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Et oui mes amis, la France aussi dispose d’un DOGE, un organisme chargé de surveiller l’utilisation de l’argent des gens.
Chez nous c’est la Cour des Comptes qui est en charge de cette mission aussi cruciale qu’importante.
Hélas, il me semble, et vous aurez du mal à me contredire, que non seulement la Cour des Comptes est globalement assez muette, et quand elle fait ce pour quoi elle existe ses rapports sont systématiquement mis aux oubliettes.
L’ère du vide dont Lipovetsky analysait l’avènement en se montrant inquiet, sans sombrer dans le catastrophisme, est à son apogée. Loin de nous entraîner dans la plénitude d’un individualisme revigorant nous découvrons abasourdis que le vide a versé vers le néant, avec une inversion complète des concepts et des valeurs. Notre société en est malade, et les fossoyeurs sont ceux qui maintiennent l’illusion d’une richesse en devenir, soit par profonde conviction d’être dans le vrai, soit par simple corruption, sous forme d’aides financières, comme les journalistes, ou grâce à des postes, des places, qu’ils s’offrent, en échange d’une servitude volontaire et absolue, à l’instar de Ferrand en passe de diriger le Conseil Constitutionnel. Les premiers, conscients de leur bassesse tentent de retrouver une virginité en faisant la promotion de leur profession comme sur TF1, où nous avons assisté à la pathétique scène du « faites-nous confiance, nous on est des vrais journalistes, des bons », sous l’œil bienveillant, quoique inquiet, du pauvre Gilles Bouleau qui, silencieux, devait penser aux révélations sur les agissements de l’USAID et les fonds versés notamment à l’AFP pour contrôler l’information : entre 2017 et 2024, plus de 8 millions de dollars ont été encaissés.
L’intervention de Candace Owens sur l’affaire Brigitte Macron enflamme le Net et les réseaux sociaux. Ce n’est pas la fonction d’« Éléments » d’entrer dans cette affaire. En revanche, c’est la mission d’« Éléments » de poser la question qui fâche : les fonds publics français ont-ils été mobilisés pour financer la très coûteuse riposte judiciaire des Macron contre Candace Owens ?
La toile mondiale bruit de la conférence de Candace Owens sur Internet, concernant l’affaire Brigitte Macron, publiée le 1er février.
Moment de solitude pour Bruno Retailleau lorsqu’un magistrat au tribunal de Melun lui a rappelé en direct sur France Inter :
« Cette loi a été votée en janvier 2024. L’article L432-12 n’existait pas auparavant, il a été voté en janvier 2024, dans le cadre de la dernière loi immigration, par le groupe LR du Sénat dont monsieur Retailleau était le président ». « Si cette loi ne vous convenait pas, il ne fallait pas la voter. Mais maintenant elle est dans l’ordonnancement juridique, le magistrat ne fait que l’appliquer. »
Ce mardi 11 février 2025, à Saintes (Charente-Maritime) , une mère et sa fille ont été victimes d’une tentative d’extorsion par un homme d’une quarantaine d’années. Mais la jeune fille s’est débattue, ce qui a provoqué la fuite du suspect. L’homme, déjà connu des services de police, a été interpellé à son domicile dans la matinée de ce jeudi 13 février.
Elias, un collégien de 14 ans, poignardé à mort lors du vol de son téléphone ; les auteurs étaient déjà connus de la police.
Elias a été poignardé à la sortie d’un entraînement de football dans le 14e arrondissement de Paris, pour avoir résisté au vol de son portable. Deux mineurs de 16 et 17 ans, connus de la justice, ont été arrêtés et mis en examen pour «extorsion avec violences ayant entraîné la mort» de l’adolescent.
Autrefois, il y a déjà quelques années, l’autorité représentait un mur infranchissable pour la plupart des enfants et adolescents. Quant à ceux qui décidaient de passer outre, ils représentaient une goutte d’eau dans l’océan. Certes, nul n’était exempt de bêtises, mais ces bêtises en étaient vraiment. Contrairement à aujourd’hui où l’on considère que braquer un commerçant pour une poignée d’euros, dépouiller un gamin et le passer à tabac, voire le poignarder au cours d’un match de football – à Dammarie-les-Lys (77) dimanche dernier – c’est « une bêtise ». Aujourd’hui, l’océan a changé de couleur et c’est celle du sang versé par les victimes d’une violence exponentielle.
La classe politique est un devenue un fardeau. Mais elle n’entend pas céder la place. Pourtant, les citoyens ne supportent plus la frivolité de leurs dirigeants. Pire : ils ont honte de ceux qui les gouvernent. C’est ce que confirme le baromètre annuel de la confiance politique du Cevipof (Centre de recherches politiques de Sciences-Po), publié par Le Monde de ce mercredi. La défiance atteint des sommets : 76% des sondés déclarent ne pas faire confiance au gouvernement ; 74% se défient pareillement de l’Assemblée nationale, et 72% de l’institution présidentielle. « Les Français ont mis leurs responsables politiques au banc des accusés », commentent en substance les auteurs de l’étude.
capture écran BFM Lyon et Wikimedia Commons - montage IA
Le 5 février, devant la 17e chambre correctionnelle du tribunal de Paris, Éric Zemmour, président de Reconquête, remportait une victoire judiciaire face au journaliste Taha Bouhafs. Ce dernier avait porté plainte avec constitution de partie civile pour injure publique après que l’ex-polémiste devenu personnalité politique l’avait qualifié de « militant indigéniste » et « militant islamiste » sur le plateau de CNews, le 30 novembre 2020. À l’issue du jugement, l’avocat d’Éric Zemmour s’est réjoui, sur son compte X : « Nous sommes ravis, avec mon associée Laurence Dauxin, d’avoir obtenu la relaxe d’Éric Zemmour face à la plainte de Taha Bouhafs. » La plainte de Taha Bouhafs portait également sur un responsable de la chaîne CNews, Jean-Christophe Thiery de Bercegol du Moulin, directeur de la publication du site Internet.
L’État et sa justice aux ordres viennent une nouvelle fois de démontrer leur vrai visage : celui d’un régime liberticide, prêt à tout pour museler les médias qui ne chantent pas en chœur avec l’idéologie dominante. Cette fois, c’est le journal Frontières, dirigé par Erik Tegnér, qui est pris pour cible. Son crime ? Avoir enquêté sur les dérives financières de la justice migratoire, et surtout, avoir eu raison trop tôt et trop fort.