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« Si vis pacem, para bellum » : préparer la guerre si on veut la paix ! Cette maxime est vieille comme le monde et parfaitement exacte, qui dirait le contraire ? Personne, bien sûr, mais – car il y a souvent un « mais » dans toute vérité – certains esprits grincheux pourraient ajouter qu’il faudrait encore en avoir les moyens ! Ou à défaut de les avoir, se les donner. Au mieux et au plus vite !
Des violences ont éclaté dimanche 16 mars vers 0 h 30 devant le cinéma Pathé Odysseum à Montpellier. Une dizaine de jeunes en sont venus aux mains, certains armés de marteaux et de couteaux, entre le parvis du multiplexe et la station de tramway Place de France.
Alors comme ça, les nazis en France en 40-44, c’est peace and love, c’est l’Eurovision.
Oui, vous ne rêvez pas, nous en sommes là.
J’ai entendu cette ignominie pour la première fois le 15 mars, rapportée par Arno Klarsfeld sur Omerta avec Régis Le Sommier, au sujet d’une émission sur LCI pendant laquelle le général Michel Yakovleff s’est lâché comme à son habitude. J’ai vainement cherché l’émission de LCI en question et, à défaut, j’ai trouvé les mêmes propos sur une émission de Radio Classique du mardi 11 mars, où Yakovleff, ancien vice-chef d’état-major de l’OTAN, était l’invité vedette.
La Malus auto ce sera pour toutes les voitures ! Mais qu’est-ce que cette punition supplémentaire inventée par nos politicards pour soutirer de l’argent sous couvert de lutte pour « sauver la planète ». Avez-vous remarqué, nos responsables n’ont jamais autant voulu sauver de trucs ! Le climat, parce que tel qu’il est il ne doit plus changer, c’est une décision unanime et irrévocable du grand conseil planétaire de Davos. La démocratie, version UE, c’est unique en son genre, ça consiste à veiller à ce que les seules idées saines et validées par la même autorité que le climat puissent gagner en toute sécurité à toutes les élections. Les dissidents seront écartés par la force, souvent déguisée en arrêt juridique parce que c’est plus classe et c’est surtout indiscutable. La paix ? Ils veulent la sauver à tout prix, c’est dans ce but que notre agité de président crie partout qu’il va envoyer des soldats en Ukraine et qu’au besoin il larguera plein de bombes atomiques sur la Russie, car les méchants ce sont ceux qui ont envahi cette belle démocratie qu’est l’Ukraine.
Ce 4 mars, cinq militants antifascistes comparaissaient devant le tribunal de Rennes pour des faits de violences aggravées sur deux jeunes étudiants, de refus de signalisation et de vol. Six jours plus tôt, en marge d’une manifestation contre l’austérité, Léonard et Elouan, deux étudiants engagés à droite, ont été violemment lynchés par une trentaine d’antifas. « On allait rejoindre une amie à la fac, raconte Léonard, contacté par BV. La manifestation est passée près de nous et là, dans le mégaphone, on a entendu : "Il y a deux individus d’extrême droite bloqués sur le parvis, vous savez ce qu'il vous reste à faire !"».
Le terme « protectionnisme » est généralement considéré comme péjoratif dans le monde économique, au même titre que « isolationnisme » et « populisme ». À une époque où le globalisme est considéré comme la panacée de l’évolution sociale et géopolitique, l’idée de prendre du recul et de reconsidérer la notion d’indépendance et d’autonomie est odieuse. Les globalistes et les progressistes soutiennent qu’il n’y a pas de retour en arrière possible et qu’eux seuls connaissent la voie à suivre.
Il est plutôt commode qu’ils soient devenus les prophètes autoproclamés de la bonne politique économique, n’est-ce pas ?
Certains diront que c’est le coup de l’arroseur arrosé. D’autres, dans un registre semblable, affirmeront que quand on crache en l’air, il arrive que le glaviot vous retombe sur la tête. Toujours est-il que depuis la caricature publiée par l’équipe Mélenchon, représentant Cyril Hanouna en juif inquiétant, dans le plus pur style des nazis des années 1930, cela se déchaîne contre celui que nous appelons Rachid Méluche, digne successeur de notre grand ami Ali Juppé.
Une fois de plus, nous assistons au spectacle pathétique d’un gouvernement français humilié par l’arrogance d'un pays sous-développé du Tiers-Monde. L’Algérie, ce « partenaire » fantasmé de nos élites bien-pensantes, refuse ouvertement de reprendre une soixantaine de ses ressortissants, pourtant visés par des Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF). Ces individus ne sont pas de simples clandestins perdus dans les dédales administratifs, mais bel et bien des individus dangereux qui mettent en péril l’ordre public et la sécurité des Français. Et que fait le gouvernement face à ce camouflet magistral ? Il agite timidement l'idée d'une « riposte graduée » que personne n'arrive même à définir.