Alors que la France entrait tout doucement dans cette semi-léthargie politique et sociale qu’annonce ordinairement la célébration du 14 juillet, le premier ministre François Bayrou a choisi de présenter ses pistes de travail pour le budget de la France pour 2026, espérant peut-être que le temps des vacances apaiserait les contestations politiques, sociales et syndicales qui ne pouvaient que se faire jour au moment même où il prononçait son discours. Une espérance vite déçue, et l’intitulé de son pupitre, « le moment de vérité », a paru fort dérisoire au regard des enjeux comme des résistances à ses projets budgétaires.
magouille et compagnie - Page 71
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Un plan Bayrou sans vision à long terme.
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Émeutes ethniques : la guerre que personne n’ose nommer
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Limoges, Béziers, Nîmes : encore des flammes, encore des mortiers, encore des policiers et des pompiers pris pour cibles. Le même scénario usé jusqu’à la corde : des « jeunes » — toujours les mêmes, mais qu’on refuse de nommer — brûlent, pillent, agressent. Et l’État, tel un géant désossé, lève les bras au ciel, bredouille quelques mots creux sur « l’apaisement », envoie deux CRS et un tweet ministériel avant de retourner à son impuissance bien huilée.
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« Croissance de 7.6 % en Argentine et récession en France ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Si l’on compare les bilans du méchant Milei le massacreur à la tronçonneuse des dépenses publiques et celui de notre sainteté Macron, Mozart de la finance et de la faillite, il n’y a pas de quoi se réjouir pour nous Français.
L’Argentine connaîtra la seconde croissance la plus forte au monde en 2025 avec un taux de 7,6 % ! Rien que ça.
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Les sanctions de l’UE portent atteinte à l’État de droit

Lu dans Conflits :
Mettre la Russie à genoux en visant son économie. Tel était l’objectif des sanctions économiques mises en place par l’Union européenne après l’invasion de l’Ukraine par Moscou. Si les intentions pouvaient être bonnes : faire plier la Russie, mettre un terme à la guerre et faire triompher le droit sur la force, la mise en place concrète de ces sanctions a créé des systèmes d’injustice, notamment par des applications contre des personnes sans lien direct avec Vladimir Poutine et son système politique. Ce faisant, l’Union européenne quitte le domaine de l’État de droit, qu’elle dit pourtant protéger et défendre. Ce qui donne des arguments à ses opposants, au premier rang duquel se trouvent la Russie et ses relais.
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Ukraine et l’empire du mensonge

Passionné par le mensonge, Jean-Michel Jacquemin-Raffestin a beaucoup écrit : Tchernobyl, Fukushima, et puis plus récemment, Covid-19, avec deux premiers tomes de «Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font», décrivant avec précisions et multiples exemples ce qu’un complexe politique, médiatique, pharmaceutique, militaire, quelques milliardaires, a créé et les ravages qui s’ensuivent. JM Jacquemin-Raffestin nous propose à un troisième tome «L’empire du mensonge», publié il y a un peu moins d’un an, portant sur cette guerre que les Américains font contre la Russie.
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Nous ne voulons pas vivre avec des barbares qui se comportent comme des primates

Les idéologues gauchistes nous parlent des charmes du vivre-ensemble, de l’enrichissement multiculturel et bien sûr qualifient de « racistes » et de « fachos » les gens comme nous qui préférons l’entre-soi, où nous sommes très très largement majoritaires, nous les Blancs de culture catholique, même si notre ouverture peut accepter, en nombre très limité, et à condition qu’ils acceptent nos lois, des personnes d’une autre couleur, issues d’une autre culture, d’une autre religion et d’une autre civilisation.
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Pétition anti-agricole : un modèle de manipulation de l’extrême gauche verte
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Pays légal, Établissement, Administration, technocratie

Combat royaliste 83
Par Philippe Germain
Dans l’Indopacifique, les graves risques d’intégrité territoriale française mettent en évidence que le pouvoir n’est pas sur une ligne politique nationale. Loin de s’opposer à nos ennemis extérieurs pour défendre l’unité française, le pouvoir préfère désorganiser nos régions outre-mer.
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Macron veut faire la guerre aux Russes pour confisquer le pouvoir, comme Zelensky
En écoutant les baratineurs des Télés-bidon, une phrase m’est revenue à l’esprit. Celle du maréchal Le Boeuf en 1870 assurant à Napoléon Le Petit « Nous sommes prêts et archiprêts. La guerre dut-elle durer deux ans, il ne manquerait pas un bouton de guêtre à nos soldats.»
Ces propos optimistes ne furent pas reprochés au Burkhard de l’époque, pas plus que sa capitulation devant les Boches. Et après une commissions d’enquête bien indulgente, le bovin put finir sa vie dans son étable. Pardon, son château.
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La Pologne s’indigne de deux évêques qui osent critiquer la politique immigrationniste



