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France et politique française - Page 1603

  • Macron et le coronavirus : la politique du carton-pâte.

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    L'avis de Jean-François Touzé.

    L'intervention télévisée d'Emmanuel Macron ce jeudi soir se voulait responsable et porteuse d'un message de puissance publique.

    Elle ne fut qu'inutilement anxiogène, à l'image de la gestion brouillonne et incohérente qui, depuis les premiers jours, est celle de l'Elysée et du gouvernement face à la crise du coronavirus. 
    Incapable, malgré ses appels factices à l'unité et à "faire Nation", de s'élever au dessus des contingences et de prendre, au delà de la fermeture des écoles, les mesures concrètes de protection des Français comme le font, par exemple les Présidents russes et américains, oscillant entre tentative décalée de rassurer et une dramatisation à la limite du ridicule, le Président de la République n'aura réussi qu'à convaincre les Français qu'ils n'étaient ni dirigés ni protégés mais conduits dans la nuit noire par un aveugle.
    C'est au pied du mur que l'on voit le Macron. 
    Des murs... Loin de dresser ceux qui seraient nécessaires pour combattre l'épidémie et ses effets sanitaires comme économiques et sociaux, loin de bâtir les digues contre l'invasion migratoire, loin d'ériger les barrières commerciales dont auraient besoin notre industrie et notre agriculture, loin de cimenter les remparts stratégiques que l'accumulation des menaces rendrait indispensable, Macron lézarde encore et encore notre édifice national et laisse la France à claire-voie. Ses murs à lui sont des murets. Ils sont en carton-pâte.
  • Bistro Libertés avec Lorrain de Saint Affrique : Marine Le Pen au pouvoir ?

    Martial Bild et les sociétaires reçoivent Lorrain de Saint Affrique, conseiller de Jean-Marie Le Pen. Au programme des débats :

    Marine Le Pen au pouvoir : une réalité ?

    Une majorité de Français – 56% – estime que le parti de Marine Le Pen peut arriver au pouvoir. Jugée volontaire par 68% des Français, la présidente du Rassemblement National a-t-elle définitivement réussi sa stratégie de dédiabolisation ? Est-ce la fin du « plafond de verre » ? L’arrivée au pouvoir de Marine Le Pen, notamment dans la perspective de 2022, devient-elle une réalité ?

    Elections : peut-on faire campagne dans les mosquées ?

    Certains maires ont pris la décision de mener la campagne des municipales jusque dans les mosquées. Pour eux, il est clair que la démocratie doit aller partout et que le message politique doit arriver auprès de tous les électeurs. Cette attitude suscite la réprobation de ceux qui voient dans ces démarches un flagrant délit de clientélisme et une atteinte à la laïcité. Alors, peut-on faire campagne dans les mosquées ?

    https://www.tvlibertes.com/bistro-libertes-avec-lorrain-de-saint-affrique-marine-le-pen-au-pouvoir

  • Guillaume Bernard : « Coronavirus : les politiques et Macron jouent plus leurs intérêts personnels que le bien commun »

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    Au micro de Boulevard Voltaire, réaction de Guillaume Bernard à la suite de l’allocution d’Emmanuel Macron sur la crise sanitaire du coronavirus.

    Vous avez écouté le discours d’Emmanuel Macron qui portait sur la gestion de la crise de cette épidémie de coronavirus. Comment avez-vous trouvé le président de la République ?

    Je réagis quelques minutes après le discours, alors qu’il faut souvent un peu de temps pour décanter. À chaud, je vous dirai deux choses. De manière générale, il a été moins ondoyant, sans doute plus efficace et un peu plus crédible qu’il ne l’est d’habitude.

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  • Il paraît que c’est le progrès

    Suis-je un grincheux impénitent ? Un réactionnaire endurci ? Peut-être, mais peut-être aussi ai-je quelques raisons de l’être :

    En train

    Dans ma jeunesse, on achetait un billet de train sur un trajet quelconque ; le billet restait valable pendant deux ans, et l’on pouvait monter, serait-ce au dernier moment, dans n’importe quel train partant pour la désignation choisie. Certes le risque existait, en période de pointe, que l’on n’ait pas de place assise. Mais la réservation était toujours possible. Aujourd’hui elle est obligatoire, et ne vaut que pour un train déterminé. Des pénalités sont imposées si l’on n’a pas pu prendre exactement celui que l’on avait réservé. Les tarifs varient d’un jour à l’autre, et même d’une heure à l’autre. Est-ce vraiment un progrès ? Le Shinkansen, le TGV japonais, toujours d’une propreté impeccable, sillonnant de part en part un pays montagneux deux fois plus étiré que le nôtre, a coupé la poire en deux : la majorité des compartiments sont accessibles sur réservation, mais il y en a quatre dont les places sont libres, au fur et à mesure des arrivées, de sorte qu’on peut le prendre comme le métro.

