magouille et compagnie - Page 957
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Bruno Bilde sur le naufrage de la politique régionale des transports !
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Le scandale Matzneff éclabousse Christophe Girard, adjoint d’Anne Hidalgo et figure LGBT
Le New York Times a mené une enquête fouillée sur l’affaire Matzneff, mettant en lumière les protections dont il a bénéficié de la part du milieu LGBT. L’article s’interroge même sur une potentielle protection de l’Élysée, sous Mitterrand, dont aurait pu bénéficier Matzneff après avoir rappelé qu’en 1986, les policiers avaient déjà convoqué l’écrivain après avoir reçu des lettres anonymes qui ont affirmé qu’il vivait dans un hôtel avec une adolescente.
“Il s’était bien rendu au commissariat, mais avec un talisman en poche : un article très élogieux à son égard, signé par François Mitterrand, le président à l’époque. Ce dernier avait remarqué M. Matzneff vingt ans plus tôt, lors de la sortie de sa première collection d’essais, Le Défi”. “Cela lui a tellement plu qu’il l’a offert à ses fils qui devaient avoir 15, 16 ans… et il m’a invité à déjeuner ». “Le président a continué à fréquenter ce jeune écrivain prometteur dont il demeura admiratif, même après la parution des Moins de Seize ans (Léo Scheer, 1974)”.
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Deux mauvaises raisons de voter pour Macron et deux bonnes de voter contre
À l’approche des élections municipales, chacun est amené à examiner les critères de choix qui conditionneront sa vie quotidienne, à l’écart d’une « élite » bobo-parisienne déracinée.
À vouloir être d’accord avec tout le monde, Macron n’est Président de personne . « Ni pour, ni contre, bien au contraire » : cette citation d’un ancien candidat à la présidence qui ne se prenait pas au sérieux pourrait être sa devise, l’humour en moins (Coluche). Est-ce ce qu’on attend d’un président de la République ?
Or, on ne peut pas se plaindre indéfiniment des conséquences dont on soutient les causes. Face à deux mauvaises raisons qui expliquent une attirance aveugle et répandue pour Macron, apparence et activisme, deux bonnes raisons justifient son rejet des urnes : résistance et renaissance.
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Les arnaques de la révolution verte
Ecologie, développement durable, économie circulaire, j’en passe et des meilleurs, on n’a que ces mots à la bouche pour caractériser les effets du réchauffement climatique. Sauf que l’on emprunte des chemins qui ne sont pas les bons et que toute cette tambouille revient à ripoliner les programmes des partis politiques qui n’ont plus d’idées, plus d’électeurs non plus d’ailleurs, et encore moins de saints vers lesquels se tourner, hormis les oiseaux de mauvais augures que sont tous ces zozos estampillés écolos. Mickaël Fonton, dans Valeurs actuelles remet les pendules à l’heure.
A lire ICI
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Tout comprendre du séisme politique en Allemagne suite aux élections en Thuringe
Par François Stecher, correspondant en Allemagne de Polémia ♦ La nouvelle crise qui secoue l‘Allemagne depuis quelques jours, et qui menace une nouvelle fois d’emporter l’insubmersible Angela, est vraisemblablement incompréhensible pour beaucoup d’observateurs étrangers – et singulièrement pour les Français, habitués au centralisme démocratique parisien. Comment une élection régionale – c’est comme cela qu’elle est analysée en France – de surcroît dans un Land qui ne pèse pas spécialement lourd sur l’échiquier économique et politique allemand peut-elle ainsi conduire la présidente de la puissante CDU à renoncer à briguer l’héritage promis et à annoncer sa démission de la dite présidence, menaçant par ricochet la très résiliente chancelière ?
Pour comprendre le mécanisme infernal qui pourrait broyer la vieille union démocrate-chrétienne et mettre fin prématurément – ayant déjà à plusieurs reprises osé le pronostic, devrais-je dire le vœu, de cette fin prématurée, je prendrais ici quelques précautions, tant la bête est coriace, bourrelée qu’elle est de morale et des certitudes de la nouvelle foi – au quatrième et dernier mandat d’Angela Merkel, il faut faire un petit retour en arrière, et l’effort de considérer les effets et dommages collatéraux de la politique de la chancelière dans les Länder de l’Est.
