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France Inter a annoncé, vendredi 5 septembre en soirée, avoir suspendu d’antenne son chroniqueur Thomas Legrand, après la diffusion d’une vidéo le montrant tenir des propos litigieux visant la ministre de la culture, Rachida Dati, devant des responsables du Parti socialiste (PS).
Macron veut sa guerre et il fait tout pour y parvenir. Derrière les gesticulations qui le secouent à intervalles réguliers, sans produire autre chose que du vent, il reste la menace réelle d’un dérapage dont il serait capable. Car l’homme est maintenant seul, et donc potentiellement encore plus dangereux. Que penser des déclarations faites avec son grand ami Zélensky sur l’envoi, une fois la paix signée, détail à ne pas négliger, de troupes en Ukraine. Rien, d’abord par ce que la réponse Russe a été immédiate, c’est niet ! Ensuite parce que la grande cohésion européenne doit quand même faire face aux refus Italien, et Espagnol, à la réticence Allemande. Ça commence à faire beaucoup non ? Sans compter les pays européens de l’Est, proches du front et pas très enthousiastes. La Russie n’acceptera qu’une chose, que l’Ukraine vaincue soit démilitarisée, ceci impliquera donc qu’aucune troupe étrangère ne stationne sur son sol.
La France dissimule le déclin économique derrière les statistiques officielles. La dette nationale en France atteint 113% du PIB et le déficit est à un peu plus de 6%. Et, le pouvoir politique français doit instaurer confiance, prévisibilité et viabilité en calmant les tensions, en préservant la stabilité des prix et du système financier, en reconstituant les marges de manœuvre budgétaires et en appliquant les réformes structurelles indispensables. La France chavire avec ses habitants dans la crise historique et dans la crise mondiale.
Une haine irrépressible. Ce lundi 1er septembre, alors qu’il retrouvait le plateau de Quotidien sur TMC après la pause estivale, Jean-Michel Aphatie n’a pas pu résister à l’envie de s’en prendre, une nouvelle fois, à ses confrères de CNews. C’était plus fort que lui. Il faut dire que tout avait été prévu, en amont, pour provoquer le clash. En fin de chronique, son complice Yann Barthès lui a innocemment présenté un « carton surprise », lui demandant d’y réagir en quelques secondes. Y figuraient les visages des quatre journalistes qui avaient interviewé le Premier ministre la veille. Après avoir loué la « maîtrise du discours politique » de Darius Rochebin, le sexagénaire a lâché ses coups contre la journaliste star du groupe Canal+. « Sonia Mabrouk est une militante », a-t-il attaqué, arrachant un sourire entendu à son interlocuteur. « Toute la liste des courses était signée CNews, j’ai détesté. » Le contraire nous aurait franchement étonnés.
Alors que Bruxelles et Paris poursuivent leurs discussions avec l’administration Trump, un rapport récemment publié révèle l’ampleur des manœuvres françaises pour imposer une véritable industrie de la censure aux géants des réseaux sociaux. Au cœur du dispositif : l’État français, des ONG subventionnées, et une volonté assumée d’étendre le contrôle du discours public bien au-delà de nos frontières.
Depuis trop longtemps, les citoyens honnêtes et de bon sens, se plaignent en très grande majorité selon tous les sondages d’opinion, et à très juste titre du laxisme judiciaire ambiant qui empêche une vraie politique pénale dissuasive contre les criminels. Les plafonds des peines ne sont généralement quasiment jamais atteints, la pratique du sursis est abyssale, les remises de peines faussent totalement la vision que les Français peuvent avoir de la Justice. L’argument mille fois ressassé d’une justice qui ne serait pas indulgente, car les prisons sont archi pleines est un pur sophisme. D’une part la criminalité a explosé depuis une dizaine d’années voire plus, et d’autre part corrélativement, l’État se refuse à construire de nouvelles places d’incarcération, malgré les promesses réitérées des politiques. Cela a conduit dernièrement certains Chefs de Cour à devoir faire différer les jugements d’incarcération, comme ils l’ont indiqué publiquement en audience solennelle.
L’accord entre l’UE et les pays du Mercosur (Brésil, Argentine, Paraguay, Uruguay, Bolivie) a été validé ce 3 septembre par les membres de la Commission européenne. Dans les mois qui viennent, le texte sera soumis aux États membres, puis aux eurodéputés. Le Parlement européen est majoritairement favorable à cet accord.
Selon Les Échos, le gouvernement envisage la création d’un fonds de réassurance garanti par l’État pour couvrir les dégâts liés aux émeutes, à hauteur de 775 millions d’euros par an. Inspiré du régime des catastrophes naturelles, ce mécanisme rendrait obligatoire la couverture du risque émeutes dans les contrats d’assurance.