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  • Le Coronavirus est-il vraiment dangereux ? La réponse en 4 points

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    Par Nicolas Faure, journaliste ♦ Après des jours de tergiversations et une dramatique augmentation des décès et des hospitalisations en soins intensifs, le gouvernement italien a décidé de placer l’intégralité du pays en confinement. Une décision qui peut étonner alors qu’en France, de très nombreuses personnes continuent à relativiser la dangerosité de la crise sanitaire qui vient. Le Coronavirus est-il véritablement dangereux ? Si de nombreuses caractéristiques du Covid19 restent encore méconnues, la réponse à cette question est assez claire : oui le Coronavirus peut s’avérer très dangereux pour la France et pour l’Europe.

    La dangerosité intrinsèque du virus

    1/ La létalité

    La létalité du virus est estimée par l’OMS entre 2 et 5 % des cas avérés.

    Une étude, basée à la fois sur les données du Diamond Princess et sur les données chinoises, a récemment été publiée. Si ce travail n’est pas encore « validé par les pairs » des chercheurs, il est néanmoins en phase avec toutes les estimations des experts.

    Selon les estimations des chercheurs, la létalité serait de :
    – 18 % des cas déclarés chez les + de 70 ans
    – 2,3 % des cas déclarés pour l’ensemble de la population

    La principale limite de cette estimation, c’est bien entendu que l’on ne connait pas avec précision le nombre total de personnes contaminées puisque de nombreux cas sont très légers et n’entrent donc pas dans les comptages.

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  • Aux municipales, avant tout démasquer et battre le macronisme !, par Christian Vanneste.

    Les élections municipales ont deux faces inégales selon la taille de la commune. Ce sont des scrutins locaux destinés à pourvoir villages et villes des élus qui vont les gérer, les administrer, les diriger pendant les six ans à venir, mais ce sont aussi des élections qui ont une portée nationale, de trois manières : concrètement les conseillers municipaux et les grands électeurs désignés par ceux-ci éliront à leur tour les sénateurs, plus subtilement un certain nombre de candidats vont acquérir un poids différent après leur élection à l’échelon local ou au niveau national, enfin, un nouveau rapport de forces entre les grandes formations politiques sera établi. Dans les petites communes, c’est la dimension personnelle et la responsabilité locale qui l’emportent sur le clivage politique. Plus la taille augmente, plus le choix politique, partisan, accroît son importance.

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  • « Paniquez, paniquez, il en restera toujours quelque chose »

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    Bernard Plouvier

    Depuis Beaumarchais, la propagande s’est multipliée de façon exponentielle : on est passé de la vitesse du cancanier à pied aux réseaux sociaux planétaires en direct. Les gens en sont encore moins sages et l’on n’a fait que faciliter la tâche des manipulateurs d’opinion.

    Voilà que nos politiciens – dont l’efficacité à la tête des États n’échappe à personne – jouent aux « lanceurs d’alerte » et aux propagateurs de panique.

    Pourtant, il semble logique de raisonner froidement... et, pour une fois, les statistiques – à qui l’on « ne fait dire ce que l’on veut » que lorsqu’on les truque – aident l’homme de bon sens.

    1 – La pandémie de grippe 2009-2010 a touché, en 16 mois, plusieurs centaines de millions de personnes. La mortalité a d’abord été estimée aux alentours de 150 000 victimes. Puis les chiffres de l’OMS ont paru fort suspects et une méta-analyse publiée dans The Lancet le 26 juin 2012 faisait état d’environ 284 000 morts. Certains épidémiologistes ont même doublé cette estimation, la portant à 575 000 morts.