Démocratie en Thuringe
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La chute de la maison Griveaux, bien pire pour Macron que Benalla/Gilets jaunes/Retraites et Compagnie...
Ce quinquennat, c'est un long chemin de Croix, une lente agonie, une descente aux enfers... comparable - dans le pire et en inversé - aux espoirs fanfarons qu'avait suscités "le hold-up du siècle" et la prise de pouvoir par le jeune et sémillant Macron et son équipe d'extra terrestres qui marchaient sur l'eau (du moins le croyaient-ils...).
"On" lui fait aujourd'hui le coup de Fillon, mais à ses dépens cette fois-ci.
Qui, "on" ?
En voilà une bonne question !
Il est toujours risqué de promettre le "nouveau monde", de jurer qu'on ne fera plus jamais "comme hier" et autres fadaises et engagements plus faciles à promettre qu'à tenir : Griveaux, honteux et confus, jure maintenant, mais un peu tard, qu'on ne l'y prendra plus...
Si on ne peut encore s'accorder sur la personne de ce "On", ce qui par contre est absolument certain c'est que la principale victime de ce retrait est... Emmanuel Macron !
(Dans la presse écrite et parlée, rapide résumé du retrait du candidat LaRem)
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L’affaire Mila, ou les leçons de la “racaillisation” de la France
Le déferlement de haine et de menaces qui s’est abattu sur Mila après que quelques phrases de sa part ont été publiées sur les réseaux sociaux témoigne du renoncement de la France à défendre ses valeurs, estiment Jean Messiha et Frédéric Amoudru, ancien cadre d’une grande banque française.
Une jeune fille, comme des millions d’internautes, “tchate” sur Instagram et se livre à une foule d’anonymes. Une racaille s’en mêle et s’adonne à ce que tant de femmes et de jeunes filles doivent supporter dans l’espace public comme dans l’espace digital : les gauloiseries (si on peut encore utiliser ce termes sans être traité de raciste) et les réflexions salaces. Elle révèle son homosexualité et dit ne pas avoir envie de coucher avec un « renoi » ou « rebeu », ce qui est encore permis dans notre pays (mais pour combien de temps encore ?). S’ensuit une bordée d’injures homophobes et sexistes « au nom d’Allah ». Piquée au vif, la jeune fille contre-attaque et dit, en termes crûs, ce qu’elle pense de cette religion qu’on lui jette à la figure, alors que son tchat n’avait rien à voir avec les questions de foi.
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François Bousquet : “Les antifas bénéficient d’un sentiment d’impunité et d’une complicité des médias”
À Toulouse ce 12 février, des dizaines de militants d’extrême-gauche particulièrement violents, ont tenté d’empêcher la tenue d’une conférence de François Bousquet et Robert Ménard, le maire de Béziers. Les antifas ont jeté des projectiles vers la salle et sur le service d’ordre qui devait sécuriser cet événement.
Au micro de Boulevard Voltaire, François Bousquet revient sur cette scène “surréaliste et impressionnante”.
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"Violents, bêtes et méchants" mais surtout vrais terroristes, les soi-disant antifas ont sévi à Toulouse...
Association organisant régulièrement des conférences avec des personnalités politiques et médiatiques de droite, le Cercle des Capitouls invitait hier soir 12 février à Toulouse le maire de Béziers Robert Ménard et l’essayiste François Bousquet. Une conférence en partie perturbée en raison d’une attaque très violente d’un groupe d’activistes de gauche radicale appelé « Antifas Toulouse ».
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Municipales: Emmanuel Macron ne renonce devant rien et tente de se faire passer pour un champion de la défense de la nature
Le président Macron en campagne municipale ne renonce devant rien et tente de se faire passer pour un champion de la défense de la nature… et ce n’est pas gagné.
Après le handicap l’écologie
Une visite de la Mer de Glace pour se faire passer pour un écolo. Le président Emmanuel Macron était en déplacement jeudi du côté de Chamonix en Haute Savoie pour distiller quelques annonces superficielles en matière de protection de l’environnement.
Après s’être attelé brièvement à la question du handicap, le chef d’Etat en campagne, amateur des plans com’ et autres algorithmes s’attaque donc à ce qu’il perçoit comme un autre segment de marché électoral : l’écologie.