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magouille et compagnie - Page 852

  • Mort de la gendarme Mélanie Lemée : « Si Yassine s’était pris une bastos, il y aurait des fresques « Yassine for life » ». Patrice Quarteron

    Les mots justes de Patrice Quarteron face au silence assourdissant de ceux qui font désormais des délinquants des victimes tout en oubliant les victimes de ces délinquants !

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  • Thomas, la victime blanche qui n’intéresse pas les médias

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    VOILÀ PRÈS DE DEUX MOIS QUE LE DÉCÈS DE DEUX RÉCIDIVISTES LORS DE LEUR INTERPELLATION, L’UN AUX ÉTATS-UNIS, L’AUTRE EN FRANCE, SUSCITE UN MOUVEMENT QUI FAIT LA UNE DES MÉDIAS DE GRAND CHEMIN. CES DEUX ÉVÉNEMENTS OCCULTENT POURTANT D’AUTRES FAITS RÉVÉLATEURS DE L’ÉTAT DE LA SOCIÉTÉ DANS LAQUELLE NOUS VIVONS. LA TRÈS DISCRÈTE COUVERTURE MÉDIATIQUE D’UNE RÉCENTE AGRESSION MORTELLE À SARCELLES NOUS LE RAPPELLE AVEC ACUITÉ.

    BLACK LIVES MATTER OU RIEN

    Le mouvement “Black Lives Matter” a été accueilli par les médias de grand chemin avec enthousiasme. Qu’un noir décède sous la pression d’un policier violent aux États-Unis et c’est l’ensemble de la communauté noire qui est présentée comme victime de discriminations, c’est la police qui est mise en accusation pour le racisme qui y sévirait, c’est même la société dans son ensemble qui serait raciste.

    Les meneurs du mouvement “Black Lives Matter” peuvent se réjouir : les médias annoncent des décisions qui confinent parfois au concours Lépine de la bêtise comme le New York Times qui privera les Blancs de majuscule, contrairement aux Noirs. Comme le relate notamment Marianne, des entreprises ont pris des mesures visant non pas à l’égalité, mais à la discrimination positive. Ce qui va aboutir à favoriser une personne en raison de sa couleur et non de sa compétence. Peu importe que le sentiment victimaire ait été attisé au-delà de la raison et que la discrimination positive aboutisse à créer des injustices, des tensions et du ressentiment…

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  • Une adjointe à l’agriculture à la mairie de Paris

    Vous avez bien lu. La mairie de Paris se paie une adjointe, « chargée de l’agriculture, de l’alimentation durable, et des circuits courts ». Autant la nourriture est un enjeu de sécurité publique et il est tout à fait légitime de s’en préoccuper, autant évoquer l’agriculture dans Paris est une plaisanterie. S’il s’agissait d’une responsabilité bénévole, il serait tout naturel d’en rire. Mais à six mille euros par mois, c’est obscène. Obscène que les Parisiens, dont 21,1 % vivent dans des logements sociaux, paient avec leurs deniers ce fantasme bobo absolument grotesque. L’agriculture, à Paris, se limite aux quelques ruches sur le toit de l’Opéra, et aux vignes (fort) chétives de Montmartre. Et bon courage aux amateurs de poissonnailles si l’objectif est d’élever du fretin dans la Seine.

    Audrey Pulvar représente tout ce que Paris produit de plus pénible : des idéologues ridicules partout sauf dans la quinzaine de métropoles mondialisées qui ont fait sécession de leur pauvre pays ou de leur pays pauvre, donneurs de leçon compulsifs, et trouvant toujours le moyen de se faire entretenir avec l’argent public.