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  • Le discours de Macron sur le séparatisme islamiste et ses impostures : à propos de République et de France, et de la loi républicaine

    Le discours de Macron sur le séparatisme islamiste et ses impostures : à propos de République et de France, et de la loi républicaine

    Rappelez-vous, c’était le 18 février 2020 à Bourtzwiller, quartier de Mulhouse, qu’Emmanuel Macron s’est paraît-il attaqué au séparatisme islamiste. Un premier article a déjà présenté le discours et annoncé neuf impostures. Un deuxième article a présenté les deux premières (à propos de communautarisme et de stigmatisation) ; un troisième les trois suivantes (ce serait la faute à la République, il n’y aurait pas de PROJET d’islamisation et les Frères musulmans seraient combattus). Voilà les deux suivantes.

    Sixième imposture : la République, jamais la France

    Pourquoi parler constamment de la République et si peu de la France ? Les chiffres sont éloquents : E.Macron cite 76 fois le mot « république » (contre 12 fois le mot « France ») et parfois de façon frénétique :

    «  Dans la République, il y a un ordre public qui permet de vivre libre et qui doit être respecté. Quand on trouble l’ordre public, c’est-à-dire la quiétude de chaque citoyen, que ce soit au titre de quelque justification y compris quand elle est religieuse, on ne peut l’accepter. La République peut préserver cet ordre pour que chacun y soit libre. Au fond, nous avons un socle, des lois que nous nous sommes données et il en va de notre unité, c’est que la République se tienne selon ces lois, ces valeurs, ces aspirations communes… C’est pourquoi notre ennemi est, à ce titre, le séparatisme c’est-à-dire ce phénomène que nous observons depuis des décennies qui est une volonté de quitter la République, de ne plus en respecter les règles, d’un mouvement de repli qui, en raison de croyances et d’appartenance, vise à sortir du champ républicain et ça ce n’est pas acceptable. Dans la République, on ne peut pas accepter qu’on refuse de serrer la main à une femme parce qu’elle est femme. Dans la République, on ne peut pas accepter que quelqu’un refuse d’être soigné ou éduqué par quelqu’un parce que c’est une femme. Dans la République, on ne peut pas accepter la déscolarisation pour des raisons religieuses ou de croyance. Dans la République, on ne peut pas exiger des certificats de virginité pour se marier. Dans la République, on ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures aux lois de la République ».

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  • Un candidat LREM aux municipales logé en HLM en plein cœur de Paris alors qu’il est propriétaire d’un appartement

    Le Parisien a révélé mercredi qu’un certain Mohamed Midani M Barki, peintre et candidat LREM en 17e position sur la liste de Pierre-Yves Bournazel pour les municipales dans le 18e arrondissement de Paris, occupait un logement social (HLM) avec sa compagne tout en étant propriétaire de son propre appartement. Le logement social en question, d’une superficie de 73m² et situé en plein cœur de Montmartre, lui est loué à 652 euros par mois et 188 euros de charges mensuelles. Il l’avait obtenu en 2000.

    Problème, le Parisien révèle que Mohamed Midani M Barki dispose également d’un appartement place du Tertre, dans le 17e arrondissement, dont il est propriétaire. Il en avait même « un autre de 30 m² » mais l’a « vendu ». L’un de ses appartements lui aurait rapporté 11 070 euros sur la seule année 2015. Il continue de louer celui de la place du Tertre sur une plateforme. Sa compagne serait aussi propriétaire d’un appartement dans le 18e arrondissement.

    Contacté par le Parisien, Mohamed Midani M Barki déclare qu’il n’a « rien à se reprocher »« rien à cacher »« J’ai attendu 14 ans pour obtenir ce logement. Et la RIVP (Régie immobilière de la ville de Paris, dont dépend son HLM, NDLR] connaissait l’existence de nos appartements », explique-t-il. Une sortie qui passe mal à l’approche des élections municipales alors que que l’une des priorités du programme d’Agnès Buzyn est de « mieux contrôler le logement social », et que Pierre-Yves Bournazel, tête de la liste du 18e où figure Mohamed Midani M Barki, souhaite « un meilleur suivi des familles »

    Valeurs actuelles

    https://www.tvlibertes.com/actus/un-candidat-lrem-aux-municipales-loge-en-hlm-en-plein-coeur-de-paris-alors-quil-est-proprietaire-dun-appartement