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magouille et compagnie - Page 850

  • Le plus désolant du discours d’Emmanuel Macron, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés

    Le plus désolant du discours d’Emmanuel Macron, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés

    Dans Le Figaro, Vincent Trémolet de Villers revient sur l’intervention médiatique du président hier, lors de la fête nationale :

    Mais le plus frappant, le plus désolant aussi, ce sont les mots qui n’ont pas été prononcés. Quelques heures plus tôt, des gendarmes avaient défilé place de la Concorde, des soldats et des soignants avaient déplié un drapeau français. Trois couleurs qui disent la noblesse du service de l’État. Il y a quelques jours, Mélanie Lemée, gendarme de 25 ans, est morte pour avoir voulu, simplement, faire respecter la loi. Philippe Monguillot, chauffeur de bus, a perdu la vie pour avoir exercé l’autorité la plus infime : celle qui consiste à demander un ticket, le port d’un masque. Ni les journalistes ni le président n’ont songé à évoquer, hier, ces drames, symboles alarmants d’une violence qui partout s’installe, précipités tragiques de nos renoncements. Dans la surréalité médiatique, pas une minute pour cette réalité criante. La seule évocation de l’ordre public a concerné le délit de faciès. Comment s’étonner alors que la défiance redouble, que l’abstention galope ?

    https://www.lesalonbeige.fr/le-plus-desolant-du-discours-demmanuel-macron-ce-sont-les-mots-qui-nont-pas-ete-prononces/

  • Grand remplacement : enfin des chiffres officiels ! Évolution de la part de la population d’origine extra-européenne chez les 0-18 ans dans les grandes villes françaises

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    Le site de « France Stratégie », institution rattachée à Matignon, permet de constater l’évolution de la présence de l’immigration extra-européenne dans de nombreuses « Unités Urbaines ».

    Enfin quelques données officielles qui confirment, contrairement à ce que prétend éhontément la caste politico-médiatique, que le Grand Remplacement est une réalité (et pas un « fantasme d’extrême-droite »).
    Jusqu’en 2016, les statistiques de la drépanocytose donnaient une bonne idée de la vitesse ahurissante du changement ethnique qui est opéré en France, mais l’Etat a justement mis un terme à cette faille dans le mur du silence en fermant l’agence de santé qui offrait ces statistiques.

    « Heureusement », il y a cette nouvelle source de données (pour combien de temps?) qui confirment les faits énoncés par les nationalistes.

    On notera que les chiffres réels sont plus graves que ceux visibles sur le site de France Stratégie puisque ceux-ci ne concernent pas les petits-enfants (ou arrière-petits-enfants) d’immigrés : il n’y a ici que 2 générations de personnes d’ethnie non française prises en compte, au lieu de 3, 4 ou 5.

    Vous pouvez accéder aux données en cliquant sur « Composition sociale et démographique des quartiers » sur le site de l’agence.

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  • Twitter censure

    Twitter censure

    Twitter fait le ménage et ferme, un à un, tous les comptes de Génération Identitaire.

    Des membres du groupe voient ainsi leurs comptes disparaître, purement et simplement, sans préavis ni explication.

    Génération Identitaire à quant à lui publié un communiqué :

    Vendredi 10 juillet, une vaste opération de censure a eu lieu sur Twitter. Les comptes de Thaïs d’Escufon, Romain Espino et Clément Martin ont été supprimés sans avertissement ni explication. Chacun d’entre eux possédait environ 20 000 abonnés.

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  • Interview de Macron : un petit maître en marche vers le néant.

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    L'avis de Jean-François Touzé
    Depuis son élection, Emmanuel Macron a pris l'habitude de prendre de vitesse son Premier ministre fraîchement nommé et d'intervenir quelques jours ou quelques heures avant sa Déclaration de politique générale prononcée devant l'Assemblée nationale. En 2017, il le fit depuis la tribune du Congrès réuni à Versailles en exposant le 3 juillet, veille du discours solennel d'Edouard Philippe, la politique que le gouvernement serait chargé d'appliquer.
    Cette pratique institutionnalisée du court-circuitage révèle un caractère faible, tourmenté, cahotique, nettement marqué par une volonté maniaque de contrôle de type obsessionnel et compulsif.
    Cette année, c'est en renouant avec la recette réchauffée de ses prédécesseurs de l'interview du 14 juillet, qu'il aurait voulu faire, à quelques jours du discours de Jean Castex devant la prétendue représentation nationale, la nouvelle  démonstration de "qui décide et qui exécute".
    Les Français n'auront vu et entendu qu'un Président dépassé et flottant.
    Cet entretien télévisé particulièrement vide de sens et de contenu, ne fut, en effet, qu'un long survol semé de profonds trous d'air d'une situation politique, sanitaire, économique et sociale que le Président de la République ne maîtrise en aucune façon. 
    Approximatif, hésitant, décalé presque égaré, éthéré et lunaire, Emmanuel Macron est demeuré flou et évasif. Il voulait imposer l'idée qu'il était un chef mais nos compatriotes ne s'y trompent plus qui savent d'instinct qu'au delà des parures de la République et des postures, Il n'est qu'un élément parmi d'autres d'un Système global. Les vraies décisions ne sont pas de son ressort.
    Macron vient de montrer qu'il avait perdu la main. Le régime va donc se chercher une nouvelle incarnation. Il serait temps que le peuple français se trouve quant à lui une nouvelle voie.
  • Une fois encore la parole politique se trouve discréditée

