « génocide de Srebrenica » devient dogme politique, toute relecture factuelle est frappée d’anathème. Dušan Pavlović, ancien expert au Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie, refuse cette amnésie organisée. Explication.

Boualem Sansal, interrogé par Laurent Delahousse, a dû faire face à une question piège. Le présentateur lui a affirmé qu’on le classait souvent à l’extrême droite, et lui a tendu la perche pour se démarquer.
Combien de trouillards, y compris qui se disent de droite, se seraient dérobés, en disant, la bouche en cul de poule, qu’ils n’ont bien sûr rien à voir avec les idées nauséabondes et racistes de l’extrême droite et que Bardella, Zemmour, Marine Le Pen ou Philippe de Villiers ne sont pas leur tasse de thé.

Le vent devait venir du sud-ouest, sans doute, car la mer se levait en nappes sombres et sonores tandis que je tentais de marcher sur la digue de Lechiagat. À chaque rafale, j’avais l’impression d’être soulevé par la bourrasque comme un brin de varech. Renonçant à cette entreprise héroïque, je me suis réfugié au café des Brisants, ce repaire de demi-silence où les pêcheurs observent la météo comme on consulte une oracle capricieuse. Dehors, un vrai temps de chiottes, un rideau de pluie comme un mur liquide. Dedans, un peu de chaleur, une odeur de café brûlant, et Le Monde posé sur le comptoir.

Samedi 22 février dernier, une attaque au couteau avait lieu à Mulhouse perpétrée par Brahim Abdessemed, un Algérien sous OQTF également connu pour apologie du terrorisme. L’attaque fera un mort et sept blessés. Cet homme n’aurait jamais dû être sur le sol français. Son pays d’origine a refusé « dix fois » de le reprendre selon le ministre de l’Intérieur de l’époque, Bruno Retailleau.

Andy Kerbrat, député toxico de La France Insoumise, pris en flagrant délit d’achat de drogue à un mineur, toujours en fonction…
Une mobilisation a eu lieu dans de nombreuses villes de France, suite à l’assassinat de Mehdi Kessaci, frère d’un militant écologiste de Marseille. Et bien sûr, comme toutes les manifestations de rue, c’est la gauche qui essaie de récupérer la mise.

Ils y étaient allés tous de leur participation. Chacun à tour de rôle avait voté un bout de ce budget qui n’est qu’une suite de hausses d’impôts, de taxes diverses. Pourtant cette nuit, 404 députés ont rejeté le texte. Si au RPF nous nous réjouissons d’un tel revirement, nous ne sommes pas dupes de ce qui risque d’arriver et la censure qui devrait théoriquement faire tomber Lecornu 2 n’est pas assurée. Les socialistes, qui ont voté contre pourraient très bien ne pas censurer dans une arabesque consommée d’hésitations et de calculs qui en disent long sur leurs motivations et la cohérence de leur raisonnement.

Par Alexandre Lemoine
Le scandale de corruption autour de l’affaire Minditch, qui a touché l’entourage immédiat de Volodymyr Zelensky, a déclenché la crise politique la plus grave depuis le début des hostilités en février 2022. Cependant, l’information sur l’influence des hommes d’affaires sur les décisions du gouvernement n’était nouvelle ni pour les observateurs ukrainiens ni pour les partenaires internationaux.

Lu sur Gènéthique :
Le 13 novembre, le Parlement européen a adopté sa « Stratégie en matière d’égalité de genre 2025 ». Outre les violences « fondées sur le genre » et l’égalité dans le monde du travail, une section est dédiée aux soins. Et l’avortement y est considéré comme un « soin ».