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  • La théorie du « privilège blanc » à l’assaut du pouvoir, par Clément Martin (Les Identitaires)

    Nouveau concept star des social justice warriors, le « privilège blanc » n’est pas qu’un gadget intellectuel à la mode. Cette idée gagne du terrain en France. La Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNDH), fondée en 1947 par le Français René Cassin, juriste et proche collaborateur de Charles de Gaulle, vient de rendre son rapport annuel sur « la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la xénophobie ». Rappelons tout d’abord que cette institution, autorité administrative indépendante (AAI), ne reçoit en théorie aucune commande de la part des pouvoirs publics. Son rôle est de conseiller. D’abord attachée à la définition classique des droits de l’homme (liberté d’expression, de circulation, de réunion, etc.), le nombre de ses attributions a beaucoup augmenté ces dernières années, alors qu’elle-même critique volontiers « l’inflation législative ». La lutte contre le racisme a rejoint son éventail d’actions depuis 1990 ainsi que « toutes les formes de haine anti-LGBT » en 2018. Alors qu’elle avait jugé la loi AVIA « disproportionnée et inopportune », la CNDH se convertit à la paranoïa ambiante autour du « privilège blanc », cité plusieurs fois dans son rapport présenté le 21 juin dernier. De plus, si elle récuse le droit de censure à des sociétés privées, elle « recommande [au gouvernement] de poursuivre l’amélioration de la coopération [de l’État] avec les fournisseurs d’accès à Internet, les hébergeurs et les sites de référencement aux fins de retrait des discours de haine en moins de 24 heures. » Quand on connaît l’interprétation de plus extensive, au niveau politique et judiciaire, de la notion d’incitation à la haine, il est clair que cette recommandation ne peut qu’amener à une censure plus rapide et plus large.

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  • Remaniement : ça a déjà fait pschitt

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    « Rien de nouveau sous le soleil », « une tempête dans un verre d’eau », on peut utiliser l’expression que l’on veut, mais ce qui est sûr, c’est que tout cela aura encore fait beaucoup de bruit pour pas grand-chose…

    Énième numéro d’illusionniste pour le maître en communication de l’Élysée, le remaniement ministériel devait avoir pour but de marquer un tournant après l’épreuve du Covid-19 dans la politique du chef de l’État pour la fin du quinquennat et en prévision de 2022.

    Cela faisait déjà un certain temps que l’exécutif cherchait à faire peau neuve et à se redonner les moyens de gouverner tant bien que mal une France qui traverse un moment difficile de son Histoire.

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  • Dupond-Moretti et Darmanin, les noces funèbres ?

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    Par Etienne Defay

    Le choc promis par Emmanuel Macron que devait incarner le remaniement est finalement as- sez décevant. Un subtil mélange de fond de tiroir, de recasage et de racolage. La seule véritable prise de guerre, non des moindres puisqu’il s’agit du monstre du barreau et terreur des magistrats, le Gargantua du prétoire, Maître Eric Dupond-Moretti. La promesse de débats houleux et de joutes parlementaires homériques pour les plus optimistes. Pour les réalistes, en plus d’être l’arbre qui cache la forêt en matière de  renouveau, Dupond-Moretti garde des Sceaux, c’est l’arrivée de l’extrême gauche aux fonctions suprêmes. Celui qui se définit comme de sang mêlé et porteur « d’antiracisme », le défenseur de Théo Luhaka, de Patrick Balkany et d’Abdelkader Merah, grand ennemi des magistrats est donc ministre de la Justice. Lors de sa première visite à la prison de Fresnes, il a été ovationné. Pas par les surveillants mais par les détenus. Ambiance.

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  • GOUVERNEMENT : que des bons! CENSURE : Dieudonné, Soral, Tabibian...

  • GIEC : Les prédicateurs de la mondialisation 2/2

    La supercherie des glaciers himalayens

    À l’échelle mondiale, les glaciers de montagne n'exercent qu'une incidence marginale sur les climats. Pourtant en 2010, le GIEC a publié un rapport affirmant que tous les glaciers de l'Himalaya auraient fondu d'ici l'an 2035 avec des conséquences désastreuses sur le niveau des océans. Vérification faite, les astrologues du GIEC avaient interverti les chiffres d'une étude évoquant cette possibilité pour 2350.

    Les prétendus « savants » avaient écrit dans leur rapport AR4 que « au rythme actuel, les glaciers de l’Himalaya auront reculé de 500 000 km2 et disparu d'ici l'année 2035 ». Alors que les glaciers de l'Himalaya occupent une surface totale de 35.000 km2. Cela figure dans n'importe quel manuel scolaire !

