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Une fois n’est pas coutume, le mercredi deux courant, j’ai décidé, comme ça, par curiosité, et surtout attiré par deux noms prestigieux de la scène et de l’écran –, Claire Keim et Pierre Arditi - ce dernier étant autant à gôôôche qu’il est talentueux -, de regarder à 21 h un téléfilm sur la chaine publique « France 2 », anonymement intitulé « Le premiervenu ».
Avis que personne ne lit, train de vie dispendieux, effectifs pléthoriques… Le Conseil économique, social et environnemental (CESE) est à nouveau pointé du doigt. Cette fois-ci, c’est Daniel Labaronne, député macroniste, qui lance la charge. Dans un rapport d’information parlementaire, rendu public ce 2 juillet, l’élu d’Indre-et-Loir étrille le fonctionnement de la « troisième chambre de la République », une institution jugée « peu visible », isolée et dont l’utilité interroge.
Les Jeux Olympiques de Paris ont coûté six milliards, soit trois fois plus que prévu, mais réalisent un bénéfice de 76 millions d’Euros, qui est bien sûr mis en avant. On peut toujours se dire que les promoteurs de l’événement, emmenés par le champion Tony Estanguet, sont très mauvais en calcul, mais ce n’est évidemment pas le cas. Ces JO font partie des événements de portée internationale, de nature à représenter la France et en ce sens, ils n’ont pas de prix en réalité et doivent être menés, comme dirait l’autre « quoi qu’il en coûte » et c’est justement sur ce type d’événements que la « pompe à fric » tourne à plein régime. Les annonces, les prévisions, servent juste à jauger de l’acceptabilité populaire, matraquée par les télévisions à la botte et le jeu consiste à présenter aux contribuables une facture à la fois acceptable et crédible, de manière à faire taire ceux qui expliquent que nous n’avons pas besoin de ces jeux, que le jeu n’en vaut pas la chandelle et ceux qui trouvent qu’il ne faut pas prendre le budget en considération, que l’important est le rayonnement de la France qui n’a pas de prix. La fenêtre de tir est donc étroite. Si le budget présenté est trop bas, le contribuable se doute qu’il est sous évalué à dessein. S’il est trop élevé, il n’y a pas d’engouement populaire pour un événement jugé « hors de prix ».
Que peut-il bien se passer dans la tête des électeurs de gauche ? Les esprits taquins répondront : rien. Le 12 juin dernier, "Le Nouvel Obs" tentait néanmoins de répondre à cette épineuse question avec l’aide de la Fondation Jean-Jaurès et des sondeurs d’Ipsos. Au final, il semble y avoir de la tempête sous les crânes progressistes.
Depuis la fin des années 1990, un peu partout en France (et ailleurs) surgissaient ces machines un peu curieuses et franchement laides que sont les éoliennes. Dans un premier temps, beaucoup pensèrent qu'il s'agissait d'une nouvelle lubie écologiste et que tout cela n'était pas destiné à proliférer... Hélas, la réalité fut toute autre et, plus le temps passait, plus la France se retrouvait recouverte par ces engins monstrueux et inutiles qui saccagent les paysages jadis magnifiques de notre cher pays.
À propos de la climatisation, on peut certes se poser des questions sur sa nécessité dans certains cas, sachant que beaucoup d’entre nous s’en sont longtemps passé pendant des années. Mais on ne peut nier son caractère indispensable dans nombre de situations, à moins d’être stupide, voire une ordure eugéniste rêvant par exemple d’exterminer nos anciens qui « coûtent un pognon de dingue » à la société progressiste dégénérée et que l’absence de climatisation dans les Ehpad et ailleurs pourrait envoyer vérifier plus vite si Dieu existe !
Il faut d’abord planter le décor. Et commencer par les élections municipales de mars 2014. Au premier tour, la « liste écologiste et citoyenne » conduite par Pascale Chiron arrive en troisième position (13 996 voix, 14,55 %), alors que celle dirigée par la socialiste Johanna Rolland (« Nantes a de l’avenir ») occupe la première place (33 201 voix, 34,51 %). Une fusion s’impose pour le second tour et « Nantes a de l’avenir » (Johanna Rolland) l’emporte facilement (51 990 voix, 56,22 %). Bien sûr, le niveau de l’abstention est élevé (46,18 %) mais les écolos entrent dans le conseil municipal (Pascale Chiron figurait en troisième position) ; ce qui est le plus important pour eux.
On peut reprocher beaucoup de choses à l’extrême gauche, mais certainement pas de manquer d’imagination. Souvent accusée de se désintéresser des enjeux de sécurité, elle vient de trouver une façon bien à elle de traiter le sujet. « On parle beaucoup de sécurité, mais il y a une sécurité à laquelle on ne pense pas beaucoup : c'est la sécurité de la conversation publique, a ainsi fait valoir Clémentine Autain, lundi 30 juin, sur LCP. Et pour qu'il y ait une sécurité de la conversation publique, il faut que les journalistes puissent faire leur travail, il faut qu'on ait de l'information de qualité. »
Près d’une trentaine d’adolescents ont semé la pagaille au centre aquatique Les Bassins de l’Aqueduc ce lundi 1er juillet, premier jour d’ouverture des bassins. La police municipale a dû appeler en renfort les gendarmes de Mornant pour les faire sortir. L’accès leur est désormais fermé tout l’été
Mardi 1er juillet, la commission des affaires économiques du Sénat a adopté une nouvelle version du texte de la proposition de loi portant programmation nationale pour l'énergie et le climat pour les années 2025 à 2035 (PPE 3), dite « loi Gremillet ». Avant son retour au Sénat le 8 juillet puis à l’Assemblée nationale, cette étape de mi-parcours en commission a confirmé une reprise en main du dossier éolien par une coalition pro énergies intermittentes où se liguent, d’une part, de purs idéologues et, de l’autre, des soutiens des industriels du secteur.