Partout, la courbe est la même : l’épidémie de Covid-19 est en phase descendante. La “deuxième vague”, prédite par certains, n’est actuellement pas observable. Aucune raison ne s’oppose plus à la levée des derniers interdits imposés par le gouvernement. Les jardins, les cafés, les restaurants, les théâtres, les cinémas doivent rouvrir. Les Français doivent pouvoir se rendre où ils veulent, en se délivrant de cette laisse des 100 km imposée comme une punition. Surtout, les citoyens doivent urgemment s’émanciper de l’emprise étatique qui les a déresponsabilisés, à force d’être traités comme des enfants incapables. Trois-quarts des salariés ont été pris en charge par l’Etat. On en serait presque à remercier à plat ventre le premier ministre de la grande bonté qu’il aurait à ouvrir la cage.
magouille et compagnie - Page 958
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Le gourdin sanitaire, pour masquer les mensonges d’Etat, par Ivan Rioufol
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Sur le site Front Populaire, encore quelques informations édifiantes sur Le Monde et Libération.
Site : https://frontpopulaire.fr/
Chers amis de Front Populaire,
Vous avez été très nombreux à réagir à l’article de Michel Onfray que nous avons publié hier sur Le Monde et Libération.
Au delà de la confiance et de l’amitié que vous nous faites, vous nous avez aussi envoyé plusieurs documents et informations qui permettent d’éclairer le passé trouble de ces deux quotidiens moralisateurs :
- Denis nous a ainsi envoyé les Unes de Libération des 17 et 18 avril 1975 qui montrent l’enthousiasme du journal de Jean-Paul Sartre pour l’arrivée au pouvoir de Pol-Pot (rappelons que celui-ci est l’homme d’un génocide qui a tué 1,7 millions de Cambodgiens).
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À Libé, on rêve de confiner les populistes !
Ah, si la droite n’existait pas, si ces populistes, ces conservateurs, ces nationalistes, patriotes et autres souverainistes pouvaient n’avoir jamais vu le jour… Si les Boulevard Voltaire, Valeurs actuelles, TV Libertés et autres pouvaient être censurés, caviardés, brûlés en place publique, dans un bel autodafé, digne des heures les plus glorieuses de l’URSS… Tel est le rêve des journalistes de Libération, un monde où la droite n’existerait pas, où tout le monde ne regarderait plus que BFM, n’écouterait plus que France Inter, ne lirait plus que… Libération. Ce qui changerait drôlement la vie des employés du journal, qui perd chaque jour un peu plus de son lectorat au point que Patrick Drahi, son actuel propriétaire, cherche désespérément à refiler le bébé à une bonne âme de passage.
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DÉCONFINEMENT : LES FAUTES DE L'ÉTAT
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Patrick et Isabelle Balkany condamnés à 5 et 4 ans de prison en appel pour blanchiment
Patrick Balkany, l’ancien maire de Levallois-Perret, a été condamné à 5 ans de prison pour blanchiment et prise illégale d’intérêt, mercredi matin par la cour d’appel de Paris. Son épouse et ex-première adjointe, Isabelle Balkany, a été condamnée, elle, à quatre ans de prison pour blanchiment.
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Remise en liberté d’un mineur soupçonné d’avoir percuté et tué un homme de 72 ans lors d’un rodéo : l’inversion des valeurs « en marche » !
Le plus grand paradoxe du régime actuel repose sur la contradiction entre son apparence qui est d’avoir prétendu réunir à l’origine des gens de gauche et des gens de droite, alors que, sans doute, rarement l’idéologie n’a autant investi et dominé la politique française. Le malentendu est venu de sa volonté apparente de mettre en avant la réussite économique, celle des individus, des jeunes qui devraient être plus nombreux à vouloir être milliardaires, celle des entreprises dont on a diminué les charges, celle du pays à qui l’on promettait des réformes. La suppression de l’ISF sur les valeurs mobilières restera la borne témoin de cette politique qui résume la conduite d’un pays en mesures comptables quand il faut, pour redresser un pays, créer un mouvement profond, faire naître un état d’esprit collectif.
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Virus : Il faudrait isoler l’Ile-de-France et laisser le reste du pays revenir à une vie normale
Chronique de Paysan Savoyard (n°233 – mai 2020)
A quelques jours de la date à laquelle s’amorcera le déconfinement, le nouveau point d’étape qu’il convient d’effectuer ne diffère guère des précédents. L’incertitude scientifique au sujet de ce nouveau virus reste presque aussi totale qu’il y a trois mois. De même on ne sait pas réellement à ce stade si, une fois l’épidémie passée, le virus s’apparentera par le nombre de ses victimes à la grippe espagnole de 1918 (50 millions de morts dans le monde) ou si le nombre total des décès restera finalement du même ordre de grandeur que pour les grippes saisonnières les plus sévères. Sur le plan politique et administratif les choses sont en revanche bien plus claires et une certitude s’impose d’ores et déjà : certains pays ont bien géré la crise. D’autres non, et la France est de ceux-là.