    Après enquête, il est apparu que l'étude menée par des « experts éminents » avait été publiée par le WWF, le fonds pour la préservation de la faune sauvage, qui n'a aucune compétence en matière de glaciologie... Derrière ces incohérences, un nom apparaît de façon récurrente : celui de Rajendra Pachauri (mort début 2020) L'homme était ingénieur ferroviaire ! Comme Jean Jouzel son homologue français est ingénieur atomiste... La climatologie a du être leur violon d'Ingres.

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  • GIEC : Les prédicateurs de la mondialisation 1/2

    On peut pardonner à sainte Greta la simplette son ignorance. Mais que dire de ces pseudo-savants qui soutiennent des énormités anti-scientifiques ? Auraient-ils trouvé leurs diplômes dans des pochettes-surprises ? Entre lyssenkisme et homme de Piltdown ? Ou sont-ils stipendiés pour colporter une grande peur irraisonnée sur laquelle s'engraissent toutes sortes de personnages troubles ? (Voir * Réchauffards le casse du siècle *)

    Le dioxyde carbone n'est pas un poison

    Bien au contraire, il est indispensable à la vie ! C'est l'aliment de base des plantes. Avec l'eau et le rayonnement solaire. Sans CO2 il n'y aurait pas de plantes et une grande partie de l'atmosphère que nous respirons ne se renouvellerait plus. D'ailleurs, si la concentration de CO2 dans l'atmosphère a légèrement augmenté ces 30 dernières années, dans le même temps la surface couverte par la végétation sur la terre s'est accrue de 20%.
    Au temps des dinosaures, le niveau de CO2 a atteint des valeurs proches de 10.000 ppm (partie par million ou 106 ) soit 25 fois la concentration actuelle. Ce fut pourtant l'époque d'une flore et d'une faune géantes d'une extraordinaire diversité.
    D'ailleurs est-ce un hasard si les agriculteurs en serres y injectent trois fois plus de CO2 qu'il n'y en a dans l’atmosphère ? Résultat observable : Les plantes poussent plus vite, elles résistent mieux aux maladies et aux insectes,  leurs fruits sont plus gros,  et grâce à une photosynthèse plus efficace, elles consomment moins d’eau.

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  • Le feuilleton Macron, saison II..

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    Sous le Général de Gaulle, les gouvernements étaient en grande partie fondés sur la compétence des ministres, et sur leur stature personnelle acquise par leur parcours politique et intellectuel. Malraux à la Culture, Couve de Murville aux Affaires Etrangères, Foyer à la Justice, Messmer à la Défense, Giscard d’Estaing aux Finances, Peyrefitte à l’Information etc…. L’appartenance partisane venait au second rang, devait demeurer discrète et contribuait à l’équilibre sans être le résultat d’un savant dosage. Par la suite, elle prit de l’importance, ce qui n’a rien d’illégitime en démocratie, quand un gouvernement s’appuie sur une majorité composite. Mais peu à peu, l’image a remplacé le réel, l’impact médiatique s’est imposé devant l’efficacité : on ne peut pas dire que Borloo ait mis fin à la dérive des quartiers perdus de la République avec une politique pourtant très coûteuse, ni même que le Kärcher de Sarkozy les ait soustraits à la domination des réseaux de la drogue ou de ceux de l’islamisme, lesquels ne sont pas sans connexion. Quant à la spécialité professionnelle des ministres, on sait qu’elle n’est nullement une garantie : le passage de l’avocat Badinter à la Justice a été calamiteux, celui du magistrat Arpaillange, dont Santini disait que « si Saint-Louis rendait justice sous un chêne, lui c’était comme un gland », a été pire encore. Belloubet, « grande juriste » place Vendôme, et le médecin Agnès Buzyn à la santé ont définitivement ruiné l’idée qu’il fallait des spécialistes professionnels à la tête des ministères. Il faut aussi et avant tout que le sens de l’Etat l’emporte sur l’idéologie, et que la volonté acharnée du Bien commun tire les titulaires d’un ministère vers le haut en les empêchant de papillonner devant micros et caméras.

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