«Il est devenu toxique. Son propre parti prend ses distances avec lui. Il a perdu la face et le soutien en Europe et parmi les mondialistes dont il fait partie. Je pense qu’il démissionnera».
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«Il est devenu toxique. Son propre parti prend ses distances avec lui. Il a perdu la face et le soutien en Europe et parmi les mondialistes dont il fait partie. Je pense qu’il démissionnera».
Le dimanche 30 juin, les Français voteront pour élire leurs députés à l’Assemblée nationale. Le quinquennat avait réduit entre 2002 et 2022 ce scrutin à être une confirmation de l’élection présidentielle dans les semaines qui la suivaient. La dissolution décidée par Chirac en 1997 avait contrairement au souhait de Villepin et Juppé, qui l’avaient conseillée, renversé la majorité et conduit à une cohabitation calamiteuse. Elle empêcha le président de poursuivre sa politique et redonna le pouvoir à la gauche lors d’une embellie économique dont elle gâcha l’opportunité. Cette mésaventure conduisit au mandat de cinq ans comme pour l’Assemblée. L’accession de Macron à la présidence fut un malentendu et une grande illusion. On crut à un homme providentiel, une intelligence exceptionnelle et maîtresse d’elle-même pour corriger les insuffisances du pauvre Hollande qui ne fut à aucun moment à la hauteur de sa fonction. On crut à une grande lessive des hommes et des idées pour bâtir une France plus transparente et plus dynamique.
Alors qu’on dépasse largement le million de procurations en France pour les élections législatives des 30 juin et 7 juillet, les infirmiers et infirmières à domicile s’alarment de possibles tentatives d’abus de faiblesse. Objectif, récupérer des procurations de vote auprès de personnes âgées dépendantes.
Les résultats des élections européennes ne sont pas vraiment une surprise, au contraire de la dissolution de l’Assemblée nationale décidée et annoncée au beau milieu d’une soirée électorale jusque-là aussi ennuyeuse que d’habitude : tout d’un coup, l’on basculait de l’évocation et valorisation (pour certains, peu nombreux en fait) d’un bilan à une entrée en campagne, cette fois pour les élections législatives. Par cette décision pour le moins inattendue, M. Macron espère rejouer les lendemains de Mai 68, mais n’est pas de Gaulle qui veut, et il n’est pas certain que le réflexe des électeurs de juin 68, scandalisés ou apeurés par les émeutes et l’apparent triomphe des extrémistes, puisse être le même. Certes, la crainte de l’arrivée du Rassemblement National au pouvoir peut mobiliser nombre de citoyens jusque-là discrets ou absents des dernières consultations électorales, et lui barrer la route de Matignon, et il n’est pas interdit de penser, à trois semaines du premier tour, que c’est le scénario le plus plausible sinon le plus probable. D’autant plus que certains électeurs du RN, plus occasionnels (1) que fidèles, sont eux-mêmes effrayés de cette possibilité d’un Premier ministre issu des rangs de l’ancien Front National, un peu comme ces communistes qui, à l’heure de gloire du PCF, avouaient dans les sondages ne pas souhaiter l’installation d’un régime collectiviste en France (2)…
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Jeter Macron aux oubliettes, mais pas la “start-up Nation” !
Dans cette atmosphère de dégagisme évident de la macronie que je comprends parfaitement tant j’en ai chroniqué les défauts, les excès et les méchancetés, rarement un secteur économique, en l’occurrence les “start-up” n’a été aussi lié à un dirigeant politique. Des Gilets Jaunes éborgnés aux non-vaccinés qu’ils voulaient emmerder, de ceux qui ne sont rien, à ceux qui ne comprennent rien, ce président ne restera dans l’histoire que comme un mozarillon de pacotille et un destructeur. Un fossoyeur. Un liquidateur d’une nation et d’une population qu’il déteste tant.
par Gilbert Guingant
Abondances de procurations ? Droits pléniers retrouvés de l’Assemblée nationale ? Droits d’inventaires remis à jour ? Innover et inventer ? Pas de thèmes qui seront oubliés ici. Accompagnés de solides argumentaires. Et avec problématiques fermement recadrées. Genre ? Jamais le Privé peut endetter les pays. C’est même tout l’inverse : c’est ce privé qui est très très endetté envers le Public. Il a beaucoup trop reçu de l’argent qui ne lui est pas destiné. Le Public doit retrouver ses billes. Seul le Public peut décemment diriger le monde. Pour le privé leur échéance est enfin venue…
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je sais que je vais me faire huer par ceux qui sont fâchés avec les Francs-Maçons, pourtant je vais quand même le faire, parce j’écoute tout le monde, tout le monde, je lis tout le monde y compris et surtout ceux avec qui je ne suis pas d’accord, ce qui d’ailleurs en l’espèce n’est pas le cas. Alain Bauer, criminologue éminent et ancien Grand Maître du Grand Orient de France dit des choses parfaitement justes.
D’ailleurs sa sortie sur le président actuel, le petit mozarillon du palais est ahurissante car, même pour lui, les bras lui en tombent, ce qui est une excellente nouvelle. Notre leader Minimo Fidel Macro a perdu le peuple, hier il a perdu les patrons qui votent majoritairement RN. Aujourd’hui il a même perdu le Grand Orient. C’est dire si c’est porteur d’espoir !!
Bompard, de l’extrême gauche, nous a servi une grosse louche de bons sentiments au cours du débat tripartite, face à Bardella et Attal, interpellant Bardella sur ses origines et expliquant avec émotion que quand ses grands parents, à Bardella, sont arrivés en France, on disait aussi d’eux qu’ils ne s’intégreraient jamais et que finalement l’immigration d’aujourd’hui, on en disait la même chose et qu’à la fin ça donnerait ce que donnent les grands parents de Bardella, des gens parfaitement français. Et de conclure que l’immigration rapportait. C’est méconnaître à la fois l’histoire et l’économie. Les grands parents de Bardella étaient principalement une immigration de travail et plus globalement, une immigration européenne, constituée majoritairement de Portugais, d’Espagnols, d’Italiens et de Polonais, tous chrétiens, et qui ont largement fait franciser leurs patronymes familiaux, donné des prénoms français à leurs enfants sitôt nés et adopté le mode de vie français.