    Une fois encore la parole politique se trouve discréditée

    Du père Danziec dans Valeurs Actuelles :

    La crise conjuguée de l’Eglise et de l’école est passée par là et, depuis, l’habitude s’est perdue : finie l’époque où les hommes publics, et les politiques en particulier, faisaient leurs classes chez les « bons pères ». Finies ces humanités qui savaient infuser dans l’intelligence des élèves, tout un écosystème judéo-chrétien où l’engagement était honoré, le mensonge défendu et la parole d’homme considérée. Que ce soit chez les jésuites ou avec les frères des écoles chrétiennes, toutes les petites têtes blondes de la génération Mitterrand (s’il est encore permis d’utiliser l’expression « têtes blondes ») ont eu l’occasion de recevoir un enseignement moral sérieusement mâtiné de christianisme. Du reste, des hussard noirs de la République aux curés ensoutanés, de la laïque aux écoles religieuses, les petits écoliers français avaient pour point commun de recopier dans leur cahier en dessous de la date, dès la première heure du matin, la leçon de morale du jour résumée par le maître en une courte sentence inscrite au tableau. « On s’assure des jours heureux en honorant ses parents », « Savoir remercier est vraie noblesse », « Le menteur n’est jamais écouté, même quand il dit la vérité ». De l’Evangile au décalogue, des fables de La Fontaine aux fabliaux du Moyen-Âge, il s’agissait de méditer ou d’intégrer une leçon de vie. Ainsi par exemple, on pouvait narrer aux élèves l’aventure tragique d’un pauvre ivrogne qui avait promis-juré de ne jamais boire une seule goutte d’eau. Hélas, l’histoire raconte que le brave homme, à l’issue d’une soirée particulièrement arrosée, revint chez lui dans un état si critique que le malheureux chuta dans une fontaine sur la place du village… au point de s’y noyer. Dans ce petit fabliau, la morale à enregistrer, d’une simplicité enfantine, est bien connue : « Il ne faut jamais dire : ‘Fontaine, je ne boirai pas de ton eau’ ».

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  • Comme au temps du nazisme, la personne humaine n’est plus soignée, mais est un sujet d’expérimentation

    Comme au temps du nazisme, la personne humaine n’est plus soignée, mais est un sujet d’expérimentation

    De l’abbé Pattyn, curé de La Trinité en Beaujolais :

    Depuis quelques jours, dans un blackout médiatique total – quels médias en ont dit ne serait-ce qu’un mot ? – les députés travaillent sur la révision de la loi dite de bioéthique, qui n’a vraiment rien d’éthique. Mensonge éhonté !

    On aurait pu s’attendre à ce que le pouvoir exécutif et le pouvoir législatif se consacrent à plein, dans la crise sanitaire et la crise économique, au bien commun : redonner de la confiance aux citoyens, des moyens pour la santé, des soutiens aux activités économiques, locales comme nationales, se remettre en question sur la gestion de la crise.

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  • Les règles minimums du vivre ensemble sont comprises comme une soumission insupportable

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    propos recueillis par Alexandre Devecchio

    Pédopsychiatre et psychanalyste, Maurice Berger a travaillé sur la violence gratuite (1). Selon lui, les meurtres de Philippe Monguillot et de Mélanie Lemée témoignent d’une profonde crise de l’autorité.

    Le Figaro - Philippe Monguillot est mort, tabassé pour avoir demandé à ses passagers de valider un ticket de bus. Ce meurtre fait suite à celui de la gendarme Mélanie Lemée lors d’un contrôle routier. Certains observateurs y voient de simples faits divers, d’autres le symptôme de l’ensauvagement de la société. Qu’en est-il, selon vous ?

    Maurice Berger. - Les circonstances de ces deux morts ont un point commun, le refus de se soumettre à la loi, fût-ce en tuant : refus de mettre un masque et de présenter un titre de transport avec le conducteur de bus, refus de se sou- mettre à un contrôle routier avec la gendarme. Ce comportement est trop fréquent pour être considéré comme un fait divers, c’est un mode de relation : pour la quasi-totalité des mineurs délinquants dont je m’occupe en tant que pédopsychiatre, les règles minimums du vivre ensemble, et encore plus les lois, ne sont pas comprises comme une nécessité à respecter pour une vie en commun, mais comme une soumission insupportable.

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  • Darmanin et les islamistes: jeux de dupes Tout va bien se passer..., par Gil Mihaely.

    Le ministre de l'Intérieur Gerald Darmanin, le 7 juillet 2020 © Francois Mori/AP/SIPA

    Source : https://www.causeur.fr/

    Les réponses du nouveau ministre de l’Intérieur à la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio ne rassurent pas ceux qui s’inquiètent pour notre précieuse laïcité.

    Après avoir arraché à Emmanuel Macron le ministère de l’Intérieur, Gerald Darmanin s’est rendu au Sénat avec tous ses collègues fraichement nommés – ou confirmés – aux postes de ministres du nouveau gouvernement, pour passer la traditionnelle épreuve de feu : les questions d’actualité au gouvernement.

    Certaines des réponses du nouveau locataire de la place Beauvau ont de quoi sérieusement inquiéter tous ceux qui se soucient de la laïcité.

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