- Trois mois plus tard, nous sommes toujours en situation de pénurie
Plus de trois mois après l’arrivée du virus en France le pays reste en situation de pénurie. Les personnels de santé non hospitaliers (médecins de ville, Ehpad, dentistes, personnels paramédicaux) ne disposent toujours pas des moyens de se protéger, qu’il s’agisse des masques, des blouses ou des autres équipements de protection. Même à l’hôpital les moyens de protection paraissent insuffisants, au moins dans certains établissements : c’est ainsi que la femme d’un médecin hospitalier qui vient de mourir porte plainte aujourd’hui contre divers responsables politiques et administratifs, affirmant que son mari n’a pas disposé des équipements de protection nécessaires. Nous sommes toujours également confrontés à une pénurie de tests : par exemple le nombre de tests disponibles est insuffisant pour permettre des dépistages dans les Ehpad, obligeant ainsi à consigner dans leur chambre tous les pensionnaires y compris les personnes qui ne sont pas atteintes. Quant aux capacités hospitalières elles restent aux limites de la saturation dans la moitié des régions. De façon générale, cette crise a révélé que nous sommes désormais presque totalement dépendants de l’étranger, d’où nous importons tout, masques, blouses, tests, médicaments et autres appareils de réanimation…
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Crise sanitaire : quand l’État grippe le pays de France
S’appuyant sur les chiffres de l’INSEE de la mortalité dans les régions métropolitaines, la comparaison, pour la période du 1er mars au 4 mai 2020 (constituant le faîte de la crise sanitaire) avec 2018 (année d’un épisode grippal prononcé), dissipera avantageusement les écrans de fumée statistiques insolemment médiatisés.
Car en dépit d’un confinement étonnamment tardif et sans commune mesure avec le modèle chinois, et malgré une circulation du virus sur notre sol depuis au moins novembre 2019 — accentuée par un brassage massif de population durant les fêtes de fin d’année propices aux transhumances —, on observe que la mortalité, dans six régions métropolitaines sur treize, a été en baisse ou n’a augmenté que faiblement par rapport à 2018 : Nouvelle-Aquitaine (-7,8 %), Bretagne (-7,4 %), Occitanie (-1,7 %), Normandie (-1,3 %), Pays de la Loire (+0,1 %), Corse (+2 %). Ces 6 régions abritent près de 22,7 millions d’habitants, soit 35 % de la population métropolitaine française (65 millions).
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Les banlieues en roue libre, par Etienne Lafage
Les « rodéos » se multiplient en France ces dernières semaines, provoquant de la colère, des blessés… Mais peu d’arrestations.
Nous ne sommes pas au Texas où des athlètes endurants chevauchent un cheval ou un taureau. A Lyon, Amiens ou en région parisienne, les cowboys ont un tout autre profil. Sur leurs motos, leurs quads ou dans leurs berlines, ils s’approprient les routes, les avenues ou des tronçons d’autoroute pour pratiquer un jeu qui a tout de dangereux et d’illégal.
Le phénomène existait déjà les étés précédents mais à la sortie du confinement, de nombreux quartiers ont vu ce phénomène prendre de l’ampleur. Dorénavant, c’est à plusieurs centaines de véhicules que ces jeunes déboulent sur les boulevards, sous le regard impuissant des forces de l’ordre, paralysés par les accusations de la chanteuse Camélia Jordana dans « On n’est pas couché » : selon elle les policiers « massacrent » des hommes et femmes pour leur couleur de peau…
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Michel Onfray revient notamment sur le financement du Monde et de Libération...
Source : https://www.valeursactuelles.com/
(Après le texte sur le site Front Populaire de Michel Onfray que nous avons relayé hier, en voici un second qui enfonce le clou. Il est publié dans Valeurs Actuelles sous le titre : "Pédophilie, communisme, subventions... Michel Onfray démonte Le Monde et Libération").
Michel Onfray a répondu à un papier “ordurier” du journal Le Monde par le biais de sa nouvelle revue Front Populaire. Le philosophe et essayiste ne mâche pas ses mots.
Pour la sortie de la nouvelle revue Front Populaire de Michel Onfray, Le Monde a rédigé un papier « ordurier ». L’écrivain ne manque pas de tailler en pièces le journal. Il rappelle tout d’abord qu’il a été « créé en 1944 par Hubert Beuve-Méry, qui venait de l’extrême droite ». Lors du référendum de 1969, le directeur était contre le général de Gaulle et a ainsi contribué à l’évincer.