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On veut faire la guerre à Poutine et on est incapable de régler le problème des rodéos urbains, où des barbares tuent les quelques Français qui, abandonnés, essaient de redresser la tête et de résister. Mais il va encore parler dans le poste, ce mardi soir, pour faire semblant d’exister.
INFO LE FIGARO – Suite à une pétition lancée par l’UNI, le président de l’Université Grenoble Alpes a demandé le retrait de plusieurs inscriptions artistiques qui dénoncent les «mâles blancs» et insinuent que seuls les Blancs sont coupables de racisme.
Plus la bête est blessée, plus elle devient méchante donc dangereuse, c’est bien connu. Partout en Europe les tenants de l’européisme débridé, sous la houlette de la Commission européenne, d’Emmanuel Macron, de Friedrich Merz qui vient de s’allier avec la gauche allemande, trompant 14 millions d’électeurs qui avaient cru élire un Chancelier de droite, s’organisent. De Donald Tusk premier ministre polonais, en passant par Keir Starmer qui pourchasse les patriotes en Grande Bretagne, et qui impose une censure féroce contre ceux qui dénoncent l’immigration sauvage, et sous la supervision organisationnelle et financière de George Soros, ils tentent tous d’empêcher les peuples de s’exprimer et n’hésitent pas à faire annuler des élections qui avaient porté au pouvoir des hommes décidés à ne pas se laisser coloniser par les superstructures mondialistes, qui veulent abattre les nations.
Au lendemain de la cérémonie commémorative de la Victoire du 8 Mai 1945, jeudi à Lagny-sur-Marne, c’est la colère et l’indignation qui ont submergé bien des cœurs. Une mise en scène relayée sur les réseaux sociaux a provoqué une vague de réactions parmi les Latignaciens, toutes générations confondues, jusqu’au sommet de la municipalité.
La loi Garot, le dernier clou du cercueil de la médecine généraliste se plante dans l’indifférence des parlementaires, qui, en boudant l’hémicycle, se font les complices actifs du désastre final. Pour lutter contre les déserts médicaux, le législateur macroniste moderne n’a rien trouvé de mieux que de redéfinir subrepticement la notion de désert médical. Simple, efficace, démoniaque. La volonté est d’interdire aux nouveaux arrivants de s’installer, ou de reprendre une clientèle d’un praticien qui prendrait sa retraite et de reconsidérer le territoire selon des critères qui excluent de facto des villes pourtant en déficit de présence de généralistes. Ainsi dans des villes de 15 à 20 000 habitants qui ont pour beaucoup vu partir, ces dernières années, plus du tiers de leurs médecins, elles ne pourront prétendre trouver des remplaçants ! C’est de la même logique que la méthode Juppé, pour dépenser moins il fallait raréfier les thérapeutes, là c’est sous-entendu ce vers quoi nous allons. Cette fois c’est pour inciter les médecins à s’installer là où il n’y a plus personne. Le problème est pris à l’envers, comme toujours. Un jeune médecin ne pourra plus s’installer que dans les zones autorisées, ou justement il n’y a plus assez de patients pour vivre de son métier. Pour les contraindre à s’installer là où il n’y a plus personne, on va d’abord vider les endroits où il en reste encore, et dans quelques années on s’étonnera que la population soit encore moins bien suivie, tout en se demandant ce qu’il faut faire !
Dans son style toujours aussi toxique, Macron dit vouloir la paix. Mais il menace déjà la Russie si celle-ci ne se soumet pas à son ordre d’une trêve de 30 jours. Notre Max la Menace va avec ses petits camarades officialiser son soutien indéfectible à l’Ukraine. C’est dans ce contexte qu’il veut obtenir son cessez-le-feu. Mais la menace est immédiate : nous sanctionnerons encore durement les Russes s’ils n’obéissent pas.
À l’approche du second tour de la présidentielle roumaine, prévu le 18 mai 2025, l’Union européenne tremble. Le candidat nationaliste George Simion, leader de l’Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), a dominé le premier tour, avec 40,5 % des voix, porté par une vague de rejet des élites pro-européennes. Inquiète d’un tel score, l’eurodéputée française Valérie Hayer, présidente du groupe Renew, a jeté de l’huile sur le feu en assumant une campagne active pour soutenir le centriste Nicușor Dan, perçu comme le garant des valeurs européennes.