Lorsque j’étais enfant, dans les années 80, les médias commencèrent à nous terroriser avec la disparition de la couche d’ozone.
Apparemment, cette couche d’ozone (formule chimique O3) qui se trouve dans la haute atmosphère nous protège des rayons ultraviolets.
Pendant des décennies, les gens de ma génération ont dû subir les leçons de morale des écologistes et des pseudo-scientifiques qui nous expliquaient que cette couche d’ozone était trouée au-dessus de l’Antarctique, et que ce trou ne cessait de s’agrandir.